Sainte-Foy-la-Grande

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Sainte-Foy-la-Grande : descriptif

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Sainte-Foy-la-Grande

Sainte-Foy-la-Grande est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

Localisation

Carte de la commune.

Commune située dans l'unité urbaine de Bergerac, Sainte-Foy-la-Grande est une bastide fondée en 1255 sur les rives de la Dordogne. Elle est aussi appelée « Porte du Périgord ». La bastide se situe sur les bords de la rivière Dordogne qui permet de pratiquer de nombreuses activités nautiques (canoë, bateau promenade et baignade en saison estivale). Elle est le cœur du vignoble AOC de Sainte-Foy-Bordeaux. La bastide de Sainte-Foy-la-Grande est située à la confluence des départements de la Dordogne et de Lot-et-Garonne.

Sainte-Foy-la-Grande est l'une des plus petites communes de France : elle s'étend sur 51 hectares presque totalement urbanisés.

Communes limitrophes

Du fait de sa superficie réduite, la commune n'est entourée que de deux communes limitrophes : au nord et au nord-ouest Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt (en Dordogne), et dans les autres directions, Pineuilh.

Communes limitrophes de Sainte-Foy-la-Grande
Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt
(Dordogne)
Pineuilh Sainte-Foy-la-Grande Pineuilh
Pineuilh

Trois ponts traversent la Dordogne à ce niveau du fleuve : le pont Michel-de-Montaigne (ancien pont suspendu dont ont été conservés les piliers d'entrée), le nouveau pont suspendu (côté Pineuilh, construit en 1961) et le pont ferroviaire.

Climat

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 .

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13 amplitude thermique annuelle de 15 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt à 1 vol d'oiseau, est de 13,8 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

Milieux naturels et biodiversité

La Dordogne à Sainte-Foy-la-Grande.
Natura 2000

La Dordogne est un site du réseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les 104 communes riveraines de la Dordogne, dont Sainte-Foy-la-Grande,. Seize espèces animales et une espèce végétale inscrites à de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées.

ZNIEFF

Sainte-Foy-la-Grande fait partie des 102 communes concernées par la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II « La Dordogne »,, dans laquelle ont été répertoriées huit espèces animales déterminantes et cinquante-sept espèces végétales déterminantes, ainsi que quarante-trois autres espèces animales et trente-neuf autres espèces végétales.

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Toponymie

Le nom de la commune se réfère à sainte Foy d'Agen. L'église porte ainsi son nom.

La ville est fondée en 1255 sous le nom de Sainte-Foy puis est désignée à partir de 1383 sous celui de Sainte-Foy-la-Grande, certainement pour la distinguer des autres cités du même nom. Le nom de Sainte-Foy-en-Agenais a aussi été utilisé jusqu'à la Révolution.

En occitan, la ville se nomme Senta Fe la Granda.


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  1. Denis Lherm, «  », sur Sud Ouest, (consulté le ).

Histoire

Du Moyen Âge à la Révolution

Le Sud-Ouest compte environ 350 bastides, érigées à partir du  siècle. Il s'agit de villes neuves dont le plan architectural orthonormé est ordonné autour d'une vaste place centrale.

Plaque commémorant les 750 ans de la bastide, sur la façade de la mairie.

La bastide de Sainte-Foy-la-Grande (qui s'appelle à l'origine Sainte-Foy-en-Agenais) est fondée en 1255 sur un territoire presque vierge situé sur les bords de la Dordogne, par Alphonse de Poitiers, frère de Saint Louis. L'année suivante, il accorde une charte de coutumes aux habitants. Bernard de Saint Astier cède à Alphonse de Poitiers par acte de paréage signé à Gaillac, le , la terre limitée par les ruisseaux la Rance à l'est et le Vinairols à l'ouest. En 1326, Alfonse d’Espagne, seigneur de Lunel et lieutenant du roi, accorde aux consuls de la ville le droit de la fortifier (ce qui ne signifie pas qu'elle ne l'était pas déjà auparavant). Sa position stratégique de ville frontalière avec les possessions anglaises a fait de Sainte-Foy une place forte importante. Elle est un temps conquise par les Anglais au  siècle durant la guerre de Cent Ans puis devint un bastion protestant au  siècle.

Son emplacement près de la Dordogne, carrefour entre les terres agricoles, Bordeaux et Bergerac, lui confère également un rôle économique, puisque les fleuves ont longtemps été grâce aux gabares le moyen le plus rapide et le plus sûr de faire circuler des marchandises. À la descente, la production viticole de la région est transportée vers Bordeaux et, à la remonte, grâce aux chemins de halage, diverses denrées et des matériaux de construction. Sainte-Foy possède trois « ports », le quai de La Brèche à l'est, le quai de Coreilhe à l'ouest et Port-Sainte-Foy sur l'autre rive. Cette tradition de la batellerie décline avec l'apparition du chemin de fer et disparaît dans la première moitié du bateaux-sabliers au milieu du siècle puis le tourisme fluvial depuis la fin du siècle, représenté notamment par le Maison du Fleuve et du Vin à Port-Sainte-Foy.

Construite dès le église Notre-Dame est détruite en 1561 par les Huguenots, peu avant les guerres de Religion, lors desquelles la majorité de la population est désormais protestante. Un temple est même inauguré en 1587. Cependant, la défaite des troupes protestantes face aux armées royales sous Louis XIII et les conversions forcées opérées sous Louis XIV retournent la situation : le temple est détruit en 1683 et une nouvelle église, construite au même emplacement que l'ancienne est achevée en 1686.

De nombreux bâtiments de la bastide datent de l'époque médiévale, comme une des maisons de la rue Alsace-Lorraine, étudiée par le musée du Pays foyen. Datant des et  siècles, l'édifice en pierre élevé sur trois niveaux a eu dans le passé des fonctions religieuses et militaires ; au Révolution, traces de tapisserie et dessins de saints sur les murs sont encore visibles.

La période du « Désert » protestant coïncide avec une période de prospérité économique dopée par les échanges commerciaux avec les pays du Refuge (de nombreux Foyens d'ascendance protestante ont des parents dans ces pays qui commercent volontiers avec leur région d'origine) et les colonies atlantiques, Sainte-Foy étant un des ports importants de l'arrière-pays qui fait la richesse de Bordeaux. Cette richesse se retrouve dans le bâti : l'hôtel de ville est construit sur la place centrale et de nombreux hôtels particuliers sont édifiés par les grandes familles de la ville (une quinzaine visibles encore aujourd'hui). La ville tire alors sa richesse de son vin (notamment son liquoreux apprécié des Hollandais et des Scandinaves), de la production de grisette (une toile de chanvre), de faïence (faïencerie Brian) et d'autres produits (bois, farine, eaux-de-vie...) venant des coteaux alentours et de la haute vallée de la Dordogne. Sainte-Foy est alors la capitale de la « Terre de nouvelle conquête », qui s'étend sur un vaste territoire aux confins du Bordelais, du Périgord, de l'Agenais et du Bazadais (cet éloignement des grandes villes épiscopales de ces provinces explique d'ailleurs le maintien du protestantisme et la construction d'une identité propre).

Au cours de la période de la Convention nationale (1792-1795), la commune a adopté le nom révolutionnaire de Bonne-Foy. Devenu député, le Foyen Pierre-Anselme Garrau s'oppose à la volonté du maire, qui souhaite transformer l'église en magasin à fourrage, y maintenant la tenue de cultes catholiques et protestants malgré la politique de la Terreur.

Du | ]

En 1825, le pasteur de Sainte-Foy obtient du rectorat de Bordeaux la création d'un collège secondaire protestant doté d'un internat. C'est alors le seul du Sud-Ouest. Il s'installe dans l'ancien couvent des Filles de la Foi. Jacques Reclus y enseigne les langues anciennes. Parmi les élèves, on compte les enfants de Frédéric Monod, les pasteurs John Bost et Edmond de Pressensé, le médecin Paul Broca, les frères Reclus, le chirurgien Jean-Louis Faure, l'historien Élie Faure ou encore le banquier Alfred André, lequel a laissé une description de la vie au collège, racontant par exemple les séances de natation dans la Dordogne,.

L'église Notre-Dame est agrandie en 1850, la première pierre étant posée par Pierre-Henri Gérault de Langalerie, ancien curé de la ville, devenu archevêque. Elle devient l'épicentre des tensions entre catholiques et républicains sous la Troisième République, notamment lors de la querelle des inventaires en 1906, lors de laquelle l'opération doit être effectuée de nuit, après que de nombreux fidèles se sont barricadés dans l'église.

Le Second Empire, nouvel âge d'or pour la ville, voit un formidable élan bâtisseur : les quais actuels sont construits, de nombreux immeubles datent de cette époque (spectaculaires pour certains, à l'exemple de l'hôtel particulier sis au 86 rue de la République), l'hôtel de ville est reconstruit sur son emplacement d'origine (par l'architecte départemental Labbé), l'église est donc agrandie et surélevée dans le goût néogothique, le « grand temple » est rénové dans un style néo-médiéval discret, les évangéliques libres construisent leur « chapelle » sur le boulevard Gratiolet. L'année 1870 est, de fait, le point d'orgue de cette richesse retrouvée avec l'inauguration ou la fin des travaux de l'hôtel de ville, du clocher et des temples réformé et libriste.

La gare de Sainte-Foy-la-Grande est mise en service en 1875, date de l'arrivée de la ligne de chemin de fer en ville. Elle participe de son essor économique, qui se manifeste jusqu'au début des années 1910 par une vague d'environ 300 nouvelles constructions autour de la mairie, dans les rues commerçantes et près de la Dordogne. Ces demeures remplacent souvent des maisons à colombages remontant aux années 1500. Surnommé le « Petit Nice », le nouveau quartier de la gare situé au sud de la bastide, édifié autour de l'avenue éponyme (de nos jours l'avenue Paul-Bert), s'urbanise : bordée de palmiers, cette voie accueille des villas bourgeoises rappelant celles des stations balnéaires, la salle Linard (spectacles) et le café de l'Orient. Les palmiers gèlent lors de l'hiver 1956 et disparaissent. C'est dans cette rue qu'est construit, en 1911, le « petit temple », lieu de culte de l'Église réformée évangélique (née d'une scission dans l'Église réformée officielle après la loi de Séparation de 1905), il est le troisième lieu de culte protestant de la ville.

Plus à l'ouest est aménagée la place Broca, où une statue du célèbre médecin Paul Broca, né à Sainte-Foy, est inaugurée en 1888. Œuvre du sculpteur Choppin, second exemplaire de la statue installée à Paris place Broca un an plus tôt, elle est fondue en 1942 sous le régime de Vichy. En 1972, les descendants de Broca offrent un buste à la municipalité qui le place dans l'hôtel de ville. Au bains-douches. Le boulevard Charles-Garrau accueille pour sa part des maisons simples, qui se distinguent des demeures cossues de l'avenue Paul-Bert.

Monument aux morts de la Première Guerre mondiale, commun avec Pineuilh, place Aristide-Briand.

En 1910, une caserne des pompiers est érigée pour protéger les habitants des feux de moulins, feux de fougères et feux de bétails, souvent provoqués par les indigents[réf. nécessaire]. Elle a depuis été reconstruite.

En 1919, le maire Ernest Flageol annonce l'édification future d’un monument aux morts de la Première Guerre mondiale, désirant qu'il soit commun avec Pineuilh. Le projet traîne cependant en longueur ; initialement confié au sculpteur Marcel Bouraine, il échoit finalement à Jean Camus. Au sein du monument est incrustée une sculpture figurant, selon le contrat établi à l'époque, le « seuil d’un foyer dont le fils est parti là-bas pour toujours… Sur le seuil restent l’aïeul et le petit ; un casque troué sur le genou, l’aïeul lègue à l’orphelin le culte du passé héroïque que, plus tard à son tour l’enfant transmettra ». Au dos sont gravés 86 noms de Foyens (dont une femme) et 52 habitants de Pineuilh. Il est inauguré en 1924, face à l'école élémentaire (sur l'actuelle place Aristide-Briand) afin, selon le projet initial de perpétuer « de façon durable aux yeux et au cœur des générations futures le souvenir de cette période de trouble mondial et de sacrifice si noblement acceptés par leurs aînés ».

Au datchas), d'abord pour y passer les fins de semaines, près de jardins où des riverains modestes cultivaient des légumes, puis pour s'y installer à l'année dans des bâtiments neufs et confortables. Plusieurs mouvements de construction se succèdent, avant la Grande Guerre, dans l'entre-deux-guerres et à partir des années 1950. Le développement de l'automobile contribue aussi grandement à modifier la circulation des habitants, les modes de vie et les connaissances intercommunautaires.

Depuis la Seconde Guerre mondiale

Au début de la Seconde Guerre mondiale, en , des familles alsaciennes et lorraines sont évacuées et installées dans la région de Sainte-Foy-la-Grande, notamment dans les hôtels de la ville.

Le , au lendemain de l'armistice, le pont suspendu menant à Port-Sainte-Foy est détruit (l'actuel pont Michel-de-Montaigne, reconstruit par la suite). Un pont sur pilotis est alors édifié en amont, finalement emporté par une crue le de la même année. Sur les quais, une plaque apposée sur un vestige rappelle cet évènement, au niveau du croisement avec la rue Victor-Hugo.

Une famille juive réside à Sainte-Foy à cette époque, les Bouaknim, depuis 1925 ; ils tiennent un magasin de vêtements sur la place de la mairie. Parmi les réfugiés figurent aussi des Juifs, dont certains des enfants sont scolarisés dans le collège de garçons de la commune, doté d'un internat. Son directeur, Émile Herpe, par ailleurs résistant, informe fin 1943 les familles concernées que la municipalité a transmis aux autorités le nom des Juifs présents à Sainte-Foy. La moitié arrive à quitter la ville. En , on compte encore une dizaine de jeunes Juifs qui étudient dans l'établissement, sous de faux noms. Le 4 août de la même année, six Juifs de Sainte-Foy sont arrêtés par des Français portant un uniforme allemand, puis assassinés le lendemain au Fleix, dans le bois de Souléiou.

Un comité foyen de la Croix-Rouge est fondé en . Dans le canton, il vient en aide aux démunis, aux prisonniers de guerre, à des envoyés du STO et à certains Juifs. Après une période d'inactivité en 1939-1940, le Stade Foyen ne voit son terrain de sport de Mourennes réhabilité, ayant été occupé par l'armée, qu'en 1941. Les matchs reprennent, organisés au bénéfice des prisonniers ou du Secours national de Sainte-Foy. Un membre du comité du Stade Foyen dirige la Milice quand quatre autres s'engagent dans la Résistance. Fondée en 1938, la chorale l'Avenir monte pendant la guerre des concerts au profit des prisonniers. Parmi les autres associations locales de l'époque existent aussi l'Œuvre du Colis aux Prisonniers, le Comité d'assistance aux Prisonniers de Guerre ou encore La Goutte de lait. Elles sont beaucoup soutenues par la mairie dans leurs actions.

Les organisations vichystes du Secours national et de la Légion des combattants possèdent des sections à Sainte-Foy-la-Grande. Elles s'investissent surtout dans l'envoi de colis aux prisonniers, des soupes populaires ou des goûters. Le service d'ordre de la Légion (SOL) devient la Milice en , qui compte 29 membres, masculins comme féminins, dans la commune et aux alentours. Les Joyeux Cadets Foyens (JCF) sont créées en . Une partie de ses adhérents adhèrent aussi aux Croix-de-Feu ou à la Milice. La JCF organise plusieurs évènements (fête pour les prisonniers, messes, distribution de nourriture aux pauvres, activités sportives, culturelles et musicales). À la Libération, certains de ses membres collaborateurs prennent la fuite ou sont arrêtés.

Des résistants FTP foyens distribuent des tracts en  ; plusieurs habitants sont internés en représailles au camp de Saint-Paul-d'Eyjeaux, en Haute-Vienne. Après avoir été réhabilité, le pont suspendu est une nouvelle fois détruit en . Six résistants maquisards sont tués lors des combats de la Libération, le . Des plaques commémoratives rendent hommage à certains à travers la ville (André Lavaud, Ginette Marois, etc.). Les Allemands quittent Sainte-Foy-la-Grande les 17-18 août.

Concernant le second conflit mondial, la revue de la société d'histoire de Sainte-Foy diffuse en 2010-2011 une publication intitulée « Les Juifs à Sainte-Foy-la-Grande (1939-1945) », comprenant 31 témoignages sur cette époque,.

En 1948 est créée sous l'impulsion de Jean Corriger la Société historique du Cercle des Amis de Sainte-Foy. Le cercle publie des fascicules sur l'histoire du pays foyen et organise des conférences. Les statuts associatifs sont déposés en 1966 et le cercle devient Les Amis de Sainte-Foy et sa région. L'association est rattachée à la Fédération historique du Sud-ouest. Deux fois par an, elle publie des Cahiers sur l'histoire de la bastide et de ses environs (culturelle, religieuse, architecturale, personnalités, etc.), travaux réalisés à partir d'archives privées et publiques (archives municipales, bibliothèque municipale de Sainte-Foy, office du tourisme, archives départementales). L'association s'investit aussi lors des Journées européennes du patrimoine, organise des sorties, des conférences et des colloques.

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Culture

  • Bibliothèque municipale, 8 rue Jean-Louis-Faure. Auparavant située 21 rue Louis-Pasteur.
  • Office de tourisme, 102 rue de la République.
  • Cinéma La Brèche, 140 rue de la République.
  • Musée du Pays foyen, 142 rue de la République (premier bâtiment à droite dans la cour).
  1. Site du musée du Pays foyen, consulté le 30 octobre 2021.

Héraldique

Blason
Parti : au premier d'argent à la tour de sable, maçonnée, ajourée et ouverte du champ, au second de gueules au lion d'or ; le tout sommé d'un chef d'azur chargé de trois fleurs de lys aussi d'or.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

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Dokument erstellt 03/01/2018, zuletzt geändert 30/10/2024
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