Trégourez

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Trégourez : descriptif

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Trégourez

Trégourez [tʁeguʁɛs] est une commune du département du Finistère, dans la région Bretagne, en France.

Géographie

Localisation

Trégourez est une commune de Cornouaille située au sud-ouest de la partie occidentale de la Montagne de Laz, appendice des Montagnes Noires, au cœur de la vallée de l'Odet et relativement éloignée des centres urbains (Rosporden est à 16 Châteaulin à 20 Quimper à 21 Concarneau à 26 km)

La commune fait partie traditionnellement du Pays Glazik.

Elle se trouve dans l'aire d'attraction de Quimper et dans sa zone d'emploi, ainsi que dans le bassin de vie de Châteauneuf-du-Faou.

Communes limitrophes

Les communes limitrophes sont Coray, Edern, Langolen et Laz.

Communes limitrophes de Trégourez
Laz
Edern Trégourez Leuhan
Langolen Coray

Géologie et relief

La superficie de la commune est de 17,72 .

Le nord de la commune est principalement constitué de grès et la partie sud de schistes. Un filon de kersantite affleure près de Pontouarc'h. Des affleurements de poudingue de Gourin existent également.

Le territoire communal est assez peu accidenté, l'altitude moyenne est de 130 mètres, les altitudes variant de 216 mètres dans le nord de la commune où les derniers Menez ("hauteur" ou "mont" en breton) des prolongements occidentaux de la Montagne de Laz sont présents (deux hameaux se nomment Ménez Kergréac'h et Le Ménic), à 84 mètres à l'extrême sud-ouest au sud de Penn ar Pont à la confluence de l'Odet, qui sert de limite sud-est de la commune, la séparant de celle de Coray, et de son affluent de rive droite le Guip, dont la source se trouve près du hameau du Ménic. Un autre affluent de rive droite de l'Odet, le ruisseau du Pont Neuf, sépare à l'ouest Trégourez de la commune voisine de Langolen.

Hydrographie

Carte hydrographique de la commune.

Le territoire communal est limité au sud par le lit du fleuve côtier l'Odet, dans lequel Ar Grip conflue.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Monts d'Arrée », avec des hivers froids, peu de chaleurs et de fortes pluies.

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 amplitude thermique annuelle de 11,4 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Coray à 6 vol d'oiseau, est de 11,3 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.


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  2. Charles Barrois, Légende de la feuille de Châteaulin, "Annales de la Société géologique du Nord", 1885, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5724016b/f69.image.r=Tr%C3%A9gourez
  3. Charles Barrois, Observations sur la constitution géologique de l'ouest de la Bretagne, "Annales de la Société géologique du Nord", 1888, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k57251553/f19.image.r=Tr%C3%A9gourez.langFR et Fernand Priem, "La terre avant l'apparition de l'homme : périodes géologiques, faunes et flores fossiles, géologie régionale de la France", J.B. Baillière et fils, Paris, 1893, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2065679/f529.image.r=Tr%C3%A9gourez.langFR
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. «  », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
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Toponymie

Tregourez, en breton.

Attesté sous les formes Vicaria Trechoruus et Trechorus au .

Le nom Trégourez proviendrait du breton Tre (en français « au-delà »)[Quoi ?] et le suffixe gourez et serait une déformation de Coray, le nom complet signifiant donc « au-delà de Coray », séparé de Coray par l'Odet, mais cela reste très incertain. Selon une autre explication, finalement assez voisine et aussi fantaisiste que la précédente, le nom Dreo-Gouere signifierait « La trève du bas » et C'horre, à l'origine du nom Coray, « la trève du haut ».[Information douteuse]

La paroisse serait issue du démembrement de la paroisse de Laz.

  1. a et b «  », sur infobretagne.com (consulté le ).
  2. «  », infobretagne.com (consulté le ).
  3. Jean-François Boëdec, "Histoire secrète des Montagnes Noires", éditions des Montagnes Noires, 2012, [ (ISBN )]

Histoire

Préhistoire

Un tumulus d'un mètre de haut et de 35 mètres de diamètre existait dans la parcelle dite Goarem-Coz, près du hameau de Kergarédic, à deux kilomètres environ au nord-ouest du bourg.

Moyen Âge

Dès le évêché de Cornouaille, englobant alors les hameaux de Gulvain et Lannarnec, qui dépendent désormais de la commune d'Edern.

Deux mottes féodales sont connues à Trégourez, l'une près de Kerfaro, l'autre au lieu-dit "Coat la Motte", mais il n'en subsiste pas grand-chose, juste un bombement dans un champ pour les deux sites.

La famille de Kerguz, seigneur du dit-lieu de Kerguz, est présente aux réformations et montres de l'évêché de Cornouaille entre 1426 et 1562. Vers 1500, Yvon de Kerguz, époux de Catherine de Tréanna, offre un vitrail à la chapelle Notre-Dame-de-Ponthouar. Pierre de Kerguz fut abbé de l'abbaye sainte-Croix de Quimperlé entre 1500 et 1520. Deux nobles, Guillaume de Kerguz et Hervé du Quinquis, tous deux archers en brigandine, sont cités à la montre de l'évêché de Cornouaille de 1481 et trois (Barthélémy Le Quinquis, Louis de Kersulien, Charles Le Corre) à celle de 1562.

Les seigneuries de La Villeneuve, Crec'hanveil et Kerguiridic en Trégourez dépendaient de la baronnie de Laz, avant d'être rattachée par la suite au marquisat de La Roche-Helgomarc'h.

Temps modernes

Trégourez : croix de procession en argent doré (fin du XVIe siècle).
Trégourez : statue de saint Idunet datant de 1652.

Un aveu d'Anne de Laval concernant la seigneurie de Kergorlay date de 1543.

Un recteur de Trégourez a ainsi décrit la paroisse en 1672 : « Dans la haute vallée de l’Odet, sur le versant sur des Montagnes noires, pointe au-dessus des arbres le fin clocher de Trégourez. C’est une paroisse variée d’aspect, étalant la luxuriance de ses bocages et de ses paisibles verdures tout à la lisière des garennes désertiques et vraiment noires de la "montagne" ».

La seigneurie de Gouërec est citée en 1673 ; elle appartenait alors à Anne du Couëdic, épouse de Guillaume du Fresnay, seigneur de Barregan au Faouët. En 1723, elle est la propriété de Jean-Baptiste de Bec de Lièvre, conseiller du roi. Un manoir est construit à Gouërec en 1780 par Jean-Baptiste Mahé et Marie-Élisabeth Floch, un second manoir étant construit plus tard en 1836 par un autre Jean-Baptiste Mahé et Marie-Perrine Saouen. Un autre manoir existait à Kernaliou, propriété successivement des familles Dalayeun puis Le Poulinguen ; il fut reconstruit dans la seconde moitié du .

En 1732, Grégoire de Rostrenen indique dans son Dictionnaire françois celtique ou françois breton : « Il y a 13 feux dans Trégourez (...), chacun de 30 journeaux de terre, tant chaude que froide ».

Jean-Baptiste Ogée écrit en 1778 dans son Dictionnaire : « On y compte 1 000 communiants. Le territoire de Trégourez, en partie occupé par les Montagnes Noires et par les landes, dont le sol est aussi peu propre à la culture que celui des montagnes, n’offre à la vue que quelques cantons de terres labourables. On y remarquait jadis la forêt de Coatéol, qui avait trois lieues de circuit [circonférence] ».

Trégourez sur la Carte de Cassini (XVIIIe siècle).

Révolution française et Empire

La paroisse de Trégourez, qui compte alors 100 feux, est représentée par deux députés, Laurent Péron et Corentin Le Bourhis à l'assemblée du tiers-état de la sénéchaussée de Quimper chargée de la rédaction du cahier de doléances en 1789. Le , des domaniers de Trégourez et Laz envahirent le château de Trévarez.

La loi du crée la commune de Laz, « qui aura Trégourez comme succursale », mais la commune de Trégourez devient indépendante dès 1793.

Au printemps 1796, chargés par De Bar « de rallier des mécontents du côté de Carhaix et d'étendre l'insurrection dans le Finistère, des racoleurs parcoururent les campagnes de Langolen, Coray, Trégourez, Leuhan, Laz, prenant le nom des déserteurs, des conscrits et même des hommes mariés, et les avertissant, avec des menaces, de se tenir prêts quand on viendrait les réunir ».

Époque contemporaine

Au début du et sont journaliers pour la plupart ; sur 157 exploitants agricoles, 126 disposent de moins de 50 acres et 4 propriétaires seulement ont entre 100 et 125 acres.

En 1845, A. Marteville et Pierre Varin, continuateurs de Jean-Baptiste Ogée modifient la description qu'en avait fait ce dernier : « Cette commune, bien que situé sur le versant sud des Montagnes Noires, est assez fertile, et ses terres commencent à être bien cultivées. On parle le breton ». Les auteurs citent trois moulins à eau à Trégourez à cette date, ceux de Folléou, Créac'hguen et Kerraden.

La présence de loups a provoqué de nombreux récits plus ou moins imaginaires, comme celui-ci :

« Dans le marais du Yeun Merdy (Yeur ar Maerdi), entre Laz et Trégourez, un paysan qui s'appelait Yann Guernastang s'était égaré (...) ; il s'enfonça sans le marais. Il appela au secours tout en récitant des dizaines d'Ave Maria. Un loup passa alors à côté de lui et s'approcha. L'homme lui saisit la queue en poussant un grand cri. Effrayé, le loup bondit et le sortit du marais. Sur quoi le paysan dit : "Gwelloc'h un taol fardelat ewit kant Ave Maria", c'est-à-dire "Mieux vaut un bon coup de rein que trente-six Ave Maria". »

En 1869, le chemin de grande communication . Les travaux eurent lieu en 1872.

Un rapport du Conseil général du Finistère indique en que Trégourez fait partie des 27 communes de plus de 500 habitants du Finistère qui n'ont encore aucune école de filles.

Une foire importante se tenait tous les ans à Trégourez ; en 1890, le conseil municipal demande que la foire, qui se tenait jusque-là traditionnellement le , ait lieu désormais le .

Une épidémie de typhus exanthématique commença en à Trégourez et dura près de deux ans.

Belle Époque

En , une épidémie de dysenterie se produit dans de nombreuses communes de l'arrondissement de Châteaulin dont Trégourez, y faisant une centaine de malades et provoquant 25 décès. « Cette épidémie est attribuée à la sécheresse des dernières années. Les puits et les fontaines étaient à sec, et la population a fait usage d'eaux malsaines. En outre, l'encombrement et la malpropreté des maisons sont devenus des facteurs importants de la maladie ».

En 1902, le maire de Trégourez, Quéré, conteste, contredisant les renseignements dont disposait la préfecture concernant sa commune, selon laquelle « les trois quarts des enfants étaient à même de suivre le catéchisme français en français s'est faux à peine s'il y en a six ou sept » [sic, l'orthographe a été respectée, visiblement le maire lui-même a du mal à maîtriser la langue française]. La même année, le sous-préfet de Châteaulin, dans une lettre datée du , soutient que « les trois-quarts de la population » comprennent le français.

En 1905, le traitement du curé de Trégourez, l'abbé Picart, fut un temps supprimé par décision du ministre Jean-Bienvenu Martin pour « abus de la langue bretonne », mais, à la suite des protestations suscitées par cette décision, rétabli sur décision du Préfet du Finistère.

Déclarée d'utilité publique le , la ligne ferroviaire à voie métrique des Chemins de fer départementaux du Finistère allant de Châteauneuf-du-Faou à Rosporden, longue de 39 Saint-Thois-Pont-Pol, Laz, Trégourez, Guernilis, Coray, Tourc'h, Bois-Jaffray-Saint-Guénal et Elliant. Elle ferma dès 1933.

Première Guerre mondiale
Trégourez : le monument aux morts.

Le monument aux morts de Trégourez porte les noms de 78 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale ; parmi eux, un (Laurent Péron) est décédé sur le front belge pendant la Course à la mer ; un (Étienne Stervinou) est décédé en Grèce alors qu'il était membre de l'Armée française d'Orient, un (Michel Rosparts) est décédé dans un hôpital suisse où il était soigné pour une maladie contractée alors qu'il était prisonnier en Allemagne ; un (Pierre Le Du) est disparu en mer ; la plupart des autres sont décédés sur le sol français ; parmi eux, deux (Yves Herdiagon et Pierre Dréau) furent décorés de la Croix de guerre et de la médaille militaire ; Jean Le Moigne fut décoré de la Croix de guerre, Maurice Mahé et Alain Tassain reçurent la médaille militaire.

Entre-deux-guerres

Des petits pois cultivés dans la région de Trégourez, Coray, Châteauneuf-du-Faou étaient livrés aux conserveries de Concarneau.

En 1938, le cimetière de Trégourez possédait trois beaux ifs « dont un de 2,5 mètres de circonférence à 1 mètre du sol ». Ce cimetière est également représenté sur une photographie publiée par le journal Ouest-Éclair en 1933.

Seconde Guerre mondiale

Yves Allain, né le à Trégourez, participa dès 1941 à la distribution de tracts et journaux clandestins au lycée Henri-IV, puis fut membre du réseau Bourgogne où il fut l'adjoint de Georges Broussine, participant à l'exfiltration de France de près de 250 aviateurs alliés et d'une centaine de civils français, organisant aussi des parachutages dans la région de Trégourez, puis s'engagea dans les Forces françaises libres en et reçut entre autres décorations la médaille de la Liberté avec palme d'or. À la suite d'un article de Jean-Paul Ollivier et Goulven Péron, une rue de Trégourez porte désormais son nom. Il est mort assassiné en 1966 à Rabat (Maroc) alors qu'il était le directeur local de l'ORTF dans ce pays, alors protectorat français.

Le

La foire de Trégourez

En 1960, le Comité des fêtes décide la création d'une foire agricole à Trégourez le week-end du Dimanche des Rameaux ; elle fut organisée à cette date chaque année jusqu'en 2000, attirant jusqu'à 100 000 visiteurs ; en 1990, elle fut inaugurée par Laurent Fabius, alors président de l'Assemblée nationale.

  1. Paul du Chatellier, Exploration des tumulus des Montagnes Noires (Finistère), "Bulletin archéologique du Comité des travaux historiques et scientifiques", 1901, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2033297/f322.image.r=Tr%C3%A9gourez.langFR
  2. Pol Potier de Courcy, "Nobiliaire et armorial de Bretagne", tome 2, V. Forest et A. Grimaud, Nantes, 1862, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5406239c/f36.image.r=Tr%C3%A9gourez.langFR
  3. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées infobretagne.com
  4. R. Delaporte, Notice sur les seigneuries de La Roche-Helgomarc'h, Laz et Botiguigneau, "Bulletin de la Société archéologique du Finistère", 1913, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k207710t/f240.image
  5. La seigneurie de Kergorlay ou Guergorlay, une juveigneurie du Poher, dépendait au maison de Montfort-Gaël et s'étendait au Motreff, Spézet, Laz et Trégourez, ainsi que sur des parties de celles de Saint-Goazec, Châteauneuf-du-Faou, Saint-Hernin et Plévin, voir http://www.motreff.fr/accueil_motreff/la_commune/historique
  6. Selon Bertrand de Boussillon, " La Maison de Laval, 1020-1605 : étude historique, accompagnée du cartulaire de Laval et de Vitré", tome 4, 1895-1904, le document se trouve aux archives du département de Loire-Atlantique, voir https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5535136j/f214.image.r=Sp%C3%A9zet?rk=42918;4
  7. a et b «  », sur TREGOUREZ E BRO GLAZIK (consulté le ).
  8. Grégoire de Rostrenen, "Dictionnaire françois celtique ou françois breton", 1732, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k62358566/f426.image.r=Tr%C3%A9gourez.langFR. Une terre chaude est une terre cultivée chaque année, une terre froide est une terre cultivée épisodiquement.
  9. a et b de Jean-Baptiste Ogée, A. Marteville et P. Varin, 1845, consultable
  10. "Archives parlementaires de 1787 à 1860 ; 2-7. États généraux ; Cahiers des sénéchaussées et bailliages", série 1, 1879, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k49520z/f513.image.r=Tr%C3%A9gourez.langFR
  11. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Boëdec
  12. "Collection complète des lois promulguées sur les décrets de l'assemblée nationale, imprimée par ordre de l'assemblée nationale", tome 12, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5685361x/f434.image.r=Tr%C3%A9gourez.langFR
  13. Daniel Bernard, Recherches sur la Chouannerie dans le Finistère, revue "Annales de Bretagne", 1937, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k115338s/f112.image.r=Perguet.langFR
  14. M.-V. Patault, "Breton Emigration to the United States", cité par Jean Ollivro, "Bretagne. 150 ans d'évolution démographique", Presses Universitaires de Rennes, 2005, (ISBN ).
  15. Témoignage de François Le Floch, de Laz, cité par François de Beaulieu, "Quand on parle du loup en Bretagne", éditions Le Télégramme, 2004, (ISBN ).
  16. "Rapports et délibérations du Conseil général du Finistère", 1869, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5564642h/f293.image.r=Tr%C3%A9gourez.langFR
  17. "Rapports et délibérations / Conseil général du Finistère", août 1880, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5668228b/f436.image.r=Pleuven?rk=107296;4
  18. Rapports du préfet et délibérations du Conseil général du Morbihan, 17 août 1891, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5767341g/f133.image.r=Tr%C3%A9gourez.langFR
  19. Dr A. Charlier, " Le typhus exanthématique au Havre en 1893 : origine américaine de l'épidémie française de 1892-1893", 1894, consultable gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5711877k/f22.image.r=Trégourez.langFR
  20. Journal Le Radical https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k7622873p/f3.image.r=Tr%C3%A9gourez.langFR
  21. Fanch Broudic, "L'interdiction du breton en 1902", Coop Breizh, 1997, (ISBN ).
  22. Journal La Lanterne https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k7509676m/f1.zoom.r=Tr%C3%A9gourez.langFR
  23. Laurent Péron, né le à Trégourez, soldat au régiment d'infanterie, mort le ) à Maissin (Belgique)
  24. Étienne Stervinou, né le à Trégourez, soldat au 1er régiment de marche d'Afrique, mort des suites de ses blessures le à Exissou (Grèce)
  25. Pierre Le Du, né le à Quimper, quartier-maître canonnier, disparu dans le naufrage du Suffren torpillé par un sous-marin allemand U-52 le au large de Lisbonne
  26. Yves Herdiagon, né le à Trégourez, soldat au régiment d'infanterie territoriale, mort des suites de ses blessures dans une ambulance le à Sapicourt (Marne)
  27. Piere Dréau, né le à Trégourez, soldat au régiment d'infanterie, tué à l'ennemi le au Chemin des Dames (Aisne)
  28. Jean Le Moigne, né le à Laz, sergent au régiment d'infanterie, mort des suites de ses blessures le dans une ambulance à Saint-Gilles (Marne)
  29. Maurice Mahé, né le à Trégourez, domicilié au Havre, soldat au régiment d'infanterie, tué à l'ennemi le
  30. Alain Tassain, né le à Trégourez, prêtre à Concarneau, caporal brancardier au régiment d'infanterie, mort des suites de ses blessures le à Cayeux-en-Santerre (Somme)
  31. Memorialgenweb.org - Trégourez : monument aux morts
  32. Journal Ouest-Éclair https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6596841/f16.image.r=Tr%C3%A9gourez.langFR
  33. Georges Hibon, Notes sur la végétation de la Bretagne, "Bulletin de la Société nationale d'acclimatation de France", 1938, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k58069887/f422.image.r=Tr%C3%A9gourez.langFR
  34. Journal Ouest-Éclair https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6253471/f5.image.r=Tr%C3%A9gourez.langFR
  35. http://www.francaislibres.net/liste/fiche.php?index=51062
  36. https://www.ouest-france.fr/la-memoire-dyves-allain-heros-de-la-resistance-honoree-1207424
  37. Éric Rondel, "Crimes nazis en Bretagne (septembre 1941 -août 1944)", Astoure éditions, 2012, [ (ISBN )]


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Héraldique

Blason
Trégourez blasonne au 1 d'azur, à l'agneau pascal d'argent, arboré de sable ; l'étendard chargé d'une croix de même ; au 2 d'argent au dragon ailé de gueules ; au 3 d'hermine ; au 4 d'azur semé de grenouilles d'or ; une croix gironnée d'or de huit pièces portant sur le tout.[réf. nécessaire]
Détails
Les grenouilles rappellent la mémoire du seigneur Wicon et l'étang des grenouilles à Ponthouar. Elles rappellent aussi le paganisme des temps anciens auquel s'oppose le christianisme (l'agneau pascal). En opposition encore, les hermines de la Bretagne ducale ([réf. nécessaire]
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

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Trégourez dans la littérature

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