Villebon-sur-Yvette

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Villebon-sur-Yvette : descriptif

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Villebon-sur-Yvette

Villebon-sur-Yvette (prononcé [vilbɔ̃ sʏʁ ivɛt̪] ) est une commune française située dans le département de l’Essonne en région Île-de-France. Village agricole jusqu’à la fin du XIXe siècle, situé à l’extrémité de la vallée de Chevreuse, Villebon-sur-Yvette a connu dès le début du XXe siècle une urbanisation de villégiature puis de résidence avec l’arrivée du chemin de fer, qui en fait aujourd’hui une commune pavillonnaire de l’unité urbaine de Paris. Avantagée par la présence sur son territoire du parc d'activités de Courtabœuf, du Grand Dôme et de la zone commerciale de Villebon 2, c’est devenu une des communes les plus « riches » du département. Ses habitants sont appelés les Villebonnais.

Géographie

Situation

Villebon-sur-Yvette se situe dans la région naturelle du Hurepoix au sud de la vallée de la rivière l’Yvette, aussi appelée vallée de Chevreuse, sur un terrain composé de meulière, sable et argile.

Un important site d’émission de radio et de télévision se trouvait à Villebon-sur-Yvette jusqu'en 2021. Il couvrait le sud-ouest de la région parisienne.

Villebon-sur-Yvette est située à vingt kilomètres au sud-ouest de Paris-Notre-Dame, point zéro des routes de France, dix-sept kilomètres au nord-ouest d’Évry, deux kilomètres au sud-ouest de Palaiseau, sept kilomètres au nord-ouest de Montlhéry, douze kilomètres au nord-ouest d’Arpajon, quatorze kilomètres au sud-est de Versailles, vingt-et-un kilomètres au nord-ouest de Corbeil-Essonnes, vingt-cinq kilomètres au nord-est de Dourdan, vingt-six kilomètres au nord-ouest de La Ferté-Alais, trente kilomètres au nord d’Étampes et trente-sept kilomètres au nord-ouest de Milly-la-Forêt.

La commune de Villebon-sur-Yvette est située à quatre-vingt-deux kilomètres de son homonyme Villebon en Eure-et-Loir.

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Hydrographie

L’Yvette dans le parc de la Mairie.

La commune est située sur la rive droite de l’Yvette qui fait office de limite entre Villebon-sur-Yvette et Palaiseau puis Champlan sur 1,713 .

Le débit moyen de la rivière, mesuré dans la station communale s’étage entre 0,876 mètres cubes par seconde en septembre et 2,03 mètres cubes par seconde en février. Le débit maximal instantané mesuré à 18,2 mètres cubes par seconde intervint le lors d’une crue où la rivière atteint une hauteur de deux cent trente-trois centimètres.

Plusieurs ruisseaux parcourent le territoire de la commune. De l’amont à l’aval passent le ruisseau de la Butte Sainte-Catherine, le Vatancul, le Cretel, le ruisseau du Parc et à la limite avec Champlan le ruisseau de Paradis et la Boële, qui n'est pas un affluent de l'Yvette, mais une dérivation partielle, artificielle de l'Yvette et qui a été terminée en 1932.

Relief et géologie

Villebon-sur-Yvette au cœur de la vallée de l’Yvette.

Le relief de Villebon-sur-Yvette est caractérisé par sa situation dans la vallée de l’Yvette. En bas de la vallée, le point le plus bas se situe à quarante-trois mètres. Sur le plateau de Courtabœuf, le point le plus élevé est à cent soixante-quatre mètres. Entre ces deux points, la distance est parfois inférieure à un kilomètre. Les pentes sont donc relativement fortes, notamment dans le quartier Suisse. Sur le flanc est, entre le plateau et la rivière se trouve une grande plaine cultivée en pente douce nommée La Plesse. Un escalier de cent-soixante-deux marches sur cent-trente mètres permet de gravir la butte Sainte-Catherine dans la rue Daubigny.

La commune est située sur un terrain mêlant argile dans le fond de la vallée, sable et meulière sur les hauteurs.

Communes limitrophes

Villebon-sur-Yvette est située sur la rive droite de l’Yvette, qui la sépare du nord-ouest au nord-est de Palaiseau et à l’est de Champlan. Sur la même rive, à l’ouest, le bois de la Grille Noire la sépare d’Orsay et au sud-est, la zone d’activité de La Prairie est limitrophe de Saulx-les-Chartreux. Sur le plateau de Courtabœuf, au sud se trouve Villejust et au sud-ouest Les Ulis qui chacune partagent leur territoires pour accueillir le parc d'activités de Courtabœuf.

Communes limitrophes de Villebon-sur-Yvette
Palaiseau
Orsay Villebon-sur-Yvette Champlan
Les Ulis Villejust Saulx-les-Chartreux

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 .

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,4 amplitude thermique annuelle de 15,3 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Gometz-le-Châtel à 7 vol d'oiseau, est de 11,3 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

Voies de communication et transports

L’autoroute A10 à Villebon-sur-Yvette.

Le territoire communal est traversé par plusieurs grands axes routiers. Le premier en importance est l’autoroute A10 qui traverse tout le territoire du nord au sud-ouest dans une tranchée séparant le centre-ville des espaces de culture. D’est en ouest, elle est traversée dans le bois des Gelles par l'ex-RN 188 qui reprend le tracé de l’ancienne voie ferrée de la ligne Paris - Chartres par Gallardon. Elle complète la route départementale 988, la route de Paris à Chartres qui traverse le nord-ouest sous l’appellation d’avenue du Général-de-Gaulle. Enfin, la route départementale 59 relie le plateau de Courtabœuf à Palaiseau par les champs sous l’appellation d’avenue de la Plesse. Au total, six ponts permettent la traversée de l’Yvette vers la commune voisine de Palaiseau.

Sous le plateau de Courtabœuf et les quartiers de Villiers et des Sablons passe le tunnel de Villejust de la LGV Atlantique, construit en 1985. Achevé en 1989, il aura nécessité l’extraction de 600 000 sable, la pose de 50 000 voussoirs et de 100 000 béton armé.

La commune ne dispose plus de gare sur son territoire depuis la fermeture de la gare de Villebon-État. Elle est aussi fortement liée à la ligne de Sceaux utilisée par la ligne B du RER d'Île-de-France sur le versant nord de la vallée avec la gare de Palaiseau - Villebon et la gare de Lozère. L’ancienne gare de Villebon-État, près du centre culturel, et certains ponts ou tunnels du quartier suisse sont les vestiges de la ligne Paris-Chartres par Gallardon. Une locomotive à vapeur est toujours exposée sur un tronçon de rail.

Ces deux gares sont d’ailleurs desservies par le service de transports en commun assuré par la ligne 19 du réseau de bus Paris-Saclay qui parcourt la commune de 6h00 à 20h00 et un service de transport à la demande qui est réservé aux personnes âgées, notamment vers les centres commerciaux et les marchés. S’ajoutent à cela la ligne de bus Noctilien N122 qui s’arrête à la station « Les Suisses-Lozère » entre 0h30 et 5h30 et les autobus du réseau de bus Paris-Saclay DM12 et du réseau de bus Cœur d'Essonne M153 depuis Massy-Palaiseau aux stations « La Bretêche » et « École de l’Île-de-France ».

L’aéroport de Paris-Orly, situé à dix kilomètres au nord-est, est accessible par l’Orlyval avec correspondance à Antony par le RER B direction Aéroport Charles-de-Gaulle 2 TGV, la commune se trouve d’ailleurs dans l’axe du couloir aérien des pistes 3 et 4 de l’aéroport. L’aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle situé à quarante-deux kilomètres au nord-est est accessible directement par le RER B direction Saint-Rémy-lès-Chevreuse. L’aviation d'affaires est orientée vers l’aéroport de Toussus-le-Noble à dix kilomètres au nord-ouest.

  1. Orthodromie entre Villebon-sur-Yvette et Milly-la-Forêt sur le site lion1906.com Consulté le 09/08/2012.
  2. Orthodromie entre Villebon-sur-Yvette et Villebon sur le site lion1906.com Consulté le 09/08/2012.
  3. Site SIGES - Seine-Normandie consulté le 06/2019
  4. Fiche de synthèse hydrique sur le site de la banque hydro. Consulté le 14/09/2008.
  5. %2FC140 Fiche géologique de Villebon-sur-Yvette sur le site du BRGM. Consulté le 12/08/2012.
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. «  », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. «  », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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  11. «  », sur meteofrance.fr, (consulté le ).

Toponymie

Villabona au ,.

En 1922 fut ajoutée la référence à la rivière pour distinguer la commune de son homonyme située en Eure-et-Loir.

  1. dans le Cartulaire de l'Abbaye de Longpont-sur-Orge
  2. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
  3. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Cassini

Histoire

Les origines

Des fouilles préventives effectuées aux Sablons pour le percement du tunnel du TGV en 1984 ont mis au jour près de trois cents pièces, outils façonnés et déchets de tailles, datant du Paléolithique supérieur.

Plus tard une Villa-Bona gallo-romaine donnera son nom à Villebon.

Une légende raconte qu’en 451, sainte Geneviève, après avoir protégé Paris de l’avancée des Huns s’arrêta pour se désaltérer dans une source qui porte son nom dans le parc actuel du château.

En 745, le roi Pépin le Bref fit don du fief de Palaiseau à l’abbaye de Saint-Germain-des-Prés. En 815, le recensement établit une population de deux cent quatre-vingt-trois personnes sur le territoire de Villebon. En 992, une bataille se déroula dans la plaine entre La Plesse et Villefeu. Les belligérants étaient Bouchard, comte de Corbeil et vassal de Hugues Capet et de Blois, soutenu par de Normandie. Villebon était alors à la frontière du domaine royal. Jusqu’en 1056, l’histoire de Villebon fut liée à celle de Palaiseau. À cette date, Fromand de Paris devint le premier seigneur de Villebon. C’est son fils, Aszo qui le premier prit le nom de Villabona en 1092, et fit construire une ferme fortifiée sur l’actuel site du château de Villebon-sur-Yvette. Gautier de Villebon fut également seigneur de Villabona, et Hugues, son fils, demanda dans son testament, qu'après la mort de son père, les moines détiendraient la dîme et les sépultures du village (les seigneurs laïques avaient un droit sur les cimetières).

Villebon seigneurie et château
Carte de « Vilbon » d’après Cassini.

En 1474 le domaine de Villebon devint la propriété de la famille de Thou. En 1512, Augustin de Thou fit construire à la place de la demeure existante le petit Château de Villebon-sur-Yvette, de style Renaissance dont subsiste aujourd’hui le pavillon Henri IV. En 1563, Nicolas de Thou, seigneur de Villebon et évêque de Chartres, obtint du roi Charles IX l’établissement d’un marché tous les jeudis et deux foires, le 27 septembre et le 12 novembre, donnant ainsi à Villebon une certaine reconnaissance. En 1587, il fit bâtir une chapelle à Villebon sous l’invocation des saints Côme et Damien.

En 1611, un incendie ravagea le château. Jacques Auguste de Thou confia à Louis Métezeau, architecte du roi Henri IV sa reconstruction, qu’ils ne purent finir. Le domaine fut alors vendu en l’état en 1626 à Potier de Novion, président au parlement de Paris, qui acheva la restauration du château. Son fils, Nicolas Potier de Novion l’agrandit par deux ailes. Le , il obtint de l’archevêque de Paris d’ériger Villebon en paroisse, contre dédommagement au curé de Palaiseau. C’est aussi en 1648 que fut aménagé l’escalier de la rue Daubigny comptant cent soixante deux marches pour gravir la butte Sainte-Catherine. Le s’ouvrit le registre paroissial.

La Révolution française

Le , l’assemblée du tiers état rédige le cahier de doléances. Le , la population élit les membres du conseil général de la paroisse. En 1793, la cour d'appel de Paris décida que l’Yvette sépare les deux communautés de Villebon et de Palaiseau. En 1806, la propriété de Villebon revient au comte Alfred-Félix de Montesquiou-Fezensac qui fait construire le presbytère et l’orangerie du château.

Les temps modernes et l’essor

Le domaine est rapidement revendu en 1832 au baron Laurent-Antoine-Isidore de Nivière, maire de la commune, qui laisse par testament dix mille francs pour en distribuer les intérêts aux familles nécessiteuses. Son fils, Louis, offre en 1855 le terrain qui accueille le nouveau cimetière. Élu maire à son tour, il accorde à quarante-huit familles de Villebon les soins médicaux gratuits. En 1846, Villebon fait l’acquisition d’une pompe à incendie. Le est inaugurée l’école-mairie, actuel conservatoire de musique. En 1864 fut construit le Haras de Villebon et en 1889, la cloche de l’église fut bénie par le père Émile Lapchin, curé de Villebon.

En 1899, installation de l’éclairage au gaz dans les rues et à l’école, suivie en 1906, de l’installation de l’électricité pour l’éclairage et le chauffage privé puis, en 1907, de l’éclairage électrique public. 1912 voit l’attribution d’un facteur-receveur pour la commune de Villebon. L’arrivée des lignes de chemin de fer jusque Paris au début du villégiature pour les Parisiens. De cette époque datent les quartiers Suisses, Bel-Air, Beau-Site et l’expansion de Villebon sur les coteaux de l’Yvette.

Le , la Société Immobilière de l’École de l’Île-de-France, représentée par M. Hawkins, ancien élève de Cambridge achète le château, ses dépendances et les cent hectares de bois et prés alentour pour un million de francs. L’internat, divisé en quatre pavillons regroupant chacun vingt-cinq à trente élèves de sept à dix-huit ans, et deux maîtres accueille les enfants d’officiers français et étrangers tués lors de la Première Guerre mondiale, pour un coût de dix mille francs par an. Ils disposaient de l’électricité, du chauffage central, de l’« hydrothérapie » et du téléphone.

Le est inauguré le monument aux morts. En 1927 est mise en service la gare de Villebon-État sur la ligne Paris - Chartres par Gallardon. Le , un incendie ravage le pavillon Sully et les salles de cours. L’école ferme ses portes. Une nouvelle école, tenue par les frères lazaristes ouvre en 1967 et ferme l’année suivante pour laisser la place à un centre de retraites spirituelles. Aujourd’hui, ce centre partage le domaine avec un collège et lycée privé qui utilisent toujours le nom d’Île-de-France.

En 1922, à la suite de certaines confusions avec la commune de Villebon en Eure-et-Loir, la commune adopte le nom de Villebon-sur-Yvette, en référence à la rivière qui coule sur son territoire.

L’Entre-deux-guerres voit la ville se moderniser, généralisation de l’électricité, du gaz, de l’eau courante et du téléphone, modernisation de gare de Palaiseau - Villebon, construction du groupe scolaire des Casseaux (1931), construction de la chapelle Saint-Sébastien en 1938. Le à 18 h 30, la station d’émission de Villebon-sur-Yvette diffuse son premier programme, un concert.

Durant la Seconde Guerre mondiale, le château est occupé par les Allemands qui en font une kommandantur et un poste de la Waffen-SS. À quelques centaines de mètres de là, Jacques Duclos, dirigeant du PCF clandestin se cache de 1941 à 1944 dans la villa de l’Oasis au hameau de Villiers. Comme la région, la ville est libérée le par la division Leclerc. Durant cette période, deux villebonnaises se sont illustrées et ont été récompensées par le titre de Juste de France, Lucienne Reuter en 1995 et Julie Thelliez en 2002.

En 1961, l’OAS sabote l’émetteur de Villebon mais il est remis en état et complété en 1965 d’une deuxième antenne. En 1969, la commune accueille le départ du prologue de la course cycliste Paris-Nice.

Cette modernisation de Villebon-sur-Yvette se poursuit après-guerre avec la construction du collège Jules-Verne, le développement des parcs d’activités de Courtabœuf et La Prairie, les grands travaux de 1988 avec l’inauguration de l’hôtel de ville par Charles Pasqua, du nouveau centre-ville avec l’école Andersen et de la résidence pour personnes âgées Alphonse-Daudet, du centre sportif Saint-Éxupéry, du centre culturel Jacques-Brel, du conservatoire Erik-Satie et plus récemment, Le Grand Dôme et la zone commercial de Villebon 2.

  1. Jean Lebeuf, , contenant la suite des Paroisses du Doyenné de Châteaufort, vol. 9, 1757, p. 314 et 319
  2. Présentation de l’escalier de la Butte Sainte-Catherine sur le site Topic-Topos. Consulté le 05/07/2008.
  3. Présentation de l’ancienne mairie sur le site Topic-Topos. Consulté le 05/07/2008.
  4. Présentation du monument aux morts sur le site Topic-Topos. Consulté le 05/07/2008.
  5. Présentation de la gare Villebon-État sur le site Topic-Topos. Consulté le 05/07/2008.
  6. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Cassini
  7. Présentation de la station de radiodiffusion sur le site Topic-Topos. Consulté le 05/07/2008.
  8.  6891 sur le site du Comité français pour Yad Vashem. Consulté le 19/02/2008.
  9.  9702 sur le site du Comité français pour Yad Vashem. Consulté le 19/02/2008.

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