Saint-Moré

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Saint-Moré : descriptif

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Saint-Moré

Saint-Moré est une commune française située dans le département de l'Yonne, en région Bourgogne-Franche-Comté. Elle est connue en particulier pour ses grottes (préhistoire) et le camp antique de Cora-Villaucerre (histoire gauloise et gallo-romaine).

Géographie

Situation

Saint-Moré est dans le sud du département de l'Yonne, sur la D 606 (ancienne nationale 6) entre Auxerre (35 sous-préfecture Avallon (17 Vézelay est à 17 Nièvre à quelque 22 A6.

Le parc naturel régional du Morvan commence à moins de 7 ,.

Saint-Moré se trouve en rive gauche de la Cure dans une ancienne anse de la rivière, anse dont les extrémités sont marquées par des gués : le gué du Pont (au sud) et le gué de Nailly (au nord). Citons aussi le gué Noère (appelé "gué Nocret" sur la carte d'état-major actuelle de Géoportail), emprunté par la via Agrippa de l'Océan (Lyon-Boulogne) qui traversait la Cure en bordure du village.

Hydrographie, relief

L'hydrographie de la commune est dominée par la Cure, important affluent de l'Yonne et donc sous-affluent de la Seine. Cette rivière traverse la commune plus ou moins en droite ligne du sud au nord jusqu'à 1,3 Arcy-sur-Cure au nord. Après quoi elle quitte la commune pour entrer sur celle d'Arcy-sur-Cure.

Toute sa vallée sur la commune est très encaissée. La rivière a taillé dans le calcaire corallien une vallée méandreuse aux flancs parfois si abrupts qu'on parle aisément de falaises ; le centre du village est à 130 .

Géologie

Dans ce calcaire corallien, la rivière a aussi creusé les grottes de Saint-Moré dans le nord de la commune, à environ 1,2 Cure en rive droite, dans un méandre de la rivière, du côté concave où le courant frappe de face la paroi. Sur ces points elles ont les mêmes caractéristiques que les grottes d'Arcy-sur-Cure situées 1 500 mètres en aval.

Outre cet ensemble particulier de grottes, la commune a aussi d'autres grottes dont celles qui suivent, explorées par le spéléo-club de Chablis :

  • Fontaine du Bienheureux Saint-Moré
  • Abri du Camp
  • Abri des Chaumes
  • Grotte du Crot Canat (développement 33 m)
  • Grotte de l'Hogane (développement 16 m)
  • Grotte de la Louise (développement 7 m)
  • Puits de la Malpierre (développement 8 m)
  • Gouffre de la Mardelette (développement 47 m, dénivelé -27 m)
  • Gouffre de la Mardelle (développement 65 m, dénivelé -25 m)
  • Grotte Moricard (développement 18  : l'abbé Parat, qui lui donne un développement de 25 Bronze final. Elle est à la pointe nord-est du mont du camp de Cora. Les spéléologues qui l'ont examinée mentionnent un courant d'air notable.
  • Grotte du Moricard n° 2 (développement 10 m)
  • Grotte de MP
  • Grotte du Pont (développement 40 m)
  • Grotte de la Roche Godin (développement 12 m, dénivelé +2 m)
  • Grotte du Talus (développement 7 m)
  • Gouffre de Vosbille (développement 32 m, dénivelé -19 m)

Réseau routier

La départementale D 606 (ancienne nationale 6) d'Auxerre à Avallon traverse la commune du nord au sud par la vallée de la Cure en rive droite (côté Est) de la rivière.

La D 950 traverse le sud de la commune, reliant Mailly-la-Ville (sur la rivière Yonne, à 10 Voutenay-sur-Cure, et à la D 606.

Les autres routes de la commune sont de petites routes de campagne, comme la route de Montillot vers le sud-ouest, d'abord « C2 » de Saint-Moré à la D 950 puis prolongée en chemin « C » jusqu'à Montillot,.

La sortie 21 « Nitry » de l'autoroute A6 est à 14 .

Transports ferroviaires

La voie de chemin de fer Auxerre-Avallon traverse la commune du nord au sud. Côté nord elle sort de la commune environ 80 .

Saint-Moré est sur la ligne de Cravant - Bazarnes à Dracy-Saint-Loup, dont la gare la plus proche est Arcy-sur-Cure. Il y a aussi des gares à Sermizelles (même ligne, au sud) et Châtel-Censoir (à l'ouest, 20 ).

Les gares de grandes lignes les plus proches sont Avallon, Auxerre et Laroche-Migennes.

Communes voisines

Les noms en gras sont ceux des communes limitrophes. Saint-Moré en a quatre : Arcy-sur-Cure, Précy-le-Sec, Voutenay-sur-Cure et Blannay.

Distances et positions relatives des communes voisines
Saint-Moré
Précy-le-Sec
(4,8km)
Girolles (7,0km)
Voutenay-sur-Cure (1,8km)
Sermizelles (4,6km)
Givry (6,5km)
Blannay (5,3km)
Montillot (7,6km)
Bois-d'Arcy (5,5km)
Brosses (7,6km)
Mailly-la-Ville
(7,5km)
Arcy-sur-Cure
(3,2km)
Bessy-sur-Cure (5,7km)
Lucy-sur-Cure (6,4km)

Hameaux et lieux-dits

Château du Crot.

Nailly et le Vieux Moulin sont en rive droite (côté est) de la Cure, en aval du pont de Saint-Moré. Deux autres hameaux, La Vernoce à l'ouest du bourg et la Croix au sud dudit, partagent la petite plaine en bord de rivière. La Jarrie, dans le sud de la commune à 3,5 Arcy-sur-Cure.
Il y a aussi le château du Crot et ses dépendances, pratiquement attenant au bourg côté nord-est.
D'après la carte d'état-major, ce sont les seuls hameaux de la commune.

Par contre les lieux-dits sont relativement nombreux.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 .

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 amplitude thermique annuelle de 15,8 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Merry-sur-Yonne », sur la commune de Merry-sur-Yonne à 10 vol d'oiseau, est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 776,9 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,7 ,,.

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

  1. a b c d e f et g «  », sur google.fr/maps.
    Les distances par route entre deux points donnés sont calculées dans le panneau latéral (voir l'onglet en haut à gauche de l'écran - cliquer sur "itinéraires").
  2. a b c d e f g h et i « Saint-Moré, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques », « Limites administratives » et « Hydrographie » activées. Vous pouvez bouger la carte (cliquer et maintenir, bouger), zoomer (molette de souris ou échelle de l'écran), moduler la transparence, désactiver ou supprimer les couches (= cartes) avec leurs échelles d'intensité dans l'onglet de "sélection de couches" en haut à droite, et en ajouter depuis l'onglet "Cartes" en haut à gauche. Les distances et surfaces se mesurent avec les outils dans l'onglet "Accéder aux outils cartographiques" (petite clé à molette) sous l'onglet "sélection de couches".
  3. Parat 1909, p. 3.
  4. a et b Spéléométrie Icaunaise, «  », sur scchablis.com (consulté le ). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article.
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  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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Histoire

Préhistoire et proto-histoire

L'occupation du lieu remonte loin dans le temps. La commune comporte 21 grottes principales dont dix ont livré des vestiges de l'homme.
Les grottes de Saint-Moré, qui rassemblent 15 grottes principales, ont été occupées il y a 200 000 ans. Les ouvertures des grottes sont orientées vers le sud. Elles ont été creusées par la rivière qui a également entaillé le calcaire corallien du sous-sol géologique, formant ainsi de véritables falaises par endroits. 1 500 mètres en aval, en rive gauche, se trouvent les grottes d'Arcy-sur-Cure, en position similaire (calcaire corallien, falaises, côté concave de méandre),.

Sur la commune, le Moustérien est représenté à la grotte du Mammouth (Côte de Char) et la grotte du Crot-Canat qui a livré des fossiles de cette époque et qui a à son entrée deux crânes posés sur dalle et entourés de pierres debout.
L'abbé Parat signale que les grottes de la Roche Moricard, de la Roche Percée et d'autres grottes ont livré des poteries et des fusaïoles, mais ne précise pas les périodes d'origine autrement que par le titre d'« époque préhistorique », qui inclut toute chose avant son « époque gauloise ». Il précise seulement que « d'autres (grottes) seraient de l'époque du Bronze ». De fait, l'âge du bronze est bien représenté aux grottes de la Côte de Chair, notamment le Bronze moyen et le bronze final,.

Au lieu-dit Beugnon, à 2,5 .

La Côte de Chair est surmontée des vestiges d'un camp antique du nom éponyme de « camp de la Côte de Chair » (ne pas confondre avec le camp antique de Cora au sud de Saint-Moré). Ces vestiges incluent une enceinte semi-circulaire de murs de 400 .

À 1,1 , le camp antique de Cora a d'abord été un petit stationnement néolithique puis un gros stationnement de l'âge du bronze - bien avant d'être le camp gallo-romain pour lequel il est connu. Il a aussi livré des monnaies des Éduens et des Lingons.

Époque gallo-romaine

Mur du camp de Cora.
Le camp de Cora

À Cora, un camp romain se superpose au camp préhistorique. Des remparts sont construits en pierre du pays sur le retranchement, avec 185 contreforts.
Le site de Cora est mentionné dans la Notice des Dignités de l'Empire, où l'on apprend que le lieu serait défendu par un détachement de Sarmates. La liste des paroisses du règlement d'Aunaire au  siècle donne Coræ-vicus. Et Ammien Marcelin ( s.) le mentionne également.

Le Coræ vicus de l'époque est constitué d'un groupement de villas. Plusieurs endroits ont livré fondations, tuiles et poteries. Et surtout, l’endroit possède un pont, rare à l'époque.

Naissance de Saint-Moré

Une étude de l'INRAP en 2010 date les plus anciens vestiges d'habitations du village aux années 20‑30 apr. J.‑C., c'est-à-dire une cinquantaine d'années après la construction de la via publica qui relie Autun et Auxerre, tronçon local de la de l'Océan. Ces constructions, en bois et autres matériaux périssables, sont des forges ; elles fonctionnent jusqu’au remodelage complet du village à la période flavienne (de 69 à 96). La plupart des constructions deviennent alors des lieux d'habitation ou de commerce dont l’essentiel vise les services aux voyageurs, en particulier l'hôtellerie, sur cette voie de communication majeure. L'une de ces maisons, au coin de la rue de la Cure et de la rue de la Croix, a été l'objet de prospections magnétiques par M. Roche en 2011.

D'autres vestiges archéologiques ont été retrouvés au bronze (Minerve et Vénus) et de très nombreux sarcophages.

La « villa Cérès », une halte routière

En 1807 le colonel Lefebvre-Nailly fait faire dans le parc de son château des fouilles qui révèlent sur le bord Est de la voie romaine une , mesurant 73 × 47 ,,. Le corps de logis, orienté vers la Cure, mesure 26 × 16  ou 24 × 16 . Les murs épais de 60  dont deux en hémicycle, et des dépendances bordent la voie.
Des objets y sont découverts, entre autres une statue de Cérès de l'époque de la décadence de l'empire romain, de facture médiocre - cette statue était en 1921 au musée de l'Avallonnais, avec une copie au musée d'Archéologie nationale de Saint-Germain-en-Laye,. La villa est subséquemment surnommée « villa de Cérès ».
En 1852, une nouvelle campagne de fouilles archéologiques révèle des pierres sculptées et les fondations d'un mur dans le clos du château.
L'endroit est fouillé de nouveau dans les années 1860 par E. Paillier.
De nouvelles fouilles archéologiques dirigées par l'abbé Parat vers 1896 explorent le côté ouest de la voie, vers la rivière ; d'autres fouillent vers l'église, et des sondages sont réalisés entre ces deux endroits : « partout des substructions, des tuiles à rebords, de la poterie à vernis rouge dite samienne ». Les constructions gallo-romaines recouvraient environ 250 × 150 . Ces fouilles permettent aussi le tracé de la villa Cérès.

Les fouilles de l'INRAP en 2010 sont complétées en 2011 par M. Roche avec des prospections magnétiques sur la villa,. Le plan général est celui d'un bâtiment (24 × 16 thermes sont placés un peu excentrés. Ce plan général ne correspond pas au plan-type d'une villa comme ici en environnement bâti, mais à une halte routière probablement réservée à une clientèle aisée, notamment les hauts fonctionnaires passant sur la voie qui draine entre autres destinations tout le trafic vers la Grande-Bretagne.

Les villae

Une petite villa se trouvait au lieu-dit des Renaudons (à 2 ) ; des fouilles y ont mis au jour un petit autel domestique, des tuiles et une colonne carrée à base élargie, moulurée, au sommet creux avec rebords (cette colonne se trouvait en 1919 au musée d'Arcy).

Quatre autres sites de villae sont connus : les Coulanges, occupé jusqu'au haut Moyen Âge ; Gaudrée (en rive gauche en face des grottes de Saint-Moré), densément occupée au  siècle et durant le haut Moyen Âge, vestiges en partie détruits lors de la construction du chemin de fer ; Sous les Roches, au pied des grottes ; le Champ de la Cour, occupé depuis le .

Aqueduc

Un petit aqueduc amenait l'eau de la source dite « fontaine de Saint-Moré » sur environ 600  jusqu'à la villa de Gaudrée. Cette source se trouve sur le chemin qui prolonge la route d'accès à la station de pompage en rive gauche en aval de Saint-Moré - bien qu'en 1876 elle était dite « détruite » ; le même texte la qualifie de « miraculeuse ».
L'aqueduc a été (re-)découvert en 1872 ou 1873. Une petite monnaie des Ségusiens a été trouvée à proximité.

Les grottes de Saint-Moré

Les grottes sont occupées de façon ponctuelle aux . La grotte de Nermont livre des monnaies du Bas-Empire, la grotte de la Cabane une poterie et des monnaies de Constance. Une pierre fine est trouvée en plein champ, gravée en intaille et représentant une tête de soldat casqué.

Poste-frontière au IVe siècle

Avec le détachement d'Auxerre (érection en cité autonome) et d'Autun au Vau de Bouche,.

Antiquité tardive

Des sarcophages et des bijoux mérovingiens (Antiquité tardive) sont mis au jour dans le cimetière bordant l'église à l'époque des fouilles Parat. Ils sont accompagnés de plaques de ceinturon en bronze et de perles de verre et de faux ambre qui ont été dirigées sur le musée de l'Avallonnais.
Entre la villa Cérès et le cimetière de l'église se trouvait une rangée de sarcophages orientés à l'est ; l'un d'eux contenait un scramasaxe.
Encore d'autres sarcophages ont été trouvés sous la maison en face de l'église, avec un fer de lance.
Un sarcophage à Cora était accompagné d'une petite monnaie d'argent du  siècle portant des dessins géométriques.
Dans le cimetière en rive droite de la Cure à l’est de Nailly, d'autres sarcophages ont été dévoilés ; ils étaient pillés, sans mobilier.

Moyen Âge

En 596 le règlement de saint Aunaire, évêque d'Auxerre (572-605), inclut Coraevicus dans les trente principales paroisses du diocèse.

En 1084, Yvon d'Avallon donne à l'abbaye de Molesme l'« église de Saint Moré ». Selon Héric ( s.), Moderatus était un enfant martyr du  ; sa dépouille a été transférée à Auxerre et placé en 850 dans la crypte de l'abbaye Saint-Germain. Par une charte à la suite de la précédente, Eldred de Vézelay et Thibaut Resbet, sa femme et sa sœur, donnent à Molesmes la chapelle de Nailly (de Nalleiaco), située en bas du cimetière à sarcophages, et tout le manoir avec la moitié de la dîme. Au  siècle cette chapelle est toujours debout : c'est une maison d'habitation avec des fenêtres romaines.

À la Côte de la Dame au pied de Cora, dans les champs anciennement dits Delacour, sont les ruines d'une habitation en pierres de taille. On y a trouvé des monnaies à fleur de lys. Ce pourrait être la maison de l'écuyer Odenin cité au .

Le château est cité en 1463 (le château actuel est du .

Époque moderne

L'abbé Parat signale une « chambre des Dîmes à encadrement mouluré, peut-être du .

En 1765, le village compte 150 habitants. À Lac-Sauvin se trouve une ancienne maison seigneuriale de 1774.

Au cours de la Révolution française, la commune est provisoirement renommée Moré-sur-Cure.

Au tournant du  (une butte à 500 m au nord-est du bourg).

En 1922, d'après abbé Parat, la commune compte 225 habitants.

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  2. a et b «  », sur petit-patrimoine.com (consulté le ).
  3. a b et c Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées geoportlHydro
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  6. a b c et d Parat 1921, p. 129 (p. 133 sur le compteur pdf).
  7. [Poitout et Mordant 1979] Bernard Poitout et Claude Mordant, « Les incinérations du Bronze final des Milosiottes à Noyers (Yonne) », Bulletin de la Société préhistorique française, lire en ligne, consulté le ), p. 61.
  8. [Parat 1909] Abbé Parat, Les Grottes de l'Yonne : la grotte de Nermont et les grottes de la Cure, du Vau-de-Bouche, du Cousain, du Serain et de l'Armancon (extrait du bulletin de la Société des sciences historiques et naturelles de l'Yonne, lire en ligne).
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  32. Parat 1922, p. 3.


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