Prades-le-Lez

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Prades-le-Lez : descriptif

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Prades-le-Lez

Prades-le-Lez [pʁad lə lɛz] et Pradas de Les en occitan est une commune française située dans le nord-est du département de l'Hérault en région Occitanie, en périphérie de Montpellier. Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Lez, le Lirou, le Terrieu et par deux autres cours d'eau

La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (« le Lez ») et trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique. Prades-le-Lez est une commune urbaine qui compte 6 107 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962

Elle est dans l'agglomération de Montpellier et fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier

Ses habitants sont appelés les Pradéens ou Pradéennes.

Géographie

Située au nord de Montpellier, Prades-le-Lez avec ses quelque 6 000 habitants est une petite ville relativement calme à dominance résidentielle, au bord du Lez, fleuve qui prend sa source à Saint-Clément-de-Rivière et se jette dans la mer Méditerranée, à Palavas-les-Flots.

Prades-le-Lez se situe à 25 pic Saint-Loup, cette situation géographique fait que les températures minimales y sont 2 à 3 degrés plus fraîches qu'à Montpellier ; en revanche les températures maximales y sont régulièrement supérieures notamment en été.
Prades est souvent victime d'inondations lors des épisodes cévenols en automne.

En 2000, une tornade tua trois personnes à Montpellier. Elle toucha la commune et occasionna la fermeture d'un supermarché durant plusieurs semaines, le toit s'étant envolé.

Communes limitrophes et proches

Les communes limitrophes sont Assas, Clapiers, Les Matelles, Montferrier-sur-Lez, Saint-Clément-de-Rivière, Saint-Vincent-de-Barbeyrargues et Le Triadou.

Communes limitrophes de Prades-le-Lez
(Distances : à vol d'oiseau / par la route)
Le Triadou (4.73 / 6,62 -Jean-de-Cuculles (6.53 / 8,73 Les Matelles (5.60 / 10,56 km) -Mathieu-de-Tréviers
(7.96 / 9,14 km)
-Croix-de-Quintillargues
(9.18 / 13,33 -Vincent-de-Barbeyrargues
(1.68 / 2,50 Assas (3.08 / 4,51 km)
Argelliers
(15.18 / 30,77 km)
Prades-le-Lez -Geniès-des-Mourgues
(13.74 / 22,80 km)
-Gély-du-Fesc (4.76 / 12,45 -Clément-de-Rivière (1.96 / 6,00 km) Montferrier-sur-Lez
(3.49 / 4,53 km)
Teyran (5.28 / 7,48 Jacou (5.64 / 7,41 Clapiers (4.98 / 7,00 km)

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 .

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14,2 amplitude thermique annuelle de 16,5 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 14,6 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

Statistiques 1991-2020 et records PRADES-LE-LEZ (34) - alt. : 69 m, lat : 43°43'05"N, lon : 3°52'00"E
Records établis sur la période du 01-01-1980 au 02-11-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,1 1,1 3,6 6,7 10,2 13,7 16,2 16 12,3 9,8 5,1 2 8,2
Température moyenne (°C) 6,6 7,3 10,3 13,1 16,9 21,2 23,9 23,6 19,3 15,4 10,4 7,3 14,6
Température maximale moyenne (°C) 12,1 13,5 16,9 19,6 23,7 28,6 31,6 31,3 26,3 21 15,7 12,5 21,1
Record de froid (°C)
date du record
−14,6
15.01.1985
−14,6
12.02.12
−12
02.03.05
−5,5
08.04.21
0,5
07.05.19
4,9
04.06.1984
6,8
13.07.00
5,7
29.08.1998
2,4
16.09.08
−4,5
25.10.03
−9,6
28.11.1985
−10,3
17.12.09
−14,6
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
22,9
26.01.24
25
22.02.19
28,3
31.03.12
32,3
08.04.11
34,7
31.05.01
44,4
28.06.19
39,5
07.07.1982
42
14.08.03
38
04.09.16
34,3
02.10.1997
25,6
15.11.15
21,9
30.12.21
44,4
2019
Précipitations (mm) 79 52,3 56,5 75,2 63,5 45,4 23,3 44,6 112,4 127,8 106,1 83,6 869,7
Source : «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/11/2023 dans l'état de la base


Milieux naturels et biodiversité

Réseau Natura 2000
Site Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS). Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : « le Lez », d'une superficie de 239 Cottus petiti.

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1 sont recensées sur la commune : les « rivières du Lirou et du Lez » (127  et la « vallée du Terrieu et domaine de Restinclières » (325  et une ZNIEFF de type 2, : les « plaines et garrigues du Nord Montpelliérais » (13 097 Gard et 19 dans l'Hérault.

  1. Distances vers : Saint-Mathieu-de-Tréviers, Sainte-Croix-de-Quintillargues, Saint-Vincent-de-Barbeyrargues, Assas, Saint-Geniès-des-Mourgues, Teyran, Jacou, Clapiers, Montferrier-sur-Lez, Saint-Clément-de-Rivière, Saint-Gély-du-Fesc, Argelliers, Les Matelles, Saint-Jean-de-Cuculles et Le Triadou, publié sur le site fr.distance.to (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. «  », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
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  13. «  », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).


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Histoire

L'ancienne porte Nord (restaurée) ouvrant sur la « rue du Vieux-Prades ».

Préhistoire et Antiquité

La première occupation humaine remonte au Néolithique final (environ 3 000 ans silex taillés, outils en os et céramiques caractéristiques ont été découverts sur un site qui a vraisemblablement été un lieu de taille de silex. Le territoire de la commune a aussi été occupé à l'époque Chalcolithique (2 500 ans gallo-romain daté du Haut-Empire (entre 30 ans av. J.-C. et 193 ans apr. J.-C.) a été également identifié.

Moyen Âge

La première mention écrite de Prades — « villa Pratis » — est faite aux alentours de 804 dans le « cartulaire de Gellone », bien qu'on ne puisse pas parler de village à cette époque. En 1144, l'église Saint-Jacques-le-Majeur est citée dans le « cartulaire de Maguelone ».

En 1156, Prades-le-Lez est une paroisse. Ce hameau médiéval va se développer derrière une enceinte quadrangulaire médiévale datée des Guerre de Cent Ans afin de renforcer la protection face aux pillards qui sévissaient dans la région à cette époque.

Aujourd'hui, l'enceinte médiévale reste bien visible et on peut l'observer sur toute la longueur de son tracé : route de Mende, rues Roucayrol, de la Rivière et de Sauvielle. Cette rue a été créée à la fin du XIXe siècle sur l'emplacement des anciens fossés, lieux de dépôts du fumier et autres déchets dégageant une odeur peu agréable…
Outre les portes, on peut observer l'ancien chemin de ronde (rue Roucayrol et route de Mende) ainsi qu'une tour d'angle (rue de Sauvielle / rue de la Rivière).
Récemment, une portion du rempart a été dégagée et mise en valeur à la suite de la destruction d'une petite maison bordant la route de Mende et attenante au café du Nord.

Temps modernes

Château de Restinclières.

Sous Louis XIV fut construit le château de Restinclières actuel sur dit-on l'emplacement d'un ancien château fort de la fin du XIIe siècle. Ce château abrite aujourd'hui la Maison départementale de l'environnement et est le siège de nombreuses animations, expositions, spectacles…

Révolution française

Lors de la Révolution française, les citoyens de la commune se réunissent au sein de la société révolutionnaire, baptisée « société des amis de la constitution » en 1792.

Le | ]

Sur le cadastre napoléonien figurent que de nombreuses rues existaient déjà (en tant que chemins) avec le nom actuel (chemin des Mazes, chemin de Cabanis, chemin du Mas d'Aussel, chemin du Nouau….), leur tracé étant le même ou légèrement différent.
D'autres existaient mais portaient alors un nom différent : la rue du Mas-de-Prades s'appelait alors chemin de Montpellier à Saint-Vincent et suivait le même tracé qu'aujourd'hui pour rejoindre le chemin de Prades à Teyran (aujourd'hui route de Vendargues). En passant par l'actuelle rue de l'Occitanie, puis celle des Chênes-Kermès qui fait l'intersection avec celle du Plo-Midi (chemin de Prades à Assas à l'époque) et en continuant vers le nord sur l'impasse en face de celle des Asphodèles, on arrivait au village de Saint-Vincent de Barbeyrargues. Cet itinéraire existe toujours, au bout de cette impasse, la rue devient un authentique chemin (sans doute le même qu'à cette époque) permettant de rejoindre la portion de la route actuelle qui mène à Saint-Vincent.
L'ancien chemin de Prades à St-Vincent, à l'époque Chemin de Prades à St-Vincent, démarrait là où démarrait la Rue de la Cantarelle, à l'intersection avec la Rue du Mas d'Aussel, traversait le Chemin des Mazes, et continuait sur la rue qui porte toujours son nom. Au delà, le chemin est différent de l'itinéraire actuel, en effet il passe au Nord de l'actuelle route. Il est toujours praticable aujourd'hui.

Plan cadastral napoléonien de Prades réalisé en 1832.

Les plans font figurer les noms de quartiers d'aujourd'hui (Coste Rousse, Bouissousse, Nouau, Le Viala, Plo-Midi, Puech Marty, etc.) sur les zones mêmes de ces quartiers, à l'état de terrains (vignes, cultures, champs…) à cette époque.
Ces plans sont consultables sur le site des archives départementales de l'Hérault.

Au milieu de ce siècle, le cimetière déménage sur son emplacement actuel. Il occupait jusque-là le terrain où se trouve aujourd'hui l'église, reconstruite en 1891 (voir ci-après la rubrique : « L'église »).

La seconde moitié du Saint-Clément ainsi que le moulin depuis le centre du village. La construction de cette route inaugure le nouveau pont sur le Lez. Auparavant, pour se rendre au moulin à la sortie du village et à Saint-Clément, il fallait emprunter l'actuel « chemin du Lirou » (qui s'appelait le « chemin du Moulin »). Ce chemin prend naissance au niveau de l'actuel rond-point qui fait l'intersection entre la route de Mende et l'allée des platanes. Il mène sur les berges du Lirou, au nord-est, qui se franchissait à gué (une partie des pierres du passage sont toujours visibles aujourd'hui) afin de rejoindre le chemin qui mène au château de Restinclières. Ici, il fallait alors suivre ce chemin vers le sud en passant le vieux pont sur le Lez et au bout du chemin bordé de platanes, on arrivait au moulin, tout comme aujourd'hui. De là, il était alors possible de rejoindre la route de Saint-Clément.
Cet itinéraire rendait donc le trajet beaucoup plus long. De plus, le passage à gué sur le Lirou devenait impraticable lors des fortes pluies et l'accroissement des communications et du transport nécessitait une route digne de ce nom. La nouvelle route répondit parfaitement à ces exigences. Pendant longtemps, cette route a posé de nombreux problèmes de circulation, aujourd'hui résolus grâce à l'aménagement d'une nouvelle voie parallèle.

Une nouvelle route est ouverte entre Prades et Saint-Vincent-de-Barbeyrargues, remplaçant le vieux chemin qui a donné son nom à une rue du village. Plus sinueuse, cette nouvelle route présente néanmoins des pentes moins raides, critère essentiel à l'époque pour permettre le transport des marchandises. L'ancien chemin est toujours praticable aujourd'hui, sauf à la sortie du village en direction de Saint-Vincent à cause des maisons construites sur son tracé durant l'urbanisation de Prades.

En 1859 est inauguré le bâtiment de l'actuelle poste, destiné à accueillir le groupe scolaire du village. Sa construction a suscité une polémique : à l'époque, le ruisseau « la Cantarelle » n'était pas enterré et le bâtiment se trouvait à l'extérieur du village, ainsi de nombreuses personnes y voyaient un danger pour les enfants qui devaient traverser le ruisseau pour se rendre à l'école, ruisseau qui par temps pluvieux voyait son niveau monter assez vite.

Il fut question d'une ligne de chemin de fer de Montpellier à Quissac traversant la commune de Prades, mais le projet n'a jamais abouti. L'emplacement envisagé pour la gare était l'actuel chemin des Mazes.

Le 11 août 1889, le conseil est amené à discuter sur la nécessité de changer la nomination du village. Plusieurs réclamations concernent la distribution des courriers et paquets n'y arrivant pas. En effet plusieurs communes portent le nom de Prades dans la région du Languedoc-Roussillon (Prades dans les Pyrénées-Orientales et Prades-sur-Vernazobre). Il est donc tout naturellement rattaché le nom de la rivière « le Lez » qui traverse le village d'où le nom de « Prades-le-Lez ».

C'est durant la seconde moitié du XIXe siècle que la route de Mende, qui s'entoure progressivement de maisons essentiellement vigneronnes, devient la rue principale du village : les photos du début du XXe siècle montrent les habitants prenant la pose en plein milieu de la route, chose qui serait très périlleuse aujourd'hui… Plus tard, la route sera alignée et élargie. Le centre du village se déplace donc vers l'est, délaissant la trop étroite et sombre rue du Vieux-Prades d'origine médiévale. Il n'en bougera plus : aujourd'hui encore, l'artère principale de Prades est constituée par la route de Mende et son trafic trop dense aux heures de pointe…

Le | ]

La mairie actuelle est inaugurée en 1954. Elle sert également de locaux à l'école primaire. Les années 50 voient aussi la création du foyer rural. Dans la première moitié du Jacques Brel, etc.) est lancée au début des années 1980 sur l'emplacement de vignes (on distingue encore quelques parcelles restantes dans des maisons avoisinantes). La population double durant cette décennie pour encore augmenter durant les années 1990.

Le village s'étend le long de la route de Mende vers le sud en direction de Montpellier, et également à l'est avec l'apparition des quartiers du Mas de Prades, du Plo-Midi, des Baronnes, de Coste-Rousse, du Nouau, du Viala… à l'urbanisation plus ou moins diffuse dans la pinède et la garrigue, laissant des zones et collines sans construction. Du côté de la plaine du Lez, l'urbanisation s'étend beaucoup moins et laisse une grande place aux champs bordant la rivière, excepté au sud ou celle-ci est proche de la route. Au nord, il n'y a pas d'urbanisation, seuls sont présents le château de Restinclières et son parc, acquis par le conseil général en 1990 qui se chargera d'en rénover l'ensemble.

Les moutons ne vont plus paître sur les collines du village, qui ont retrouvé leur état sauvage : souvent, la pinède s'est développée mais on peut trouver çà et là des restes de vieux murs en pierre, vestiges d'anciennes cultures. D'anciennes vignes sont également visibles à divers endroits, mais les hautes herbes et la végétation les dissimulent plus ou moins des regards.

Un programme de rénovation du centre médiéval a été mis en œuvre : restauration de la porte médiévale Nord, réfection des façades…
D'autres travaux ont également été réalisés : réaménagement de la place du Marché, de la place du Café-du-Nord la rénovation totale de la salle Jacques Brel, création de parkings, aménagement d'un nouveau parvis de l'église, travaux de voirie dans plusieurs rues (aménagements, lutte contre les inondations, création de pistes cyclables)… La croix de mission, présente à côté de l'ancienne porte médiévale Nord a été déplacée en 2007 sur le nouveau parvis de l'église, s'élevant sur l'emplacement d'une ancienne maison et plus anciennement sur l'ancien cimetière du village.

Le | ]

Après l'explosion démographique des années 1980, achevée au milieu des années 1990, la population de Prades n'a évolué que faiblement, le village gagnant quelques centaines d'habitants jusqu'à l'arrivée de la nouvelle équipe municipale en 2008. Celle-ci engagea une révision du plan local d'urbanisme pour mettre en place le projet de la Zac multisites Prata, renommée en projet Horizons. Un projet de ZAC avait envisagé en 2005 mais celui-ci n'avait pas eu de suite. Avec l'arrivée du projet Horizons, ce sont de nouveaux quartiers qui vont sortir de terre, leur construction étant déjà entamée. On compte dans la liste de ces nouveaux quartiers le Viala Est (construit sur le vaste terrain vague faisant face au rond-point des Baronnes), Coste-Rousse (qui va occuper la colline du même nom entre le quartier des Baronnes et le Mas de Prades) et Nouau (construit au sud du chemin du même nom). On compte également l'ensemble des logements (les « Terrasses du Lirou ») construits à la sortie nord du village.

Après une décennie de calme, Prades va connaitre une nouvelle explosion démographique. Ce sont 7 000 habitants qui sont prévus à l'horizon 2020, soit environ 2 500 de plus qu'aujourd'hui. L'arrivée prévue de la ligne 5 du tramway de Montpellier dans les années à venir va contribuer au développement du village et au renforcement de son intégration dans l'agglomération de Montpellier.

  1. Jean-François Dubost, « Le réseau des Sociétés Politiques dans le département de l'Hérault pendant la Révolution Française (1789-1795) », Annales historiques de la Révolution française, no 278, 1989. p. 413.

Héraldique

Blason
De sinople au lion d'or, armé et lampassé de gueules.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

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Prades-le-Lez dans la littérature

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Dokument erstellt 03/01/2018, zuletzt geändert 23/12/2024
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