Wormhout
Localisation
Wormhout : descriptif
- Wormhout
Wormhout [wɔʁmut] est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.
Géographie
Situation
Wormhout est située dans le Houtland, à 21,6 Bray-Dunes, 24,5 Bailleul, 24,6 Gravelines et 32 Estaires.
La commune est traversée par deux cours d'eau, la Peene Becque et l'Yser. Le nom de la Peene se retrouve en Saxe allemande, cf. Peenemünde (embouchure de la Peene).
Communes limitrophes
Environnement
Jusqu'avant la Première Guerre mondiale, les environs de Wormhout et de l'Yser étaient embocagés et abritaient une faune et flore probablement bien plus riche qu'aujourd'hui.
François Joseph Grille d'Angers, dans sa description du département en 1925, décrit les abords de l'Yser à Wormhout, comme « vraiment enchanteurs et, quand on passe en ce pays dans l'arrière saison, on est surpris d'y voir encore la terre parée de ses fleurs les plus belles. Les plantes s'endurcissent avec le climat, et elles résistent plus long-temps dans le Nord à une température alternativement humide et froide, qu'elles ne le feraient dans le Midi. En approchant de Wormhout, notamment du côté de Cassel, on respire un air embaumé qui sort des jardins, des vergers, des parterres et des bocages. De ce village à Bergues, et dans tous ces cantons, on trouve des haies formées d'épines (Aubépine, Prunellier) entrelacées, vives, mais étroites, et qui ne prennent que très-peu de terrain. On n'a que rarement des murs pour entourer les héritages, les haies suffisent dans les plus riches domaines, et cette espèce de clôture, plus riante que l'autre, ajoute encore à l'agrément du pays. Les maisons portent sur leur toit la date de leur construction ; les barrières, les arbres mêmes, ont souvent un chiffre qui indique l'année de leur plantation, tant on aime, dans ces contrées, à se rendre compte de tout et à tenir en règle ses moindres affaires ! »
Les bocage a fortement reculé entre les deux guerres puis après la Seconde Guerre mondiale avec les remembrements et la progression des cultures sur les herbages.
L'Yser fait l'objet d'un contrat de rivière. Elle est un des éléments de la trame verte régionale et doit, dans le cadre du SDAGE, avant 2015 respecter des objectifs de qualité (« bon état écologique des eaux et du bassin versant »), selon la Directive cadre sur l'eau.
Une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) appelée « Prairies humides de Wormhout » est située au pont de Wylder.
Hydrographie
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par l'Yser, la Peene Becque, la Zermezeele Becque, la Becque d'Oudezeele Land Becque, la Kluythouck Becque, la Résidence le Steenhouck et l'Hooghe Huis,,.
L'Yser est un cours d'eau transfrontalier franco-belge, d'une longueur de 70 Buysscheure. Il s'écoule vers la Mer du Nord, en traversant les Flandres française et belge, et s'y jette à Nieuport en Belgique, dans un estuaire très artificialisé. Les caractéristiques hydrologiques de l'Yser sont données par la station hydrologique située sur la commune. Le débit moyen mensuel est de 1,9 . Le débit moyen journalier maximum est de 57,129 novembre 202 166,7 .
La Peene Becque, d'une longueur de 24 Cassel, à 86 m d'altitude, et se jette dans l'Yser sur la commune, à 6 m d'altitude, après avoir traversé dix communes.
La Sale Becque, d'une longueur de 14 Hardifort et se jette dans l'Yser à Herzeele, après avoir traversé quatre communes.
Un plan d'eau complète le réseau hydrographique : l'étang des Trois Sources (0,5 ,.
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Yser ». Ce document de planification concerne un territoire de 381 bassin versant de l'Yser en France. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'Union syndicale d'aménagement hydraulique du Nord (USAN).
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité.
Climat
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 .
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 amplitude thermique annuelle de 14,1 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Steenvoorde à 11 vol d'oiseau, est de 11,2 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
- Description du département du Nord Par François Joseph Grille (d'Angers) paris, Ed. Sazerac & Duval, 1825-1830 (livre commencé en 1824)
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Toponymie
Woromhold fin du siècle.
Le nom de lieu serait l'association de l'anthroponyme germanique Worm- avec le mot flamand hout « bois » qui rappelle qu'autrefois la Flandre (française) était boisée.
Maurits Gysseling propose le germanique wurmi- signifiant « ver » et « serpent » et hulta- signifiant « bois », devenu holt puis hout en flamand. Ce serait donc le « bois des serpents » ou le « bois des vers ». Une vieille légende citée par Louis De Baecker parle d'un sorcier qui aurait débarrassé la région des serpents.
Noms de lieux-dits
L'Ancre, Leeste Straee, La Belle Vue, La Creulle, Le Rietveld, Le Bracard, Le Coucou, Le Siècle.
Le lieu-dit Hooghe Huis est la zone de confluence de la Peene becque et de l'Yser.
- , Toponymisch Woordenboek van België, Nederland, Luxemburg, Noord-Frankrijk en West-Duitsland (vóór 1226), Tongres, Belgisch Interuniversitair Centrum voor Neerlandistiek, (lire en ligne).
Histoire
Avant 1789
Sous le sol de Quaëdypre, Bergues et de Wormhout, ont pu être retrouvés à l'état de fossiles des restes de pachyderme (éléphant ou mammouth) de même type que ceux retrouvés à Arques et datant de la préhistoire.
Une toute première installation humaine à Wormhout existait au Attila et les Huns dévastent Bergues, alors appelée Groenbergh et plusieurs villes et villages de la région, Arras, Thérouanne, Tournai, etc., ainsi que Wormhout, Esquelbecq, avant de se diriger vers Amiens et Paris.
La première mention connue de Wormhout date de la fin du siècle dans le cartulaire de l'abbaye de Sithiu, actuellement Saint-Omer. Elle indique la donation faite par un homme de bien nommé Heremarus. Celui ci obtient de saint Bertin que saint Winoc et ses compagnons Quadanoc, Ingenoc et Madoc, alors présents à Bergues, viennent édifier un monastère et un hospice pour les pauvres, malades, pèlerins sur des terrains lui appartenant. Il s'agit d'un domaine nommé Woromhold sur lequel Winoc édifie un monastère vers 695 sur les bords de la Peene Becque.
Winoc crée des bâtiments sur le modèle de ceux de l'abbaye de Saint-Bertin de Saint-Omer. Il y meurt le . Enterré dans l'église du monastère, son tombeau attire des dévotions, voire des miracles.
Le monastère dura environ deux cents ans, il suivait la règle de saint Benoît. À l'approche des Vikings, vers 846, le corps de saint Winoc fut transporté à l'abbaye de saint-Bertin. Saint Folquin, évêque de Thérouanne l'enterra avec les autres précieuses reliques de l'abbaye pour les cacher.
Le monastère, déjà ravagé par les Normands lors des précédentes invasions fut totalement détruit par les Vikings en 881> et rebâti à Bergues-Saint-Winoc.
Les moines survivants allèrent à Bergues tandis que le comte de Flandre Baudouin II fit réédifier une église sur l'emplacement de l'ancienne sépulture de Winoc aux alentours de 900.
Wormhout dépendait de la châtellenie de Bergues.
Le comté de Wormhout est créé en 1067. L'un des moulins de Wormhout est mentionné dans une charte de 1183 accordée par Philippe d'Alsace en faveur de l'abbaye Saint-Winoc de Bergues. En 1196, le pape , à la demande de Philippe, abbé de Bergues confirme au monastère plusieurs privilèges dont la possession de l'autel de Wormhout. Et en 1201, Robert et Guy, chanoines de Reims, (Wormhout était dans le diocèse de Thérouanne, lui-même soumis à l'autorité de l'archevêque de Reims), confirment à l'abbaye de Bergues la possession de la menue dîme (dîme en principe réservée au curé de la paroisse) de Wormhout, à laquelle le curé de la paroisse Walter avait renoncé. Entre 1208 et 1218, un litige (lié à l'affaire de la menue dïme?) s'élève entre l'abbaye et le nouveau curé Chrétien à propos d'une terre située à Wormhout et revendiquée par les deux : on désigne des arbitres (des ecclésiastiques de Furnes et le curé de Ramscapelle) pour trancher le conflit.
Du point de vue religieux, la commune était située dans le diocèse de Thérouanne puis dans le diocèse d'Ypres, doyenné de Bergues.
En 1512, Jacques de Wilgiers, prévôt (prêtre) de Wormhout devient abbé de saint-Winoc.
En 1566,l'église est saccagée par les Gueux. Elle est reconstruite en 1578 et restaurée en 1629 par Charles d'Argenteau, .
En 1663, le roi d'Espagne, souverain des Pays-Bas, Philippe IV, accorde à la paroisse le droit de tenir deux foires franches (non soumises à certaines taxes et de ce fait très favorables aux échanges).
Par la paix d'Aix la Chapelle en 1668, Wormhout devient définitivement française.
En 1730, Jean Baptiste van Wormhoudt, procureur (rôle judiciaire) à Bourbourg, époux de Constance Germain, achète un fief dit Wailly, dans la châtellenie de Bourbourg. En 1738, le châtelain de Bourbourg, Eugène Éléonore de Béthisy, le nomme bailli du fief Wythof, bien central de la châtellenie. En 1767, le fief de Wailly passe à son fils également dénommé Jean Baptiste, ancien échevin (membre de l'administration municipale) et greffier aux partages (rôle judiciaire) de Bourbourg. Le même, en 1777, est cité comme renouvelant son serment de foi et loyauté à l'occasion de l'avènement de son nouveau seigneur, le propriétaire foncier de la seigneurie principale de la châtellenie, propriétaire qui n'est autre que le roi de France Louis XVI.
Ce Jean Baptiste est également détenteur d'un autre bien dans la même châtellenie en 1766, date à laquelle il est échevin (membre de l'administration municipale) puis vicomte (poste avec fonctions juridiques) de Bourbourg. Ce second bien passera à son fils Thomas Jean Louis van Wormhoudt, conseiller pensionnaire (conseiller juridique) de Dunkerque.
Le 20 novembre 1855, on découvre à Wormhout un petit pot en terre contenant 350 pièces d'argent. Cette trouvaille est faite, à proximité de l'emplacement de l'ancienne abbaye, dans une pièce à labour, touchant au chemin de Steenvoorde. La plupart des pièces sont des gros (gros) de Flandre frappés sous le comte de Flandre Louis de Male au siècle mais également des pièces qui paraissaient être des esterlins du roi d'Angleterre Édouard III qui prit Calais en 1347 (Siège de Calais (1346-1347). À cette époque, les monnaies anglaises étaient en vogue en Flandre et les monnaies flamandes les imitaient souvent.
Après 1789
Au moment de la Révolution française, Pierre Corneille Blanckaert est curé de Wormhout depuis 1761 et doyen du district en 1781. Lors du rassemblement des représentants de la noblesse, du clergé , du tiers-état, à Bailleul, en vue de désigner des représentants aux États généraux de 1789 pour le bailliage de Bailleul, il est un des deux représentants choisis par le clergé, l'autre étant le curé de Blaringhem. Il refuse le mandat, au motif de son âge avancé (né à Zegerscappel en 1724, il a 65 ans) et de son mauvais état de santé. Il a été remplacé par l'évêque d'Ypres, qui fut refusé lors de la vérification des pouvoirs des délégués au motif qu'il n'était pas français. Finalement le curé de Terdeghem Van Den Bavière alla à Versailles. Le curé de Wormhout va refuser de prêter le serment exigé par la constitution civile du clergé, et va s'exiler de l'autre côté de la frontière en décembre 1791, il devient ainsi un émigré. Il meurt en 1799 à Bruges. Il a laissé un manuscrit en flamand sur les évènements de la période. Le document reflète l'état d'esprit de plusieurs membres du clergé de la Flandre maritime face à la Révolution.
En août septembre 1793, Wormhout connut le passage et l'affrontement de troupes françaises et alliées coalisées contre la France dans le cadre de la bataille de Hondschoote qui permit de lever le siège de Dunkerque fait par les Anglais. Les combats des 6 et 7 septembre 1793 semblent avoir provoqué de gros dégâts dans la commune.
Wormhout est la patrie de naissance de Jacques-Joseph Schelle, évêque constitutionnel du Nord en 1800-1801.
Après la Révolution française, sous le premier Empire, se tient chaque année à Wormhout un franc marché (marché où les ventes sont dispensées de taxes) aux bestiaux en prairial (juin), messidor (juillet) et fructidor (septembre).
En 1806, Wormhout compte onze moulins.
En 1812, Laurent-Ch. De Breyne, natif de Wormhout, conduisit son régiment à Moscou.
Le dimanche 29 août 1858, la commune organise une journée de fête de bienfaisance, avec notamment un concert de musique, dans l'objectif de réunir des fonds pour fonder un hospice et une salle d'asile.
Vers 1910, un chemin de fer de Herzeele à Saint-Momelin, passe par les villages, alors généralement dotés d'une gare, Wormhout, Esquelbecq, Zegerscappel, Bollezeele, Merckeghem, Volckerinckhove-Broxeele, Lederzeele, Nieurlet.
Pendant la première guerre mondiale, en avril 1915, Wormhout est désignée comme commune de repli et de repos pour des troupes retirées du front d'Ypres. Les soldats sont acheminés en autobus en provenance de Woesten. Les chevaux et le fourgon de l'état-major de la ,. La halte y est de courte durée, les soldats embarquent rapidement à la gare de Bergues dans un train qui les amène à Pernes, d'où ils sont dirigés vers La Thieuloye (ce genre de changement de lieu de combat avait fréquemment lieu après quelques semaines ou mois) et autres localités proches.
Wormhout fait partie en 1917 d'un commandement d'étapes basé à Quaëdypre, c'est-à-dire un élément de l'armée organisant le stationnement de troupes, comprenant souvent des chevaux, pendant un temps plus ou moins long, sur les communes dépendant du commandement, en arrière du front. Wormhout a donc accueilli des troupes de passage. La commune a également fait partie du commandement d'étapes installé à Rexpoëde ou encore en 1917-1918 de celui ayant son siège à Bergues.
La ville est occupée en 1940 par les Allemands lors de la Seconde Guerre mondiale et libérée en 1944.
Les Waffen-SS de la Leibstandarte mené par Sepp Dietrich, qui participent à l'invasion des Pays-Bas, de la Belgique et de la France en mai-juin 1940, passent par Wormhout. Le 28 mai 1940, a lieu l'évènement connu depuis comme le massacre de Wormhout.
La reddition de la poche de Dunkerque a été signée à Wormhout par le vice-amiral Frisius, trois jours après la reddition de l'Allemagne en 1945.
Fêtes de Wormhout
Le programme pour 1888 de la fête du village prévoit plusieurs jours de festivités :
- Dimanche 1er juillet 1888 : grand festival d'harmonies et de fanfares avec primes remises aux sociétés/ Tir à la cible chinoise (sur ombres chinoises?) par les compagnies de sapeurs pompiers avec prix / Tir à la perche organisé par la société de Saint Sébastien avec le concours de la municipalité.
- Lundi 2 juillet : jeux populaires/ Concours de chant sur l'estrade/ Tir à la carabine Flobert (sur grille horizontale).
- Mardi 3 juillet : concert donné par la fanfare communale/ Le soir feu d'artifice et retraite aux flambeaux.
- Dimanche 8 juillet (raccroc de la ducasse) : séance donné par la société de gymnastique de Dunkerque/ Concert par la fanfare municipale.
- Mémoire de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, 1866-1867, douzième volume, p. 59-60, lire en ligne.
- Charles Delaroière, « Chronique de Bergues-Saint-Winoc », dans Mémoire de la société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, Années 1860-1861, lire en ligne.
- Charles Mériaux, « Bretons et « Normands » entre Somme et Escaut pendant le haut Moyen Âge », dans Bretons et Normands au Moyen Âge, Presses universitaires de Rennes (ISBN , lire en ligne), p. 19–33.
- Piers 1833, p. 3.
- Piers 1833, p. 4.
- Piers 1833, p. 5.
- Alphonse Wauters, Table chronologique des chartes et diplômes imprimés concernant l'histoire de la Belgique, 10 volumes en 11 tomes, Bruxelles, 1866 à 1904.
- Wauters, Tome VII, 1re partie, Année 1201.
- Wauters, Tome VII, 1re partie, Années 2008-2018.
- Mémoire de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, 1862-1864, neuvième volume, p. 65, lire en ligne.
- Piers 1833, p. 93.
- Georges Dupas, Seigneuries et seigneurs de la châtellenie de Bourbourg, Coudekerque-Branche, Galaad Graal, , p. 44 - 153 - 211.
- Dupas 2001, p. 172.
- Louis Cousin, « Notice sur une découverte de médailles à Wormhout », dans Mémoire de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, Année 1856, p. 352 à 355, lire en ligne
- Abbé L. Harrau, Edmond-Louis Blomme, « Le manuscrit de M. P.-C. Blanckaert, curé-doyen de Wormhoudt », dans Bulletin Union Faulconnier, tome V, Dunkerque, 1902, p. 191-197, lire en ligne.
- Commandant Lévy, La défense nationale dans le Nord en 1793 (lire en ligne), p. 79 et suivantes.
- Commandant Lévy, La défense nationale dans le Nord en 1793, Dunkerque, (lire en ligne), p. 475.
- Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. ix, lire en ligne.
- Raymond de Bertrand, « Monographie de la rue David d'Angers à Dunkerque », dans Mémoire de la société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, Années 1858-1859, p. 333, lire en ligne.
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- wikipedia de : Massaker von Wormhout
- Journal de Bourbourg et de Gravelines no 326 du 8 mai 1888
Héraldique
|
Les armes de Wormhout se blasonnent ainsi : « D'or au lion de sable armé et lampassé de gueules ». |
- ville de Wormhout
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