Saint-Tropez

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Saint-Tropez : descriptif

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Saint-Tropez

Saint-Tropez (prononcé [sɛ̃ tʁɔ.pe]) est une commune française située dans le département du Var en région Provence-Alpes-Côte d'Azur, chef-lieu du canton de Saint-Tropez. De la cité corsaire dominée par sa citadelle du XVIe siècle au village de pêcheurs au début du XXe siècle, la première ville libérée lors du débarquement de Provence devint dès les années 1950 une station balnéaire internationalement connue de la Côte d'Azur varoise grâce à l'engouement des artistes de la Nouvelle Vague puis des yéyés et enfin, un lieu de villégiature de la jet set européenne et américaine comme des touristes en quête d'authenticité provençale ou de célébrités. Ses habitants sont les Tropézien(ne)s.

Géographie

Localisation

Localisation de Saint-Tropez dans sa presqu'île.

Saint-Tropez est située dans le Sud-Est de la France, sur le littoral sud-est du Var, sur la presqu'île de Saint-Tropez qui ferme le golfe du même nom. La commune s'inscrit dans un croissant autour de la baie des Canebiers, sur la totalité de la presqu'île, qui peut être englobé dans un rectangle de six kilomètres par quatre.

La commune occupe une superficie de mille cent dix-huit hectares et son territoire est presque totalement occupé par des propriétés bâties sur de grandes parcelles, lui donnant une apparence environnementale relativement préservée. Toutefois, des concentrations de constructions apparaissent autour du vieux village, sur le littoral, notamment entre les caps Saint-Pierre et de Saint-Tropez et entre le cap Pinet et la longue plage de Pampelonne. La commune est intégrée au territoire Golfe de Saint-Tropez par le conseil général du Var.

Sur ses douze kilomètres de littoral, la commune dispose de six plages, à l'ouest à la limite avec Gassin, la grande plage de la Bouillabaisse, dans le vieux village, les plages de la Ponche et la Fontanette, après le cimetière marin, la plage des Graniers, dans la baie éponyme, la longue plage des Canebiers et à l'extrémité est de la presqu'île, la plage de la Moutte et celle des Salins. S'ajoutent à ces plages publiques de nombreuses petites plages privées, naturelles ou artificielles, incorporées aux propriétés, malgré la loi littoral.

Port de Saint-Tropez.

Le territoire de Saint-Tropez n'est traversé par aucune route d'importance. Un démembrement de l'ancienne nationale 98 à partir du célèbre carrefour de La Foux permet de rallier le village et se poursuit vers le sud de la presqu'île par la route départementale 93, dite « route des Plages ». Elle matérialise la limite entre Saint-Tropez et Gassin à l'ouest. Dès lors, le réseau secondaire revêt une importance pour la commune, avec notamment la route des Salins qui traverse la presqu'île d'ouest en est depuis le centre-ville, le chemin du Pinet qui part vers le sud depuis le complexe sportif et le chemin Sainte-Anne depuis la place des Lices. Saint-Tropez ne dispose d'aucune route longeant le littoral.

Saint-Tropez est située à 704 kilomètres au sud-est de Paris-Notre-Dame, point zéro des routes de France, 104 kilomètres à l'est de Marseille, 60 kilomètres au nord-est de Toulon, 92 kilomètres au sud-ouest de la frontière italienne, 180 kilomètres au nord-ouest des côtes corses et 685 kilomètres au nord des côtes algériennes.

La commune est située sur une presqu'île cernée du nord-ouest au sud-est par la mer Méditerranée qui ferme le golfe de Saint-Tropez. La commune ne possède de limite terrestre qu'avec Gassin à l'ouest - sud-ouest et Ramatuelle au sud. Les liaisons maritimes fréquentes avec Grimaud au nord-ouest et Sainte-Maxime au nord en font des communes limitrophes de fait.

Communes limitrophes

Les communes limitrophes sont Gassin et Ramatuelle.

Rose des vents Mer Méditerranée,
Golfe de Saint-Tropez,
au large Grimaud
Mer Méditerranée,
Golfe de Saint-Tropez,
au large Sainte-Maxime
Mer Méditerranée,
Golfe de Saint-Tropez,
au large Les Issambres
Rose des vents
Gassin N Mer Méditerranée
O    Saint-Tropez    E
S
Gassin Ramatuelle Mer Méditerranée,
Anse de Pampelonne

Géologie et relief

Carte du massif des Maures.

Le village est situé au début d'une zone vallonnée, le bourg étant adossé à une colline de faible hauteur (l'altitude maximum de la commune est de 115 mètres) qui fait face à la mer, au nord de la presqu'île qui porte son nom.

La presqu'île de Saint-Tropez appartient géographiquement et géologiquement au massif des Maures, petite chaîne de montagne du sud de la France qui s’étend d'Hyères à Fréjus, les roches de ce massif étant très anciennes, formées entre la fin du Protérozoïque et la fin du Paléozoïque.

Sur le plan géologique, ce massif est donc essentiellement constitué de roches métamorphiques. On peut noter dans le secteur immédiat, la présence d'une faille, laquelle débute des environs de Pennafort (au nord de la dépression permienne), puis passe aux abords de Plan-de-la-Tour pour atteindre la Méditerranée à proximité de Grimaud, commune du golfe de Saint-Tropez.

Une unité des gneiss orientaux est constatée dans le secteur de Sainte-Maxime-Saint-Tropez ; celle ci est formée de « gneiss migmatitiques, d'orthogneiss, de gneiss micacés à sillimanite, de gneiss leptynitiques, de micaschistes à staurotide-sillimanite-disthène à niveaux de cipolins, et d'amphibolites ».

Hydrographie et les eaux souterraines

La commune de Saint-Tropez est classée en loi littoral, car riveraine de la mer Méditerranée.

Plusieurs petits ruisseaux parcourent le territoire de la commune dont les Marres, la Gassine qui la sépare de Gassin, la Moutte qui court à travers la presqu'île et se jette dans la mer en traversant les marais salants, et plusieurs autres aujourd'hui oubliés et canalisés dans le réseau d'eaux pluviales.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Var, Alpes-Maritimes, caractérisée par une pluviométrie abondante en automne et en hiver (250 à 300 mm en automne), un très bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 75 %), un hiver doux (.

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 15,6 amplitude thermique annuelle de 14,5 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cogolin_sapc », sur la commune de Cogolin à 9 vol d'oiseau, est de 15,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 958,0 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 42 ,,.

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

  1. «  » [PDF], sur Var.fr (consulté le ).
  2. «  », sur Les salins.
  3. «  », sur Planet terre.
  4. Des cours d’eau singuliers
  5. Ruisseau des Marres
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, ISSN 1278-3366, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. «  », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. «  », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. «  », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  12. «  », sur meteofrance.com, (consulté le ).


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Toponymie

Selon la légende, Saint-Tropez doit son nom à un grand officier de la cour de Néron, Caïus Silvius Torpetius (saint Tropez de Pise) né à Pise. Converti par saint Paul, il engendre la colère de l'empereur Néron qui le fait décapiter le sur la place de Pise. Le corps est jeté dans une vieille barque avec un coq et un chien chargés de le dépecer (selon un châtiment réservé habituellement aux parricides dont ces deux animaux sont les symboles), l'embarcation étant livrée au fleuve Arno sous le vent d'est puis aux caprices de la mer. Elle s'échoue le sur le rivage d'Heraclea (futur Saint-Tropez) au lieu-dit, plus tard, le Pilon.

Cette légende que la fantaisie populaire a plus ou moins façonnée contient probablement un fond de vérité : le nom d'Heraclea vient probablement d'un petit temple romain dédié à Hercule érigé au pied du village. Les chrétiens ont sans doute détruit ce temple païen et rebaptisé le lieu du nom de leur saint fondateur légendaire, y élevant le castrum de Sant-Tropé. Ce procédé de substitution toponymique reflète bien souvent la consolidation du christianisme dans une région. Par la suite, Sant-Tropé subit la déformation populaire en Saint-Tropes puis Saint Tropez.

Le nom de la commune s'écrit Sant Tropetz en provençal selon la norme classique ou Sant Troupés selon la norme mistralienne (prononcé dans les deux cas [ⁿ]).

La commune est créée en 1793 en lui redonnant le nom d'Héraclée et est renommée Saint-Tropez en 1801.

La ville est familièrement appelée « Saint-Trop' », tel que l'écrivain Boris Vian a pu le déclarer dans un film de court-métrage, consacré à la ville, en 1952.

  1. «  », sur NRJ ST TROPEZ.
  2. Gabrielle Sentis, Saint-Tropez, cité corsaire : l'histoire, les marins, la presqu'île, les bravades, les artistes, Impr. Guirimand, , p. 22.
  3. Jean Paul Clébert, Provence antique. L'époque gallo-romaine, Robert Laffont, , p. 114.
  4. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, «  », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales.
  5. Google Books, Cinéma Science fiction, Boris Vian

Histoire

Préhistoire

Antiquité

En 599 av. J.-C., les Phocéens, un peuple grec issue d'Asie mineure, investissent le site de Marseille et les sites de mouillage de la côte méditerranéenne tels que Aegitna (Cannes), Antipolis (Antibes) ou Nikaïa (Nice). Saint-Tropez est probablement à cette époque un petit port hellénique connu sous le nom d’Athenopolis Massiliensium, comptoir massaliote.

La bataille d'Actium, survenue en 31 av. J.-C., permet l'installation des Romains. Ceux-ci construisent des villas cossues ; celle dite « des Platanes » en est l'illustration. La dénomination du village est alors Héraclea-Caccaliera situé à l'embouchure du Sinus Sambracitanus (golfe sambracitain qui doit son nom aux Cimbres, nom qui se retrouve dans le quartier Les Issambres).

À la fin du Trèves, est installée à Arles à cause de la pression des Barbares, se rapprochant ainsi de Saint-Tropez.

Moyen Âge

Après s'être emparé de Rome, les Wisigoths d'Athaulf, successeur d'Alaric en marche vers l'Espagne traversent le sud-est de la Gaule en 413 et s'emparent de Narbonne.

Le royaume des Burgondes (regnum Burgondionum), que l’on peut considérer comme le premier royaume de Bourgogne, doit son nom au peuple burgonde, ensemble de tribus germaniques venues s’installer en 443 sur les bords du lac Léman et étendant leur pouvoir jusqu'à la Méditerranée. En 534, après la chute de la Burgondie, toutes les troupes franques menées par se localisent à proximité de la Provence. Arles est prise au cours de cette même année.

Au cours du Sarrasins qui se retrancheront à la Garde-Freinet. Il restera de leur passage les toits de tuiles roses dites « sarrasines » du pays de Provence.

De 890 à 972, la péninsule de Saint-Tropez est une colonie arabo-musulmane sous les noms de Jabal al-Qilâl « montagne des cimes » et de Farakhshinit, forme arabisée du gallo-roman fraxinetu « frênaie », à mettre en relation avec le second élément de La Garde-Freinet. Cependant, le toponyme -Freinet est directement issu du terme roman. Évariste Lévi-Provençal fait provenir le toponyme Ramatuelle de l'arabe Rahmat-ûllah « miséricorde divine ». Nasr ibn Ahmad est nommé caïd de la péninsule de Saint-Tropez en l'an 940, territoire dans lequel se réfugie entre 961 et 963, Audibert fils de Bérenger, le prétendant au trône de Lombardie chassé par l'empereur germanique Othon . En 972, les musulmans de Saint-Tropez enlèvent l'abbé Maïeul de Cluny qu'ils relâchent contre rançon, mais ceux-ci seront définitivement chassés par comte de Provence, seigneur de Grimaud en 976. Ce seigneur fait construire en 980 une tour à l'emplacement actuel de la tour Suffren afin de mieux protéger la cité.

Deux bulles pontificales émises en 1079 et en 1218 confirment l'existence d'un domaine seigneurial à Saint-Tropez.

Renaissance et époque moderne

Dans Topographia Galliæ au XVIIe siècle.
  • À partir de 1436, le comte René bon roi René ») tente de repeupler la Provence, il crée la baronnie de Grimaud et fait appel au Génois Raphaël de Garezzio, gentilhomme, qui aborde la presqu'île avec une flotte de caravelles accompagné d'une soixantaine de familles génoises. En contrepartie, les Tropéziens seront francs, libres, et exempts de tout impôt, cette convention perdurera jusqu'à son abrogation en 1672 par Louis XIV. Le , l'accord est passé entre Jean Cossa, baron de Grimaud, grand sénéchal de Provence et Raphaël de Garezzio. Dans Saint-Tropez détruit par la guerre de la fin du . La tour carrée faisait partie de l'ensemble. La cité est une petite république qui possède sa flotte et son armée, et est administrée par deux consuls et douze conseillers qu'elle élit. En 1558 la création de la charge de capitaine de ville, Honorat Coste, renforce l'autonomie de la ville. Le capitaine élu, tous les ans, dirige les capitaines de quartiers, un bombardier, une milice et des mercenaires. Les Tropéziens résistent aux Turcs, aux Espagnols, secourent Fréjus et Antibes, aident l'archevêque de Bordeaux à reprendre les îles de Lérins.
  • 1577 : Geneviève de Castille, fille du marquis, seigneur de Castellane épouse Jean-Baptiste de Suffren, marquis de Saint-Cannat, baron de La Môle, conseiller au Parlement de Provence. La seigneurie de Saint Tropez devient l'apanage de la famille de Suffren.
  • 1615 : Saint-Tropez accueille durant quelque temps l'expédition de Hasekura Tsunenaga, qui se rendait à Rome mais est obligée de s'arrêter à cause du mauvais temps. Cette visite imprévue constitue la première trace enregistrée de relations franco-japonaises.
  •  : Les Tropéziens viennent à bout de 21 galères espagnoles. Cette victoire donnera lieu à une bravade le 15 juin qui glorifie la victoire des habitants sur les Espagnols.

Époque contemporaine

Le , la croix de guerre 1939-1945, avec palme de bronze, est attribuée à la ville de Saint-Tropez.

En mai 1965, un hélicoptère lourd Super Frelon de présérie s'écrase dans le golfe, tuant son pilote, le lieutenant de vaisseau Claude Bonvallet, et blessant trois autres militaires.

Le , le sous-marin Eurydice disparaît dans le golfe, au niveau du cap Camarat avec 57 hommes d'équipage.

Station balnéaire internationalement connue

Village de pêcheurs au début du  siècle, Guy de Maupassant atteint de la syphilis vient s'y reposer dans son yacht en 1887. Guy de Maupassant publie son journal de bord en 1888 sous le titre Sur l'eau où il décrit son arrivée dans le golfe le 12 avril à bord du Bel Ami. Paul Signac découvre en 1892 ce petit port de pêcheurs à bord de son yacht l'Olympia. Il y achète La Hune, une maison dont il fait son atelier et devient le lieu de pèlerinage de nombreux peintres. La proximité de stations thermales attire des artistes comme Colette dans les années 1920. Léon Volterra, directeur de salles parisiennes, en devient le maire dans les années 1930, assurant sa promotion nationale (séjours de Louise de Vilmorin, Arletty, Jean Cocteau).

Sa dernière défense de la citadelle fut celle de la dernière guerre. Le , la flotte alliée débarque sur les plages voisines et Saint-Tropez est la première ville de Provence libérée, par Henri d'Astier de la Vigerie à la tête des 50 homme du « Détachement spécial » des Commandos de France. Une stèle sur le vieux port commémore ce fait d'arme. Après 1944, le port est en ruines, la chapelle des Pénitents blancs est mutilée, les bombardements ont soulevé le quai. Lors de la reconstruction, Philippe Tallien, architecte, remarque des ouvriers qui se préparent à détruire l'arche branlante du marché aux poissons. Il fait tout arrêter, part à Paris, alerte des personnalités influentes qui forment un comité. Sous la houlette du ministre Raoul Dautry, le village est épargné d'une grande avenue de huit mètres de large qui devait le traverser jusqu'à la place des Lices et monter jusqu'à la citadelle.

Plage de la Ponche, lieu de tournage de Et Dieu… créa la femme.

Dès les années 1950, Saint-Tropez devient une station balnéaire internationalement connue de la Côte d'Azur, ce grâce au tournage de Et Dieu… créa la femme en 1956, et à l'engouement qui s'ensuivit par les artistes de la Nouvelle Vague. Le tournage du film « contribue à l’édification d’un mythe » pour ce village qui « bénéficiait déjà depuis plusieurs dizaines d’années d’une grande notoriété », mais « auprès d’un cercle restreint de personnes », depuis que l'écrivain Colette avait découvert au cours de l’été 1925 « le Saint-Tropez des peintres ».

Sur fond de battage médiatique, plusieurs autres films y sont tournés comme La Collectionneuse, La Piscine) ou plus populaires (La Cage aux folles, La Scoumoune, L'Année des méduses, la série des « Gendarmes ») puis des Yéyés et enfin, un lieu de villégiature de la jet set européenne et américaine comme des touristes en quête d'authenticité provençale ou de célébrités.

On qualifie de Saint-Tropez des stations balnéaires fréquentées par la jet Set.

  • le Saint-Tropez brésilien, Buzios
  • le Saint-Tropez portugais, Cascais
  • le Saint-Tropez sicilien, Taormine
  • le Saint-Tropez uruguayen, Punta del Este
  • les Saint-Tropez ligures, en Italie, Portofino et Portovenere
  • le Saint-Tropez du Pernambouc, Olinda
  1. Jean Paul Clébert, Provence antique : L'époque gallo-romaine, Robert Laffont, , p. 114.
  2. Gabrielle Sentis, Saint-Tropez, cité corsaire : l'histoire, les marins, la presqu'île, les bravades, les artistes, Impr. Guirimand, , p. 19.
  3. «  », sur chronologie.org.
  4. a b c et d Histoire de l'Islam et des Musulmans en France, pages 55-67.
  5. Mythologies urbaines: Les villes entre histoire et imaginaire, par Alain Cabantous.
  6. «  », notice base Mérimée, ministère français de la Culture.
  7. Saint-Tropez, frontière de mer
  8. Bravade des espagnols
  9. «  » [PDF], sur Memorial Dormans.
  10. «  » [PDF], sur memorial-aen.fr.
  11. Sur l'eau, Guy de Maupassant, MONS Verlag 2016, (ISBN ).
  12. Yves Bigot, La folle et véridique histoire de Saint-Tropez, Grasset, , 274 p..
  13. Jean-Bernard d'Astier de la Vigerie, Henri d'Astier de la Vigerie, Paris, La Pensée Universelle, , 215 p., p. 154
  14. a b c d et e "Et Saint-Tropez devint Saint-Trop" par Raymond Bizot, dans La Marseillaise du 16 avril 2017 [1]

Héraldique

Malte-Brun, dans la France illustrée, tome V (1884), rapporte deux blasonnements :

le premier utilisé actuellement par la commune : D'azur à saint Tropez vêtu en pèlerin d'or, auréolé du même, tenant de sa main dextre une épée basse d'argent, (le tout sur une terrasse aussi d'or chargée de l'inscription Saint-Tropez en lettres capitales de sable).
et le second inusité : Losangé d'argent et de gueules.

On rencontre aussi couramment dans les rues du village le blason :

D'azur à la barque de gueules portant Torpes allongé, un chien et un coq, surmonté d'un ange d'argent volant au-dessus et portant une couronne dans la main.
Drapeau de Saint-Tropez.

La commune dispose d'un drapeau reprenant les couleurs des corsaires à trois bandes rouge, blanche et rouge, indifféremment placées verticalement ou horizontalement.

  1. Canton de Saint-Tropez : Saint-Tropez, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau

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Saint-Tropez dans la littérature

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Dokument erstellt 03/01/2018, zuletzt geändert 12/12/2024
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