Villeneuve-sur-Lot
Localisation
Villeneuve-sur-Lot : descriptif
- Villeneuve-sur-Lot
Villeneuve-sur-Lot (prononcé [vil.ˈnœv syʁ ˈlɔt̪]) est une commune du sud-ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne en région Nouvelle-Aquitaine.Villeneuve-sur-lot est la ville centre de la Communauté d'Agglomération du Grand Villeneuvois (CAGV). Ses habitants sont appelés les Villeneuvois.
Géographie
Localisation
Villeneuve-sur-Lot est une petite ville moyenne, à l'origine une bastide fondée entre 1264 et 1266, située en Agenais, à proximité du Périgord et du Quercy, à égale distance de Bordeaux et de Toulouse, sur la route nationale 21. Elle est au cœur d'une large plaine alluviale fertile marquée par diverses terrasses de l'ère quaternaire, entourée de coteaux couverts de vergers dont la roche souvent argileuse, rétractable en période de sécheresse ou gonflante en période humide, correspond en âge au tertiaire moyen.
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont La Sauvetat-sur-Lède, Bias, Castelnaud-de-Gratecambe, Hautefage-la-Tour, Lédat, Monflanquin, Penne-d'Agenais, Pujols, Saint-Aubin, Saint-Sylvestre-sur-Lot, Savignac-sur-Leyze et Trentels.
Hydrographie
Le Lot traverse la commune et la ville d'est en ouest. Ses affluents sont, d'amont en aval :
- le ruisseau de las Parets en limite de la commune de Saint-Sylvestre-sur-Lot ;
- le ruisseau de Saint-Germain ;
- le ruisseau de Roumas ;
- le ruisseau de Cambes ;
- le Caguerieux en limite de la commune de Bias.
La Lède traverse le nord de la commune d'est en ouest.
Climat
Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 .
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,5 amplitude thermique annuelle de 15,4 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Laroque-Timbaut à 15 vol d'oiseau, est de 14,0 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
- Carte IGN sous Géoportail
- « » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
- « », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « », sur fr.distance.to (consulté le ).
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Toponymie
En occitan la ville s'appelle Villanova, qui est l'équivalent en latin médiéval du français Villeneuve ou Neuveville.
Sous l'Ancien Régime et jusqu'en 1875, la commune s'appelle Villeneuve-d'Agen. Elle porte depuis le nom de Villeneuve-sur-Lot.
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France. Volume III, Publications romanes et françaises, (ISBN , lire en ligne)
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Histoire
Antiquité
Insérée aujourd'hui entre les collines vertes et boisées qui dominent les premières terrasses et la basse vallée du Lot, le site de Villeneuve possède déjà une longue histoire à la fin de la période de La Tène, avec les installations de transport, entre chemins et la puissante voie d'eau Oldus, des Nitiobroges[pas clair]. L'occupation romaine valorise le site antique d'Eysses, nommé en latin Excisum, à environ un kilomètre au nord de l'actuel centre-ville, au carrefour de deux grandes voies de communication. Les nombreuses explorations ou fouilles archéologiques attestent l'érection d'un premier noyau urbain comprenant camp de légionnaires, quartiers artisanaux, forum, curie, temples dont il nous reste quelques sous-structures.
En particulier, des fouilles INRAP effectuées en 2005 sur le site de Ressigué ont permis de mettre au jour des structures fossoyées dans un puits daté du siècle avant notre ère et dans un autre de la fin du siècle de notre ère.
Moyen Âge
Un monastère fondé au Charlemagne, perpétue in situ la grande station antique d'Eysses, sous le nom d'Excisum. Il aurait été détruit et pillé, pendant la décadence carolingienne au normands remontant Garonne et Lot.
Au début du abbaye bénédictine dédiée à saint Gervais et saint Protais et l'église paroissiale Saint-Sernin regroupent autour d'elles potiers et paysans, entrainant la formation d'un village à un kilomètre au sud que les historiens nomment Gajac, en référence au site d'un vieux moulin en amont de l'ancienne ville au diocèse d'Agen est soumise à l'autorité de l'abbaye de Moissac.
Le village nommé « Gajac », devenu un important bourg, est détruit au début du , lors des guerres aux confins du Périgord et de la Guyenne. La guerre des Albigeois a chassé la population des terres monacales. Alphonse de Poitiers, frère de Saint Louis et responsable des armées du royaume de France sur ces apanages méridionaux demande la cession de la terre abandonnée de Gajac à l'abbé et aux moines d'Eysses, pour y bâtir une villa nova ou ville neuve. Entre 1254 et 1263, une bastide est ainsi créée, à l'initiative d'Alphonse de Poitiers, pour servir de point d'appui aux places fortes échelonnées dans le Haut-Agenais : Villeneuve-sur-Lot compte d'emblée parmi les plus vastes et les plus puissantes bastides du Sud-Ouest. Le prince capétien a obtenu des moines d'Eysses la cession de terres nécessaires à la construction d'une ville nouvelle, nantie entre 1264 et 1266 d'une charte de coutumes, ou privilèges, qui en 46 articles en définit sa vie sociale, économique et pénale.
La construction a suivi un plan bien défini adopté par toutes les bastides du sud-ouest de la France : un plan orthogonal organisé autour d'une place centrale, entourée d'arcades, vers laquelle confluent huit rues larges, tirées au cordeau, l'originalité de Villeneuve réside dans sa position à cheval sur le Lot, qui vaut sa devise à la ville "villa nova per aquam et lapidem" car un pont hardi basé sur un grand arche franchit le Lot et relie la partie urbaine septentrionale, la plus considérable et la mieux bâtie au faubourg saint Etienne au sud, en rive gauche, résultat d'une donation complémentaire du seigneur de Pujols au lieu-dit Albrespit,. Des puissantes fortifications initiales, améliorées au siècle suivant, il ne reste plus au .
Après le traité d'Amiens, en 1279, l'Agenais devient possession du roi d'Angleterre, duc d'Aquitaine. a accepté la construction d'un pont sur le Lot qui est entreprise entre 1282 et 1289, qui constituait l'un des rares points de passage sur la rivière.
La ville est constamment fortifiée au . Elle est prise en 1337 par le connétable de Brienne. La construction de l'église Sainte Catherine se situe au . L'église de style gothique Saint Étienne, élevé progressivement du .
Sa situation va l'amener à jouer un rôle stratégique dès les premiers épisodes de la guerre de Cent Ans.
Temps modernes
Au cours des guerres de religion, la ville retrouve son rôle stratégique. En 1585, la reine Margot, comtesse d'Agen, rejetée par sa famille et son époux Henri de Navarre, chef des protestants, s'est ralliée à la Ligue. Elle tente de prendre le contrôle l'Agenais en forçant en vain le passage de Villeneuve d'Agen, défendue par le jeune Ciotat qui parvient à reprendre son vieux père captif et présenté devant les murailles (1585). En 1591, le duc de Joyeuse, agissant au nom de la Ligue, assiège également la place de Villeneuve, mais sans succès.
Son rôle de place de guerre prend fin avec les événements de la Fronde. Lors de cette guerre civile qui déchire la France, Villeneuve prend le parti des Princes contre Mazarin. Le siège et la défaite qui s'ensuit (elle est l'une des dernières à capituler, 1653) lui coûte ses remparts, ses fossés. Aucun fait saillant ne vient plus troubler son histoire.[réf. nécessaire]
Sous l'Ancien Régime, Villeneuve d'Agen, sur la grand route d'Agen à Périgueux, fait partie du diocèse et de l'élection d'Agen, ce qui explique son appellation. Disposant d'une juridiction propre, elle dépend du parlement et de l'intendance de Bordeaux.
Époque contemporaine
La Révolution de 1789 n'y provoque aucun mouvement important et la ville resta « sagement révolutionnaire ».[réf. nécessaire]
La commune instituée en 1790 est chef-lieu de district dans le département du Lot-et-Garonne, le curé Pierre Paganel devient son procureur-syndic pour le district. La commune bourgeoise absorbe avant 1806 les plus modestes communes de Bias, Coulougues, Courbiac, Montmarès, Sainte-Radegonde, Saint-Germain, Saint-Hilaire, Saint-Sernin, Saint-Sulpice-Rivelot et Soubiroux. En 1802, Villeneuve-sur-Lot est une sous-préfecture, avant d'étendre son emprise comme chef-lieu de canton. Une cure catholique accueille un desservant concordataire.
Les bâtiments du monastère d'Eysses, restaurés puis considérablement agrandis, ont été affectés à une grande maison de détention, qui peut accueillir 1200 condamnés recueillis dans onze départements voisins. En 1878, la maison de correction d'Eysses utilise encore la main d'œuvre captive dans des ateliers de toiles, de chaussures, de chapeaux, de bouchons et de peignes. L'étude architecturale de l'ancienne abbaye ne permet pas de remonter au-delà du tour de Vésone à Périgueux.
En 1841, la commune de 12337 habitants, chef-lieu du quatrième arrondissement du Lot-et-Garonne, et chef-lieu de canton à une trentaine de km (minima 22 km) au nord-nord-est d'Agen, abrite un tribunal de première instance de la cour d'Agen et un tribunal de commerce, une société d'agriculture réputée en agronomie et arboriculture, un juge de paix et un collège communal de garçons. L'arrondissement de Villeneuve regroupe dix cantons : Cancon, Castillonnès, Fumel, Sainte-Livrade, Montclar, Montflanquin, Penne, Tournon (d'Agenais), Villeneuve-d'Agen et Villeréal. L'industrie de Villeneuve n'est pas négligeable : fabrique de toiles, tanneries, tuileries et martinets pour le cuivre. S'y déroule, outre les marchés du mercredi et du samedi en semaine, de nombreuses et importantes foires, les 3 février, 20 mai, 19 juin (deux jours), 4 août, 1er septembre (deux jours), 13 octobre, 26 novembre, 28 décembre, sans oublier mercredi de la mi-carême et lundi de Quasimodo. Le commerce y est fort actif, c'est un des centre d'affaire les plus importants du département, avec de la farine dite de minot, des pruneaux très estimés dits « prunes d'ente » collectées et/ou séchées dans ses environs sous l'appellation de pruneaux d'Agen, des vins, des bestiaux, des papiers, des fers, des cuirs, etc..
Jusqu'au milieu du bateaux. Des confins d'Auvergne descendent bois et fromages ; du Rouergue, le cuivre et le papier ; du Quercy, viennent le blé, le vin et les fruits. Toutes ces denrées transitent par Villeneuve d'Agen qui, seule avec Cahors possédait un port de commerce. Les bateaux repartent ensuite vers Bordeaux, puis de là vers les comptoirs français dans les îles .
Dès les années 1860, Villeneuve est desservie par un embranchement de chemin de fer de 9 km qui rejoint à La Penne la grande ligne de Paris à Agen par Limoges. La gare est exploitée par la compagnie du chemin de fer d'Orléans.
Un monument commandé à Barrau rend hommage aux soldats de l'arrondissement morts à l'ennemi entre 1870 et 1871.
À la fin du prune d'ente : petits pois, haricots verts, pruneaux partent par trains entiers vers les grands marchés de Bordeaux et de Paris. C'est aussi un petit centre industriel diversifié, avec l'essor de la conserve alimentaire, la minoterie de Gajac, la distillation de liqueurs réputées, mais aussi la fabrication de tissus métalliques, de boutons de nacre, une grande manufacture de chaussures etc.. Des ateliers y fabriquent aussi des peignes, des chaussons, des galoches, des sabots, des pantoufles, des corsets, des chapeaux, des cordes, des cartonnages, etc. La bibliothèque non loin de la statue du savant Bernard Palissy, natif de l'arrondissement, par le sculpteur Barrias, compterait 10000 volumes. Il existe aussi des pépinières pour l'arboriculture, une vannerie, des huileries et une fabrique d'eaux gazeuses, des ateliers de « constructeurs mécaniciens », notamment des fabriques de pompes, chaudrons, voitures, mais aussi une filature et des teintureries, des tuileries et des briqueteries, une fabrique de plâtre.
En 1901, Villeneuve est une commune vieillissante de 13594 habitants qui s'étale sur 9312 ha dans la vallée du Lot, principalement au nord sur sa rive droite. La mairie est à 55 mètre d'altitude sur une terrasse au bord de la basse vallée du Lot. Le revenu communal en 1903 avoisine 254 923 francs, en partie grâce aux perceptions de l'octroi. La ville accueille une annexe de l'église réformée de Montflanquin. Mais la vie catholique s'est étoffée depuis le début du siècle, avec deux cures et l'installation des bonnes sœurs de la Croix. Le collège est complété par une école secondaire ecclésiastique, une inspection primaire, douze écoles publiques et quatre écoles privées. La bibliothèque ne compte, d'après Élisée Reclus, que 4 500 volumes. Outre le commissaire de police et le receveur particulier, le percepteur et le receveur municipale, la sous-préfecture du quatrième arrondissement accueille forces de l'ordre et administrations : deux brigade de gendarmerie dont une à cheval sont dirigés par un capitaine, qui a la charge globale de 12 brigades, deux contrôleurs des contributions directes, un sous-inspecteur et trois receveurs de l'enregistrement, un receveur principal et entrepreneur des contributions indirectes, un vérificateur des poids et mesures, un conducteur des ponts-et-chaussées, un service d'hypothèque. Dans cet petite ville d'avoués, de huissiers et de notaires, la vie paysanne est animée par un comice agricole. Un dépôt de haras compte 73 chevaux, pour le Lot, le Lot-et-Garonne et le Tarn-et-Garonne, en marge d'une station d'étalons de 15 chevaux.
La commune est aussi connue pour la prison départementale et la colonie pénitentiaire de jeunes gens à Eysses. Sur un plan social, le bureau de bienfaisance affiche des revenus équivalent à 21 063 francs, l'hospice Saint-Cyr de Cocquart accueille 72 lits et l'hospice de Magnac seulement 24 lits, alors que l'orphelinat éduque trente enfants.
Le canton de Villeneuve regroupe en 1901 six communes qui couvrent 17 294 .
L'ancienne église Sainte-Catherine du XVIe siècle fut détruite en 1914, après qu'une voûte se soit effondrée en 1897 et que le constat de délabrement soit dressé. La construction du nouvel édifice, de style romano-byzantin, commença en 1898 et dura 39 années. Les travaux furent suspendus une première fois en 1905, en conséquence des lois de séparation de l'Église et de l'État et faute de crédits. Les travaux reprirent en 1909 grâce à l'intervention et à un don de Georges Leygues, ministre de l'Instruction publique et des Beaux-Arts. Le chœur est consacré en 1911. Le projet est augmenté d'un clocher en 1911 et le porche construit à partir de 1912 pour être terminé en 1924 après une nouvelle interruption pendant la première guerre mondiale. Les sacristies commencent à être construites en 1924. Le chantier sera achevé et l'église consacrée en 1937.
La chapelle Notre-Dame de Grâce renferme une Madone vénérée, objet de pèlerinage ancien. En diverses rues, le long du Lot, sur l'ancienne place des Cornières, rebaptisée en l'honneur de Lafayette, dans le vieux quartier Saint-Étienne, apparaissent ça et la des traces relictuelles de l'urbanisme du XIIIe siècle et des siècles suivants, par des arcades et vieilles maisons, des murs et des supports de fortifications à la tour de Pujols et à la tour de Paris, surmontée par une tour carré à mâchicoulis, cette dernière commandant l'ancienne sortie au nord-nord-est de la Villeneuve.
La ville est reliée par une ligne de chemin de fer secondaire à voie métrique à Monflanquin et Villeréal de 1911 à 1933. Ce réseau est exploité par les Tramways de Lot-et-Garonne puis les Voies ferrées départementales du Midi.
Bias est redétachée de Villeneuve-sur-Lot en 1935.
- Rapport d'activité 2006 de l’INRAP page 88
- Paul Joanne, Elisée Reclus, opus cité. Le texte affirme l'antériorité de la création monastique, au Pépin ou de son fils, imposant non sans difficulté leur imperium à la vaste Aquitaine.
- Eusèbe Girault de Saint-Fargeau, Dictionnaire géographique et historique, opus cité.
- Abbé et moines du couvent, à l'instar du seigneur de Pujols, en acceptant et en contribuant à la création de la bastide, attendent de l'initiative d'Alphonse de Toulouse un repeuplement des campagnes environnantes. Paul Joanne, Elisée Reclus, opus cité
- Paul Joanne, Elisée Reclus, opus cité. Contrairement à l'allégation d'Eusèbe Girault de Saint-Fargeau, rapportant l'avis d'érudits locaux, la grande arche maîtresse du grand pont, cintre hardi de 36 mètres de portée et 18 mètres de hauteur aurait été ouverte sous le règne de Louis XIII, prenant la place des deux arches construits vers 1264.
- « », sur Base Mérimée.
- Marcellin Berthelot, La Grande Encyclopédie, opus cité.
- Paul Joanne, Elisée Reclus, opus cité.
- Victor Adolphe Malte-Brun, opus cité.
- Eusèbe Girault de Saint-Fargeau, opus cité.
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- Victor-Adolphe Malte-Brun, opus cité (1878)
- Paul Joanne, Élisée Reclus, opus cité. Article rédigé après 1901.
- Eusèbe Girault de Saint-Fargeau, opus cité (1845). Selon Paul Joanne, Élisée Reclus, opus cité, les foires de la Belle Époque ont lieu le 19 janvier, le 3 février (bestiaux, chevaux, grains, toiles, fil, pruneaux, vins, eaux-de-vie), le 19 février, 19 mars, 19 avril, 19 juin, 19 juillet, le 20 mai, le 4 août, le 1er et , le 13 octobre, le 26 novembre, 28 décembre.
- Eusèbe Girault de Saint-Fargeau, opus cité (1845) et Victor Malte-Brun, opus cité (1878)
- Marcellin Berthelot (dir.), La Grande Encyclopédie, opus cité.
Héraldique
Blason | D'azur au pont de cinq arches d'argent, sommé de trois tours du même, celle du milieu plus élevée, celles de dextre et senestre surmontées d'une fleur de lys d'or, sur une rivière aussi d'argent.
devise : villa nova per aquam et lapidem |
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Détails | Cette description a été faite pour la première fois en 1547 par le roi de France Henri II. Le blason représente à la fois le pont, symbole de la ville, dans son ancienne configuration (cinq arches, trois tours) et, par la fleur de lys, le pouvoir royal (la ville a été fondée par Alphonse de Poitiers, frère de saint Louis). Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
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