Le Cloître-Saint-Thégonnec

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Le Cloître-Saint-Thégonnec : descriptif

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Le Cloître-Saint-Thégonnec

Le Cloître-Saint-Thégonnec [lə klwatʁ sɛ̃ tegɔnɛk] (en breton : Ar C'hloastr-Plourin), est une commune du département du Finistère, dans la région Bretagne, en France.

Géographie

La commune, située à 12 Morlaix, a des altitudes comprises entre 300 monts d'Arrée et fait partie du parc naturel régional d'Armorique.

Communes limitrophes du Cloître-Saint-Thégonnec
Pleyber-Christ Plourin-lès-Morlaix
Plounéour-Ménez du Cloître-Saint-Thégonnec Plougonven
Berrien Scrignac

Le territoire communal, très vallonné, est situé sur le versant nord des monts d'Arrée, allant des rochers du Cragou et de la roche Saint-Barnabé, connue en breton sous le nom ar Beg Lemm (littéralement « le bec acéré ») qui est le point culminant avec 290 mètres d'altitude, au sud (dans cette zone, le territoire communal déborde un peu sur le versant sud des monts d'Arrée jusqu'à la tourbière du Mendy), qui forment un alignement presque ouest-est de hauteurs et de rochers qui culminent à plusieurs endroits à 282 mètres d'altitude et qui forment la limite avec la commune de Scrignac à peine plus de 100 mètres d'altitude au nord-ouest, là où le Queffleut qui se faufile entre d'énormes blocs de rochers et forme limite séparative à l'ouest avec les communes de Plounéour-Ménez et Pleyber-Christ et qui s'écoule vers le nord en direction de la rivière de Morlaix, quitte la limite communale. À l'est, un autre cours d'eau à vallée encaissée, le Jarlot, lui aussi tributaire de la rivière de Morlaix, sépare la commune de celle de Plougonven. La limite nord, avec Plourin-lès-Morlaix, s'appuie également pour la majeure partie de son tracé sur le vallon encaissé d'un petit affluent de rive droite du Queffleuth, puis plus à l'est après un petit interfluve, sur un vallon d'un petit affluent de rive droite du Jarlot. Le bourg est excentré nettement vers le nord au sein du territoire communal.

Ces divers cours d'eau, séparant la commune de ses voisines, ont permis les siècles passés l'implantation de nombreux moulins (principalement « à papier »), situés selon la rive où ils se sont implantés sur le territoire de la commune, soit sur ceux des communes voisines (voir Plounéour-Ménez, Pleyber-Christ, Plougonven, Plourin-lès-Morlaix).

Le bourg du Cloître-Saint-Thégonnec est à l'écart des axes de circulation principaux qui empruntent des itinéraires de direction méridienne passant plus à l'ouest sur le plateau (voie romaine) ou, plus souvent dans les vallées du Queffleuth (départementale 769 Carhaix-Morlaix, ancienne nationale 169) ou du Jarlot : ancienne voie ferrée à voie étroite du Réseau breton (halte du Cloître- Lannéanou près du hameau de Kermeur dans la commune de Plougonven) de son ouverture en 1891 à sa fermeture en 1962 pour le trafic marchandises et 1967 pour les voyageurs. La « butte du Télégraphe », située juste au sud du bourg, le domine du haut de ses 256 mètres d'altitude. Elle doit son nom à un relais du télégraphe Chappe qui se trouvait à son sommet.

Victor-Eugène Ardouin-Dumazet fait en 1910 cette description sévère des environs de la gare du Cloître-Lannéannou :

« En pleine lande, au fond d'une large cuvette, la gare du Cloître-Lannéannou est isolée, fort loin des deux villages do,t elle porte les noms. Site sinistre par les temps gris ; la lande s'étend à l'infini, revêt les pentes, entoure des hameaux misérables. Vers le sud une ride porte Bouillard, Kergreis, Kermeur, Kerléoret, qui sont parmi les plus tristes séjours de l'Armorique. Ils contemplent, vers l'intérieur du pays, un paysage étrange et morne : des marais où l'on récolte de la tourbe, des pentes couvertes de landes s'élevant jusqu'à une arête rocheuse. (...) Les rochers du Cragou constituent la partie la plus curieuse des Monts d'Arrée (...) Vus du fond de la vallée du Squiriou, vus surtout des abords des beaux bois de Lestrezec, ils sont merveilleux de forme et de teinte, se détachant violacés et tourmentés sur le fond délicat du ciel d'un bleu gris, infiniment doux. »

Le Cloître-Saint-Thégonnec possédait plusieurs zones marécageuses, dénommées yun (ou yeun) en breton : le Yun vraz à Quillien, le Yun an Nergoat au sud-ouest de Nergoat, le Yun ar Brouillard entre Le Brouillard et les rochers du Cragou, le Yun Creac'h Ménory entre Créac'h Ménory et Quillien. « Ils comportaient des vasières où les troupeaux ne devaient pas aller, sauf à se retrouver enfoncés jusqu'au ventre et peut-être totalement ». Mais « les paysages (...) ont beaucoup changé (...). De grosses erreurs ont été commises, comme le drainage de certains marais : ainsi, dans le Yun vraz, on a planté des résineux qui végètent car le terrain ne leur convient pas. De même la vasière de Bouillon vraz, à Quillien, a été asséchée par le drainage ; celle de Croas an Laeron a été comblée et a même servi de décharge publique pendant de nombreuses années. (...) Certaines collines, défrichées, sont maintenant couvertes, une bonne partie de l'année, par d'immenses parcelles de maïs, qui nécessitent un grand apport d'engrais chimiques ».

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Finistère nord, caractérisée par une pluviométrie élevée, des températures douces en hiver (. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Monts d'Arrée », avec des hivers froids, peu de chaleurs et de fortes pluies.

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 amplitude thermique annuelle de 11,4 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Pleyber-Christ à 6 vol d'oiseau, est de 11,7 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

  1. Cartes au 1/25000e de L'IGN 0616 ouest Morlaix et 0616 est Plouigneau
  2. Victor-Eugène Ardouin-Dumazet, "Voyage en France", 1910.
  3. François Mallégol, "Orages de guerre sur l'Arrée", Skol Vreiz, 2008, [ (ISBN )]
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous la forme Le Clouestre en 1462.

Le Cloître (-Saint-Thégonnec) doit son origine à l'abbaye du Relec.

Histoire

Préhistoire et Antiquité

Des traces de présence humaine préhistorique appartenant au « groupe de Bertheaume » (des silex venus d'une quarantaine de kilomètres et transportés là depuis le littoral) remontant au mésolithique moyen ont été trouvées au Quillien.

Le menhir de Kermorgant à une hauteur de 4 mètres et une largeur d'1,20 mètre.

La voie romaine Carhaix (Vorgium) - Morlaix passait par la partie ouest du territoire communal, selon un tracé encore nettement visible sur les cartes, passant sur le plateau parallèlement et à l'est de la vallée du Queffleuth par le Pont du Briou au sud, passant à l'est du hameau de Kermorgant, et poursuivant vers le nord en direction de Morlaix.

Moyen Âge

Le Cloître-Saint-Thégonnec était une simple trève de la paroisse de Plourin, une des paroisses primitives de l'Armorique et appartenait au diocèse de Tréguier. Une autre partie de son territoire, au sud-ouest, dépendait au Moyen Âge de l'abbaye du Relec dans l'évêché de Léon, ce qui expliquerait le nom de « Cloître » porté par la trève dénommée Le Clouestre en 1462 et Cloestre au .

Au Moyen Âge, la partie trégorroise de la commune dépendait de la seigneurie de Bodister, la plus puissante du Trégor, dont le château fort était situé à 1,5 Plourin-lès-Morlaix (il n'en reste que quelques ruines au bord d'un étang à Castel-ar-Sal).

Révolution française

Carte de Cassini (XVIIIe siècle) : la région du Cloître-Saint-Thégonnec.

Le territoire actuel fut unifié lors de la création de la commune sous le nom de « Cloître-Plourin » en 1791, la commune de Plourin-les-Marlaix acceptant d'ailleurs mal cette séparation. La nouvelle commune dépendit d'abord un temps du canton de Plougonven avant d'être rattachée à celui de Saint-Thégonnec. Ce n'est qu'en 1955 que la commune prit son nom actuel par référence à son chef-lieu de canton : Saint-Thégonnec. Une anecdote locale dit : « Le Cloître est « Le Cloître-Plourin » pour les trégorrois, « Le Cloître-St-Thégonnec » pour les léonards. »

En 1791, un vicaire de la commune, Antoine Moreau, refusa de prêter serment de fidélité à la Constitution civile du clergé ; déguisé en paysan, il fut néanmoins arrêté à Lannédern en 1793, détenu à Audierne avant d'être bagnard sur les pontons de Rochefort.

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Selon des statistiques agricoles publiées en 1849 et concernant selon les productions des années comprises entre 1836 et 1846, la population agricole en 1836 est de 1 417 personnes, soit la totalité de la population communale la même année. La répartition de l'occupation des terres est alors la suivante : 815 ha de terres arables, 1 603 avoine, 81 ha de froment, 82 ha d'orge, 107 ha de seigle, 98 ha de sarrasin, 8 ha de lin, 7 ha de chanvre, 16 ha de navets, betteraves, carottes et choux (dont 13 ha de navets), 41 ha de trèfle, 40 ha de pommes de terre, 1 496 ajoncs d'Europe et 245 ha restaient en jachère, et élevaient 402 chevaux (200 mâles, 120 juments, 82 poulains), 737 bovins (dont 402 vaches), 214 porcs, 69 ovins (2 béliers, 11 moutons, 20 brebis, 36 agneaux), 411 poules et 57 coqs, et possédaient 121 ruches à miel.

Le , Jean-Marie Madec, et le , Pierre Berrehar, habitants de la commune, reçurent les dernières primes de destruction allouées à un loup tué dans les monts d'Arrée (même si quelques loups furent tués ou aperçus ensuite dans la région, le dernier loup tué l'étant à Pencran en 1895).

Anatole Le Braz a fait de la commune la description suivante en 1894 : « Un soir d'août, je débarquais au Cloître-Plourin, petite halte de la ligne de Carhaix, perdue dans une steppe marécageuse, au milieu d'une région de tourbières éventrées, étalant çà et là des lèpres noires et des miroirs d'une eau stagnante et sinistre. J'avais dessein de visiter les Kragou [landes du Cragou], sortes de vagues en pierre, rebroussées dans la direction de l'ouest, qui hérissent de leurs crêtes étranges cette partie de la montagne d'Aré. Je pris la seule route qui s'offrait à moi, un de ces chemins primitifs, fait de deux ornières enserrant une sente herbeuse et qui, selon l'adage breton, ne sont guère fréquentés que du chariot des âmes en peine [allusion à l'Ankou] ».

En 1899, Le Cloître-Saint-Thégonnec fait partie des dix-huit seules communes du département du Finistère à déjà posséder une société d'assurance mutuelle, forte de 21 adhérents, contre la mortalité des animaux de ferme, qui assure les chevaux et les bêtes à cornes.

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La Première Guerre mondiale

Le monument aux morts du Cloître-Saint-Thégonnec porte les noms de 72 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale. François Le Roux, charron et menuisier à Pont ar Briou, titulaire de la Croix de guerre avec deux citations, ainsi que de la Médaille militaire, fut fait chevalier de la Légion d'honneur le .

L'Entre-deux-guerres

Dans la décennie 1930, Le Cloître disposait de trois cafés-restaurants (dont un faisait hôtel) et de sept autres cafés (dont six situés le long de la RN 169, actuelle RD 769) allant de Morlaix à Carhaix. La commune possédait par ailleurs trois épiceries, un moulin et un moulin-boulangerie, une autre boulangerie, un forgeron, un ferrailleur-chiffonnier, un bourrelier, deux mécaniciens (pour les vélos principalement), un tailleur pour hommes et plusieurs couturières, trois menuisiers-charpentiers, une scierie, un sabotier, deux couvreurs et plusieurs maçons, un débit de tabac équipé d'une cabine téléphonique, un fabricant de meubles, trois entrepreneurs de travaux agricoles, deux entreprises de transport avec cars et taxis, 

La Seconde Guerre mondiale

Le dimanche , jour du pardon des jeunes, sept adolescents montèrent sur l'étang du Relecq imprudemment à bord d'une barque prévue pour deux ou trois personnes. Six d'entre eux, qui étaient originaires du Cloître-Saint-Thégonnec, se noyèrent.

Le monument aux morts du Cloître-Saint-Thégonnec porte les noms de 14 personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale. Parmi elles, Yves Berréhar, tué le lors du mitraillage de la place de la Mairie par deux avions anglais ; Alain et Jean Abgrall (un enfant de 11 ans) abattus par un soldat allemand le à Penmerguèz lors d'une rafle consécutive au meurtre d'un motard allemand par la Résistance au carrefour de Roz Valan, car ils avaient tardé à sortir de leur maison ; Jean-Yves Herry, arrêté par la Feldgendarmerie en même temps que d'autres maquisards plourinois le et fusillé le dans une carrière près de Nergoat ; François Fichou, tué le lors des combats au Plessis ; Émile Madec, tué accidentellement le par l'explosion d'engins de guerre qu'il avait stocké ; Lucien Pinson, tué le par l'explosion d'un engin de guerre alors qu'il travaillait dans une garenne. Jean-Yves Ropars, membre du réseau de résistance Libé-Nord, fut fusillé le à Plouigneau.

Plusieurs membres de la famille Guyomarc'h, de Penn ar Quinquis, furent arrêtés par des gendarmes français pour faits de résistance le  ; deux, Albert et Pierre, furent déportés au camp de concentration de Sachsenhausen ; un autre frère Jean Guyomarc'h parvint à s'évader, se cacha pendant trois semaines à Trédudon-le-Moine (en Berrien) ; il aida par la suite Daniel Trellu à reconstituer le Front national de Lutte pour la Libération et l'Indépendance de la France et les FTPF du Finistère au printemps 1943, ayant comme pseudonyme "lieutenant-colonel Pascal" ; ensuite il fut membre de la direction nationale des Jeunesses communistes.

Le "Pont Corrolloù" (Pont aux danses) fut construit sur le « Dour Ruz » par les Allemands sous l'Occupation pendant la Seconde Guerre mondiale.

Un avion américain Boeing B-17, du US Air Force, qui revenait après avoir bombardé Lorient s'écrasa le dans un champ près du village de Kervellec en Plourin-les-Morlaix, mais plusieurs des aviateurs sautèrent en parachute sur le territoire de la commune du Cloître ; quatre d'entre eux furent cachés par la population et purent par la suite s'évader de France ; cinq aviateurs furent toutefois capturés par les Allemands et un, Joseph C. Melaun, fut tué dans l'avion.

La commune a été le théâtre de combats entre les troupes américaines et allemandes lors de la Libération :

« Cette bourgade tranquille des Monts d'Arrée a été traversée et blessée par la guerre, au cours des combats meurtriers du  (trois jours avant la libération de Morlaix) entre une colonne américaine et des unités allemandes. (...) Venant de Lannéanou, vers 11 h. du matin, les Américains ont tout d'abord été bloqués au lieu-dit Croas ar Laeron pendant plus de deux heures ; ils ont perdu une dizaine d'hommes, ainsi que plusieurs Jeeps et des véhicules blindés légers. Les Allemands ont eu plus de vingt tués. Progressant vers Le Cloître, la colonne américaine est entrée dans le bourg. (...) Faisant ensuite route vers Le Plessis, les Américains ont été à nouveau immobilisés, trois de leurs chars étant détruits et plusieurs dizaines d'hommes tués. Le combat a duré jusqu'à la nuit et s'est prolongé pendant une bonne partie de celle-ci. Ce n'est qu'au matin que la colonne américaine a pu reprendre sa progression vers l'ouest en direction de Brest. »

Les Allemands auraient eu plus d'une trentaine de morts (28 soldats allemands sont enterrés dans le cimetière allemand de Ploudaniel-Lesneven), membres du  division d'infanterie, et 22 soldats américains, membres du commando command B, de la  division blindée américaine, tués dans les combats du Cloître ou des environs sont inhumés (ou commémorés pour les disparus) dans le cimetière américain de Saint-James (dans les deux cas, les listes des morts ne sont pas exhaustives); l'affrontement fit un mort et plusieurs blessés parmi la population locale.

Le bourg du Cloître fut libéré le après des combats qui provoquèrent des dégâts à plusieurs maisons victimes des obus. La flèche de l'église paroissiale fut abattue par un obus américain ; elle fut reconstruite en 1947.

L'après-Seconde-Guerre-mondiale

L'électrification du bourg date du , la campagne étant progressivement électrifiée les années suivantes.

Dénommée Le Cloître, par décret en date du , la commune portera désormais le nom de Le Cloître-Saint-Thégonnec pour la différencier d'autres communes portant le même nom, dont Le Cloître-Pleyben.

  1. Estelle Yven, Grégor Marchand, Olivier Kayser, Stéphane Blanchet, "Bulletin de la Société préhistorique française", Année 2006, Volume 103, Numéro 3, pages 507-517, consultable http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/bspf_0249-7638_2006_num_103_3_13469?_Prescripts_Search_tabs1=standard&
  2. «  », sur megalithes-breton.fr (consulté le ).
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  4. «  », sur stmartinanimation.free.fr (consulté le ).
  5. Christian Kermoal, Les notables du Trégor, , 493 ISBN , lire en ligne), p. 1812.
  6. Inventaire Général du Patrimoine Culturel, «  », sur patrimoine.region-bretagne.fr, (consulté le ).
  7. Jean-Marie Abgrall et Paul Peyron, "Notices sur les paroisses : Cloître-Plourin", Bulletin de la commission diocésaine d'histoire et d'archéologie, Quimper, http://catholique-quimper.cef.fr/diocese/bibliotheque-1/base-de-donnee-notices-sur-les-paroisses/le-cloitre-plourin.pdf/view
  8. Jean-Marie Éléouet, " Statistique agricole générale de l'arrondissement de Morlaix", imprimerie de J.-B. Lefournier aîné (Brest), 1849, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1257176/f2.image.r=bovins.langFR
  9. Anatole Le Braz, "Au pays des pardons", Caillière et Lemerre, 1894, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k102818k.image.hl.r=Clo%C3%AEtre-Plourin.f131.langFR
  10. Compte-rendu et procès-verbaux, « Association bretonne, Classe d'agriculture », Saint-Brieuc, 1901, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5566957m/f68.image.r=Ploudaniel.langFR et https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5566957m/f91.image.r=Ploudaniel.langFR
  11. a et b http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/resultcommune.php?insee=29034&dpt=29&idsource=14773&table=bp03
  12. a b c et d Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Mallégol
  13. Jean-Yves Herry, né le à Plourin-les-Morlaix, mais habitant Le Cloître
  14. Daniel Trellu, dit "colonel Chevallier", né le à Quéménéven, instituteur, décédé le à Brest
  15. L'écho de Pors-Ruz (revue d'histoire locale de la commune de Pleyber-Christ) numéros 58 et 59, année 2010
  16. Cette colonne américaine, la Combat Command B, de la 6e division blindée américaine, venait de Normandie via Loudéac et Rostrenen, une autre colonne, la Combat Command A, de la même dision, progressant plus au sud, via Guémené-sur-Scorff et Huelgoat, toutes les deux en direction de Brest
  17. Via Lesneven en évitant Morlaix puissamment défendu par environ 3 500 hommes de la 266e division d'infanterie allemande, voir Éric Rondel, "La libération de la Bretagne" , éditions Ouestetcompagnie, 2014, (ISBN ).
  18. Journal officiel du 2 juin 1955, page 5602

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