Reventin-Vaugris

Localisation

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Reventin-Vaugris : descriptif

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Reventin-Vaugris

Reventin-Vaugris [ʁəvɑ̃tɛ̃ voɡʁi] est une commune française située dans le département de l'Isère en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie

Localisation

Carte de Reventin-Vaugris et de ses communes limitrophes.

Reventin-Vaugris est une commune située au sud-est de la France, au bord du Rhône, dans le département de l'Isère en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Communes limitrophes

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept autres communes :

Rose des vents Saint-Cyr-sur-le-Rhône Vienne Jardin Rose des vents
Ampuis N Saint-Sorlin-de-Vienne
O    Reventin-Vaugris    E
S
Chonas-l'Amballan Auberives-sur-Varèze,
Cheyssieu
Les Côtes-d'Arey

Géologie et relief

La superficie de la commune est de 1 840 hectares ; son altitude varie de 141 à 404 mètres.

L'ancienne mine de zinc de la Poype est un site géologique remarquable de 14,94 hectares situé sur les territoires des communes de Reventin-Vaugris et de Vienne (au lieu-dit la Poype). En 2014, elle est classée « une étoile » à l'inventaire du patrimoine géologique.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat semi-continental et le climat de montagne et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Moyenne vallée du Rhône » et « Nord-est du Massif Central ».

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,6 amplitude thermique annuelle de 17,8 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 12,9 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

Statistiques 1991-2020 et records REVENTIN (38) - alt : 295m, lat : 45°28'43"N, lon : 4°48'38"E
Records établis sur la période du 01-02-2004 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,2 1,3 4 7,4 10,5 14,4 16,4 15,7 12,7 9,6 5,2 1,8 8,3
Température moyenne (°C) 4 4,9 8,7 12,7 15,9 20,3 22,6 21,7 18,1 13,7 8,2 4,4 12,9
Température maximale moyenne (°C) 6,7 8,6 13,4 18,1 21,4 26,2 28,8 27,7 23,5 17,8 11,2 7,1 17,5
Record de froid (°C)
date du record
−8,1
30.01.05
−11,8
05.02.12
−9,3
01.03.05
−3,3
08.04.21
2,6
05.05.19
6
02.06.06
9,8
10.07.07
9
27.08.18
2
27.09.10
−2
28.10.10
−5,7
18.11.07
−11,1
30.12.05
−11,8
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
17,9
10.01.15
21,2
24.02.21
25,2
31.03.21
28,5
21.04.18
33,6
24.05.09
38,3
18.06.22
40
24.07.19
41,2
24.08.23
34,2
14.09.20
29,4
09.10.23
21
03.11.05
18,2
17.12.19
41,2
2023
Précipitations (mm) 51,7 44,7 46,4 64,8 76,9 59,8 62,6 66,7 62,4 94,5 91,3 53,9 775,7
Source : «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base


Hydrographie

Barrage hydro-électrique de Vaugris.

Le Rhône borde le territoire de Reventin-Vaugris et forme la limite entre la commune de Reventin-Vaugris et celle d'Ampuis située dans le département du Rhône. Le barrage hydro-électrique de Vaugris a été construit en 1980 par la Compagnie Nationale du Rhône.

Voies de communication et transports

Voies routières
L'autoroute A7

Reventin-Vaugris est coupée en deux par l'autoroute A7 à destination de Lyon au nord, et à destination de Marseille au sud. Un projet de demi échangeur payant est à l'étude : situé entièrement sur le territoire de la commune de Reventin-Vaugris entre l'aérodrome de Reventin et la barrière de péage de Reventin. Ce projet fait l'objet d'une vive contestation de la part des riverains, ce qui a conduit aux élections municipales de 2017.

La nationale 7

En dehors de l'autoroute A7, Reventin-Vaugris est traversée par la Route nationale 7.

Voies ferroviaires

Reventin-Vaugris ne possède plus de gare depuis la fermeture de la gare SNCF de Vaugris. La réouverture de la gare refait régulièrement surface dans des programmes électoraux. La réouverture aux passagers est prévue avant 2030, avec la création d'un parking de 250 places (le projet en est au stade de la négociation foncière).

La gare de Vienne est la gare la plus proche de Reventin-Vaugris.

La gare de Vaugris en 1900.
Voies aériennes

Reventin-Vaugris est dotée d'un aérodrome géré par la chambre de commerce et d'industrie Nord-Isère. L'aérodrome de Reventin situé entièrement sur le territoire de la commune de Reventin-Vaugris a été implanté dès 1934. Il est principalement utilisé pour la pratique d’activités de loisirs et de tourisme.

L'aéroport commercial le plus proche est l'aéroport de Lyon-Saint-Exupéry situé à 45 km environ.

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Toponymie

Le nom de Reventin vient du latin Repentinum provenant du nom d'un aristocrate Gallo-Romain. Habitant à Vienne, Quintus Licinius Repentinus possédait un grand domaine d'exploitation agricole (villa) à l'endroit du village de Reventin-Vaugris,. Une épitaphe datant du Principat entre 4 et 14), conservée au musée de Vienne, montre la renommée de Licinius Repentinus. Les pierres gallo-romaines retrouvées sur les terres de La Conche indiquent qu'il est possible que la villa de Repentinus se situait sur le lieu de construction de la maison forte par Auguste Fornier au début du XIXe siècle.

À Vienne est conservée une inscription fragmentaire, en l’honneur des empereurs Auguste et Tibère, signé par Licinius Repentinus :

[Imp(eratori) Caes(ari), diui ?] f(ilio), Augus[to--- ?]

[--- ? et Tib(erio) ? C]aesari, [Aug(usti) f(ilio) ?,--- ?]

[--- ?. Magistr ?]i uici Rep[entini---] [---s]acrum.

A l’empereur César Auguste (?), fils du divin,

et à Tibère (?) César, fils d’Auguste (?)…

Les responsables du uicus Repentinus…Consacré…

  1. Aymarus Rivallius, Description du Dauphiné, de la Savoie, du Comtat-Venaissin, de la Bresse et d'une partie de la Provence, de la Suisse et du Piémont au lire en ligne).
  2. André Pelletier, Vienna, Vienne, Presses Universitaires Lyon, .
  3. André Pelletier, La bourgeoisie municipale à Vienne sous le Haut-Empire, , 310 p..
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Histoire

Antiquité

Du début de l'âge du Bronze final (1250-1100 av. J.-C.) date le trésor d'objets en bronze découvert en 1869 à la Poype-Vaugris, sur une hauteur dominant le Rhône. Il comportait 9 ,

Moyen Âge

Pendant tout le Moyen Âge et jusqu'à la Révolution, l'Église catholique, à travers le chapitre de l'église Saint-Maurice de Vienne et l'archevêque de Vienne, garde un grand pouvoir temporel sur les terres de Reventin et de Vaugris. On retrouve de nombreuses traces de tractations commerciales et de tension juridiques entre le haut-clergé de Vienne et les seigneurs locaux.

En 1289, au concile provincial de Vienne, les terres de Reventin sont qualifiées d'alleu, c'est-à-dire sans dépendance seigneuriale. Elles sont entièrement sous la juridiction de l'Église catholique.

| ]

Vers 875, le chapitre de l'église Saint-Maurice de Vienne acquiert une vigne et un jardin sur les terres de Reventin en échange de possessions situées près de Lyon.

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Vers 940, c'est Ratburn, vicomte de Vienne, fils de Géraud de Forez, qui donne ses possessions de la paroisse de Reventin (in Repentinis Villa) à l'église Saint-Maurice de Vienne représenté par Sobon, archevêque de Vienne.

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Vers 1130, Hugues de Reventin abandonna tous ses droits sur la terre de Reventin et les céda à l'Église catholique via le chapitre de la l'église Saint-Maurice de Vienne. Le château de Reventin est ainsi cité comme donné à l'Église.

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En mai 1213, Guigues de Reventin, chevalier, et ses enfants Guigues et Arlhaud, cède moyennant finance ses droits (perception de la dîme pour 22 livres) et usages sur les terres et biens dépendants de l'église de Reventin au chapitre de l'église Saint-Maurice de Vienne via Humbert II, archevêque de Vienne.

En , Hugues d'Anjou, chevalier, vend un bois de la paroisse de Reventin à Jean de Bernin, légat du Pape, archevêque de Vienne.

En 1289, les seigneurs Hugues de Chateauneuf et Pierre de Briort ont concédé aux obédienciers de Reventin, c'est-à-dire les religieux dépendant du chapitre de l'église Saint-Maurice de Vienne, 40 sous pour reconstruire à Reventin la maison en ruine de G. Coyndos afin qu'ils puissent y vivre à 70.

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La juridiction des terres de Reventin est sujette à tension entre les membres du chapitre de l'église Saint-Maurice de Vienne. Ainsi, en , est décidé que la juridiction sera commune entre Briand de Lavieu, archevêque de Vienne et Guillaume de Clermont, doyen de l'église Saint-Maurice.

En 1309, un différend oppose le chapitre de l'église Saint-Maurice de Vienne et le noble Reynaud de Saint-Jullien. Finalement, Reynaud de Saint-Jullien doit quitter la forteresse adjacente à l'église de Reventin.

En , le seigneur d'Hauterives fait couper une oreille à un bandit sur les terres de Reventin sur ordre du dauphin de Vienne (1280-1318), comte d'Albon. Le chapitre de l'église Saint-Maurice de Vienne à travers Briand de Lavieu, archevêque de Vienne, conteste cette justice qui usurpe ses propres droits sur des terres lui appartenant. Cet épisode s'inscrit dans le contexte du concile de Vienne convoqué par le pape en 1311. Le dauphin Jean dauphin.

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François . Il est inscrit au nombre des nobles en 1484. François Viennois, lui apporta la seigneurie de Leyssins en dot.

Temps modernes

Plus tard, on retrouve Laurent de Maugiron, seigneur d'Ampuis, fils de Guy de Maugiron et d'Ozanne L'Hermitte, cité en 1557 comme héritiers des biens de son cousin, Guillaume .

Reventin et Vaugris sont cités comme lieux de passage du cortège funéraire de François de France, dauphin de France, duc de Bretagne. Après un arrêt au château de Diane de Poitiers, où le prince fut empoisonné, il mourut le 10 août 1536 au Château de Tournon

Le blason du village est celui de Aymar Félicien de Boffin, marquis de La Sône, seigneur de Chatte et de La Poype. Né le à Grenoble et mort le à Paris, il fut lieutenant général des armées du roi et lieutenant-colonel au régiment des Gardes françaises. Il épousa Marie Anne Moufle, dame de La Tuilerie. La famille de Boffin était très présente dans la région de Vienne et possédait un nombre important de seigneuries.

Aymar Félicien de Boffin descendait en ligne masculine d'une famille de marchand à Romans-sur-Isère anobli en 1554 par charge d'avocat au parlement de Grenoble. Il descendait également de de Viennois par sa grand-mère paternelle.

En 1770, on retrouve le chapitre de la cathédrale Saint-Maurice de Vienne qui est cité comme seigneur et haut-justicier de la terre de Reventin.

Révolution française et Empire

Le a lieu la naissance de la municipalité de Reventin à la suite de la convocation d'une assemblée constitutive de Philibert Magnard, bourgeois de Vienne, châtelain de la communauté de Reventin, Pierre Berton, François-Marin Benatru, Jean Guillot et Marc Charreton, tous officiers municipaux de la communauté de Reventin.

En février 1791, le curé de Reventin, Louis Berton, est nommé vicaire de l'évêque de Grenoble à la suite de la disparition de l'archidiocèse de Vienne en 1790. Il devint président du conseil épiscopal jusqu'en 1792 pendant la vacance du siège. Révolutionnaire convaincu, il abandonna la prêtrise et se maria en 1793.

Époque contemporaine

Monarchie de Juillet

La commune est créée le par ordonnance royale de qui réalisait ainsi l'union « au temporel » des communes de Reventin (784 habitants) et de Vaugris (302 habitants), déjà unies pour le « spirituel » car elles avaient l'église et le cimetière en commun.

1939-1945
L'hôtel-restaurant au début du XXe siècle

Reventin-Vaugris a accueilli l'armée Française au début de la guerre en 1939. L'armée avait investi la bâtisse à l'entrée du village, en face du Café du Nord. Le capitaine Delisle avait son bureau dans la maison de famille de l'épicière du village. Les nombreuses fermes du village logeaient les soldats ainsi que les granges du chemin des Joncs.

Le "Coup de Vaugris"

Depuis le , un train allemand stationne près de la gare de Vaugris. Son chargement de carburant est destiné à l’armée de l’air allemande. Selon les témoignages, une vingtaine de soldats allemands surveillent nuit et jour le convoi et les habitants craignent à tout moment une attaque qui détruirait le quartier. Une opération de sabotage est ordonnée par Londres afin de détruire les réserves d’essence contenues dans ces wagons. L’exécution de cette mission est confiée à Raymond Basset (alias commandant Mary) qui est secondé par le colonel Gentgen.

Au matin du , une traction noire traverse le Rhône, suivie de près par une camionnette de résistants, pour se rendre en gare de Vaugris. La camionnette s’arrête au niveau de la tête du train. Les hommes se mettent en place et ouvrent le feu à h 45. L’attaque ne dure que sept minutes mais les dégâts causés sont considérables. Les citernes atteintes par les tirs s’enflamment et l’incendie se propage le long du convoi. Les soldats allemands chargés de la surveillance restent bloqués dans les wagons de marchandises sous une pluie de balles.

Des doutes ont subsisté sur le nombre de victimes allemandes de cette opération, les résistants n’ayant eu à déplorer aucun blessé. Bien qu'à cette époque la BBC ait annoncé 76 morts, le compte rendu de gendarmerie ne fait état que de trois soldats blessés. L’action d’éclat des résistants causa une perte importante à l’armée allemande, évitant aussi un bombardement aérien du quartier qui aurait coûté la vie à de nombreux civils. La plaque commémorative située devant l’école de Vaugris rappelle cette action héroïque.

Les trente Glorieuses

Essentiellement rurale jusque dans les années 1960, la commune s'est intégrée au district de Vienne devenu en 2002 la communauté d'agglomération du Pays Viennois, puis Vienne Condrieu Agglomération au . Cela a contribué à l'installation de zones économiques. La proximité de Vienne et de l'autoroute A7 qui la coupe en deux, ont conduit à un développement maîtrisé de la population.

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  7. Nicolas Chorier, Histoire generale de Dauphiné depuis l'an M. de N. S. jusques à nos jours, Thioly, (lire en ligne).
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  19. Thomas Lascombe, Mémoires : "Reventin-Vaugris, un village en temps de guerre", , p. 19.

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Reventin-Vaugris dans la littérature

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