Senez

Localisation

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Senez : descriptif

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Senez

Senez est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur

Senez est un exemple de ces minuscules évêchés de Provence dont l’église aux dimensions sans rapport avec l’importance du village, rappelle aujourd’hui l’ancien statut. Le nom de ses habitants est Seneziens.

Géographie

Senez et les communes voisines (Cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).

Localisation

Le village est situé à 784 , dans le massif du Montdenier.

Petit village, situé à 5 kilomètres de Barrême, Senez est une commune très étendue qui ne compte que très peu d’habitants et d’habitations. Les maisons sont typiques du style architectural provençal.

Le nombre de communes limitrophes est très important en raison de la fusion du Poil et de Senez, dont les territoires ne sont pas contigus.

Les communes limitrophes de Senez sont Chaudon-Norante, Barrême, Moriez, Saint-André-les-Alpes, Castellane, Majastres, Blieux, Saint-Jurs, Beynes et Estoublon.

Géologie et relief

Montagne de Vibres (1 670 m).
Roche Percée au passage de la clue de Taulanne (ex-RN 85).

Son territoire recèle de nombreuses aiguilles rocheuses.

Points remarquables :

  • la source de Font Géline ;
  • la Clue de la Roche Percée.

Le périmètre de protection de la Réserve naturelle géologique de Haute-Provence couvre également la commune de Senez.

Environnement

La commune compte 2 229 .

Une vesse-de-loup de cinq kilogrammes a été trouvée en 2014 près du Poil.

Voies de communications et transports

Voies routières

La partie principale de la commune est traversée par la départementale RD 4085, ancienne route nationale 85, qui passe à proximité du village. L’enclave du Poil est desservie par la RD 17, qui s’y termine en cul-de-sac.

Transports en commun
  • Transport en Provence-Alpes-Côte d'Azur
Lignes SNCF

La partie de Senez qui correspond à l’ancienne commune du Poil était desservie par la halte du Poil - Majastres, sur la ligne de Nice à Digne pour desservir Le Poil et Majastres qui sont situés à plusieurs heures de marche dans la montagne, par les chemins et les sentiers. Selon les horaires 2013, cette halte n'est plus desservie par le « train des Pignes ».

Halte du Poil

Risques naturels et technologiques

La commune de Senez est exposée à deux risques naturels :

  • feu de forêt ;
  • mouvement de terrain : de nombreux versants, dans la partie de la commune autour de Senez, sont concernés par un aléa moyen à fort. Du côté de l’ancienne commune du Poil, l’aléa existe mais le danger est moins important.

La commune de Senez est de plus exposée à un risque d’origine technologique, celui de transport de matières dangereuses par route. La départementale RD 4085 (ancienne route nationale 85 et route Napoléon) peut être empruntée par les transports routiers de marchandises dangereuses.

Aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune mais le Dicrim existe depuis 2011.

La commune a été l’objet de plusieurs arrêtés de catastrophe naturelle pour des inondations et des coulées de boue en 1994 (deux fois) et pour des glissements de terrain la même année. Puis, en 1998, ce sont d’importants blocs de roche qui chutent.

Sismicité

Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Barrême auquel appartient Senez est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques, et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011.

Hydrographie et les eaux souterraines

L'Asse à Senez

La commune se trouve sur la rive gauche de l’Asse. La route Napoléon passe sur la rive droite.

Cours d'eau sur la commune ou à son aval :

  • rivière l'asse de blieux,
  • rivière l'asse,
  • rivière l'estoublaisse,
  • ravins de taulanne, de la bonde, du riou d'ourgeas, de la mamelière, de tabori, de serraje, de la combe, de boades, de longeiroule, de malpasset, du dégoutail, de baumes roman, du gipas, du pas d'escale,
  • vallon le gros.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 .

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,4 amplitude thermique annuelle de 16,3 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Castellane », sur la commune de Castellane à 11 vol d'oiseau, est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 999,7 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,8 ,,.

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

Toponymie

Le nom de la localité évolue sous les formes Sanition ( siècle), civitas Sanitiensum (vers 400), Sanetia ( siècle), puis Senaciensis comitatum au IXe siècle.

Le nom du village fait l’objet de différentes interprétations :

  • selon Charles Rostaing, il dérive du nom d’ethnie ligure des Sentii et l’on peut donc le considérer comme probablement antérieur aux Gaulois ;
  • selon Ernest Nègre, il peut venir d’un nom propre, Senicius, ou de l’attribut relatif à la santé, sanites. La commune se nomme Senès en provençal ;
  • selon le couple Fénié, il est issu d’une racine oronymique (servant à caractériser une montagne) *Sen, préceltique.
  1. Hermellin 2002, p. 18.
  2. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées tresor
  3. « Des champignons pas comme les autres », La Provence, 28 octobre 2014, p. 2.
  4. a b et c Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées prim
  5. Dossier départemental sur les risques majeurs 2008, p. 37.
  6. a et b Dossier départemental sur les risques majeurs 2008, p. 98.
  7. Dossier départemental sur les risques majeurs 2008, p. 80.
  8. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées dicrim
  9. Dossier départemental sur les risques majeurs 2008, p. 32.
  10. Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence, Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, (lire en ligne), p.39.
  11. L'eau dans la commune
  12. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  13. «  », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  14. «  », sur fr.distance.to (consulté le ).
  15. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  16. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  17. «  », sur drias-climat.fr (consulté le )
  18. «  », sur meteofrance.com, (consulté le )
  19. Charles Rostaing, Essai sur la toponymie de la Provence (depuis les origines jusqu’aux invasions barbares, Laffite Reprints, Marseille, 1973 (1re édition 1950), p
  20. Charles Rostaing, « Toponymie d’origine pré-gauloise » in Baratier, Duby et Hildesheimer 1969, carte 11 et commentaire
  21. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, Genève : Librairie Droz, 1990. Volume I : Formations préceltiques, celtiques, romanes. Notice 11287, p. 671.
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Toponymie

Le nom de la localité évolue sous les formes Sanition ( siècle), civitas Sanitiensum (vers 400), Sanetia ( siècle), puis Senaciensis comitatum au IXe siècle.

Le nom du village fait l’objet de différentes interprétations :

  • selon Charles Rostaing, il dérive du nom d’ethnie ligure des Sentii et l’on peut donc le considérer comme probablement antérieur aux Gaulois ;
  • selon Ernest Nègre, il peut venir d’un nom propre, Senicius, ou de l’attribut relatif à la santé, sanites. La commune se nomme Senès en provençal ;
  • selon le couple Fénié, il est issu d’une racine oronymique (servant à caractériser une montagne) *Sen, préceltique.
  1. Charles Rostaing, Essai sur la toponymie de la Provence (depuis les origines jusqu’aux invasions barbares, Laffite Reprints, Marseille, 1973 (1re édition 1950), p
  2. Charles Rostaing, « Toponymie d’origine pré-gauloise » in Baratier, Duby et Hildesheimer 1969, carte 11 et commentaire
  3. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, Genève : Librairie Droz, 1990. Volume I : Formations préceltiques, celtiques, romanes. Notice 11287, p. 671.
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Histoire

Antiquité

La ville existe dès l’époque gauloise, et il paraît assuré qu’elle était le chef-lieu d’un peuple gaulois, mais le nom de ce peuple n’est pas certain :

  • les Sentii, d’après Ptolémée, qui leur donne cependant Digne pour capitale (qui est généralement considérée comme la capitale des Bodiontici) ;
  • Pline l’Ancien en fait une ville secondaire des Vediantii, dont le chef-lieu était Cimiez (Cemenelum).

À l’époque romaine, elle est le siège d’une civitas de la province des Alpes-Maritimes dès le  siècle, avec pour nom Sanitensium ou Salinensium. Elle se situait sur la voie qui reliait Vence à Sisteron . La commune possède peu de vestiges de cette époque. Un trésor de 600 à 700 monnaies romaines en bronze a été découvert en 1657. Une borne romaine portant une inscription de 17 lignes au nom de l'empereur Caracalla a été découverteen 1991, couchée dans la Clue de Taulanne. En 1993, elle a été redressée par la municipalité et installée au bord de la voie romaine.

Le ressort de la civitas est peu étendu, mais s’étend à la fin de l’Antiquité. Alors que chaque civitas a accueilli un diocèse, Senez absorbe celui de Thorame dans la seconde moitié du  siècle, puis celui de Castellane.

Moyen Âge

Au  siècle, un évêché est installé à Senez, fondant le diocèse de Senez. Les deux évêchés préexistants de Salinae (Castellane) et Eturamina (Thorame) lui sont rattachés après 450, ou au début du siècle suivant.

Au . Évêché très pauvre, et placé dans une ville minuscule et inconfortable, il est plusieurs fois tenté de le rattacher à l’évêché de Vence ou d’en déplacer le siège à Castellane, sans succès. Les évêques résident souvent à Castellane, dès la deuxième moitié du XVe siècle.

L’évêque était seigneur de la ville, mais partageait les droits de justice avec les Pontevès (– siècles), puis les Gautier (de 1556 jusqu’à la Révolution).

En 1342, les communautés de Senez sont rattachées à la viguerie de Castellane par le comte de Provence,. Lors de la crise ouverte par la mort de la reine , le seigneur, Guigonnet, se rallie à d'Anjou, et entraîne dans son sillage la communauté dès 1385.

Sur le territoire de l’actuelle Senez se trouve l’écart de Boades, qui est à l’emplacement d’une ancienne communauté signalée au  siècle. La paroisse de Boades relevait des évêques de Senez. La communauté (Debosada en 1251), qui comptait 17 feux en 1315, est fortement dépeuplée par la crise du  siècle (Peste noire et guerre de Cent Ans). Au  siècle, la communauté de Boades est rattachée à celle de Senez.

La communauté du Poil est signalée dès le  siècle : de nombreuses donations sont faites à l’abbaye Saint-Victor de Marseille qui y possède trois églises, des terres et progressivement tous les revenus ecclésiastiques. Elle aussi relevait de la viguerie de Castellane.

Époque moderne

L’évêque Jean III Clausse de Mouchy (évêque de 1561 à 1587) restaure et aménage le château fort pour améliorer son confort.

Pendant les guerres de religion, la ville est plusieurs fois la cible des huguenots comme siège d’un évêché. Les frères Antoine et Paulon de Mauvans détruisent les ornements de la cathédrale en 1562 et les brûlent dans un bûcher où ils jettent également la dépouille de l’évêque Jean-Baptiste de Laigue d’Oraison, mort quatorze ans plus tôt. La ville est à nouveau pillée en 1569 : l’incendie allumé fait s’effondrer le clocher et détruit le cloître. L’évêque, qui quitte la ville pour Castellane, fait néanmoins réparer la cathédrale en 1572, travaux qui reprennent au début du  siècle.

Avec la promulgation de l’édit de Nantes, Senez est une des dernières places fortes de sûreté des protestants en Provence, qu’ils tiennent encore en 1620.

En 1644, un séminaire est construit.

Au  siècle, Jean Soanen, évêque de Senez, refuse de condamner le jansénisme. Il est poursuivi, et condamné par un concile (1727). Il bénéficie d’un soutien important d’une partie du clergé et des avocats du Parlement de Paris. Un de ses successeurs, Amat de Volx, fait faire des travaux : détournement de la Bonde, qui ravage le bourg lors de ses crues (1764–1768) ; pont sur l’Asse (1767–1770). Cependant, dès 1774, le torrent a repris son ancien cours.

Une école pour les garçons (régence de latinité) est ouverte en 1713, et une école de filles en 1779.

Révolution française

L’évêché est supprimé en  : le dernier évêque de Senez Ruffo de Bonneval comme les chanoines refusent de se soumettre et de prêter serment à la constitution civile du clergé, dans un département où 85 % des prêtres sont jureurs. En , Ruffo de Bonneval tente d’émigrer, est arrêté à Rouaine, puis emprisonné à Digne puis à Seyne. Il est jugé, et simplement condamné à la perte de son traitement et de ses droits civils, et il lui est interdit de revenir à Senez et de faire usage de son titre d’évêque de Senez, comme il continuait à le faire. Il s’exile finalement à Nice, puis Rome, et se fixe à Viterbe, où il meurt en 1837, ayant refusé tout nouveau siège épiscopal. En , l’archidiacre Raynard avait été lynché à Sausses, dans une tentative similaire.

La société patriotique de la commune (appelée la société d’amis du patriotisme et de la Constitution) fait partie des 21 premières créées dans les Basses-Alpes, avant  : elle a ceci de particulier que c’est la municipalité elle-même qui la crée . Seulement 10 à 40 % de la population masculine la fréquente .

Les biens de l’évêché et de l’évêque sont vendus en 1793, ainsi que tout le mobilier précieux de la cathédrale et du séminaire. En 1795, les prêtres qui étaient restés réfractaires prêtent serment à la Constitution.

Au | ]

La Révolution et l’Empire apportent nombre d’améliorations, dont une imposition foncière égale pour tous, et proportionnelle à la valeur des biens de chacun. Afin de la mettre en place sur des bases précises, la levée d’un cadastre est décidée. La loi de finances du précise ses modalités. Dès 1811, les cadastres dits napoléoniens de Senez et du Poil sont achevés.

Le coup d'État du 2 décembre 1851 commis par Louis-Napoléon Bonaparte contre la Deuxième République provoque un soulèvement armé dans les Basses-Alpes, en défense de la Constitution. Après l’échec de l’insurrection, une sévère répression s’abat sur ceux qui se sont levés pour défendre la République, dont un habitant de Senez.

Au  siècle, le bourg devient un petit centre administratif, en tant que chef-lieu de canton :

  • une gendarmerie est installée de 1852 à 1866 et de 1875 à 1924 ;
  • un bureau de poste est installé en 1853.

Outre le moulin à farine, un moulin à plâtre est créé en 1868, ainsi qu’une scierie à eau, et des moulins à huile (pour broyer les noix). Une tuilerie existe du début du .

Une deuxième fontaine est construite en 1896.

Au | ]

Monument aux morts de la Première Guerre mondiale.

Un groupe scolaire est construit en 1902. Le même bâtiment abrite également la mairie et la justice de paix.

En 1927, une distillerie de lavande est créée, poussant au développement de la culture de la lavande sur les coteaux, puis à la plantation de lavandin, afin d’obtenir les énormes quantités de fleurs nécessaires (100 .

En 1973, la commune du Poil fusionne avec Senez, bien qu’ils n’aient pas de limite en commun.

Au Poil, des vestiges de diverses époques ont été observés :

  • sur le Chastelar, une grotte occupée à l’époque néolithique ;
  • près du pont du Pas d’Escale, une vaste grotte a été occupée à la même époque.

Héraldique

Blasonnement :

De gueules à une ville d’argent essorée et ajourée de sable surmontée de trois fleurs de lis d’or rangées en chef.

Blasonnement :

Le Poil (ancienne commune rattachée en 1973) : D’azur à un chameau d’or sur une terrasse de sinople,.
  1. Guy Barruol, « Senez dans l’Antiquité », in Hermellin 2002, p. 15-17.
  2. Collier 1986, p. 15.
  3. Guy Barruol, « Senez dans l’Antiquité », in Hermellin 2002, p. 16.
  4. Collier 1986, p. 37.
  5. Pierre Maestracci - Les bornes romaines routières dans les Alpes-Maritimes - Archéo-Alpi-Maritimi - Archéam
  6. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées beaujard-22
  7. Hermellin 2002, p. 40.
  8. a et b Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, ISBN )
  9. a b et c Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017), p. 200.
  10. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées histo_sous-pref
  11. a b c d et e Daniel Thiery, «  », sur archeoprovence, (consulté le ).
  12. Geneviève Xhayet, « Partisans et adversaires de Louis d'Anjou pendant la guerre de l'Union d'Aix », Provence historique, Fédération historique de Provence, volume 40, no 162, « Autour de la guerre de l'Union d'Aix », 1990, p. 425.
  13. Baratier, Duby et Hildesheimer 1969, p. 165.
  14. a et b Hermellin 2002, p. 41.
  15. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées isnard40
  16. Hermellin 2002, p. 20.
  17. Hermellin 2002, p. 25-26.
  18. François de Dainville, « Cartes des places protestantes en 1620, dessinées à la fin du règne de Louis XIII », Journal des savants, 1968, No 4. p. 239.
  19. Hermellin 2002, p. 43.
  20. Hermellin 2002, p. 57-59.
  21. Hermellin 2002, p. 62-65.
  22. Hermellin 2002, p. 108.
  23. Hermellin 2002, p. 70.
  24. Hermellin 2002, p. 71-74.
  25. Hermellin 2002, p. 78.
  26. Hermellin 2002, p. 74.
  27. Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires, La Révolution dans les Basses-Alpes », Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, vol. 108, no 307,‎ 1er trimestre 1989, p.296-301.
  28. Alphand 1989, p. 320.
  29. Hermellin 2002, p. 77.
  30. Alexeï Laurent, « Paysages ruraux de la première moitié du ISBN ), p. 10.
  31. Henri Joannet, Jean-Pierre Pinatel, « Arrestations-condamnations », 1851-Pour mémoire, Les Mées : Les Amis des Mées, 2001, p. 72.
  32. Hermellin 2002, p. 95-97.
  33. a et b Hermellin 2002, p. 104.
  34. Hermellin 2002, p. 102-103.
  35. Hermellin 2002, p. 83.
  36. Labadie 2013, p. 60.
  37. a et b Géraldine Bérard, Carte archéologique des Alpes-de-Haute-Provence, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, Paris, 1997, p. 451.
  38. a et b Louis de Bresc, Armorial des communes de Provence, Raphèle-lès-Arles, Marcel Petit CPM,  (1re éd. 1866).
  39. Dominique Cureau, «  », sur vexil.prov.free.fr (consulté le ).

Héraldique

Blasonnement :

De gueules à une ville d’argent essorée et ajourée de sable surmontée de trois fleurs de lis d’or rangées en chef.

Blasonnement :

Le Poil (ancienne commune rattachée en 1973) : D’azur à un chameau d’or sur une terrasse de sinople,.
  1. a et b Louis de Bresc, Armorial des communes de Provence, Raphèle-lès-Arles, Marcel Petit CPM,  (1re éd. 1866).
  2. Dominique Cureau, «  », sur vexil.prov.free.fr (consulté le ).

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Dokument erstellt 03/01/2018, zuletzt geändert 12/12/2024
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