Quinson

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Quinson : descriptif

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Quinson

Quinson est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Le nom de ses habitants est Quinsonnais.

Géographie

Localisation

Les communes limitrophes de Quinson sont Esparron-de-Verdon, Saint-Laurent-du-Verdon, Régusse, Montmeyan, La Verdière et Saint-Julien (ces quatre dernières communes, au sud et à l’ouest de Quinson, sont situées dans le département du Var).

Quinson et les communes voisines (Cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).

Géologie et relief

Le Mourre de Chanier.

Situé sur le cours du Verdon, entre les retenues d'eau de Sainte-Croix et d'Esparron-sur-Verdon, le site de Quinson est caractérisé par une plaine alluviale de taille modeste, à 380 m d’altitude, enserrée entre de hautes parois rocheuses. Le village est dominé par le plateau de Valensole en direction du nord et, à l'opposé, par le cataclinal qui marque la limite septentrionale du haut Var.

La commune de Quinson fait partie du parc naturel régional du Verdon.

Elle compte mille deux cents hectares de bois et forêts.

Hameaux

La commune de Quinson compte deux hameaux, autour du village : Super Quinson et la Chéline.

Sismicité

Commune située dans une zone de sismicité modérée.

Hydrographie et les eaux souterraines

Début des basses gorges du Verdon, près de Quinson.

Quinson est traversé par le Verdon, ainsi que par le ravin de Vauclare, son affluent. Au niveau de Quinson, le Verdon suit un passage en plaine, entre les gorges hautes et les gorges basses. Il y forme le lac de Quinson.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 .

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,5 amplitude thermique annuelle de 16,7 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Regusse », sur la commune de Régusse à 9 vol d'oiseau, est de 13,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 717,9 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,9 ,,.

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

Risques naturels et technologiques

Aucune des deux cents communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Riez auquel appartient Quinson est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques, et en zone 3 (risque modéré) selon la classification probabiliste EC8 de 2011. La commune de Quinson est également exposée à trois autres risques naturels :

  • feu de forêt,
  • inondation,
  • mouvement de terrain : le tiers nord-est de la commune est entièrement concerné par un aléa moyen à fort.

La commune de Quinson est de plus exposée à deux risques d’origine technologique :

  • celui de transport de matières dangereuses par route. La départementale RD 11 peut être empruntée par les transports routiers de marchandises dangereuses ;
  • celui de rupture de barrage : en cas de rupture du barrage de Quinson, la commune serait menacée par l’onde de submersion. Le danger provenant d’une rupture du barrage de Sainte-Croix est bien plus grand ; car, même éloigné, l’onde de submersion née d’une rupture du barrage de Castillon se propagerait au-delà des barrages de Sainte-Croix et de Quinson, et causerait une inondation dans la commune,.

Aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune, ni a été approuvé et le Dicrim n’existe pas non plus.

La commune a été l’objet de plusieurs arrêtés de catastrophe naturelle pour des inondations et des coulées de boue, en 1994, 2003 et 2011. Le dernier tremblement de terre fortement ressenti dans la commune est celui du 11 juin 1909, dont l’épicentre était situé à Lambesc. Ce séisme, qui est en fait un essaim, a atteint une intensité macro-sismique équivalente de V sur l’échelle MSK, à Quinson (dormeurs réveillés, chutes d’objets),. L’incendie du 17 juillet 2003 détruit 820 Esparron-de-Verdon et Saint-Laurent-du-Verdon. Le 7 août 2005, un incendie détruit 2 013 Saint-Martin-de-Brômes et d'Esparron-de-Verdon.

  1. Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, ISBN ).
  2. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées tresor
  3. Didacticiel de la réglementation parasismique
  4. Quison, Leau sur la commune], sur www.provence7.com/
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. «  », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
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  10. «  », sur drias-climat.fr (consulté le ).
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  12. Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, , p.39.
  13. a b et c Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées prim
  14. Dossier départemental sur les risques majeurs 2008, p. 37.
  15. a et b Dossier départemental sur les risques majeurs 2008, p. 97.
  16. Dossier départemental sur les risques majeurs 2008, p. 80.
  17. Dossier départemental sur les risques majeurs 2008, p. 88.
  18. DREAL, « Cartographie de l’onde de submersion des grands barrages », Région PACA, consulté le 9 août 2012.
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  22. Dossier départemental sur les risques majeurs 2008, p. 52.


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Toponymie

Le nom du village, fait l’objet de différentes interprétations :

  • Xavier de Fourvières, occitaniste, mais non-toponymiste, rapproche Quinson de l’occitan quinsoun (pinson), puisque le pinson figure sur les armes de la commune ;
  • Les toponymistes se basent sur la forme ancienne du nom du village, avant qu’il ne se déforme, (Poncius de Quincione, en 1042), ils expliquent le nom actuel qui serait celui d’un nom propre romain, Quinctius (selon Charles Rostaing) ou Quintio (selon Ernest Nègre et le couple Fénié),,.

On prononce et écrit Quinçon en provençal classique et Quinsoun selon la norme mistralienne.

  1. Xavier de Fourvières, Lou Pichot Tresor, Aubanel, 1975.
  2. Charles Rostaing, Essai sur la toponymie de la Provence (depuis les origines jusqu’aux invasions barbares), Marseille, Laffite Reprints,  (1re éd. 1950), p.427.
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Héraldique

Blason
D'azur à un pont d'une arche alaisé d'argent maçonné de sable sommé d'un pinson d'or le pied dextre levé,.
Détails
Armes parlantes. Jeu de mots sur sonorité : pinson/Quinson.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
  1. « XVe journée archéologique », dans Annales de Haute-Provence, no 308, 2e trimestre 1989, p. 9.
  2. Dominique Cureau, «  », sur vexil.prov.free.fr (consulté le ).

Histoire

Préhistoire

Reconstitution dolmen néolithique final
La Baume Bonne
Visite de la grotte de la Baume Bonne

Les origines d'un peuplement humain à proximité de Quinson se trouvent dans les basses gorges du Verdon, où plusieurs grottes (appelées « baumes ») ont révélé des abris sous roche occupés périodiquement pendant plus de 400 000 ans. Parmi ces sites préhistoriques, la plus importante est la grotte de la Baume Bonne, signalée à l'attention des préhistoriens en décembre 1946 et fouillée de 1957 à 1968 par Henry de Lumley, puis, en 1988–1998 sous la direction de Jean Gagnepain et de Claire Gaillard.

La fréquentation du site à des époques différentes s’explique par la présence de l’eau, de bois (pour l’outillage et le chauffage), d’abris naturels (grottes) et la présence de quatre biotopes différents, donc autant de types de faune et de flore assurant l’alimentation :

  • les falaises (tahr, bouquetin),
  • la rivière (poisson et castor) et son tombolo formant un gué emprunté par les troupeaux pour traverser le Verdon ;
  • les forêts (cerf, chevreuil, sanglier) ;
  • la plaine de Quinson-Montmeyan, uniquement herbue (chevaux).

La grotte (actuellement au ras du lac de retenue) domine le Verdon de 30 m environ, et permet de surveiller le passage des animaux. Lle Verdon charrie suffisamment de pierres de taille et de nature les rendant aptes à la taille : silex et chaille. Plusieurs autres grottes sont occupées à différentes époques sur les falaises du Verdon. Au Bronze final, toutes sont occupées.

La grotte de la Baume Bonne est exceptionnelle, car fréquentée à peu près à toutes les époques préhistoriques et historiques. Les périodes d’occupation connues sont :

  • une première à la fin du paléolithique inférieur (il y a 400 000 ans environ) ;
  • une seconde période avec des outils fabriqués selon la méthode Levallois (occupation il y a 300 à 150 000 ans). Un des silex provient de gisements situés à 40 (Largue) et 50 km (Sisteron). Ces deux occupations se trouvent dans le fond de la grotte ;
  • l’homme de Néandertal (moustérien) occupe également le site. Les restes d’un ours des cavernes ont été retrouvés (époque : moins de 130 000 ans) ;
  • à différentes époques du paléolithique supérieur (Arénien et Épigravettien), l’homme de Cro-Magnon lui succède (outils en os et bois d’animaux). Des pointes de flèche taillées dans le silex de Sisteron datent également de cette époque ;
  • enfin, la grotte est occupée au Néolithique supérieur (Cardial) : on y a retrouvé des céramiques, des outils en pierre polie. Petit à petit, la part de la chasse dans l’alimentation diminue et est progressivement remplacée par la chèvre et le mouton, du fromage est fabriqué (faisselles) (à partir de 5800 av. J.-C. et pendant 1800 ans environ). Tous ces restes sont découverts à l’entrée de la grotte.

À l’époque historique, des tessons de céramique d’époque grecque (600 av. J.-C.), romaine (à partir du guerres de religion) attestent de la fréquentation du site. Sous la Révolution française, un prêtre catholique y tient un culte illégalet les bergers s’y abritent encore épisodiquement aux XIXe et XXe siècles.

Les grottes de Sainte-Maxime sont également occupées par l’homme de Néandertal. À cette époque, l’alimentation est surtout constituée de cheval et de bouquetin. Enfin, l’abri du Pont de Quinson est occupé à l’époque mésolithique (antérieur au début du Néolithique). À la fin du Néolithique, on trouve encore des traces d’art schématique linéaire (abri Donner).

L’âge du bronze est également représenté à Quinson, plus faiblement, par des épingles retrouvées à l’aven de Vauclare, et la sépulture des Points rouges date du Bronze final.

L’âge du fer (qui débute vers 650 av. J.-C. dans la région) se manifeste par l’aménagement de l’éperon barré de Saint-Michel, site défensif situé en hauteur, préféré aux grottes et à un habitat sur les berges de la rivière. La raison en est la multiplication de troubles liée à une plus grande hiérarchisation des sociétés vers la fin de l'âge du bronze. C’est à cet endroit que se situe le village médiéval de Quinson, qui succède à l’oppidum celto-ligure. Il est situé en bordure du plateau, au nord-ouest du village actuel. Ses ruines - pour l'essentiel médiévales - sont encore visibles. Ce dernier est daté de près de 3000 ans et le site fut vraisemblablement occupé en permanence jusqu'à la conquête romaine de la Narbonnaise, date à laquelle au moins une riche exploitation — ou villa — romaine fut implantée dans la plaine. Si aucun indice archéologique ne permet de savoir comment a pu s'achever l'occupation de l'oppidum, c'est peut-être parce que ce dernier, contrairement à d'autres forteresses, ne connut pas de fin violente.

Moyen Âge et Temps modernes : l’Ancien Régime

Porte ouvrant les remparts

Lle rempart naturel constitué par la hauteur de ce premier habitat servit à nouveau - probablement d'abord de lieu de refuge - vers la fin de la période romaine. Durant le haut Moyen Âge, il constitua également le lieu d'implantation du premier village médiéval. Celui-ci apparaît pour la première fois dans les chartes en 1042.

Les seigneurs du village furent successivement les évêques de Riez, puis les abbés de Lérins (rachat des droits en 1113), puis les comtes de Provence (1248). L’abbaye de Lérins était toutefois toujours détentrice de la paroisse et du prieuré Sainte-Marie de la vallée des Meuniers (rive gauche), dont elle percevait les revenus. La communauté relève à partir du  siècle de la viguerie de Moustiers.

L’implantation du village actuel dans la « plaine » constitue un nouvel épisode dans l'histoire de Quinson, daté de la fin du Moyen Âge. En 1419, la reine Yolande d'Aragon, régente de Provence, permet aux villageois de s'établir près des cultures dans la plaine et d'ériger des murailles. Cette enceinte permet de défendre la ville et de prélever un péage sur le pont du Verdon, essentiel pour les communications entre Basse et Haute-Provence. Au  siècle, le bourg devient ville royale.

Le village dépend de la prévôté de Barjols de 1277 à 1775, date à laquelle il rachète les droits seigneuriaux. Une foire s’y tenait au . Durant la Révolution, le village, fort d'environ 1100 habitants, prend sans hésitation le parti de la République.

Révolution française

Dès le 29 décembre 1790, la commune juste constituée de la Roquette lui est rattaché, car elle comptait trop peu d'électeurs actifs. La société patriotique est créée en 1791. Une société rivale est créée en 1792, puis les deux fusionnent. Il y avait 137 adhérents à la Société révolutionnaire en 1793, ce qui faisait que plus de la moitié de la population masculine la fréquentait.

Durant les années 1790, Quinson est chef-lieu de canton, avant d’être rattachée à celui de Riez.

Époque contemporaine

Monument aux morts.

Le coup d'État du 2 décembre 1851 commis par Louis-Napoléon Bonaparte contre la Deuxième République provoque un soulèvement armé dans les Basses-Alpes, en défense de la Constitution. Après l’échec de l’insurrection, une sévère répression poursuit ceux qui se sont levés pour défendre la République : 10 habitants sont traduits devant la commission mixte, la majorité étant condamnés à la déportation en Algérie.

Comme de nombreuses communes du département, Quinson se dote d’une école bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, elle en possède déjà une qui dispense une instruction primaire aux garçons, au chef-lieu. La même instruction est donnée aux filles : la loi Falloux (1851) impose l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de 800 habitants. La commune profite des subventions de la deuxième loi Duruy (1877) pour construire une école neuve.

De 1865 à 1875, le canal du Verdon ou d'Aix est creusé, et une retenue haute de 15 bagnards, pour dériver les eaux du Verdon et alimenter en eau potable Aix.

À la fin du  siècle, Quinson connait la fin de sa prospérité : la construction des voies ferrées plus au sud contribue à l'isoler des grands axes de communication.

La désaffection de la voie qui avait assuré sa richesse et les conséquences de la seconde révolution industrielle entraînent l’exode rural de la population jusque durant les années 1970 : en 1950, le village, en effet, ne compte plus que 250 habitants.

La construction des barrages sur le Verdon par Électricité de France et la création de leurs lacs de retenue permet depuis un nouvel essor de ce site préservé, lié au tourisme vert.

  1. Musée de Préhistoire à Quinson.
  2. Jean Gagnepain, « La Baume Bonne : 400 000 ans de la vie des hommes », Verdon, no 1,‎ , p.97.
  3. Gagnepain 1999, p. 98.
  4. D’après des observations effectuées lors de la vidange du barrage d'Esparron, Gagnepain 1999, p. 98.
  5. Gagnepain 1999, p. 100-106.
  6. Gagnepain 2002, p. 45.
  7. Le Gravettien de la France méditerranéenne, par Fréderic Bazile
  8. Gagnepain 1999, p. 106.
  9. Gagnepain 2002, p. 53.
  10. Gagnepain 2002, p. 56.
  11. Gagnepain 2002, p. 63.
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  13. Gagnepain 2002, p. 78.
  14. Gagnepain 2002, p. 80.
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  16. a et b Gagnepain 2002, p. 34.
  17. «  », notice base Mérimée, ministère français de la Culture
  18. Carte archéologique de la Gaule : 04. Alpes-de-Haute-Provence, Géraldine Bérard, Guy Barruol, 1997
  19. a b et c Daniel Thiery, «  », (consulté le ).
  20. a et b Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Annales
  21. Collier 1986, p. 300.
  22. Thierry Pécout, « Noblesse provençale et pouvoir comtal », in Rives nord-méditerranéennes,  siècles), mis en ligne le : 22 juillet 2005. Consulté le 26 janvier 2008
  23. Baratier et Hilsdesheimer, « carte 122 : Les foires (1713-1789) », in Baratier, Duby et Hildesheimer 1969
  24. Gilly, « Lagremuse : l'existence éphémère d'une petite commune des Alpes-de-Haute-Provence », in Annales de Haute-Provence no 320, Bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, Digne, 1992, p 215
  25. Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires, La Révolution dans les Basses-Alpes », Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, vol. 108, no 307,‎ 1er trimestre 1989, p.291.
  26. Alphand 1989, p. 296.
  27. Alphand 1989, p. 320.
  28. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Cassini
  29. Henri Joannet, Jean-Pierre Pinatel, « Arrestations-condamnations », 1851-Pour mémoire, Les Mées : Les Amis des Mées, 2001, p. 71.
  30. Jean-Christophe Labadie (ISBN ), p.9.
  31. Labadie 2013, p. 16.
  32. Labadie 2013, p. 11.
  33. a et b Gagnepain 2002, p. 18.

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Quinson dans la littérature

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Dokument erstellt 03/01/2018, zuletzt geändert 12/12/2024
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