Liverdun
Localisation
Liverdun : descriptif
- Liverdun
Liverdun est une commune française de l'agglomération de Nancy située dans le département de Meurthe-et-Moselle (54) et la région Grand Est
L'astéroïde (18637) Liverdun porte le nom de la commune.
Géographie
Localisation
Liverdun est située entre Nancy, Pont-à-Mousson et Toul.
Le village médiéval surplombe les boucles de la Moselle, paysage remarquable et protégé en tant que site naturel inscrit depuis 1967.
D’après les données Corine land Cover, le ban communal de 2 527 hectares comprend en 2011, seulement moins de 10 % de terres arables et de prairies, près de 64 % de forêt, 5 % de surfaces en eau et 11 % de zones industrielles et urbanisées.
Le territoire est arrosé par la Moselle et sa canalisation.
La commune est desservie par la route départementale Jaillon à l'ouest, vers Marbache au nord-ouest et vers Champigneulles au sud.
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de dix communes.
Hydrographie
La commune est dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la Moselle et la Moselle canalisée,.
La Moselle, d'une longueur totale de 560 kilomètres dont 314 kilomètres en France, prend sa source dans le massif des Vosges au col de Bussang et se jette dans le Rhin à Coblence en Allemagne.
La Moselle canalisée est un canal, chenal non navigable de 135 km qui relie la commune de Dieulouard à celle de Kœnigsmacker où il se jette dans la Moselle.
Climat
En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 .
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,8 amplitude thermique annuelle de 16,7 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nancy-Essey », sur la commune de Tomblaine à 14 vol d'oiseau, est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 746,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,1 ,,.
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés et gérés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée.
Dans ce cadre, la commune fait partie de deux espaces protégés :
- le Saut du cerf, terrain acquis (ou assimilé) par le Conservatoire d'espaces naturels de Lorraine ;
- le Saut du cerf - parcelle en maitrise d'usage, terrain géré (location, convention de gestion) par le Conservatoire d'espaces naturels de Lorraine.
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend trois ZNIEFF de type 1 :
- les pelouses du Saut du Cerf à Liverdun ;
- la forêt de Chenot-Hazotte ;
- le marais des étroits prés à Aingeray ;
et une ZNIEFF de type 2 : le plateau de Haye et le bois L'Évêque.
Espèces faunistiques et floristiques
L’Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) recense plusieurs espèces faunistiques et floristiques sur le territoire de la commune dont certaines sont protégées et d’autres menacées et quasi-menacées.
La commune, riche en biodiversité, est l'hôte de plusieurs espèces menacées à l'échelle régionale, nationale, voire mondiale.
Faune menacée
On retrouve à Liverdun les espèces animales menacées suivantes (seules les données postérieures à 2000 sont prises en compte):
Liste rouge Monde
- l'Anguille d'Europe (Anguilla anguilla), en danger critique d'extinction (CR), très affectée par la pollution des eaux.
- la Carpe commune (Cyprinus carpio), vulnérable (VU).
Liste rouge Europe
- le Martin-pêcheur d'Europe (Alcedo atthis), vulnérable (VU).
Liste rouge France
- le Goéland cendré (Larus canus), en danger (EN).
- la Linotte mélodieuse (Carduelis cannabina), vulnérable (VU).
- le Chardonneret élégant (Carduelis carduelis), vulnérable (VU).
- le Verdier d'Europe (Carduelis chloris), vulnérable (VU).
Flore menacée
On retrouve à Liverdun les espèces végétales menacées ou quasi menacées suivantes (seules les données postérieures à 2000 sont prises en compte) :
Liste rouge France
- le Séneçon des cours d'eau (Senecio sarracenicus), en danger (EN), menacé par la canalisation de la Moselle et l'artificialisation de ses berges, et par conséquent en importante régression. Senecio sarracenicus ne se retrouve en France qu'exclusivement dans la vallée de la Moselle, et donc uniquement en Lorraine,.
Liste rouge Lorraine
- la Renoncule à feuilles de platane (Ranunculus platanifolius), vulnérable (VU),.
- l'Euphraise jaune (Odontites luteus), quasi menacée (NT),.
- l'Aster amelle (Aster amellus), quasi menacé (NT),.
- l'Orobanche du thym (Orobanche alba), quasi menacé (NT),.
- la Laîche de Haller (Carex halleriana), quasi menacée (NT),.
Aires protégées
On retrouve sur le territoire de la commune quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF), abritant des espèces rares, protégées, ou patrimoniales. Seules les espèces dont des observations ont été faites postérieurement à l'année 2000 sont listées ici.
Pelouses du Saut du Cerf
Située sur un coteau sec surplombant la vallée de la Moselle, à l'ouest de la commune, cette ZNIEFF de 7,75 hectares, remarquable par ses pelouses calcaires, abrite de nombreuses espèces protégées ou peu communes.
= Espèces déterminantes =
Les espèces déterminantes sont celles qui justifient le classement et la protection du Saut du Cerf en tant que ZNIEFF, elles sont au nombre de 23 (22 si sources postèrieures à 2000).
Parmi elles, on retrouve plusieurs espèces de reptiles comme la Vipère aspic (Vipera aspis), la Coronelle lisse (Coronella austriaca), la Couleuvre Couleuvre à collier (Natrix natrix), et l'Orvet fragile (Anguis fragilis).
Les pelouses du Saut du Cerf sont également riches en lépidoptères (papillons) comme l'Hespérie du Brome (Carterocephalus palaemon), l'Eupithécie distinguée (Eupithecia insigniata), le Flambé (Iphiclides podalirius), l'Ophiuse de la Vesce (Lygephila viciae), l'Azuré bleu-céleste (Lysandra bellargus), la Mélitée du plantain (Melitaea cinxia), la Mélitée orangée (Melitaea didyma), la Mélitée des centaurées (Melitaea phoebe), l'Azuré des coronilles (Plebeius argyrognomon), le Thécla de l'amarel (Satyrium acaciae), et le Thécla du prunier (Satyrium pruni).
On y trouve également des espèces d'orthoptères déterminantes comme le Criquet des genévriers (Euthystira brachyptera) et la Decticelle grisâtre (Plactycleis albopunctata).
Enfin, la flore y est également remarquable puisqu'on y trouve l'Aster amelle (Aster amellus), la Laîche de Haller (Carex halleriana), la Saxifrage granulée (Saxifraga granulata), et le Chêne pubescent (Quercus pubescens).
= Autres espèces remarquables =
On trouve dans les pelouses du Saut du Cerf, entre autres, de nombreuses espèces végétales peu ou assez peu répandues en Lorraine comme l'Euphraise jaune (Odontites luteus), le Galéopsis à feuilles étroites (Galeopsis angustifolia), l'Orpin blanc (Sedum album), le Mélampyre des champs (Melampyrum arvense), l'Orobanche du thym (Orobanche alba), la Polygale du calcaire (Polygala calcarea), la Globulaire allongée (Globularia bisnagarica), l'Anémone pulsatille (Anemone pulsatilla), ainsi que plusieurs espèces d'orchidées comme l'Orchis bouc (Himantoglossum hircinum) et l'Orchis pourpre (Orchis purpurea),.
Forêt de Chênot-Hazotte
Située sur les hauteurs de la route de Pompey, et d'une surface de 99,61 ha, la ZNIEFF de la forêt de Chênot-Hazotte est partagée entre Pompey et Liverdun. Ainsi, seul un cinquième de sa surface environ est située sur le territoire de la commune. De fait, il est possible que les espèces listées ci-dessous ne soient pas localisées directement à Liverdun, mais dans un écosystème situé en partie sur son territoire.
= Espèces déterminantes =
Les espèces déterminantes sont celles qui justifient le classement et la protection de la forêt de Chênot-Hazotte en tant que zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF). Elles sont au nombre de 19.
Parmi elles, on retrouve de très nombreuses espèces de chiroptères (chauve-souris), comme la Sérotine commune (Eptesicus serotinus), le Murin de Bechstein (Myotis bechsteinii), le Murin de Brandt (Myotis brandtii), le Murin à oreilles échancrées (Myotis emarginatus), le Grand murin (Myotis myotis), le Murin à moustaches (Myotis mystacinus), le Murin de Natterer (Myotis nattereri), la Noctule commune (Nyctalus noctula), et la Pipistrelle commune (Pipistrellus pipistrellus).
On y trouve également six espèces déterminantes d'oiseaux: le Grimpereau des bois (Certhia familiaris), le Pic mar (Dendrocops medius), le Pic noir (Dryocopus martius), le Rougequeue à front blanc (Phoenicurus phoenicurus), le Pouillot siffleur (Phylloscopus sibilatrix), et le Bouvreuil pivoine (Pyrrhula pyrrhula).
Enfin, trois espèces de plantes sont recensées, qui sont l'Amélanchier à feuilles ovales (Amelanchier ovalis), la Laîche de Haller (Carex halleriana), et le Chêne pubescent (Quercus pubescens).
- « », sur sigesrm.brgm.fr (consulté le ).
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- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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- Pôle lorrain du futur Conservatoire Botanique National du Nord-Est, Liste rouge régionale de la flore vasculaire de Lorraine, (lire en ligne).
- E. MILAZZO
- COMITE Z.N.I.E.F.F.LORRAINE: DARDAINE,.- 410006909, PELOUSES DU SAUT DU CERF A LIVERDUN.- INPN, SPN-MNHN Paris, 17P. https://inpn.mnhn.fr/zone/znieff/410006909.pdf
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- COMITE Z.N.I.E.F.F.LORRAINE: DARDAINE,.- 410015852, FORET DE CHENOT-HAZOTTE. -INPN, SPN-MNHN Paris, 12P. https://inpn.mnhn.fr/zone/znieff/410015852.pdf
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Toponymie
Attestations anciennes
Le nom de la localité est attesté sous les formes Liberdunum en 894 / 984 ; Burgum de Liverduno en 1108-1127 ; Leverdun en 1274 ; Luverdun en 1334 ; Luverdunum en 1402 ; Leverdung en 1500 ; Lubverdun en 1542 ;Luverdhung en 1550 ;Liverdung en 1551 ; Luverdung en 1571.
Etymologie
Il s'agit d'une formation toponymique gauloise ou gallo-romaine en -dunum (comprendre gaulois dunon) « forteresse » puis « colline, mont » ; Liverdun est effectivement située sur une hauteur dominant la Moselle. Le premier élément Liver (< Liber-) est plus obscur, peut-être du nom de personne latin Liber.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN ), p. 406b
- Henri Lepage, Dictionnaire topographique du département de la Meurthe, Paris, 1862, p. 76 (lire en ligne sur DicoTopo) [1]
Histoire
Préhistoire et antiquité
Même si les traces archéologiques les plus anciennes sont aujourd'hui enfouies sous les murs et les rues de la vieille ville (tout comme à Toul), la présence humaine sur le ban communal de Liverdun est soupçonnée ou attestée en de multiples lieux (Bois de Natrou, lieu-dit la Garenne, Ru(pt) Chaudron) à différentes époques.(Age du fer, époque romaine et Moyen Âge)
H. Lepage cite notamment la découverte, au lieu-dit Châtillon ou Chatrons, d'un tumulus et de tombes mérovingiennes dont un sépulcre a été donné au musée lorrain de Nancy
Moyen Âge
Le premier acte authentique confirme une donation de la ville par Othon 1er à l’évêché de Toul en 960. L'historien Henri Lepage esquisse une histoire rapide de la commune à partir de la reprise du site castral : « Au siècle, le château, qui existait déjà et qui se trouvait alors bâti à l'extrémité nord de la ville, était abandonné et en ruines depuis longtemps même, il servait de retraite aux bandits qui désolaient la province. L'évêque de Toul, Pierre de Brixey, voulant remédier à cet état de choses, rétablit la forteresse et l'agrandit en bâtissant au sud du château, une enceinte nouvelle comprenant tout le petit plateau bordé d'escarpements. », qui se conclut par la destruction du château en 1467 et il précise :« La forteresse, à la suite de ce désastre, ne fut point relevée, quoique, dans la suite, Louis XIII eut donné l'ordre de la rebâtir; mais on n'a ni réparé, ni entretenu les importants débris du Moyen Âge restés debout. » Liverdun a été la résidence d'été des évêques de Toul.
Époque moderne et contemporaine
Par le Traité de Liverdun () Nancy, capitale du duché de Lorraine, est menacée directement par les Français ; le duc Charles IV doit signer de nouveau un traité, traité de Saint-Germain-en-Laye (1641) avec le roi Louis XIII. Ce dernier rend les principales places occupées mais le duc doit céder au roi, pour quatre ans, les villes de Stenay, Dun-sur-Meuse, Jametz et Clermont-en-Argonne, cette dernière étant donnée définitivement à la France en échange d'une indemnité. D'autre part, Charles IV promet de rendre hommage au roi pour le duché de Bar d'ici à un an. Le traité de Ryswick donne définitivement la Lorraine au royaume français.
Après la construction de la voie de chemin de fer Paris-Strasbourg inaugurée le en même temps que le canal de la Marne au Rhin, Liverdun devient le lieu touristique par excellence pour les Nancéiens. On la surnomme alors le petit Deauville.
Lors de l'incendie du château Corbin, le , le lieutenant des pompiers Charles Nicolas Frustin dirige les opérations afin de limiter l'incendie dans un périmètre restreint vu la proximité des proches habitations.
Les forges et la fabrique de dynamite
En 1868, Alfred Nobel en quête de capitaux et de débouchés recherche un partenaire industriel et financier. Il trouve la société Barbe, père, fils et Paul François Barbe (1836-1890), investit 200 000 francs dans le capital de la société Nobel sous réserves d'obtenir les autorisations nécessaires pour fabriquer dès l'automne 1871 de la dynamite pour la région Alsace-Lorraine et l'exporter vers la Belgique. La fabrique de dynamite avait été installée par MM. Barbe et Smitt dans trois logements vides des cités de la Croisette. Par la suite Monsieur Barbe délocalise le site de Liverdun pour créer une dynamiterie en Espagne à Galdácano dans une ancienne de poudrerie et en confie la direction à Monsieur Combermale, ancien sous-directeur de de la dynamiterie de Paulilles. Cette usine est mise service avec du personnel de la fabrique de Liverdun dont Auguste Marchal (directeur du site de Liverdun puis à Galdácano jusqu'en 1904, époux de Marie-Thérèse Barbe) et Joseph Emile Depardieu, ce dernier restera en Espagne et fonda une famille. Les forges de Liverdun ont été rachetées en 1881 par moitié par les maîtres de forges de Pompey et le reste par la Société anonyme des forges de Champigneulles créée pour la circonstance.
- Henri Lepage, Liverdun. Notice historique., 1842, p. 50.
- plaquette circuit touristique de la Ville Haute, du point d'accueil du Bassin de Pompey, 2021.
- Almanach Vermot 2008 et « Une guerre de trente ans en Lorraine », page 369 de Philippe Martin, Professeur d'histoire moderne à l'Université de Nancy 2.
Héraldique
Blason | D'argent à la branche de chêne de sinople, posée en pal, englantée de gueules. |
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Détails | Ces armoiries se trouvent sur un registre d'inventaire des archives de la ville et chastellenie de Liverdun, prévôté seigneuriale dépendante de l'évêché et comté de Toul. En effet, Liverdun était une des premières places fortes du domaine de l'évêque de Toul : La porte inexpugnable de tout leur évêché ainsi qu'il est dit dans la charte de 1186. Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
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Liverdun dans la littérature
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