Riotord

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Riotord : descriptif

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Riotord

Riotord est une commune française située dans le département de la Haute-Loire en région d'Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie

Vue générale du village.

La commune de Riotord est frontalière avec le département de la Loire, avec les communes de Marlhes, de Saint-Régis-du-Coin, de Burdignes et de Saint-Sauveur-en-Rue au col du Tracol (1 030 Ardèche et la commune de Vanosc via le col de la Charousse qui s'élève à 1 251 mètres d'altitude. La commune en elle-même se situe à 840 mètres d'altitude.

Localisation

La commune de Riotord se trouve dans le département de la Haute-Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Elle se situe à 57  du Puy-en-Velay, préfecture du département, à 30 , sous-préfecture, et à 21 Tence, bureau centralisateur du canton des Boutières dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales.

Les communes les plus proches sont : Dunières (4,8 Saint-Julien-Molhesabate (5,4 Marlhes (5,7 Saint-Romain-Lachalm (6,6 Saint-Régis-du-Coin (6,7 Saint-Sauveur-en-Rue (8,4 Montfaucon-en-Velay (8,6 Montregard (9,2 km).

Communes limitrophes de Riotord
Marlhes
Loire
Saint-Régis-du-Coin
Loire
Saint-Sauveur-en-Rue
Loire
Saint-Romain-Lachalm Riotord Vanosc
Ardèche
Dunières Saint-Julien-Molhesabate Monestier
Ardèche

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Sud-est du Massif central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 .

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,9 amplitude thermique annuelle de 16,1 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Romain-Lachalm », sur la commune de Saint-Romain-Lachalm à sept km à vol d'oiseau, est de 9,2 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.


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  1. Stephan Georg, «  », sur fr.distance.to (consulté le ).
  2. Stephan Georg, «  », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, «  », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. «  », sur villorama.com (consulté le ).
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. «  », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
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  8. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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  10. «  », sur meteofrance.fr, (consulté le ).

Toponymie

Augustin Chassaing donne pour Riotord les appellations successives de Ecclesia de Rivo Torto (1061,Cartulaire de Saint-Sauveur-en-Rue), Rieutort (1267), Castrum de Rivo Torto (1332), Rioutort (1461), Parochia S. Philiberti de Rivo Torto (1715), la paroisse Saint-Jean de Riotort (1735).

Le nom de Riotord fait référence à un « ruisseau tortueux ». La carte de Cassini donne le nom de Ruisseau Riotort à ce que nous appelons maintenant la Dunerette, entre Riotord et le Pont de Faurie.

  1. Augustin Chassaing et Antoine Jacotin, «  ».

Histoire

L'église

Vers le milieu du 11e siècle, lors de son mariage avec Artaud seigneur de Maleval, Fie Arostani lui apporte en dot la seigneurie d'Argental c'est-à-dire Burdigne, Vanosc, Riotord et Saint Genest-Malifaux plus les terres et seigneuries de Saint Sauveur, Montchal, Vaucance et Saint Julien Molin Molette.

En 1061, Artaud .

La donation de l'église de Riotord (Ecclesia de Rivo Torto) est approuvée vers 1087 par Adhemar de Monteil, évêque du Puy (bien que située partie en Forez, partie en Velay la paroisse de Riotord relevait au spirituel du diocèse du Puy). Le petit appareil très visible à l’extérieur de l’église actuelle sous la fenêtre centrale de l’abside est-il l’ultime témoin de cette église primitive ?

Dès lors, et jusqu’à la Révolution, Riotord fut un « prieuré-cure » c’est-à-dire une paroisse relevant d’un monastère : bénédictins de la Chaise-Dieu puis Jésuites lorsqu’en 1607 le prieuré de Saint-Sauveur -et donc Riotord- fut rattaché au riche Collège des Jésuites de Tournon. Nommés par l’évêque du Puy mais sur la présentation du prieur de Saint-Sauveur -puis du Recteur du Collège de Tournon- les desservants d’un prieuré-cure percevaient les revenus ecclésiastiques de la paroisse (la dîme essentiellement) mais devaient verser au prieur une pension annuelle forfaitaire. Ainsi, par une transaction de 1476 confirmée par décisions de justice de 1593 puis de 1621, le vicaire de l’église paroissiale de Riotord « sera tenu payer audit Prieur la pension annuelle et perpétuelle de cens seize cestiers bléd seigle et quatre cestiers froment et dix sols argent à chaque feste de Toussaints et cent œufs de poule à Pasques et douze agniaux au jour et feste de la Nativité de Saint Jean-Baptiste ».

C'est certainement vers la fin du 11e siècle que fut entreprise - sous le vocable de Saint Jean Baptiste - la construction de l'église actuelle de Riotord sans doute par des moines bâtisseurs de La Chaise-Dieu. Cet édifice roman comprenait primitivement une nef de deux travées seulement et un grand transept sur lequel s'ouvre une abside et deux absidioles en forme de niches peu profondes.

Reconstitution de l’édifice roman primitif (Coupes extraites du « Cours d’architecture romane de l’ancien diocèse du Puy » de Noël THIOLLIER)

L'abside, d'une largeur égale à celle de la nef, est ornée intérieurement de cinq arcades en plein cintre reposant sur des colonnes ornées de chapiteaux sculptés. Elle est voûtée en cul-de-four et percée de trois fenêtres. Seule la fenêtre du fond est d'origine : elle est entourée, à l'extérieur, d'une archivolte reposant sur des colonnettes à chapiteaux décorés de volutes. De chaque côté de l'archivolte ressortent deux têtes de monstre (celle de gauche est très abîmée). Le transept, dont les bras se terminaient à l'origine par un mur plat, est couvert d'un berceau plein cintre. A la manière dont elles viennent s'agencer sur les arcs latéraux on peut penser que les deux travées de la nef étaient voûtées d'arêtes.

Outre les quatre chapiteaux de l'abside, on admirera à l'intérieur 8 autres chapiteaux romans. Parmi les plus remarquables Daniel dans la fosse aux lions, un homme renversé qui soutient sur le ventre la retombée de la voûte, des capricornes (chèvres ailées avec une queue), visages assez grossiers mais ayant beaucoup de caractère (celui de gauche tire la langue, celui de droite ouvre une énorme bouche dentée d'où sortent des feuillages ou des serpents).

1 à la retombée de l'arc triomphal, à droite, chapiteau orné d'entrelacs sur la partie supérieure, tandis que la partie inférieure est couverte de feuillages d'un grand relief 3 et 4 des volutes encadrent un visage assez grossier mais ayant beaucoup de caractère : celui de gauche tire la langue, celui de droite ouvre une énorme bouche dentée d'où sortent des feuillages (ou des serpents?) 8 Daniel dans la fosse aux lions 6 un homme renversé soutient sur le ventre la retombée de la voûte 7 Capricornes (chèvres ailées avec une queue).

Le portail roman, réemployé dans le mur méridional de la travée moderne, n'a ni tympan, ni linteau et son archivolte, décorée d'une frise de fleurs, repose sur deux élégantes colonnettes à chapiteaux assez grossièrement sculptés : celui de gauche est orné de feuillages et celui de droite d'une tête dont la bouche laisse échapper des feuilles.

Le niveau du sol de l'édifice d'origine était semble t-il plus élevé qu'actuellement, probablement au niveau du chœur actuel, ce qui explique que l'on doive descendre quelques marches pour pénétrer dans l'actuelle église.

Cet édifice roman a subi au fil des siècles de nombreuses modifications, plus ou moins heureuses, qu’un examen attentif du bâtiment actuel et quelques rares textes permettent de mieux comprendre.

La chapelle de Notre-Dame de Pitié, chapelle renaissance fondée par Jean Granger en 1543 (l’acte de fondation du est aux archives départementales de la Haute-Loire) est construite contre le bras sud du transept.

En 1607 le pape Paul V réunit le prieuré de Saint-Sauveur - et donc l'église de Riotord - au riche Collège des Jésuites de Tournon. Après leur prise de possession d’importants travaux furent entrepris à Riotord par les Jésuites au cours des 17e et 18e siècles. La grande chapelle des Pénitents (appelée par la suite chapelle Saint-Jean-Baptiste) est construite le long du mur nord, les voûtes sont refaites sur toute la nef, la croisée du transept recouverte d’une voûte sur croisées d’ogives avec un oculus central est surmonté d'un lourd clocher percé de 32 fenêtres, une absidiole semi-circulaire est ajoutée (en 1751) à l’extrémité du bras nord du transept.

Le bâtiment connait de graves destructions durant les troubles révolutionnaires mais dès 1807 des travaux de réparation permettent son classement parmi les Monuments Nationaux, chose rare à cette époque en Haute-Loire.

En raison de l'accroissement de la population on ajouta en 1872-1874 une travée à la nef. La travée ajoutée a été faite, les chapiteaux exceptés, dans le style de l'église et le portail roman fut réemployé dans le mur sud de cette nouvelle travée. Pour la façade neuve l'architecte, qui s'est manifestement inspiré de la cathédrale du Puy, éleva un pignon beaucoup plus haut que la toiture : effet de style ou construction en prévision de la surélévation de l'église ?

L'église de Riotord avait alors l'aspect que nous pouvons apprécier sur les cartes postales du début du siècle. « Jusqu’à présent, elle n’a pas subi de dégradations trop importantes, les restaurations ayant été discrètes et l’agrandissement d’une travée n’ayant pas trop abîmé la silhouette du bâtiment ».

Mais en 1923 - 1925 la nef est surélevée sur toute sa longueur et de chaque côté des deuxième et troisième travées trois fenêtres vont permettre d'éclairer l'intérieur de l'église, la toiture clocher du XVIIe siècle est refaite, plus élancée que l'ancienne. L'actuelle sacristie est construite au nord, à côté de la Chapelle renaissance.

Ces travaux ont malheureusement défiguré l’édifice roman : « l’élévation du bâtiment alourdit considérablement sa silhouette… le clocher, d’un aspect déjà un peu massif, a pris des proportions étouffantes pour les masses romanes du chevet…la façade sud se voit ajouter des « verrues » qui l’enlaidissent considérablement…la pierre employée n’a ni la même teinte, ni le même appareil que le reste du bâtiment… ». En outre, « lorsqu’on a rehaussé l’église, on en a profité pour boucher les baies basses et pour y substituer un éclairage par trois petites baies en hauteur ; cela a eu comme effet de rendre la nef très sombre au niveau des fidèles tandis que la lumière, éclairant les voûtes plus hautes que la partie romane achève de les dissocier du reste de l’église ».

En 1948, en même temps que l'installation d'un nouveau chemin de croix et de nouveaux bancs, la chapelle Saint-Jean-Baptiste est mise en communication avec le bras gauche du transept.

De 1998 à 2001, d'importants travaux de restauration conduits par l'architecte Richard Goulois ont permis une nouvelle mise en valeur du bâtiment.

La paroisse de Riotord à cheval sur la limite Forez/Velay. Les limites de la commune de Riotord, en rouge, correspondent aux limites de la paroisse en 1790. La frontière entre les anciennes provinces du Forez (en vert) et du Velay (sans couleur) divisent la commune en deux parties comparables par leur surface. La population vellave était plus nombreuse. D'après le plan IGN et la carte de Cassini sur Géoportail

Appartenance territoriale

Tout comme Saint-Sauveur-en-Rue, Riotord était une étape avant la franchissement du Tracol, une voie de passage importante depuis l'antiquité entre la vallée du Rhône et le bassin du Puy. Au Tracol même, et sur la paroisse de Riotord, l'Hôpital Saint-Maximin abritait les voyageurs du Moyen Âge. L'évêque du Puy avait installé à proximité ses fourches patibulaires, signifiant ainsi qu'on entrait dans sa juridiction. En effet, durant tout l'Ancien Régime la paroisse de Riotord dépendait du diocèse du Puy-en-Velay. Par contre son territoire était partagé entre les provinces du Forez ( à l'est) et du Velay( à l'ouest).

Concernant la partie vellave, plusieurs textes entre 1260 et 1402 nous apprennent que les seigneurs de Saint-Didier possédaient un château à Riotord. Cette seigneurie comprenait la plus grande partie de l’actuel canton de Saint-Didier, presque toute la paroisse de Monistrol et une partie de celles de Dunières et de Riotord. Les seigneurs de Saint-Didier se reconnaissaient vassaux de l’évêque du Puy, comte du Velay sauf pour certaines de leurs possessions, dont le château de Riotord, qu’ils avouent tenir en fief du comte de Forez.

Cette situation administrative tourne à l'imbroglio en 1790 lors de la création des départements : l'assemblée a décidé de fonder les communes sur la base des anciennes paroisses, et prévu que les paroisses du Forez deviendront communes du département de Rhône-et-Loire, alors que celles du Velay rejoindront la Haute-Loire. C'était ignorer que les limites des paroisses ne correspondaient pas à celles des provinces. La paroisse de Riotord s'étendant à cheval de chaque côté de la limite Forez/Velay, chacun des deux départements a inscrit Riotord dans la liste de « ses » communes et il s'est ensuivi pas mal de difficultés, notamment pour la perception des impôts et des recettes des ventes des biens nationaux. Le maire de Riotord (M. Ploton) a été emprisonné quelques mois par les autorités de Saint-Étienne pour avoir respecté les ordres venus de Monfaucon. Le , l'Assemblée Nationale constituante rattachait définitivement la totalité de la commune au département de la Haute-Loire.

Événements historiques

Lors de sa visite épiscopale à Riotord et Clavas en octobre 1626 l’évêque du Puy et Comte de Velay, Monseigneur Just de Serres dresse un inventaire sans complaisance de la situation de l’Église à la sortie des guerres de Religion (1562-1598) qui avaient dévasté notre région : Riotord et Clavas situés à la limite des provinces tenues au sud par les protestants eurent à subir plusieurs incursions des troupes huguenotes. Le procès-verbal de la visite à l'abbaye de Clavas nous apprend que « la dicte église avait été cy devant profanée par meurtres en icelle commis et par la ruine et démolition intervenue durant ces troubles et remuements suscités par les Calvinistes en ce royaume... Le cloître n'était plus que cendre et leur église que masure. » À Riotord la situation n'est guère plus brillante : église délabrée, autels profanés, objets du culte disparus (le Saint Sacrement « reposait dans un ciboire de plomb fort vil et de petite valeur dans lequel n'y avait que trois osties »). Même les prêtres semblent avoir perdu foi en leur mission : le curé, Antoine Colombet, est absent et Monseigneur Just de Serres doit adopter une ordonnance interdisant aux ecclésiastiques de Riotord, sous peine d'excommunication, de continuer à fréquenter les cabarets.

En 1759, Pauze estime le nombre de paroissiens à 1000, et compte 67 maisons dans le bourg central.

Le 2 août 1944, le bombardier B-24 H Liberator "Patsy Jack" N42-64445 s'est écrasé à proximité du village des Setoux, sur la commune. Chargé d'une mission de bombardement au Pontet, dans le Vaucluse, l'avion est atteint par la flak. Après avoir rempli sa mission, il tente de se réfugier dans le Massif central. À proximité des Setoux, l'équipage évacue l'appareil en feu, le Lieutenant George Cappleman, pilote, reste aux commandes de l'appareil en perdition, le temps de trouver un système d'amarrage des commandes de vol, afin que son appareil ne s'écrase sur les hameaux qui sont sur sa route. L'équipage est indemne, à l'exception du sergent Dandrew, décédé, son parachute s'étant mis en torche.

  1. Cartulaire de Saint Sauveur en Rue, page 1
  2. « Petites notes d'histoire locale », Echo paroissial de Riotord,‎
  3. Archives Départementales de la Haute-Loire, 18 J 308
  4. a et b Trois églises en Velay Thomas Rebaud 1995
  5. «  », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  6. a et b Tablettes historiques du Velay (1875-1876), Le Puy, Bérard, (lire en ligne), p. 281
  7. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées :2
  8. Recueil de mémoires et documents sur le Forez, Société Diana, Montbrison, tome 8, Hommages et aveux de fiefs
  9. a et b Procès-verbal de l'Assemblée nationale, Imprimerie Nationale, (lire en ligne), Les mentions relatives à Riotord figurent p. 28 et suivantes, puis p. 45 et suivantes
  10. Archives Départementales de la Loire CH MS 613
  11. «  », sur aerosteles.net (consulté le ).

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Riotord dans la littérature

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