Aouste-sur-Sye

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Aouste-sur-Sye : descriptif

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Aouste-sur-Sye

Aouste-sur-Sye [ust syʁ si] est une commune française située dans le département de la Drôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie

Localisation

Le village est situé à 3 km à l'est de Crest (Drôme), à 31 km de Valence, 39 km de Montélimar, 40 km de Romans-sur-Isère, 35 km de Die, 21 km de Loriol-sur-Drôme et 44 km de Grignan.

Rose des vents Crest Cobonne Suze
Mirabel-et-Blacons
Rose des vents
Crest
Divajeu
N Mirabel-et-Blacons
Piégros-la-Clastre
O    Aouste-sur-Sye    E
S
Soyans Saou Piégros-la-Clastre

Relief et géologie

Sites particuliers :

  • Crête de Saint-Alban ;
  • le Corneret (401 m) ;
  • Serre Curnier ;
  • Serre de Beaune ;
  • Serre de Ferrande ;
  • Serre de Pieberard ;
  • Serre de Pinpignoux ;
  • Serre de Sabatou ;
  • Serre des Marnes ;
  • Serre des Ubacs.
Géologie

Hydrographie

La rivière Sye en février.

La commune est arrosée par les cours d'eau suivants :

  • la Drôme ;
  • la Sye, affluent de la Drôme ;
  • Ravin de Beaune, affluent du ruisseau de Lausens ;
  • Ravin de Saint-Jean, affluent du ruisseau de Lausens ;
  • Ruisseau de Corneret, affluent de la Sye ;
  • Ruisseau de Lausens, affluent de la Drôme ;
  • Ruisseau de Millassolles, affluent de la Drôme ;
  • Ruisseau des Grands Chenaux, affluent de la Drôme ;
  • Ruisseau des Limites, affluent de la Drôme.

Le village est situé à la confluence de la Drôme et de la Sye.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 .

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,7 amplitude thermique annuelle de 17,5 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Beaufort-S-Gervanne »sur la commune de Beaufort-sur-Gervanne à 10 vol d'oiseau, est de 12,8 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

  1. a et b https://www.geoportail.gouv.fr/
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. «  », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. «  », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. «  », sur meteofrance.fr, (consulté le ).

Toponymie

Attestations

  • 10 avant notre ère (?) : Augusta.
  • .
  • Fin .
  • 333 : mansio Augusta (Itinéraire de Bordeaux à Jérusalem) / cf. Histoire de la Drôme pour sa localisation.
  • .
  • Fin .
  • Vers 800 : Aoste (premiers écrits en ancien français).
  • 1145 : Augustam (cartulaire de Die, 33).
  • 1234 : Aosta (cartulaire de Léoncel, 119).
  • 1508 : villa et mandamentum Auguste (terrier de Quintel).
  • 1529 : Osta (archives de l'hôpital de Crest).
  • 1576 : Auoste (rôle de décimes).
  • 1579 : Aoust (inventaire des archives de Saint-Apollinaire [Valence], 972).
  • 1600 : Ost (rôle de tailles).
  • 1856 : Aoste (abbé Vincent, Aoste, Valence, 1856).
  • 1891 : Aoûste, commune du canton de Crest-Nord.
  • 1894 : Aoste devient Aouste (décision administrative).
  • 7 juillet 1918 : Aouste-sur-Sye (décision administrative) / ou 1920 : Aouste-sur-Sye.

Étymologie

Le toponyme dériverait du latin Augustus qualifiant les empereurs romains, lui-même dérivant du latin augustus (consacré) ou de augur (augure, prêtre prédisant l’avenir).

  1. a b c d e f g h et i J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 8 (Aoûste).
  2. Pierre Palengat - La Drôme insolite: d'Aix-en-Diois à Volvent : les 370 communes du département : La Drôme historique, monumentale, anecdotique, légendaire, statistique, culturelle, (id).

Étymologie

Le toponyme dériverait du latin Augustus qualifiant les empereurs romains, lui-même dérivant du latin augustus (consacré) ou de augur (augure, prêtre prédisant l’avenir).

Histoire

Préhistoire

  • Vers 4000 avant notre ère : trois foyers néolithiques répertoriés.
  • Indices d'occupation de l'Âge du Bronze.

Antiquité : les Gallo-romains

Vers 10 avant notre ère : Aouste est un « bourg de contact » à l'entrée du territoire des Voconces.

Augusta Vocontiorum : des vestiges romains (mausolée, nombreux dépôts de crémations ( sondages INRAP 2020), sépultures, autels, inscriptions) .
Augusta des Voconces : vestiges romains (poteries).

Une inscription romaine aux dieux Mânes se trouvait à proximité de l'ancienne église d'Aouste sur l'emplacement actuel de la place de la Poste.

333 : Aouste est mentionné sous le nom de mansio Augusta dans l'Itinéraire de Bordeaux à Jérusalem (cf. Histoire de la Drôme pour son positionnement).

Du Moyen Âge à la Révolution

412 : prise d'Augusta par les Wisigoths.

472 : première mention d'Aoste sur une tablette (musée d'Avignon).

536 : prise par les Lombards.

Die et Luc-en-Diois).

729 : prise par les Sarrasins.

839 : prise par les Normands.

924 : prise par les Hongrois.

Vers l'an 1000 : le territoire est rattaché au royaume de Bourgogne. Il fait l'objet d'aménagement, avec une fortification à double enceinte.

1145 : Arnaud de Crest donne Aouste à l'évêché de Die. C'est une ville-étape militaire.

Haut Moyen Age : en 2020, des sondages réalisés par l'INRAP, ont permis la découverte de nombreuses tombes et sarcophages

1277 : Aouste est rattaché au royaume du Roussillon.

1330 : l'évêque de Valence dispense de chevauchée (aide militaire) et d'impôt supplémentaire les juifs d'Aouste ; il demande aussi que les bouchers du Valentinois et du Diois puissent tuer les animaux selon « les rites mosaïques ».

:

1419 : Aouste est rattaché au royaume de France.

À la fin du Moyen Âge, Aouste est une ville de commerce, on y note la présence de banquiers et juriste juifs ainsi que la construction d'une synagogue.

1573 : les guerres de Religion voient la victoire du prince d'Auvergne, catholique, dans un combat.

1600 : installation de l'ermitage à Saint-Alban par l'ordre des bénédictins de Saint-Bernard d'Angleterre.

1622 : nombreuses modifications dans l'aspect du village, notamment par la destruction de fortifications et l'installation de l'hôpital.

1625 : le comte de Sault met à sac le village. Peu de temps après, le territoire est frappé par la peste

1629; Richelieu séjourne à deux reprises à Aouste et demande l'extension de l'hôpital : première alimentation du village par un réseau d’eau potable « par la porte de Sye ».

1683 : deux ans avant l'abolition de l'édit de Nantes, sur ordre de l'évêque de Valence, Daniel Cosnac, les temples protestants d'Aouste, Monclar, Vercheny, Bouvières et Saillans sont détruits.

Après la révocation de l'édit de Nantes, le 16 octobre 1685, les protestants qui restent en France doivent, s'ils veulent pratiquer leur culte, se réunir clandestinement au Désert. Ceux qui sont arrêtés sont condamnés aux galères. Jusqu'en 1787, date de l'édit de tolérance, les habitants protestants d'Aouste sont ainsi persécutés.

.

 : funérailles de Suzanne Talliotte, tuée par un loup à l'âge de six ans.

Avant 1790, Aouste était une communauté de l'élection de Montélimar, subdélégation de Crest et du bailliage de Die.
Son église, premièrement dédiée à saint Christophe puis à Notre-Dame, dépendait du prieur du lieu (voir Saint-Pierre) qui présentait à la cure et percevait les dîmes.

Saint-Pierre

Dictionnaire topographique du département de la Drôme :

  • XIVe siècle : prioratus de Augusta (pouillé de Die).
  • 1509 : prioratus Sanctorum Petri et Xpistofori [Khristofori, le X est un khi grec] de Augusta (visites épiscopales).
  • 1509 : mention de l'église du prieuré : ecclesia Beati Petri de Augusta prope et extra locum Auguste (visites épiscopales).
  • 1550 : le prioré de Sainct Pierre d'Oste (terrier de Quintel).
  • 1607 : en Sent Pierre (terrier de Quintel).
  • 1891 : Saint-Pierre, quartier de la commune d'Aouste.

Emplacement d'un prieuré de l'ordre de Saint-Benoît (filiation de Saint-Géraud d'Aurillac) qui fut uni à celui de Saillans vers la fin du .

Révolution française

En 1790, Aouste devient le chef-lieu d'un canton du district de Crest, comprenant les communes d'Aouste, de Beaufort, de Cobonne, de Mirabel, de Montclar, de Piégros et de Suze.
Ce canton, supprimé en l'an VIII (1799-1800), est incorporé à celui de Crest-Nord, à l'exception de la commune de Piégros qui fut comprise dans le canton de Crest-Sud.

Monarchie de Juillet

1835-1838 : le consistoire protestant de Crest demande au ministère des cultes et de la justice la construction d'un temple en bordure de la route royale 93 reliant Valence à Sisteron. L'autorisation royale est datée du . Le terrain (3 ares 2 centiares) a été vendu (520 francs) par monsieur Latune, papetier habitant à Crest. La souscription volontaire a rapporté la somme de 4 232 francs ; le devis est de 9 218 francs.
En 1836 et 1837, « les secours d'État fournis par le garde des sceaux, ministre de la justice, secrétaire d'État et de la justice et des cultes » s'élèvent à deux fois 1 500 francs. En 1838, autre « secours d'État » de 600 francs.
Ce temple voit trois pasteurs très importants : Fallot, Boegner, Chapal.

Deuxième République

Après la révolution de février 1848, c’est le camp conservateur qui remporte les élections nationales. Le commissaire de la république, Ferlay, met en place des mesures autoritaires pour réduire l’influence de la gauche dans la Drôme, département républicain qui a envoyé 6 députés Montagnards sur 7 à l’Assemblée. Ces mesures sont facilitées par la proclamation de l’état de siège à la suite du complot de Lyon. Et pour prévenir une résistance armée à ces mesures, les autorités font rechercher activement armes, poudre et balles, ainsi que les outils nécessaires à leur fabrication. Un habitant d’Aouste en fabriquait. À la suite d'une visite domiciliaire à Beaufort, on retrouve des paquets de poudre de sa fabrication, ce qui entraîne une perquisition de son domicile, la saisie de son matériel et son arrestation.

Le coup d'État du 2 décembre 1851 est connu par affiches le mercredi 3 décembre dans la journée. Opposés à Louis-Napoléon Bonaparte, des jeunes gens manifestent en chantant La Marseillaise, le maire les fait disperser. Le lendemain, le maire organise une garde armée pour maintenir l’ordre avec quelques notables et une trentaine de sapeurs pompiers. Les chefs du mouvement républicain du Crestois, Bouillard, Barnouin, Danjou, Giraud, parcourent la campagne pour faire sonner le tocsin, expliquer les plans et organiser les rassemblements et la descente vers Crest. De son côté, le maire, le notaire Gresse, installe un poste pour surveiller la route de la vallée de la Drôme, défendu par 30 sapeurs pompiers commandés par deux officiers de la garde nationale. À l’annonce de l’arrivée de la colonne des insurgés de la Gervanne (1 200 personnes), dans l’après-midi du 6 décembre, il fait encore renforcer le poste par le reste des sapeurs, la garde nationale et le conseil municipal. Son poste est encore renforcé par une douzaine d’artilleurs à cheval du régiment d'artillerie. Ils s’avancent parlementer avec les insurgés, ce qui prend deux heures et permet au capitaine des artilleurs de partir demander du renfort.

Pendant ce temps, le curé de la Suze, fatigué, est ramené chez lui par le facteur de Beaufort ; et les otages, le notaire et le percepteur de Beaufort, s’enfuient. Une trentaine de militaires s’installent à l’entrée du village côté est, au pont sur la Sye, pour bloquer toute intrusion des insurgés. Mais l’importante colonne de la Gervanne évite la partie plane de la vallée de la Drôme, pour ne pas risquer une charge de cavalerie, et passe par les coteaux : le maire Gresse, en voyant ce mouvement, croit qu’il a convaincu les insurgés de s’en retourner, alors qu’ils ne font que s’adapter à la situation pour continuer leur marche vers Crest, en passant par le quartier de l’Arra (les Arras sur la carte IGN).

Après l’échec de l’insurrection drômoise, une colonne est formée le 11 décembre avec deux bataillons des et de ligne venus de Lyon et Grenoble, renforcés d’éléments du d’artillerie. Elle est commandée par le colonel Couston et le préfet Ferlay, et parcourt tous les lieux du département qui se sont soulevés. Il s’agit d’arrêter les républicains, insurgés ou non, de purger l’administration, de traquer les insurgés en fuite, de rassurer et d’inquiéter à la fois pour garantir le résultat du plébiscite des 20 et 21 décembre 1851 destiné à légaliser a posteriori le coup d’État. Elle arrive à Aouste le 13 décembre : la troupe y traque les républicains dans les collines et perquisitionne le village. Les pompiers sont félicités pour leur conduite des 6 et 7 décembre.

Alors que la répression dure toujours, vient le plébiscite destiné à légaliser le coup d’État après coup, les 21 et 22 décembre. Les fugitifs sont encore traqués par les gendarmes et l’armée qui quadrillent la campagne, les perquisitions se succèdent, l’état de siège est encore en vigueur. Les autorités laissent entendre que si les habitants votent « bien », les condamnations seront moins sévères. Alors que les bulletins Oui sont imprimés et fournis aux électeurs, celle des bulletins Non est interdite, et c’est aux électeurs qui souhaitent s’opposer au plébiscite de fabriquer eux-mêmes le leur. Enfin, le vote se fait en remettant le bulletin plié au maire qui le glisse lui-même dans l’urne. Dans ces conditions, le secret du vote n’est pas respecté : les dossiers des inculpés mentionnent si la personne a voté Oui ou Non, le fait étant parfaitement connu des autorités. Dans ce climat de peur, la commune vote Oui à plus de 90 %, contre 92 % dans la France entière et 86 % dans le département.

Second Empire

1860 : destruction de l'église (datant du XVIIe siècle) et construction de l'église actuelle (architectes Rey et Bossan (célèbre architecte lyonnais), achèvement en 1877).
Les murs sont en pierres issues de la carrière de serrement sur la route de Suze. Les piliers intérieurs, les contreforts, sont en pierres de Chomérac, les piliers du clocher en pierres de Saint-Paul, la flèche en pierres d'Arles, les voûtes en briques creuses, les nervures en ciment moulé. Les portes ont été taillées dans des poutres de l'ancienne église de Saint-Michel datant du Mâcon et celles des chapelles et du porche dans la pierre de Chomérac. Les vitraux ont été fabriqués à Lyon par Ganevat. Les boiseries du chœur ainsi que l'abside ont été dessinées par Bossan.
En 1886, la foudre tomba sur le clocher. Le 16 juillet 1894, la cloche datant de 1754 chuta dans le clocher. Elle fut remplacée par une cloche fondue dans les ateliers Paccard à Annecy-le-Vieux. Cette dernière se brisa en 1899 et fut remplacée en décembre par une cloche pesant 1 052 kilos.

Vers 1860 : important développement économique (textiles papeteries), lié à une meilleure utilisations des divers canaux.

1862 : construction du pont sur la Drôme (en aval des anciens ponts romain et roman) et création d'une « avenue » permettant l'accès à la voie départementale.

Troisième République

1890 : construction d'un lavoir (aujourd'hui à proximité du rond-point, à l'entrée est du village, sur le canal Gervanne-Sye). Il sera restauré en 2016. la toiture a été refaite et la charpente reprise en utilisant les techniques du .

1894 : électrification publique par monsieur Apaix (avant Lyon et Marseille).

1905 à 1911 : ministère du pasteur Marc Boegner.

1906 (23 mai) : le président du consistoire protestant de Crest, monsieur Faure, transfère à l'association dite « Église réformée d'Aouste » (représentée par le pasteur Marc Boegner et monsieur Charles Latune) « les biens mobiliers et immobiliers » répertoriés dans l'inventaire effectué par monsieur Fontaine.

1918 : Aouste devient Aouste-sur-Sye pour éviter la confusion avec Aouste (commune des Ardennes).

Seconde Guerre mondiale

1944 : afin de ralentir la progression des nazis lors de l'offensive sur le Vercors, une quarantaine de maquisards affrontent, durant plus de deux heures, 1 500 Allemands soutenus par l'aviation lors des « combats des Grands Chenaux » le 21 juillet.

19 aout 1944: installation d'un hôpital de campagne par le 117e de Cavalerie Task Force Butler durant la bataille de Montélimar.

Histoire récente

2010 : annonce de la fermeture de l'usine de sacs papier Lembacel Mondi. C'est la fin de 350 années d'activités papetières à Aouste.

  1. a b et c Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN ), Aouste-sur-Sye.
  2. a b c et d Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées :1
  3. a et b Histoire de la commune
  4. A. Bernard, Mirabel : histoire résumée d'un village descendu de sa colline dans la vallée, Études drômoises, 50, 1980, p. 24.
  5. a et b J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 356 (Saint-Pierre).
  6. Robert Serre, 1851. Dix mille Drômois se révoltent. L’insurrection pour la République démocratique et sociale, préface de Maurice Agulhon, co-édition Peuple libre/Notre temps, s.l., 2003. (ISBN  et ), p. 112.
  7. R. Serre, op. cit., p. 129.
  8. a et b R. Serre, op. cit., p. 130.
  9. R. Serre, op. cit., p. 138.
  10. R. Serre, op. cit., p. 138-139.
  11. R. Serre, op. cit., p. 218.
  12. R. Serre, op. cit., p. 219.
  13. R. Serre, op. cit., p. 226-228.

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