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Facebook : www.facebook.com/gaudrysteph/
Ne cherchez pas à me classer, je suis plein de contradictions.
Je suis un passionné, que ce soit dans ma vie de tous les jours, dans mon travail, ou dans mes hobbies. Pour le reste, le plus simple serait de vous expliquer ce que ne suis pas…
J’ai réalisé le site l’Infobrol pour simplement me permettre de structurer un aide-mémoire.
Au début je notais tout dans de grandes fardes, mais c’était loin d’être pratique. Ensuite, les premiers sites Web ont commencé à se développer, et j’ai appris deux ou trois trucs en HTML qui m’ont permis de sauver sur une disquette mes documents et de les lier ensemble. C’était incroyablement plus pratique de me balader avec ma disquette que de transporter mes fardes.
Ensuite j’ai mis mes notes à disposition de mes collègues, profitant d’un petit espace sur un des serveurs de notre intranet. Le contenu portait essentiellement sur les comptes rendu de nos tentatives de gérer un réseau tactique sous Unix, alors que nous n’avions aucune connaissance en informatique, les différents trucs et astuces que nous découvrions.
En 2001, je retire tout le contenu concernant la partie tactique des télécommunications et du réseau militaire, et je loue un espace d’hébergement en Turquie (c’était ce que j’avais trouvé de moins cher à l’époque) ainsi qu’un nom de domaine gratuit aux îles Tokelau en Nouvelle-Zélande.
Les débuts sont laborieux, mais j’apprends quelques trucs en JavaScript pour optimiser la navigation. A ce moment, je ne pouvais espérer utiliser la moindre technologie côté serveur, et de toute manière je ne savais pas ce que c’était.
Vers 2002, je ne renouvelle pas mon abonnement en Turquie car de nouvelles offres commencent à voir le jour, et je me dirige vers OVH dont je suis très satisfait. J’en profite pour louer mon nom de domaine personnel.
Après un certain temps, le site devient trop lourd, et j’abandonne le JavaScript pour les fonctions de navigation. Je pars en vacances avec un bouquin sur le PHP et je découvre avec bonheur la conversion vers une base de données MySQL et la puissance du traitement côté serveur. petit à petit, j'apprend les notions d'orienté-objet, d'encapsulation, de classe et d'héritage, afin de centraliser, optimiser, et sécuriser le code.
Etant donné qu’il n’y avait pas ou peu de CMS à l’époque(et pourtant WordPress a vu le jour en 2003, à peu près au même moment), je développe le mien, permettant d’abord la gestion de la structure et la navigation du site dans la base de données, puis en ajoutant petit à petit les assistants pour en faire un vrai Wysiwyg, avec des formulaires de mise en forme du texte, m’inspirant des logiciels de traitement de texte.
Mon engouement pour le site est passé, et je me suis rendu compte que j’accordais plus de temps à régler la voiture que de temps à l’utiliser réellement. J’avais développé une intégration complète avec un forum (d’abord DNZ, un super forum sans base de données, puis phpBB), et des personnalisations à l’extrême, mais comme je suis un autiste, j’ai peu à peu abandonné ce côté communautaire.
De temps en temps, j’ai envie de partager un article ou l’autre, quelques photos, et donc j’utilise un WordPress par facilité comme la plus grande part des blogueurs.
Le contenu du site reste à disposition, mais le site de l’Infobrol ne sera jamais un site fini; il ne sera plus un terrain d’expérimentation pour moi, mais je ne désespère pas de pouvoir un jour y consacrer à nouveau un peu de temps pour plonger dans ses entrailles, le nettoyer, et l’adapter un peu aux évolutions du Web.
J’ai mis un CMS (WordPress) sur le site afin de ne plus m’embarrasser des évolutions des standards du Web et de la sécurité, et de temps en temps je poste un article ou l’autre, pour partager une expérience agréable, quelques photos, des actualités qui m’intéressent. Cependant, un blogueur est une personne qui poste à une fréquence plus ou moins régulière, et qui généralement est suivi par un certain nombre de personnes.
J’adore la photographie depuis que je suis petit, mais je ne maitrise pas suffisamment la technique photo pour être considéré comme un photographe. Quand je pense avoir fait une bonne photo, je vais consulter les photos que j’ai mis dans mes favoris sur flickr, et je me rends compte de suite que ce que je fais est complètement en dessous de leur travail.
Mais je continuerai probablement toujours à éprouver un énorme plaisir à prendre des photos, même si je ne fais pas de la photo.
J’ai découvert les joies et les frustrations de la photographie lorsque j’ai acheté d’occasion un vieux Zenit alors que j’avais moins de douze ans, pour imiter mon père et surtout mon oncle, un genre d’ours baroudeur bricoleur et fan de photographie. Rapidement, j’ai puisé dans mes maigres économies pour m’acheter une cellule photoélectrique (LENINGRAD7) afin de pouvoir ajuster ma vitesse en fonction de la sensibilité du film et de l’ouverture choisie… Et le temps de lire la valeur et de faire mes réglages la lumière avait changé et ma photo n’était pas correctement exposée :)
Par la suite, j’ai eu la grande chance de pouvoir m’offrir le nouveau Zenit TTL, qui comportait une cellule intégrée, avec lecture directement dans le viseur. Quel confort d’utilisation ! Cet appareil avec sa coque robuste en cuir bouilli m’accompagnait partout, que ce soit en spéléologie, en montagne, ou simplement dans les promenades du week-end.
Mon équipement comportait alors l’objectif Helios 58mm f2 du kit, un magnifique Soligor 135mm f3.5, quelques filtres Cookin (le Photoshop de l’époque), et un flash.
En 2001, j’ai basculé dans le monde numérique avec un Fujifilm Finepix 6800z. Je possédais une carte de stockage de 16Mo, et comme à l’époque la moindre place sur les disques durs se négociait âprement, je compressais toutes mes photos afin d’atteindre une taille de moins de 200Ko par fichier (et dire qu’à l’époque j’étais si content de ce genre de bouillie de pixels). Le format de carte utilisé ne s’est pas répandu, et c’est le format SD qui a signé son arrêt de mort (Quand on possède une carte de 16Mo, on fait rarement des photos à 3,3Mp, voir 6Mp en extrapolation).
Dix ans plus tard, en 2011, c’est le grand retour vers un boîtier reflex, avec le Nikon D7000, un appareil incroyable, qui m’a offert un plaisir égal à mon Zenit, et une satisfaction bien supérieure.
Au moment de la rédaction de cet article, j’ai revendu le D7000, très encombrant, pour me tourner vers le Panasonic LUMIX DMC-LX100, qui m’a séduit par son faible encombrement, la qualité de ses photos, et l’ergonomie semblable à mon vieux Zenit (l’ouverture et la mise au point se règlent à l’ancienne avec des bagues sur l’objectif, la vitesse par une molette au dessus du boîtier).
Donc le forum est passé à la poubelle, ainsi que les fonctions de personnalisation, accès restreints, etc.
J'utilise quand même encore une authentification, mais seulement pour permettre quelques réglages de base ou l'accès à certaines ressources.
Selon les tests de Myers-Briggs, mon profil socionique1 est INFJref 1. Les termes idéaliste, professeur, diplomate associés au INFJ semblent correspondrent à mon choix de carrière, vu que j'ai débuté dans l'enseignement.
J’ai toujours été fasciné par les sites en friche, par la nature qui reprend ses droits sur les monstres de métal que l’homme dans sa folie consommatrice laisse derrière lui, et ce sentiment indescriptible que l’on éprouve dans ce genre de lieux. J’ai eu la chance de passer mon enfance à côté de fermes en ruine, de champs d’épaves de voitures enfouies sous la végétation, qui nous ont offert de merveilleux terrains de jeux.
Malheureusement, c'est devenu un sport à la mode sous le nom d’Urbex (contraction d’Urban Exploration, ou exploration urbaine), une compétition. De rares personnes ont gardé cet émerveillement et ce respect qu'ils ressentaient en entrant dans ces lieux, mais pour le plus grand nombre c'est devenu une course, une sorte de catalogue sans aucun intérêt esthétique. Je continue à visiter virtuellement ces lieux au travers du travail d'autres photographes pour qui j'ai une grande admiration, comme par exemple mon comparse des premiers temps, Seb, mais mes efforts se concentrent à présent sur les voyages ou les randos.
Mes goûts prononcés pour la littérature fantastique ou science-fiction, les jeux et les films n’ont certainement pas contribué à m’éloigner de ce genre d’ambiance.
Il est impossible de faire une liste exhaustive de ce que j’aime, mais je peux vous présenter quelques éléments qui m’ont particulièrement marqué :
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