Larochemillay

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Larochemillay : descriptif

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Larochemillay

Larochemillay est une commune française située dans le département de la Nièvre, en région Bourgogne-Franche-Comté. Ses habitants sont appelés les Millirupétiens.

Géographie

Larochemillay se trouve à 15 nord de Luzy.

Situation et site

Larochemillay se situe dans le Morvan, au pied du mont Beuvray dans le sud-est du département. La commune est située à 24 kilomètres au sud-ouest d'Autun.

La commune est très vaste ; située sur le flanc sud-ouest du mont Beuvray, le village est en situation perchée, dominant la vallée de la Séglise, dite encore ruisseau de la Roche, mais son site forme toutefois paradoxalement une petite cuvette par rapport au site encore plus perché du château éponyme. Les bois sont dominants dans la totalité du finage communal (forêt de Chatillon, etc.). « Les châtaigniers séculaires situés sur la pente du Beuvray sont magnifiques » écrit Gustave Heuzé en 1872.

Le bourg se trouve à 399 mètres d'altitude et la commune fait partie du parc naturel régional du Morvan. Le site accidenté explique que la commune connaît périodiquement des inondations et des coulées de boue, par exemple les 16 et , du 19 au et du 25 au .

Communes limitrophes de Larochemillay
Villapourçon Glux-en-Glenne
Morvan, mont Beuvray
Saint-Léger-sous-Beuvray
(Saône-et-Loire)
Larochemillay Poil
Chiddes Millay

Le mont Touleur ou Thouleur

Le mont Touleur, qui culmine à 582 mètres d'altitude, situé à environ 1 oppidum éduen qui commandait l'un des accès à Bibracte, transformé ensuite en camp romain, qui aurait été détruit probablement en 1474 lors des troubles postérieurs à la guerre de Cent Ans.

Géologie

La région de Larochemillay est formée principalement de porphyre rouge avec nombreux filons de quartz ; des affleurements de granite existent également, ainsi que des gisements de minerai de fer, qui ont été exploités, le Grand dictionnaire universel du Pierre Larousse évoque la présence de mines de fer « à Villapourçon et Laroche-Millay ».

Le bourg et les hameaux

Un temps chef-lieu de canton, mais ayant perdu cette fonction au profit de Luzy, mieux placé par rapport aux axes de transports modernes et à plus basse altitude, le bourg de Larochemillay a conservé, autour d'une grande place centrale où se tenait le marché (il s'y tint un marché par semaine et sept foires par an jusqu'à la Révolution française), des traces de son importance commerciale et administrative passée (ce fut le siège d'un bailliage dont le ressort s'étendait dans tout le sud du Morvan). Le bourg a conservé des ruelles tortueuses, des maisons bourgeoises datant du .

Le hameau de Bois-du-Montceau avait 120 habitants vers 1840. Le hameau de Lavaut avait 285 habitants en 1890 et deux écoles publiques (garçons et filles) ; celui de Mesles avait 66 habitants à la même date et celui de Monjouan 69 habitants.

NB : La liste qui suit n'est pas exhaustive.

  • Bois-du-Montceau
  • Champ Robert
  • Crot des Hates
  • Lavaut
  • le Bouchet
  • les Couturiers
  • Mesles
  • Montodué
  • Monjouan
  • Ruault
  • Saint-Gengoult

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Centre et contreforts nord du Massif Central, caractérisée par un air sec en été et un bon ensoleillement.

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 amplitude thermique annuelle de 16,5 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Avrée », sur la commune d'Avrée à 12 vol d'oiseau, est de 11,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 884,8 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,5 ,,.

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

  1. Gustave Heuzé, "Les Primes d'honneur, les médailles de spécialités et les prix d'honneur des fermes-écoles décernés dans les concours régionaux en France", 1872, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k54398574/f335.image.r=Millay.langFR
  2. a et b  », sur google.com (consulté le ).
  3. Dufrenoy et Élie de Beaumont, "Explication de la carte géologique de la France : publiée par ordre de M. le Ministre des travaux publics. Tome 1", 1841, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k54409235/f137.image.r=Millay.langFR
  4. Pierre Larousse, "Grand dictionnaire universel du https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k205363w/f1004.image.r=Millay.langFR
  5. Jonas Hennery, "Dictionnaire général de géographie universelle ancienne et moderne, historique, politique, littéraire et commerciale. accompagné d'une introduction à l'étude de la géographie dans ses rapports avec l'histoire", tome 1, 1839-1841, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k206096d/f557.image.r=Millay.langFR
  6. Paul Joanne, "Dictionnaire géographique et administratif de la France et de ses colonies. 4, L-M ", 1890-1905, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k73392f/f109.image.r=Millay.langFR
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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Toponymie

Histoire

Anciennement Rupes Militis (Rocher des militaires ou la Roche du soldat), la commune fut nommée Laroche en 1793 (brièvement Rocher-Montagne pendant la Terreur), puis La-Roche-Millay en 1801 avant devenir définitivement Larochemillay. Ce fut longtemps un pont stratégique entre le mont Touleur et le mont Beuvray.

Les origines paroissiales

La paroisse est très ancienne, faisant partie de l'évêché d'Autun (la paroisse ne fut rattachée à l'évêché de Nevers que lors du rétablissement de celui-ci en 1817) et de l'archiprêtré de Luzy, mais ne comprenait jadis guère que le chef-lieu et les hameaux de Couveau, Vanoise et le Verne. Hugues de Ternant, chevalier, légua en 1240 cinq sous à l'église Saint-Pierre de la Roche-de-Milay. Selon Jacques-François Baudiau, « l'église, bâtie ans le centre du bourg, est peu digne de sa destination. Elle se compose d'un chœur, flanqué de deux chapelles et d'une nef. Le curé, François Maudiot, y fit établir en 1628 par le ministère du père Melchior de Vienne, prédicateur capucin, une confrérie du Saint-Scapulaire ».

Une motte féodale dénommée Château d'Auvergne, siège de l'antique seigneurie de Champrobert, est encore partiellement visible, même si le site a été entamé par les carrières de marbre situées à proximité.

Une région longtemps restée isolée, aux transports difficiles

La vallée du ruisseau de Malvaux, comme son nom même l'indique, est étroite, encaissée, froide car elle voit peu le soleil. Le chemin de construction gauloise probablement, a été par endroits taillé dans la roche. Saint Martin faillit y perdre la vie, si l'on en croit la légende, poursuivi par des paysans païens en colère, du côté du Pas-de-l'Âne. Il ne dut son salut qu'à la vigueur de sa monture qui lui permit de franchir la vallée d'un seul bond, d'où les Pas de saint Maurice (ce dernier ayant été confondu par la suite avec saint Martin).

« En gravissant le Beuvray, du côté de Larochemillay, on encontre un rocher à pic surplombant de quinze pieds la vallée,(...) c'est la Roche du Pas-de-l'Âne !.. Une empreinte creusée dans la pierre offre, en effet, l'image grossière du pied de cet animal. Saint Martin, poursuivi par les païens, non loin d'une des pierres consacrées au druidisme, pour échapper au danger, fit franchir une vallée profonde à son humble monture, qui alla s'abattre sur la Roche du Pas-de-l'Âne, où son pied est resté empreint. La vallée ainsi franchie a conservé un nom en rapport avec cet évènement : elle s'appelle le Malvaux, la Mauvaise-Vallée. »

Les clochers de Malvaux sont des roches quasi verticales qui dominent la vallée du ruisseau du même nom, leur verticalité provenant du fait qu'il s'agit là d'anciennes carrières.

Le prieuré de Vanoise

Situé sur le territoire de la paroisse de Larochemillay, le prieuré Notre-Dame de Vanoise, fondé au  siècle par Hugues de la Roche, de l'ordre de l'abbaye bénédictine de Cluny dépendait du prieuré Notre-Dame de La Charité-sur-Loire. Consacré à la Vierge Marie, son culte y fut longtemps très populaire.

L'ancienne paroisse de Saint-Gengoux et l'annexion temporaire de Poil

Larochemillay devient en 1793 chef-lieu du canton de Laroche, et absorbe l'ancienne paroisse de Saint-Gengoux (ou Saint-Guengoult) entre 1790 et 1794, puis Poil, pourtant érigé en commune en 1790, entre 1795 et 1800 (par décision du président du district de Moulins), avant de céder cette dernière en 1860 (décret impérial du ). Saint-Guengoux, situé à 1 kilomètre au sud-ouest du bourg de Larochemillay, a conservé son ancienne église paroissiale devenue chapelle Saint-Gengoult, de style roman et datant du  siècle. Elle est inscrite à l'Inventaire des monuments historiques par l'arrêté du . La chapelle présente des pilastres cannelés avec chapiteaux à décor végétal (modeste imitation de la cathédrale Saint-Lazare d'Autun). ce fut une chapelle de pèlerinage pour les paysans morvandiaux, car saint Guengoult était invoqué pour les affections des yeux et des jambes et pour la protection du bétail.

C'est dans ce hameau que la légende place l'histoire de la fontaine où l'épouse adultère et enceinte de saint Guengoult aurait juré à tort de sa fidélité, perdant instantanément son bras, d'où le quatrain :

« Mesdames, que ceci vous apprenne
Quand vous trahirez vot'serment
A ne pas mettre vot'bras dans la fontaine
De Saint-Gengoux-en-Morvan »

Traditionnellement, chaque , la fête de saint Gengoux attirait près de la fontaine vénérée de nombreux pèlerins venus demander à Dieu, par l'intercession du saint, de protéger les moutons contre la clavelée (variole ovine) ou les mauvais sorts. Le curé de Larochemillay venait dire une messe solennelle dans la chapelle, « engrangeant pieusement les toisons, l'avoine, l'orge, les œuvres, les étoupes et autres offrandes que ne manquent pas de lui apporter les pèlerins qui les déposent sur l'autel, pour les remettre à Dieu bien entendu ».

La chapelle Saint-Gengoult sert de chapelle funéraire à la famille de Rivière dont le château, construit au  siècle d'après Baudiau et Soultrait, est à proximité.

Le | ]

En 1835, Larochemillay disposait déjà d'un bureau de poste.

En septembre 1841, une épidémie de diphtérie commence dans la commune de Larochemillay (un mort) et gagne les communes de Millay (18 morts), Poil (23 morts), Saint-Didier-sur-Arroux (29 morts), Thil-sur-Arroux (14 morts), Étang (5 morts) Charbonnat (3 morts), etc.

Vers 1845, six foires annuelles se tiennent à Larochemillay les , .

Au milieu du  siècle, le gisement de minerai de fer, à cheval sur les communes de Villapourçon, Chiddes et Larochemillay, exploité par la « Compagnie du Creusot », produit 90 tonnes de minerai en 1852 et 935 tonnes en 1853. En 1858, après plusieurs refus antérieurs, le conseil général de la Nièvre vote la création de la commune de Poil, et adopte en 1859 après maintes polémiques, le tracé de la limite communale entre Larochemillay et la nouvelle commune. Cette création devient officielle par le décret du .

La construction d'une « maison d'école » pour les garçons est décidée en 1881 (mais une école existait déjà antérieurement, par exemple en 1849, l'instituteur se nomme Lamethery).

Le | ]

Le désenclavement et la modernité

Larochemillay n'a jamais été desservie par le chemin de fer, mais en , un « service par voiture automobile », puis par autobus est mis en place pour desservir la commune à destination de la gare PLM de Millay, distante de 6 . Ce service, assuré jusqu'en 1939 par M. Gauthey (et momentanément par Georges Toutain entre 1933 et 1935), est repris à cette date par Jean Courault, de Millay.

À partir de 1937, le « syndicat de Luzy-Larochemillay » commence les travaux de construction des travaux d'adduction d'un réseau d'eau potable.

Les guerres du | ]

Le monument aux morts de Larochemillay porte les noms de 110 personnes mortes pour la France pendant les guerres du  siècle dont 95 pendant la Première Guerre mondiale et 15 pendant la Seconde Guerre mondiale.

Vue générale du site des Fraichots, en ruine.

En , le capitaine Paul Sarrette, du Special Operations Executive britannique), ayant le pseudonyme « Louis », joint le Morvan depuis le Jura où il a été parachuté. Secondé par le capitaine Kenneth Mackenzie, il forme un maquis, membre du réseau Libération-Nord, basé d'abord à la Croix de Meux à Poil, puis aux Fraichots à Larochemillay, qui prend son nom : .

Lorsqu'en , les Allemands voulant échapper au débordement sont contraints de passer dans la zone du Morvan pour regagner l'Allemagne, les maquisards des Fraichots multiplient les embuscades, les sabotages, les attaques et contre-attaques et assurent un radio-guidage pour les attaques aériennes de la RAF et les parachutages. Le , deux officiers britanniques sont largués pour coordonner les opérations. Le capitaine Louis et six de ses compagnons sont tués accidentellement le à Chiddes. Ils ne verront pas la libération de Luzy le qui marque la fin des activités militaires du maquis.

  1. Jacques-François Baudiau, "Le Morvand", imprimerie de Fay père et fils, 1867, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5791782r/f484.image.r=Chiddes.langFR
  2. Augustin Joseph Crosnier, "Hagiologie nivernaise, ou Vies des saints et autres pieux personnages qui ont édifié le diocèse de Nevers par leurs vertus", Imprimerie de Fay, Nevers, 1858, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k56131052/f503.image.r=Larochemillay.langFR
  3. René de Lespinasse, "Cartulaire du prieuré de La Charité-sur-Loire (Nièvre), ordre de Cluni", H.Champion, Paris, 1887, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k57548269/f395.image.r=Larochemillay.langFR
  4. "Bulletin officiel du Ministère de l'intérieur", 1860, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5541632n/f4.image.r=Larochemillay.langFR
  5. Lucien Gueneau, Nos bons Saints miracleurs et guérisseurs : monsieur Saint Martin, le bon Saint Gengoux, Imprimerie de la Tribune, Nevers (lire en ligne), page 55.
  6. Lucien Gueneau, Nos bons Saints miracleurs et guérisseurs : monsieur Saint Martin, le bon Saint Gengoux, Imprimerie de la Tribune, Nevers (lire en ligne), page 52.
  7. "Almanach royal et national... : présenté à Sa Majesté et aux princes et princesses de la famille royale", A.Guyot et Scribe, 1835, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k204222j.r=Millay.langFR
  8. D.-Zacharie Daviot, " Relation historique d'une épidémie de diphthéropathie (maladie connue sous les différents noms de stomatite pseudo-membraneuse, angine couenneuse, croup, diphtérie cutanée, etc.), observée dans le département de Saône-et-Loire et de la Nièvre, pendant les années 1841, 1842, 1843 et 1844", 1845, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k54738188/f47.image.r=Millay.langFR et https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k54738188/f51.image.r=Millay.langFR
  9. Eusèbe Girault de Saint-Fargeau, "Dictionnaire géographique, historique, industriel et commercial de toutes les communes de la France et de plus de 20,000 hameaux en dépendant", volume 3, F.Didot, Paris, 1844-1846, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k55500863/f532.image.r=Millay.langFR
  10. "Rapports du Préfet, procès-verbaux des délibérations", Conseil général de la Nièvre, 1854, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k57866247/f93.image.r=Larochemillay.langFR
  11. "Rapports du Préfet, procès-verbaux des délibérations", Conseil général de la Nièvre, 1859, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6155937h/f461.image.r=Larochemillay.langFR
  12. "Rapports du Préfet, procès-verbaux des délibérations", Conseil général de la Nièvre, août 1881, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k58068706/f9.image.r=Larochemillay.langFR
  13. "Rapports du Préfet, procès-verbaux des délibérations", Conseil général de la Nièvre, avril 1930, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k57735824/f150.image.r=Larochemillay.langFR
  14. "Rapports du Préfet, procès-verbaux des délibérations", Conseil général de la Nièvre, mai 1939, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5786572z/f73.image.r=Larochemillay.langFR
  15. "Rapports du Préfet, procès-verbaux des délibérations", Conseil général de la Nièvre, octobre 1937, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5786028t/f17.image.r=Larochemillay.langFR
  16. Memorialgenweb.org - Larochemillay : monument aux morts
  17. D'après un récit de Jean Marie, ancien maire de Chiddes

Héraldique

Blason
Tiercé en pairle renversé: au 1er de sinople au châtaignier d'or, au 2e d'or à deux clés de gueules passées en sautoir, au 3e d'azur au château couvert et girouetté d'ardent soutenu d'une divise ondée du même.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
  1. https://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=20647

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Larochemillay dans la littérature

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