Laxou
Localisation
Laxou : descriptif
- Laxou
Laxou est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle, en région Grand Est.
Géographie
Localisation
Laxou se situe dans l’agglomération ouest de Nancy, dans le Nord-Est de la France. Avec près de 16 forêt de Haye. La cité est située au pied de la côte de Buthegnémont, à gauche de la route de Nancy à Toul.
Laxou partage une frontière urbaine avec Maxéville au nord puis en tournant dans le sens horaire : Nancy et Villers-lès-Nancy, elle est ensuite limitrophe avec Maron, Velaine-en-Haye et Champigneulles dans la forêt de Haye.
En 2021, c’est la quatrième ville de l’agglomération en population, derrière Nancy, Vandœuvre et Villers-lès-Nancy.
Communes limitrophes
Voies de communication et transports
Transports en commun
Laxou est reliée au Grand Nancy grâce aux lignes du réseau de transport de l'agglomération nancéienne appelé Réseau Stan :
- Tempo 2 : Laxou Sapinière - Laneuveville Centre
- Tempo 3 : Villers Campus Sciences - Seichamps Haie Cerlin
- Tempo 4 : Laxou Champ-le-Bœuf - Houdemont Porte Sud
- Ligne Corol : ligne circulaire desservant Vandœuvre, Jarville, Nancy, Laxou, Villers
- Ligne 16 : Villers Clairlieu - Malzéville / Malzéville Margeville / Malzéville Pixerécourt
- Ligne 63 (scolaire) : Laxou Jet d'Eau - Laxou Collège V.-Prouvé
- Résago 1 (service de transport à la demande)
Hydrographie
La commune est dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau,.
Climat
En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 .
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 amplitude thermique annuelle de 16,8 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nancy-Essey », sur la commune de Tomblaine à 5 vol d'oiseau, est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 746,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,1 ,,.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | −0,2 | 0 | 2,1 | 4,5 | 8,7 | 12,2 | 14,2 | 13,9 | 10,2 | 7,1 | 3,4 | 1 | 6,4 |
Température moyenne (°C) | 2,6 | 3,5 | 6,9 | 10,2 | 14,2 | 17,9 | 20 | 19,6 | 15,6 | 11,3 | 6,4 | 3,5 | 11 |
Température maximale moyenne (°C) | 5,4 | 7,1 | 11,6 | 15,8 | 19,8 | 23,5 | 25,8 | 25,4 | 20,9 | 15,5 | 9,4 | 6 | 15,5 |
Record de froid (°C) date du record |
−21,6 13.01.1968 |
−24,8 21.02.1956 |
−15,9 04.03.1965 |
−6,8 02.04.1958 |
−4,2 03.05.1960 |
1,6 05.06.1953 |
2 01.07.1962 |
2,8 26.08.1966 |
−1,3 24.09.1948 |
−7,9 27.10.1950 |
−12,7 23.11.1998 |
−21,3 30.12.1939 |
−24,8 1956 |
Record de chaleur (°C) date du record |
16,8 05.01.1999 |
20,8 27.02.19 |
26 31.03.21 |
29,3 18.04.1949 |
33 28.05.17 |
37,2 26.06.19 |
40,1 24.07.19 |
39,3 08.08.03 |
34,4 15.09.20 |
27,6 13.10.23 |
22,7 02.11.20 |
18,5 16.12.1989 |
40,1 2019 |
Ensoleillement (h) | 524 | 801 | 1 396 | 1 812 | 2 056 | 2 235 | 2 348 | 2 194 | 1 719 | 1 046 | 521 | 432 | 17 083 |
Précipitations (mm) | 64,4 | 54,8 | 54,1 | 44,3 | 67,9 | 56 | 63 | 67,2 | 61,1 | 66,5 | 68,9 | 78,1 | 746,3 |
Diagramme climatique | |||||||||||
J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D |
5,4 −0,2 64,4 | 7,1 0 54,8 | 11,6 2,1 54,1 | 15,8 4,5 44,3 | 19,8 8,7 67,9 | 23,5 12,2 56 | 25,8 14,2 63 | 25,4 13,9 67,2 | 20,9 10,2 61,1 | 15,5 7,1 66,5 | 9,4 3,4 68,9 | 6 1 78,1 |
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm |
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
- « », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « », sur meteofrance.com, (consulté le ).
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Toponymie
Au fil des siècles, la cité s’est appelée : Larzuls (1127-1168), Larczos (1182), Larceozs (1190), Laccos (1193), Larzous (1214), Larçous (1227), Larsour (1258), Larsouz (1289), Laixous (1420), Laxolo (1513), Laxour (1526), Laisous, Laysou (1636), Laixou (1557). En 1793, le village était connu avec son nom actuel de Laxou.
Les habitants sont appelés les Laxoviens.
Toponyme dialectal et prononciation
Le son produit en français moderne par la lettre [x] n'existe pas en lorrain roman. Henri Lepage écrit qu'il faut prononcer Lachou ; Emile Badel est plus catégorique, il dénonce avec virulence la corruption verbale des toponymes lorrains contenant une lettre [x]. Il écrit : « on doit prononcer Lâchou, Machéville, Cheuilley, Chures, Bouchières, Chermaménil etc. » (Laxou, Maxéville, Xeuilley, Xures, Bouxières, Xermaménil). Badel renforce sa démonstration en soulignant que pour Laxou, la lettre [x] n’apparaît que très tardivement, ce qui montre bien que sa présence est artificielle.
Dans la langue locale, le lorrain roman, Laxou se prononce Lâchou. Ces différentes graphies rendent mal la prononciation du XIXe siècle. Tout d'abord la voyelle lorraine [â] est sensiblement plus longue et plus accentuée qu'en français actuel. Ensuite, le phonème lorrain [ch] est fortement expiré.
Notons que l'actuelle rue du Pressoir s'est d'abord appelée rue du Chaucheu, qui signifie pressoir en patois et provient du verbe latin calcare : fouler aux pieds.
- Henri Lepage, Dictionnaire topographique du département de la Meurthe, 1862
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- Émile Badel, Dictionnaire historique des rues de Nancy de 1903 à 1905, Nancy, , 442 lire en ligne), p. 317.
- Dominique Godefroy, Dictionnaire de l'ancienne langue française, lire en ligne), p. 93.
Histoire
Avant le développement de l’agglomération, le village de Laxou était situé à environ quatre kilomètres de Nancy. Il dépendait de la généralité et du bailliage de cette ville, et était régi par la coutume de Lorraine.
Moyen Âge
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Déjà occupée à l’époque mérovingienne, Laxou est citée pour la première fois en 1130 sous le nom de Larzuls.
L'abbaye de Clairlieu, sur la commune voisine de Villers-lès-Nancy, possédait également quelques droits à Laxou, surtout des vignes qui lui furent cédées lors de son installation vers 1150. Les Laxoviens avaient coutume de se rendre à Clairlieu les jours de fêtes.
Les Hospitaliers
de Lorraine favorisa l’installation d’une commanderie hospitalière de l’ordre de Saint-Jean de Jérusalem dans son duché. La commanderie est édifiée en 1140, en pleine campagne à proximité du faubourg Saint-Jean. Il en subsiste la tour de la commanderie Saint-Jean-du-Vieil-Aître, le plus vieil édifice de Nancy.
Les hospitaliers ont construit au cours des siècles plusieurs bâtiments d’utilité publique qui étaient connus comme la commanderie de Laxou. Le principal était l’hôpital Saint-Jean Baptiste qui subsiste encore au 27-29 rue Édouard-Grosjean. Plusieurs anciennes maisons portent des croix de Malte sculptées sur les façades.
Simon II de Lorraine accorda aux Hospitaliers des droits seigneuriaux sur Laxou vers 1176, ils les conserveront jusqu'en 1789. Ils seront donc les principaux seigneurs de Laxou, partageant ce fief avec les familles de Lenoncourt et de Ludres.
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C'est à cette époque que se situe l'enlèvement de Ferry III de Lorraine dans les bois de Laxou. Alors qu'il revenait d'une chasse, Adrian des Armoises, seigneur de Maxéville le captura et l'enferma dans son château. Des années plus tard, il parvint à faire parvenir sa bague à la duchesse Marguerite par l'intermédiaire d'un couvreur qui avait été chargé d'entretenir le toit de sa prison. Celle-ci envoya une troupe de soldats libérer son époux ; Adrian des Armoises libéra le duc sans combattre.
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En 1306, Henri II de Vaudémont ravage Laxou et Maréville ; en représailles, le duc Thiébaud II de Lorraine déclenchera la bataille de Pulligny, qu'il perdra.
La seigneurie de Laxou appartient d'abord aux ducs de Lorraine qui, à partir de la fin du .
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Lors de la bataille de Nancy opposant René II de Lorraine et Charles le Téméraire du au , Laxou servait de camp aux Bourguignons. Le duc de Lorraine avait confié la garde de l'ancienne forteresse de Gondreville avec 400 hommes au bâtard de Vaudémont pendant qu'il cherchait à réorganiser une nouvelle armée. Le vers dix heures du soir, cette troupe traversa la forêt de Haye, surprit la garnison bourguignonne de Laxou et revint sans être inquiétée avec des prisonniers, 30 chevaux et du butin.
Après la victoire de René II, le village de Laxou sera exonéré de taille pendant plusieurs années.
Temps modernes
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Au Nancy-Toul-Paris.
Le , la duchesse Renée se rendant pour la première fois dans sa cité de Nancy, s'est arrêtée à Laxou pour se restaurer. Charmée par l'accueil des villageois, elle aurait offert un vitrail représentant saint René à l'église du village.
On dit également qu'elle aurait alors aboli une veille servitude qui obligeait les femmes de Laxou à aller battre l'eau d'une mare située place de la Carrière, lors de la nuit de noces des ducs. En effet, l'endroit était marécageux et il s'agissait de protéger le sommeil des souverains du coassement des grenouilles.
Cette anecdote est cependant probablement apocryphe. Nous ne connaissons en effet aucune source antérieure à un ouvrage paru à Toul en 1704 : L'origine de la très illustre maison de Lorraine avec un abrégé d'histoire de ses princes par le père Benoît Picart. C'est aussi ce livre qui nous informe que la réception de Laxou correspondait également à une servitude, qui aurait été encore une fois levée par la duchesse Renée. Mais là non plus, il n'existe aucune mémoire d'une telle réception avant 1516.
À partir du milieu du XVIe siècle, comme sur le reste du territoire lorrain, la situation se détériore gravement. Et Laxou aura notablement à souffrir des épidémies de peste et des exactions des gens de guerre qui traverseront son territoire à l'occasion des divers conflits qui ensanglanteront le duché.
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Le , Babe du Puy du Foug, veuve de Jean de Lenoncourt, vend les droits seigneuriaux de la famille au duc de Lorraine pour la somme de 7 000 francs.
Lors du siège de Nancy par Louis XIII en 1633, des abattis ou remparts ont été installés pour bloquer l'accès aux troupes du duc de la Force. Ils ont laissé leur nom au sentier des Remparts. Le village de Laxou servit de cantonnement pour les armées françaises.
Dans les années 1635-1637, Laxou eut à souffrir des agissements de la garde écossaise du roi de France.
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À la suite des guerres et des épidémies de peste des siècles passés, le village ne compte plus que 80 habitants au début du XVIIIe siècle. La situation économique va progressivement s'améliorer pendant tout le siècle.
Le , le traité de Ryswick rend la Lorraine à la famille ducale après 50 ans d'annexion française. Les habitants de Laxou forment une compagnie pour aller accueillir le duc Leopold à Blâmont.
Avant 1705, sur la route de Nancy à Toul, la traversée de la forêt de Haye était périlleuse à cause des brigands. On dit même que le duc Leopold y fut victime d'une attaque, ce qui le conduisit à construire une levée du côté de Nancy, pour surélever la route par rapport aux sous-bois.
Mais c'est sous Stanislas que démarra en 1745 le comblement des fonds de Toul près du lieu-dit les Baraques, à la limite de Champigneulles, Laxou et Velaine-en-Haye. Le remblaiement de ces deux gouffres emploiera les corvéables des subdélégations de Nancy, Pont-à-Mousson, Vézelise et Lunéville. Ceux-ci étaient mobilisés pour deux ou trois semaines, parfois davantage. Ils étaient logés sur place, d'où le nom du lieudit et devaient fournir eux-mêmes les outils et animaux de traits. Les travaux dureront quinze ans, jusqu'en 1760. Ils permirent d'élever la route de 48 mètres au-dessus de son niveau précédent. Au .
Jusqu'ici, la route de Nancy à Toul passait par le Chemin Blanc correspondant aux actuelles rue du Petit-Arbois et rue du Plateau. En 1753, l'avenue de Boufflers est percée. Elle sera utilisée jusqu'en 1841, date où la route actuelle de Nancy à Toul sera construite.
Révolution française et Empire
La Révolution de 1789 aura un faible impact sur la commune. Elle plante en 1791 son arbre de la liberté qui ombrage encore aujourd'hui la place du même nom.
Époque contemporaine
En 1822, la commune compte 720 habitants, représentant 208 foyers et 169 habitations. Elle fait une surface de 16 585 hectares, dont 949 ha. en bois, 150 ha. en vigne, 80 ha. en terres de labours et 40 ha. en prés.
L'exploitation des carrières est ancienne à Laxou, et par exemple des pierres de la carrière du Grand Pourri ont été utilisées pour construire la basilique de Saint-Nicolas-de-Port au cathédrale de Nancy au ciment pour construire les immeubles.
Une autre activité importante à cette époque sont les mines de fer. Des « gueules jaunes » ont ainsi extrait la minette lorraine pendant trente ans à Laxou. Le minerai est découvert entre 1844 et 1848. Il est exploité par la société Dietrich de Lunéville à partir de 1868. L'entrée de la mine se faisait en haut de la rue de la Forêt et les galeries correspondaient avec Maxéville et Ludres. Le minerai était transporté sur des chariots jusqu'au canal de la Marne au Rhin, ou à la gare Saint-Georges quand la glace rendait la navigation impossible. Un chemin de fer est construit en 1881 pour parer à la destruction des routes par les chariots. Cette mine est fermée en 1891 ; aujourd'hui, l'ennoiement des galeries pose encore des problèmes d'affaissements de terrain.
À partir de 1850, on assiste au début de l'expansion démographique qui conduira à une multiplication par 17 de sa population en 1980. Après le traité de Francfort, environ 600 optants s'installeront dans la commune entre 1872 et 1886.
Au XXe siècle, important développement démographique avec la construction des quartiers des Provinces, puis de Champ-le-Bœuf.
- Statistique administrative et historique du département de la Meurthe, 1820
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incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nomméesThiebaut1963
- Les Ducs de Lorraine, 1048-1757. Costumes et notices historiques, Jean Cayon
- « De la prétendue servitude imposée autrefois aux femmes de Laxou, d'aller battre l'eau de la mare qui avoisinait le Palais ducal, la nuit des noces des ducs de Lorraine » dans le Journal de la société d'archéologie et du comité du Musée Lorrain, Louis Lalement, .
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Héraldique
Blason | Parti : au premier de gueules au pic de carrier d'argent emmanché d'or, posé en barre et soutenu d'une grappe de raisin feuillée du même, au second aussi d'or au dauphin d'azur jaillissant d'argent et posé en pal. |
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Détails | Le blason rappelle les trois richesses traditionnelles de la cité : la mine de fer, la viticulture sur les coteaux et l'eau des sources pour les lavoirs et les blanchisseries ainsi qu'un ruisseau (l'asnée) s'écoulant dans la commune. Adopté vers 1965. |
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Laxou dans la littérature
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