Cusset

Localisation

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Cusset : descriptif

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Cusset

Cusset (/ky.sɛ/) est une commune française, intimement liée à sa voisine Vichy et située sur les contreforts de la Montagne bourbonnaise, dans le département de l'Allier, en région Auvergne-Rhône-Alpes. C'est la deuxième commune la plus importante de l'unité urbaine et de l'aire d'attraction de Vichy et de la communauté d'agglomération Vichy Communauté, ainsi que la quatrième commune du département après les trois chefs-lieux d'arrondissement en nombre d'habitants

Au recensement de 2021, elle comptait 12 909 habitants, appelés les Cussetois et les Cussetoises ou les Cussétois et les Cussétoises.

Géographie

Localisation

Cartographies de la commune
La commune avec l'emplacement de la mairie dans le département
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique

Située sur les contreforts de la Montagne bourbonnaise, au sud-est du département de l'Allier, au point exact où elle se rapproche de la rivière Allier et à une altitude de 310 . Par la route, la commune est située à 59 Moulins, chef-lieu du département, au nord, à 63 Clermont-Ferrand au sud-ouest, Cusset est mitoyenne de Vichy.

Huit communes jouxtent Cusset :

Communes limitrophes de Cusset
Creuzier-le-Vieux
Creuzier-le-Neuf
Bost
Saint-Étienne-de-Vicq
Vichy Cusset Molles
Le Vernet Busset

Lieux-dits, hameaux et écarts

Elle comprend une cinquantaine de lieux-dits, les plus importants étant Presle, Puy-Besseau, les Bartins, Champcourt, Chantegrelet, Chassignol et Viermeux.

Géologie et relief

La commune s'étend sur 3 193 hectares ; son altitude varie entre 255 et 483 mètres. Les zones en basse altitude sont situées au plus près de Vichy (résidences construites en bordure de la rivière Sichon) tandis que les secteurs en haute altitude sont localisés à l'est (Chassignol, Meunière, Viermeux, Les Acarins).

La commune se situe « au droit de la limite Est de la fosse de Vichy » et s'étend de l'ouest vers l'est des formations « sédimentaires oligocènes » aux « reliefs cristallins ou volcano-sédimentaires paléozoïques ». Les terrains offrent une variabilité notable (granite, tufs, marnes, sables, grès, etc.). Globalement, elle est fondée sur des formations volcaniques anciennes, permettant, à la carrière des Malavaux, de fournir « des matériaux […] d'excellente qualité ».

Six types de formations géologiques sont représentés sur la commune :

  • un socle granitique, sur les reliefs orientaux de la commune, représentés « par des faciès à grain moyen ou fin » ;
  • des dépôts volcano-sédimentaires, avec deux types lithologiques (poudingues et tufs à grain fin) ;
  • « deux faciès distincts du remplissage sédimentaire oligocène » de Limagne : « bancs calcaires d'origine récifale » et « marnes et argiles litées contenant des passées sablo-gréseuses ou calcaires » ;
  • sables du Bourbonnais : épandages sablo-argileux présentant des « silts, argiles et sables interstratifiés » ;
  • des hautes terrasses, développées dans l'interfluve Jolan-Sichon ;
  • des formations sablo-graveleuses sur le Sichon et le Jolan.

Hydrographie

Le Sichon depuis le pont de la Mère, vers l'amont.

La commune est traversée par le Sichon, affluent de l'Allier long de 41,1  prenant sa source à Lavoine, près du puy de Montoncel, dans le massif des Bois Noirs. Ce cours d'eau se situe en territoire à risque important d'inondation, et du fait de l'urbanisation croissante jusqu'à son embouchure à Vichy, il devient « canalisé ».

Ses affluents traversant la commune prennent leur source en montagne bourbonnaise. L'un d'eux, le Jolan, prend sa source au Mayet-de-Montagne et se jette près de la rue Combe-Bessay. Il comprend le ruisseau du Rebusset, long de 5 .

Le Sichon et le Jolan sont favorables au ruissellement du fait de leur composition souterraine en roches métamorphiques et éruptives.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Centre et contreforts nord du Massif Central » et « Nord-est du Massif Central ».

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,4 amplitude thermique annuelle de 16,6 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Vichy-Ville », sur la commune de Vichy à 2 vol d'oiseau, est de 12,7 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

Statistiques 1991-2020 et records VICHY-VILLE (03) - alt : 255m, lat : 46°07'03"N, lon : 3°26'20"E
Records établis sur la période du 01-01-1952 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,6 1,4 3,8 6,3 10,1 13,6 15,4 15 11,5 8,8 4,6 2,1 7,9
Température moyenne (°C) 4,5 5,3 8,9 11,8 15,7 19,4 21,5 21,3 17,2 13,2 8,1 5,1 12,7
Température maximale moyenne (°C) 7,5 9,2 14 17,4 21,3 25,2 27,6 27,5 22,9 17,7 11,5 8,1 17,5
Record de froid (°C)
date du record
−21,5
05.01.1971
−19
05.02.1963
−12,9
01.03.05
−5
06.04.1975
−2
07.05.1957
0
03.06.1962
5
24.07.1968
1,2
26.08.1966
1,8
20.09.1962
−6,9
30.10.1997
−9
24.11.1998
−17
25.12.1962
−21,5
1971
Record de chaleur (°C)
date du record
19,1
01.01.23
25,2
28.02.1960
28,1
31.03.21
31,4
30.04.05
34,6
28.05.17
41
27.06.19
41,3
31.07.20
40,5
12.08.03
35,9
10.09.23
32,5
02.10.23
24
01.11.1968
20,3
16.12.1989
41,3
2020
Précipitations (mm) 53,3 42,8 44,9 67,9 83,5 75,7 73,3 83,9 69,6 75,9 73,6 55,2 799,6
Source : «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base


Milieux naturels et biodiversité

Il existe une ZNIEFF 1, la Vallée du Sichon à l'Ardoisière, s'étendant aussi sur les communes de Busset et du Vernet.

  1. «  »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur Lion 1906.
  2. Mauve 1936, p. 865.
  3. Mauve 1936, p. 864.
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  6. a b c et d Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées geoportail
  7. «  », IGN.
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  10. Sandre, «  » (consulté le ).
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  13. Sandre, «  » (consulté le ).
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Toponymie

Aire linguistique du Croissant selon l'Atlas sonore des langues régionales (CNRS, 2022). Vichy est la deuxième plus grande ville du Croissant.

Cusset est attesté sous les formes in Cuciaco / in Cutiaco en 886, Cucciaco en 1373, puis Cuci, Cucy, Cussy, Cussetum, Cussoy, Cuciacum.

Il s'agit d'un type toponymique gallo-roman en -acum, suffixe marquant « le lieu de, la propriété de ». Il est précédé, comme c'est généralement le cas, d'un anthroponyme, peut-être le nom de personne roman Cutius ou latin Cūcius / Cussius. Même racine pour les formes du type Cussac, Cussy, Cussay.

En bourbonnais du Croissant, la langue traditionnelle, Cusset porte le même nom qu'en français : Cusset. La commune est située dans l'aire linguistique du Croissant, zone où la langue est de transition entre la langue occitane et la langue d'oïl.

Carte linguistique de l'Allier selon l'Atlas sonore des langues régionales de France (CNRS). En rouge sombre : le bourbonnais du Croissant ; en bleu : le bourbonnais d'oïl ; en vert : l'arpitan.

Malavaux, un quartier situé à l'est de la commune de Cusset, est un toponyme médiéval qui provient de l'ancien occitan, car le premier élément Mala- signifie « mauvaise » en occitan. Le second élément est vaux « vallée », de val employé ici au féminin comme c'était parfois le cas au Moyen Âge, d'où le sens global de « mauvaise vallée », c'est-à-dire « vallée où la terre est mauvaise ».

Les habitants de la commune sont appelés les Cussetois ou les Cussétois, d'après la forme moderne du toponyme.

  1. a et b «  », sur atlas.limsi.fr, Paris, CNRS, .
  2. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Genève, Librairie Droz, , 708 ISBN , lire en ligne), p. 502.
  3. a et b Ernest Nègre, op. cit.
  4. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN ), p. 204a.
  5. Philippe Olivier, Dictionnaire d'ancien occitan auvergnat mauriacois et sanflorain (1340-1540), Tübingen, Max Niemeyer, ISBN ).

Histoire

Antiquité

Dès le , oppidum arverne destiné à surveiller l'entrée septentrionale de la Limagne, dont le site est constitué de deux plateaux de 60 hectares dont l'un, de 25  abritait plusieurs centaines de familles qui l'abandonnèrent au cours des premiers siècles de notre ère[réf. nécessaire].

De la période gallo-romaine ont été découverts des vestiges d'aqueducs et d'hypocaustes qui attestent de la présence d'une villa. Cet oppidum est l'un des plus importants de la région Auvergne devant Corent ou Gergovie. C'est d'ailleurs le premier murus gallicus attesté en 2004. Localisé sur des terrains privés, il n'est pas accessible au public et n'est pas signalé. Une opération de sauvetage a été organisée en 2007. Il est menacé par l'extension de la carrière Jalicot des Malavaux, qui risque de le faire disparaître.

Sur le site de la ville actuelle, des fouilles ont mis au jour place Victor-Hugo les vestiges de thermes gallo-romains.

Moyen Âge

En 774, Cusset n'était qu'une simple métairie de l'abbaye de Saint-Martin de Nevers. Charlemagne établit une communauté de filles qui devient « riche et puissante ».

En 886, Eumène, évêque de Nevers, fonde une abbaye bénédictine de femmes. Il remplace le château classique pour sa fondation. Le bâtiment est occupé aujourd'hui par l'hôtel de ville. En 1184, l'abbaye n'étant plus en état de se défendre seule, le roi Philippe Auguste est appelé à l'aide.

Au . En 1236, Hugues de Clermont « érige le couvent en abbaye de Filles nobles » et « une église collégiale est élevée ».

Le , le dauphin Louis, futur Louis XI, s'y réconcilie avec son père Charles VII en signant le traité de Cusset, mettant ainsi fin à la Praguerie.

Louis XI, devenu roi, fait rebâtir les fortifications de la ville par le maître d'œuvre Vauzy de Saint-Martin, de 1476 à 1483 ; elles sont encadrées par quatre portes, donnant accès à la ville : Doyat, sur la route de Paris ; de la Mère, sur la route de Vichy ; de la Barge, sur la vallée du Sichon ; et Saint-Antoine, sur la route de Lyon. Jean Doyat en fait « la place la plus importante de la Basse-Auvergne » et Louis XI la déclare « ville royale du domaine de la couronne, incommutablement inaliénable d'icelle ». Avec leurs murs à bossages, leurs canonnières à embrasures à la française (en X), elles constituent le prototype de la fortification moderne, capable de répondre aux attaques des boulets métalliques ; Vauban s'en sert de modèle[réf. nécessaire]. Détruites petit à petit à partir du XVIIe siècle, il n'en subsiste qu'une tour (qui abrite le musée) et des « souterrains », c'est-à-dire les galeries de rez-de-chaussée des portes qui se sont retrouvées enterrées lors du comblement des fossés.

Temps modernes

Cusset, ville royale, a connu une activité judiciaire importante, avec un procureur du roi, un président et un avocat du roi, un lieutenant général et un lieutenant particulier ; en outre, il existait quatre fonctionnaires supplémentaires pour punir le faux-saunage. En 1789, la population de Cusset atteignait 4 000 habitants.

Révolution française

De ce fait, elle devient, de 1790 à 1800, chef-lieu de district. Cusset fut préférée à Billy et Saint-Gérand pour devenir le siège du tribunal. Elle perd toutefois le statut de chef-lieu d'arrondissement au détriment de Lapalisse mais elle reste toutefois ville judiciaire. Elle est aussi centre d'enseignement par la création d'un collège.

Époque contemporaine

Jusqu'en 1876, date à laquelle le nombre d'habitants de Vichy dépasse celui de Cusset, Cusset a joué le rôle de grande ville de la région, avec des commerçants, des artisans, des foires attirant toute la montagne bourbonnaise. Elle profite de sa situation de porte d'entrée de la montagne bourbonnaise.

Activité thermale
Action de la S.A. des Eaux Minérales Naturelles de Vichy-Cusset en date du 8 octobre 1901

Située en bordure d'une zone riche en sources minérales, des forages sont entrepris à partir de 1840 avec la découverte des sources Mesdames et Saint-Jean en 1844. Les sources Sainte-Élisabeth et Tracy furent perforées en 1845, celle de Sainte-Marie en 1849 et celle de Lafayette en 1875.

Sources Élisabeth et Sainte-Marie (photo prise fin 2005).

Les sources Sainte-Élisabeth et Sainte-Marie appartenaient à l'établissement thermal de Sainte-Marie, fondé en 1852 par Félix Bertrand. Cet établissement se composait d'un salon d'attente donnant accès à des cabinets de bains, de douches et de repos ; il était localisé près de la place du Centenaire, à proximité du tramway. Ces sources font partie du bassin de Vichy, propriété de l'État.

Deux sources ont été érigées dans la commune : la source de l'Abattoir et la source Tracy. Cette dernière, située au milieu du cours Tracy, est un bâtiment en forme octogonale. D'une température de 12 .

L'une des dernières sources découvertes à la fin du acide carbonique, ayant une action très effective sur l'estomac et les bronches.

L'activité thermale cesse au début du .

Le tramway à air comprimé
Tramway Mékarski devant le grand café du square.

Cusset avait la particularité, avec Vichy, de posséder un tramway à air comprimé ; inauguré le , il s'agissait du église Saint-Louis de Vichy et du cours Lafayette de Cusset, passait par la mairie et la gare de Vichy, puis à Cusset, les cours Tracy et Arloing. Un tramway circulait avec une fréquence allant de quinze à trente minutes entre 8 . Ce tramway permettait de faire découvrir aux curistes vichyssois les sources de la commune.

Le refus de son électrification aux concessionnaires Lapeyre et Hersent, en 1925, a conduit à la suppression du tramway dans ces deux communes et son remplacement par un service de bus en 1927.

| ]

La population s'est accrue moins rapidement qu'à Vichy : en 1911, les ruraux émigraient vers la ville. En 1931, faute d'espaces suffisants, elle commence à s'installer dans les lieux-dits, surtout aux Malavaux et aux Graves. Le centre-ville se déserte. Une voie rectiligne est créée entre la place Victor-Hugo et la rue de la République : le boulevard de l'Hôtel-de-Ville.

Cusset aurait pu devenir un faubourg à cause du développement de Vichy et du désistement de l'organisation de foires et marchés.

La commune exploite plusieurs carrières, dont la plus importante est celle des Malavaux, à l'est de la commune, depuis 1913, et appartenant au groupe Lafarge depuis 1998 ; les matériaux (tuf rhyolitique) sont utilisés pour l'approvisionnement en ballast et en techniques routières. En outre, elle exploite aussi les carrières de la contrée de Razeure et la Châtaigneraie.

Il existait 1 300 maisons en 1861 ; 2 017 en 1931. Les constructions de l'entre-deux-guerres sont localisées dans les quartiers récents. Une importante rénovation urbaine est menée de 1960 à 1977, dans le but d'améliorer les conditions de vie ; elle s'achève en 2006 avec la rénovation des rues du centre-ville. Une exposition plein air « Sur les pas des chiens verts » s'est tenue en 2013, retraçant l'histoire de cette rénovation. En outre, l'urbanisation s'est développée à l'ouest, en direction de Vichy, dans la cité de Presles. Elle gagne le quartier de Puy-Besseau dans les années 1990 souhaitée], avec la construction d'un lycée à filières professionnelles.

En association avec la communauté d'agglomération, le boulevard du 8-Mai-1945 et une partie du passage du Quercy sont rénovés en 2009 et 2010, en deux étapes, dans le cadre de la rénovation de la cité scolaire de Presles (bâtiments), en voie d'être rebaptisée Albert-Londres, pour un coût d'un million d'euros.

Événements divers

Deux femmes ont été condamnées pour sorcellerie à Cusset :

  • Marie Filastre, brûlée vive sous Louis XIV pour avoir tenté d'empoisonner Mademoiselle de Fontanges à la demande de Madame de Montespan vieillissante et délaissée par le roi qui lui préférait sa jeune rivale ;
  • Gabrielle Pagnat, emprisonnée pour escroquerie un siècle plus tard, les mentalités sur les dons supposés des sorcières ayant évolué.

Dans un autre registre, depuis le vignoble vichyssois ».


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  1. David Lallemand, « L'organisation du peuplement au nord du Massif Central, le carrefour des cités arverne, biturige et éduenne. », Université Paris I Panthéon-Sorbonne ; rattachement UMR 8546 CNRS-ENS,‎ (lire en ligne).
  2. a et b Stephan Fichtl, «  », sur oppida.org (consulté le ).
  3. Frédéric Méténier, « Étude archéologique d'impact : l'extension de la carrière des Malavaux sur l'oppidum protohistorique de Viermeux à Cusset (Allier) », Études bourbonnaises, Moulins, Société bourbonnaise des études locales, ISSN 0980-7225).
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  8. Mauve 1936, p. 867.
  9. Mauve 1936, p. 867-868.
  10. a et b Mauve 1936, p. 868.
  11. Jean Débordes, Les Nouveaux Mystères de l'Allier, Romagnat, Éditions De Borée, , 397 ISBN , lire en ligne), « Cusset connut une Terreur sanglante », p. 34.
  12. Mauve 1936, p. 873.
  13. a et b Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées SCOT_RAP_provisoire
  14. Danval et Cornil, Sources minérales de la ville de Cusset, Cusset, Imprimerie de lire en ligne).
  15. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées BRGM04
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  17. Mauve 1936, p. 909.
  18. Mauve 1936, p. 910.
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  20. Denis Lorut, « L'exploitation de la roche bleue de la vallée du Jolan a débuté en 1913 avec l'entreprise Dupré : Les Malavaux fêtent 100 ans de carrière », La Montagne, Vichy,‎ , lire en ligne).
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  22. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées FChar20101208
  23. « Halte routière au lycée de Presles », VVA magazine, no 13,‎ , p. 4.

Héraldique

À gauche : De gueules semé d'écussons d'or.
À droite : D'azur, au senestrochère d'argent, sortant de nuées de même, mouvant du flanc dextre de l'écu, tenant une épée aussi d'argent, la poignée et la garde d'or, sur la pointe de laquelle est posée une couronne aussi d'or.
Jusqu'au Pierre d'Hozier réalise l'Armorial général de France.

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