Gournay-sur-Marne

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Gournay-sur-Marne : descriptif

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Gournay-sur-Marne

Gournay-sur-Marne (prononcé [ɡuʁ.nɛˈsyʁˈmaʁn] ) est une commune française située dans le département de la Seine-Saint-Denis en région Île-de-France, dans la Métropole du Grand Paris.

Géographie

Située en banlieue parisienne, la commune s’étend sur 1,68 pavillonnaire. Limitrophe de la Seine-et-Marne, sa situation géographique en fait une commune excentrée et presque enclavée de son département de la Seine-Saint-Denis.

Localisation

Gournay-sur-Marne est située à vol d'oiseau à 12 est de la porte de Vincennes, et à 16,8 Paris. Il s'agit de la commune Seine-Saint-Denis située le plus à l'est et au sud.

Communes limitrophes

Gournay-sur-Marne est limitrophe des communes séquano-dionysiennes de Noisy-le-Grand, Neuilly-sur-Marne et Gagny à l'ouest, et seine-et-marnaises de Chelles et Champs-sur-Marne à l'est.

Les limites administratives historiques ont notamment été établies en fonction du cours de la Marne, du ru de Nesles, ou encore du tracé de l'ancienne route nationale 34.

Communes limitrophes de Gournay-sur-Marne
Gagny Chelles Chelles
Neuilly-sur-Marne Gournay-sur-Marne Champs-sur-Marne
Noisy-le-Grand Champs-sur-Marne Champs-sur-Marne

Topographie

Géologie et relief

Gournay-sur-Marne est située sous la séquence de l'unité paysagère de la Plaine de la Marne incluant la rivière et le relief des plaines environnantes, doublée par le canal de Chelles et centrée sur parc départemental de la Haute-Île. Il s'agit d'une séquence assez courte de 5,7 Fontenay-sous-bois, Nogent-sur-Marne et Le Perreux-sur-Marne, et en amont jusqu'à Chelles et Champs-sur-Marne.

La commune fait partie du Bassin parisien, un ensemble géologique d'origine sédimentaire relativement homogène. La sismicité de ville est négligeable mais néanmoins non nulle, puisque classée en zone de sismicité de niveau 1 correspondant à une sismicité extrêmement faible.

L'île de Gournay correspond au premier îlot à gauche des Îles de la Marne.

Le territoire abrite un îlot sableux dénommé île de Gournay et situé sur la Marne, constituant l'archipel des îles de la Marne et situé en amont de la réserve naturelle régionale des îles de Chelles. Sa première apparition dans les ressources cartographiques date du .

Auparavant, il existait une rive sableuse dénommée La Plage de Gournay et surnommée Le Petit Deauville très prisée des Parisiens autour des années 1950, notamment pour le loisir de la baignade et des soirées dansantes de sa discothèque,. De nos jours la baignade y est interdite et le site abandonné depuis 2012 ; la mairie a procédé à sa destruction en 2021,,, et a lancé un appel à projet citoyen quant au devenir de cet espace.

Hydrographie

Le système hydrographique de Gournay-sur-Marne se compose de quatre cours d'eau référencés :

  • la Marne, traverse la commune du nord-est au sud-ouest. D'une distance de 525 kilomètres, elle est la plus longue rivière française, prenant sa source sur le plateau de Langres et se jetant dans la Seine entre Charenton-le-Pont, Alfortville et Ivry-sur-Seine, dans le Val-de-Marne. La baignade en Marne est dangereuse et interdite. Le débit, la vase et les rochers provoquent une dizaine de noyades chaque années sur la commune. Sautant de la passerelle du Moulin, ces victimes sont emportées par le courant de la rivière,,,,. Les mairies de Gournay-sur-Marne et Chelles ont lancé une campagne de sensibilisation à l'été 2021 afin d'endiguer le phénomène, ;
  • le ru de Nesles (environ 3 Champs-sur-Marne. Il s'agit d'un cours d'eau enterré dû à l'urbanisation, qui prenait sa source au bois de Grace pour se jeter dans la Marne au niveau de la passerelle du Moulin, ;
Carte de Delagrive de 1740.
  • le bras Saint-Arnoult (environ 300 Marne devenu un réseau d'eau pluviale délimitant le parc du château et alimenté par le ru de Nesles qui formait un « Y », Voir la carte de Delagrive 1740 ;
  • le canal de Chelles, traverse le nord-ouest de la commune. Situé sur la rive droite de la Marne, il part de Vaires-sur-Marne pour aller jusqu'à Neuilly-sur-Marne sur une distance de 8,8 km.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 .

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,8 amplitude thermique annuelle de 15 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Neuilly-sur-Marne à 3 vol d'oiseau, est de 12,3 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

Statistiques 1991-2020 et records NEUILLY-SUR-M. (93) - alt : 45m, lat : 48°51'37"N, lon : 2°32'58"E
Records établis sur la période du 01-01-1981 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 2,1 1,9 4 6,2 9,8 13,1 15,1 14,7 11,2 8,5 5 2,6 7,8
Température moyenne (°C) 4,9 5,4 8,5 11,5 15,1 18,4 20,7 20,4 16,6 12,7 8,1 5,4 12,3
Température maximale moyenne (°C) 7,7 9 13,1 16,8 20,4 23,8 26,2 26,2 22 16,9 11,3 8,1 16,8
Record de froid (°C)
date du record
−17
17.01.1985
−12,5
08.02.1991
−9,5
13.03.13
−4,3
06.04.21
−0,6
06.05.19
4
04.06.01
7,5
31.07.15
5
30.08.1986
1,5
30.09.18
−4,5
30.10.1997
−8,7
24.11.1998
−8,9
29.12.1996
−17
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
16,6
28.01.02
21,4
27.02.19
26,9
31.03.21
29,9
20.04.18
33,1
27.05.05
38,3
27.06.11
42,5
25.07.19
40,5
12.08.03
36,3
08.09.23
29,7
03.10.11
22,5
08.11.15
18
07.12.00
42,5
2019
Précipitations (mm) 57,7 50,6 51,5 50,2 72,4 62,4 64,4 60,4 52,2 60,5 62,8 76,1 721,2
Source : «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base
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Toponymie

Panneau d'entrée de la ville près de la Marne au niveau de la rue des Prés de Noisy.

Gornaium en 1122, Gornaicum, Gornacum en 1119, Gornaii castrum en 1147,

Voir Gournay-sur-Aronde.

  1. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.

Histoire

Siège de Gournay-sur-Marne en 1107 illustré par Mahiet dans Les Grandes chroniques de France.

La châtellenie royale de Gournay,, constituait un fief important dont dépendait la Queue-en-Brie ; le roi la confia aux Montlhéry-Rochefort : au et sa femme Hodierne de Gometz, fondateurs du prieuré de Longpont en 1031, ont pour fils Guy le Rouge (vers 1055-1108), sénéchal de France, sire de Gournay où il fonde un prieuré (prieuré Notre-Dame) au tout début du Hugues de Crécy (alias Guy de Pomponne), sénéchal de France à son tour, beau-frère du roi Louis Lucienne de Rochefort, sœur d'Hugues, vite répudiée en 1107), hérite de la châtellenie mais il est disgracié pour fait de révolte : la lui retire en 1108 et la donne à son favori, un autre beau-frère d'Hugues, de Garlande (vers 1069-1118), fils de /Adam, sénéchal de France en 1108, mari d'une autre fille de Guy le Rouge, Agnès/Béatrice (Anseau avait peut-être déjà des droits sur Gournay par sa grand-mère paternelle, Eustache de Montlhéry). Leur fille Agnès de Garlande (vers 1112-1143), dame de Gournay, la Queue, Gometz, Rochefort, Croissy-en-Brie, épouse de Montfort, et leur fille Agnès de Montfort, transmet Gournay, La Queue et Croissy à son mari (1104-1166), comte de Meulan. Par leur fils cadet , les Meulan vont posséder Gournay, au moins en partie, jusqu'à Galéran des Mureaux, ce dernier étant un frère cadet d'Amaury Rouvray, d'où postérité), dans le premier tiers du XIVe siècle (pour La Queue-en-Brie, la possession des Meulan court jusque vers 1365).

En fait, dès le suzeraineté capétienne sur la châtellenie : (vers 1125-1188), comte de Dreux, seigneur de Brie-Comte-Robert et de Chilly, fils cadet de Louis La Queue-en-Brie) qu'il devait sans doute à la faveur paternelle ou à son premier mariage avec Agnès de Garlande, veuve d'Amaury Crécy-en-Brie, Torcy..., aux Dreux). Ces droits passent aux Dreux-Bretagne (Mauclerc, fils puîné de Robert Alix de Bretagne (1243-1288 ; fille du duc Jean de Châtillon, mort vers 1280, comte de Blois et de Chartres : parents de Jeanne de Blois-Châtillon, comte d'Alençon, fils de , sans postérité survivante. On trouve ensuite la reine Jeanne d’Évreux (vers 1310-1371 ; dame de Brie-Comte-Robert et de Gournay ; femme de le Bel, fille de Marguerite d'Artois, elle-même fille de Blanche de Bretagne, une fille du duc et une petite-fille du duc Jean engagé au sieur Le Picard, conseiller au Parlement. Leur fille Blanche de France (1328-1393) transmet à son mari Philippe, duc d'Orléans (1336-1375), frère cadet de Jean le Bon.

Le couple d'Orléans resté sans postérité, la Couronne hérite et , petit-fils de Jean le Bon, donne Gournay avant 1385 à son chambellan Bureau de La Rivière, , fils de Charles  lui donne en 1466 le domaine de Torcy. Gournay, avec Gonesse et Crécy, échoit alors au comte de Dammartin (1408-1488), et après lui son fils Jean de Chabannes-Dammartin (mort vers 1503 ; neveu du Grand-maître Jacques de La Palice). On trouve ensuite comme sire de Gournay(-en-France) René Piquet de Bussy, mort avant 1529, sire de Lamorlaye par don de son cousin Jacques de Galles en 1522 (les comtes de Dammartin, dont les Chabannes-Dammartin, furent longtemps seigneurs de Lamorlaye, et c'est sans doute Jean de Chabannes qui vendit Lamorlaye à la famille de Galles après 1494 ; Gournay a probablement suivi le même sort, passant aux Galles puis aux Bussy). Dans la suite du puis ses successeurs engagent Gournay à Antoine du Bois, évêque de Béziers, environ de 1530 à 1534 ; à Nicolas Le Jay, maître des Comptes ; à Pierre du Griffon en mai 1556 ; G. Le Jars achète au roi en 1577 la tour seigneuriale, pour être démolie.

Une maladerie ou léproserie de Gournay est installée à Champs sur Marne.

Gournay passe à la famille Lallemant/Alaman(t)/Alamand de Guépéan en janvier 1596. Jacques Pylle, conseiller du roi, maître des Comptes, est seigneur-châtelain de Gournay en 1633, et sa dalle tumulaire conservée en l'église Saint-Arnoult de Gournay est datée de 1638. Étienne Levassor, chevalier, secrétaire du roi, est seigneur-châtelain de Gournay : sa dalle est datée de 1663 ; en 1680, le seigneur Louis Ancelin (fils du maître d’hôtel du roi Étienne Ancelin, et de la nourrice de Louis Roi-Soleil) fait édifier le château de Gournay (l'actuel hôtel de ville, dominant la Marne) : Louis Ancelin était seigneur de Gournay du chef de sa femme Marie Levassor, fille d'Étienne, qui vendit en 1706/1720 Gournay au financier Paul Poisson de Bourvallais, seigneur de Champs en 1703. Puis Elisée de Court (1666-1752), vice-amiral, devint seigneur de Gournay. Également au duc de La Vallière Louis-César est seigneur de Gournay en partie (seigneurie secondaire) et de Champs (alias la vicomté de Gournay, qu'il vend en 1763 à Gabriel Michel)

. La Goulette de la Maréchale est l'endroit du passage des bateaux sur la rivière devant le château en 1694.

Gournay était le siège d’une prévôté royale, quartier général d’ qui y commanda le siège de Paris au temps de la Ligue. En , Henri fit construire le fort de Pille-Badaud, ou Bride-Badaud, dans l'île de Gournay, pour mieux assiéger la capitale rebelle en entravant son ravitaillement.

En fait, Gournay a toujours été considéré comme le plus important lieu de passage de la Marne entre Lagny et Charenton. D’ailleurs jusqu’au XVIe siècle, le roi et les plus grands seigneurs se sont disputé sa possession, soit pour défendre Paris, soit pour l’attaquer. L’importance stratégique de Gournay-sur-Marne à travers les âges s’explique par la présence dans le lit de la Marne entre le vieux moulin de Chelles et l’actuelle mairie de Gournay-sur-Marne d’une plate-forme naturelle formant un gué d’environ un kilomètre et constituant le passage le plus propice en eau normale entre Lagny et Paris.

Gournay était réputée, dans l'entre-deux-guerres, pour ses guinguettes. Sa « plage naturelle » sur la Marne était recherchée par les Parisiens qui embarquaient au pont de Charenton pour se rendre au « Dauville parisien ».

Le quai de Chétivet et ses restaurants, hôtels, guinguettes, sur la rive droite de la Marne, le plus ancien établissement affichant « Fondé en 1780 ». Tram et train desservaient ce lieu de baignade et de divertissements.

  1. «  », sur Histoire du diocèse de Paris, t. XV, par l'abbé Jean Lebeuf, chez Prault père, à Paris, 1758.
  2. «  », sur Société historique de Noisy-le-Grand, Gournay, Champs-sur-Marne.
  3. «  », sur Montjoye.net, 2020.
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  6. lemarneux, «  », sur Blog de l'association Riverains bords de Marne CHELLES 77500 (consulté le ).
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  9. Jean-Paul Kauffmann, Remonter la Marne, Fayard, 2013, éd. Le Livre de Poche, p. 44, qui cite Maryse Rivière, Le roman de Gournay, Liv'Éditions, 2008.
  10. Les restaurants du Quai de Chétivet à Gournay-sur-Marne.
Héraldique
Blason officiel de la ville de Gournay-sur-Marne.

D’azur au pont d’or posé sur une champagne ondée d’argent chargée d’un poisson d’azur, le pont surmonté d’un écu posé en abîme d’argent à deux bandes d’azur accompagné en chef de deux fleurs de lys d’or. L’écu timbré de la couronne murale à trois tours crénelées d’or, maçonnée et ouverte de sable, est soutenu par deux branches de chêne d’or, retenant un listel aussi d’or chargé de la devise « PER PONTEM AD FORTUNAM » en lettres romaines de sable et issant de chardons d’argent fleuris d’azur, posés en pointe, et d’une navette d’or brochant sur le tout. Blason- Les deux fleurs de lys marquant le siège d’une ancienne prévôté royale et aussi son appartenance à l'Île-de-France l’écu posé en abîme est aux armes de Jacques PYLLE, l’un des seigneurs de Gournay ; le pont évoque le pont de Gournay-sur-Marne, et le poisson concrétise cet affluent, très poissonneux.

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