Sarzeau

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Sarzeau : descriptif

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Sarzeau

Sarzeau [saʁzo] est une commune située dans le département du Morbihan, au sud de la région Bretagne

Elle se trouve sur la presqu'île de Rhuys, entre le golfe du Morbihan et l'océan Atlantique.

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous les formes Sarzau en 1395, Sarzeau en Reuys en 1464, Reuis en 1477, Ruys en 1481, Sarzau en 1536, Serzau en 1630. À la Révolution française, en 1790, la commune de Sarzeau est renommée « Ville de Rhuys » pour mieux retrouver son toponyme originel.

En breton, la localité s'appelle Sarzhav (prononcé [saˈʁaw]).

L'étymologie du toponyme Sarzeau est discutée (grammatici certant). Il pourrait dériver du latin exsartum, qui est à l'origine du mot français « essart » désignant un terrain défriché, avec perte de la première syllabe.

  1. a et b Hervé Abalain -Noms de lieux bretons - Page 113
  2. Hervé Abalain, Noms de lieux bretons, Éditions Jean-Paul Gisserot, , p. 113.

Géographie

Sarzeau fait partie du Parc naturel régional du golfe du Morbihan.

Situation

La superficie de la commune représente la moitié de celle de la presqu'île de Rhuys.

Son territoire, de forme massive et globalement rectangulaire, est limité à l'ouest par les communes d'Arzon et de Saint-Gildas-de-Rhuys, au nord-est par celle de Saint-Armel et au sud-est par celle du Tour-du-Parc ; au nord par le golfe du Morbihan et au sud par l'océan Atlantique. Avec plus de 65 km de côtes, Sarzeau est l'une des communes de Bretagne et même de France qui disposent du plus long littoral.

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Localisation de Sarzeau sur une carte des communes du Morbihan

Communes limitrophes

Communes limitrophes de Sarzaeu
Golfe du Morbihan Golfe du Morbihan Saint-Armel
Saint-Gildas-de-Rhuys Sarzaeu Le Tour-du-Parc
Baie de Quiberon Baie de Quiberon Baie de Quiberon

Géographie physique

La côte du golfe du Morbihan, au nord, est sise sur un sol granitique où les sédiments se sont par endroits accumulés ; très découpée, elle alterne de petites criques sableuses (baie du Scluze, rade du Logeo…), quelques pointes rocheuses (pointe de l'Ours, pointe du Ruault, pointe de Bernon…), des vasières assez étendues (Anse du Poul, baie de Saint-Colombier…), d'anciens marais salants (marais du Duer, marais de Truscat) et quelques îles du golfe du Morbihan (Govihan, Stibiden, Brannec, Godec, île des Œufs…). Cet ensemble, à l'abri des houles atlantiques, constitue un milieu idéal pour la flore : les bois de feuillus (Kerhouët-Saint Maur, Beausoleil, Kerbodec…) et le maillage bocager (ormeaux, fougères…), sur un sol plus fertile, y sont mieux préservés que sur le littoral sud. La faune y trouve également un refuge paisible et riche en végétaux marins (roseaux, salicorne, graminées…) ; depuis une vingtaine d'années, une réserve ornithologique couvrant toute la baie de Saint-Colombier protège d'intéressantes espèces (canards et bernaches, limicoles, aigrettes…).

La plage de Penvins.
La chapelle Notre-Dame-de-la-Côte (Penvins).

La côte atlantique présente un aspect fort différent : de la Grée Saint Jacques à Banastère, on assiste à une succession de plages sableuses (la Grée, Kerfontaine, le Roaliguen, Suscinio, Landrezac, Penvins et Banastère), séparées par des pointes rocheuses (pointe de Saint-Jacques, Poent Hir, Beg-Lan, En Iniz, Becudo) dont la hauteur reste modeste. Les sols, en majorité schisteux, ont moins bien résisté aux fureurs de l'océan, ce qui explique l'érosion marquée en certains points (la chapelle de Saint-Jacques, construite à la pointe du même nom, s'est progressivement effondrée en mer au cours du XIXe siècle et fut reconstruite à Trévenaste) ; les roches visibles au large de Kerfontaine (Roh Naben et Beniguet) étaient accessibles à pied au siècle dernier. La plupart de ces plages (celles que les constructions n'ont pas obligé à drainer) conservent leur palus (= marais au revers de la dune) comme au Sodrio, au Suscinio, au Hayo ou au Bécudo. Autrefois exploités comme salines, ils sont aujourd'hui le sanctuaire d'une faune et d'une flore riches. Les terres, plus ingrates que sur le Golfe, servaient essentiellement de pâturages ; les bois, plus rares, sont plus souvent constitués de conifères, tandis que le bocage ne se rencontre qu'à partir des premiers « coteaux », en retrait de la côte. De la vigne y fut cultivée jusqu'au milieu du XXe siècle.

Les îles de Sarzeau

Sarzeau comporte plusieurs îles qui lui sont rattachées administrativement. Elles sont situées dans le golfe du Morbihan, donc au nord, néanmoins, du côté atlantique, on peut mettre en exergue la pointe de Penvins, une petite presqu'île.

  • L'île des Œufs, minuscule rocher abritant toutefois une longère, est située au large de la pointe du Ruault, au sud de l'île Iluric (en Arz). Elle a une altitude maximale de 4 m.
  • L'île Godec, quoique séparée de Sarzeau par un profond chenal, est aussi rattachée à Sarzeau. C'est une île basse entourée de parcs à huîtres qui la sépare d'Huric.
  • L'île Stibiden, d'une superficie de huit hectares, comporte plusieurs bâtiments en granit. Plus haute (onze mètres) elle a été la propriété de Danielle Darrieux.
  • L'île Govihan, au large du port du Logéo, est la plus vaste de la commune. Ses deux points culminants, au nord et au sud, atteignent 14 m. Un groupe de maisons est situé au sud-est. C'est l'une des rares îles du Golfe à disposer d'autant de plages que de roches.
  • L'île Brannec comporte deux maisons récentes, face à l'île aux Moines.

Toutes sont des propriétés privées. Si jadis Ilur, alors qu'elle était rattachée au continent, était le siège d'une vaste paroisse qui couvrait le territoire de Sarzeau et bien au-delà (jusqu'à Surzur), elle est rattachée à Arz depuis le XVIe siècle.

Le risque de submersion marine

Selon un index global correspondant à l'agrégation de 5 critères effectué en 2011 par l'Observatoire National des Risques Naturels, Sarzeau est, après Carnac, Damgan et Riantec, la quatrième commune du Morbihan la plus exposée au risque de submersion marine avec 13,40 % de sa population totale concernée et 16,50 hectares de bâti exposé au risque de submersion.

Géographie humaine

Sarzeau est une ville touristique située à 22 kilomètres au sud de Vannes, sur la presqu'île de Rhuys. Sa surface est de 6 000 hectares, sa densité d'environ 120 habitants au kilomètre carré. Cette surface importante explique en partie son organisation en « trèves » (division de la paroisse en sous-ensembles, dirigés par un diacre tenant ses offices dans une chapelle propre à la trêve, le centre du bourg étant trop éloigné pour les habitants des villages périphériques). Si la pratique religieuse est moins forte que sous l'Ancien Régime ou au XIXe siècle, ces trèves continuent à exister dans l'inconscient collectif et les relations quotidiennes ; elles sont au nombre de sept :

  • Saint-Saturnin (le bourg), cœur de la paroisse ;
  • Saint-Maur (villages de Brillac, du Logeo, de Kerassel…) ;
  • Saint-Martin (villages du Ruault, Saint-Martin, Fournevay…) ;
  • Saint-Colombier (villages de Saint Colombier, Kerhouët, Kerentrec'h…) ;
  • Saint-Démètre (villages de Penvins, la Grée, Banastère…) ;
  • Saint-Nicolas (villages de Kerguet, Suscinio, Bodérin…) ;
  • Saint-Jacques (villages de Kerfontaine, Trévenaste, Kerignard, du Roaliguen…).
mairie annexe se trouvant à Penvins

Lorsque Sarzeau devint une commune pendant la Révolution, son territoire comprenait en outre les trêves de Saint-Armel et Saint-Clair (Le Tour-du-Parc), qui obtinrent leur indépendance au cours du XIXe siècle ; Brillac et Penvins tentèrent également de faire sécession, mais en vain. Aujourd'hui, outre l'opposition persistant entre « gens du Golfe » (aod bihan = petite côte) et « gens de l'océan » (aod braz = grande côte), les différents groupes de villages conservent souvent leur organisation propre, avec leur mairie annexe (Brillac et Penvins), leur école (autrefois Kerignard, Penvins et Brillac, aujourd'hui encore Saint-Colombier), leurs célébrations religieuses occasionnelles (Notre-Dame de la Côte à la Grée-Penvins, chapelle Saint-Jacques à Trévenaste…), voire leur propre paroisse (accordée à Brillac en 1926), leurs commerces (Saint-Jacques, Brillac), leurs propres fêtes (fête de la mer à Saint-Jacques, moules-partie à Brillac, fêtes médiévales de Suscinio…) et leur bureau de vote. Le tourisme tend à rendre plus ténue cette organisation traditionnelle, tout comme il a contribué à rendre moins sensible (ou moins visible) les spécificités socio-professionnelles de ces groupes de villages : tandis que Sarzeau-bourg monopolisait le commerce et les fonctions publiques, Saint-Jacques et le Logeo étaient surtout constituées de familles de marins, alors que Saint-Colombier, Penvins et Kerguet demeuraient rurales.

Logement

En 2016 on recensait 10 586 logements à Sarzeau. La commune étant un lieu de villégiature prisé des vacanciers, 6 334 logements étaient des résidences secondaires (59,8 %), contre seulement 3 916 des résidences principales (37,1 %) et 336 des logements vacants (3,2 %). Sur ces 10 586 logements, 8 567 étaient des maisons (80,9 %) contre 1 535 des appartements (14,5 %). Le tableau ci-dessous présente la répartition en catégories et types de logements à Sarzeau en 2016 en comparaison avec celles du Morbihan et de la France entière.

Le logement à Sarzeau (56) en 2016.
Sarzeau Morbihan France entière
Résidences principales (en %) 37,1 74,5 82,3
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 59,8 18,0 9,6
Logements vacants (en %) 3,2 7,5 8,1

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en France métropolitaine. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

  • Moyenne annuelle de température : 12,1 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 0,7 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,9 j
  • Amplitude thermique annuelle : 11,8 °C
  • Cumuls annuels de précipitation : 852 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,8 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,4 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la direction générale de l'Énergie et du Climat complétée par des études régionales prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1995 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

Statistiques 1981-2010 et records SARZEAU SA (56) - 47° 30′ 42″ N, 2° 47′ 48″ O
Statistiques établies sur la période 1995-2010 - Records établis sur la période du 01-07-1995 au 04-01-2022
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 4,2 4,3 5,7 7,2 10,3 12,8 14,4 14,5 12,5 10,8 7 4,1 9
Température moyenne (°C) 6,6 7,2 9,1 11,1 14,3 17,2 18,8 18,9 16,9 14 9,9 6,8 12,6
Température maximale moyenne (°C) 9,1 10,1 12,4 14,9 18,2 21,6 23,1 23,4 21,4 17,2 12,8 9,4 16,2
Record de froid (°C)
date du record
−10,8
02.01.1997
−6,6
28.02.18
−5,7
01.03.05
−0,3
07.04.08
1,6
02.05.21
5
01.06.11
8,4
09.07.1996
8,5
28.08.1998
4,7
26.09.10
−0,8
29.10.1997
−4,5
29.11.10
−7,7
29.12.1996
−10,8
1997
Record de chaleur (°C)
date du record
14,7
16.01.1996
18,1
23.02.19
23
19.03.05
25
25.04.11
30,7
24.05.10
34,5
23.06.05
35,5
18.07.06
37,7
09.08.03
32,2
03.09.05
27,5
01.10.1997
20
01.11.15
15,7
27.12.15
37,7
2003
Précipitations (mm) 74,6 58 54,8 55,5 49,6 31,7 40,9 38,3 50,9 77,4 90,7 86,3 708,7
Source : «  » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base


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  1. Blandine Le Cain, « Submersion marine : notre classement des communes bretonnes les plus exposées », Journal Le Télégramme,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  2. «  » (consulté le ).
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  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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  8. Glossaire – Précipitation, Météo-France
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  10. «  », sur chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le ).
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Histoire

Préhistoire

L'existence de populations dans la région est attestée dès le Néolithique, comme le suggère la présence de mégalithes dans la commune (menhir de Kermaillard, dolmens de la pierre du Soleil, de la pierre bénite, allée couverte dite Grotte aux Fées dans le clos Rodus).

Antiquité et Moyen Âge

Durant l'Antiquité et le haut Moyen Âge, le territoire est contrôlé par un castrum. La première mention connue de Rhuys et de ce castrum apparaît dans les Preuves de Dom Morice : Reuuisii pagus, mons et castrum in monte, au .

Temps modernes

Siège de l'ancienne sénéchaussée royale de Rhuys, Sarzeau est unie au présidial de Vannes en 1564.

La presqu'île de Rhuys compte sous l'Ancien Régime quatre paroisses : Sarzeau, dont Saint-Armel est à l'époque une simple chapelle, Saint-Goustan (qui a formé l'actuelle commune de Saint-Gildas-de-Rhuys) avec ses trèves de Houat et Hœdic, Arzon et Ilur qui est annexée à l'Île-d'Arz en 1615. Il est tentant de chercher dans Sarzeau, qui recouvre les deux-tiers de la presqu'île, la paroisse primitive dont les autres auraient été démembrées mais la mer qui a modifié au cours des siècles les contours de la presqu'île, et les documents trop peu nombreux, trop incertains, ne permettent pas d'avaliser cette hypothèse.

Révolution française

Le premier signal de l'insurrection royaliste dans l'Ouest de la France fut donné le dans la paroisse de Sarzeau par Toussaint de Francheville, comte de Pelinec, ancien officier de marine, qui marcha sur Vannes avec ses paysans depuis le château de Truscat en Sarzeau, au cri de Mon âme à Dieu, mon corps au Roi ; cette insurrection fut un échec.

Le | ]

Gabriel de Francheville, fils de Toussaint de Francheville, qui fut lui aussi chouan, puis député, et ensuite membre de la "Société séricole pour l'amélioration et la propagation de la soie en France", s'intéressa dans la décennie 1840 au développement de la culture du mûrier et de l'élevage des vers à soie dans sa propriété du château de Truscat en Sarzeau ; mais cette tentative resta au stade expérimental.

En 1869, une épidémie de variole fit 56 malades et provoqua 8 décès à Sarzeau.

En 1887 une délégation des royalistes de Vannes, d'Arradon, de Plescop, de Sarzeau, de Theix, de l'Île-aux-Moines et de Saint-Avé se rendit à Jersey afin d'y rencontrer le comte de Paris qui y était en exil.

Le | ]

L'essor du tourisme et de l'ostréiculture

La commune bénéficie comme toute la presqu'île du développement du tourisme balnéaire et de l'émergence de l'activité ostréicole au . A l'image de Gustave Flaubert, les premiers voyageurs viennent visiter Sarzeau pour découvrir le château en ruines de Suscinio. Ce n’est qu’au début du XXe s., avec l'arrivée des baigneurs, que le tourisme évolue vers des pratiques balnéaires qui, malgré tout, restent réservées à une élite. Ce dernier se démocratise avec la généralisation des congés payés, plus après 1945 qu'après 1936. Pour assurer ce développement, la commune est desservie de, 1910 à 1947, par le trafic ferroviaire de la Ligne de Surzur à Port-Navalo des chemins de fer du Morbihan, transport supplanté après la Seconde Guerre mondiale, et surtout après 1960, par l'automobile.

  1. Georges Guénin, Le légendaire préhistorique de Bretagne : les mégalithes, traditions et légendes, La Découvrance, , p. 183-185.
  2. a et b Erwan Vallerie, Communes bretonnes et paroisses d'Armorique, Beltan, , p. 73.
  3. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France, Fayard, , p. 153.
  4. Pitre-Chevalier, La Bretagne ancienne et moderne, Paris, W. Coquerel, , p. 622.
  5. Docteur Alfred Fouquet, "Compte-rendu des épidémies, des épizooties et des travaux des conseils d'hygiène du Morbihan", Vannes, 1870, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6528773r/f10.image.r=Riantec?rk=21459;2
  6. Journal La Petite Presse, n° du 5 juillet 1887, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4723772v/f1.image.r=Arradon?rk=21459;2
  7. J.-M. Ledivellec, La presqu'île de Rhuis en Bretagne ou le canton de Sarzeau. Guide des baigneurs et des touristes, J.-M. Galles, , 105 p..
  8. Stéphanie Catteau et Sophie Lemaur, Récits de voyage. Le Morbihan, une destination exotique, Département du Morbihan, , p. 34 et 35.
  9. Yves-Marie Evanno, Quand l'histoire vient des flots. : Sarzeau racontée par la mer de la préhistoire à nos jours, Éd. Mairie de Sarzeau, (ISBN ), p. 28 à 31.
  10. Nathalie Richard et Yveline Pallier, Cent ans de tourisme en Bretagne : 1840-1940, Éd. Apogée, , p. 130.
  11. Yannic Rome, Grandes et petites histoires des tramways et petits trains du Morbihan, Le Faouët, Liv'Éditions, ISBN ), « Trois lignes complémentaires : Vannes-Port-Navalo », p. 124-130.


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Sarzeau dans la littérature

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