Chauvigny
Localisation
Chauvigny : descriptif
- Chauvigny
Chauvigny est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine
Ses habitants sont appelés les Chauvinois(es). Quatrième agglomération du département derrière Poitiers, Châtellerault et Loudun, Chauvigny doit l'essentiel de sa renommée à son important patrimoine médiéval
Juchés sur un promontoire rocheux commandant les vallées de la Vienne et du Talbat, pas moins de cinq châteaux forment un ensemble fortifié de premier plan, peu commun en Europe. Au cœur du centre historique, la collégiale Saint-Pierre (XIIe siècle), principale église de la ville, présente des sculptures caractéristiques de l'école poitevine, ainsi qu'un intérieur peint
Un peu à l'écart, l'église de Saint-Pierre-les-Églises (ancienne commune désormais rattachée à Chauvigny) conserve des fresques antérieures à l'an mil. Centre économique situé au cœur du département, à peu de distance de Poitiers, Chauvigny concentre essentiellement des activités secondaires et tertiaires (commerce, BTP, tourisme ; fabrication traditionnelle de porcelaine et extraction de pierre de taille). La ville est le chef-lieu du canton de Chauvigny.
Géographie
Localisation
Située à l'est de Poitiers, la ville de Chauvigny est née au carrefour de deux axes de communication :
- une route qui depuis des millénaires, par Poitiers, relie l'océan aux régions du Centre vers Lyon et le Sud-Est ;
- une voie nord-sud qui, suivant la Vienne, relie la France du Nord à celle du Midi.
Chauvigny est située dans le pays chauvinois, une région naturelle de France à laquelle la ville de Chauvigny a donné son nom.
Géologie et relief
La vallée du Talbat forme avec la vallée de la Vienne un éperon rocheux long de 350 mètres. Le paysage est caractérisé par des plaines vallonnées et boisées et par des vallées.
En 2006, 71 % de la superficie de la commune correspondait à des terres agricoles, 23 % à des forêts ou des milieux semi-naturels, 1 % aux rivières et lacs et 4 % à des zones artificialisées. La présence de milieux naturels et semi-naturels riches et diversifiés sur le territoire communal permet d’offrir des conditions favorables à l’accueil de nombreuses espèces pour l'accomplissement de leur cycle vital (reproduction, alimentation, déplacement, refuge). Forêts, landes, prairies et pelouses, cours d’eau et zones humides constituent ainsi des cœurs de biodiversité et/ou de véritables corridors biologiques
Le sol est composé pour 46 % de calcaires dans les plaines et les vallées et de Terres Fortes (Ce sont des sols composés d’argilo-calcaires moyennement profonds alternant avec des sols limoneux, riches en cailloux et blocs de meulières. Ces terres sont à tendance acide et hydromorphe. Ces sols sont communs dans toute cette région du sud du département de la Vienne) pour 26 % et de Bornais (ce sont des sols brun clair sur limons, profonds et humides, à tendance siliceuse) pour 25 %, sur les plateaux du seuil du Poitou.
Hydrographie
La commune est traversée par 20 Vienne, pour une longueur de 6 km, elle reçoit sur sa rive droite, siège de la ville historique, le Servon et le Talbat.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat complétée par des études régionales prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et en service de 1949 à 2013 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | 1,2 | 1 | 2,6 | 4,6 | 8,4 | 11,4 | 13,1 | 12,9 | 10,1 | 7,9 | 3,7 | 1,7 | 6,6 |
Température moyenne (°C) | 4,6 | 5,4 | 8 | 10,5 | 14,3 | 17,7 | 19,9 | 19,7 | 16,4 | 12,8 | 7,6 | 5 | 11,9 |
Température maximale moyenne (°C) | 7,9 | 9,7 | 13,5 | 16,3 | 20,3 | 24 | 26,6 | 26,5 | 22,8 | 17,7 | 11,6 | 8,2 | 17,1 |
Record de froid (°C) date du record |
−18,5 16.01.85 |
−14,6 05.02.63 |
−13,5 01.03.05 |
−5 07.04.08 |
−1,2 03.05.79 |
2 03.06.53 |
5 11.07.04 |
2 31.08.86 |
0 19.09.77 |
−4 30.10.97 |
−10,2 22.11.93 |
−13,1 25.12.63 |
−18,5 1985 |
Record de chaleur (°C) date du record |
17 05.01.99 |
22,5 20.02.98 |
26,7 25.03.55 |
30 30.04.05 |
32,5 29.05.01 |
38,5 27.06.11 |
39,4 12.07.49 |
40,5 06.08.03 |
35,3 01.09.61 |
30 03.10.11 |
23,2 06.11.55 |
19,3 04.12.53 |
40,5 2003 |
Précipitations (mm) | 68,5 | 55,2 | 56,1 | 66,6 | 77,6 | 55,8 | 54,5 | 49,7 | 57,9 | 82,6 | 79,8 | 78,5 | 782,8 |
Transports et voies de communications
Réseau routier
La ville est traversée par les anciennes RN 151 (qui relie actuellement Déols à Auxerre), déclassée en route départementale 951, qui relie Poitiers à Châteauroux et RN 749 déclassée en route départementale 749 qui va de Château-la-Vallière à Lussac-les-Châteaux en passant par Chinon et Châtellerault.
Desserte ferroviaire
La voie ferrée qui transportait les pierres extraites dans les carrières de la commune a cessé de fonctionner dans les années 1970. Pour les voyageurs, les réseaux TER Nouvelle-Aquitaine et TER Centre-Val de Loire possèdent toujours une ligne par autocar entre Poitiers et Châteauroux en passant par Chauvigny et Le Blanc.
Le réseau local possédait aussi une ligne Châtellerault-Chauvigny via Bonneuil-Matours construite en 1914 et une ligne Chauvigny-Bouresse via Morthemer construite en 1922. Cette dernière est une des toutes dernières lignes construites durant l'entre-deux-guerres dans la région.
- Chambre Régionale d'agriculture de Poitou-Charente - 2007
- Observatoire Régional de l'Environnement de Poitou-Charente
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
- », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
- « » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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Toponymie
Attestée sous la forme latinisée De Calviniaco 1004 - 1018
Nom de type gallo-roman *Calviniacum composé du nom de personne Calvinius, variante de Calvinus, suivi du suffixe -acum comparable aux Cauvigny, Chauvigné, Cauvignac, Chalvignac, etc.
Histoire
Préhistoire
Au sud de Chauvigny, la grotte de Jioux ayant servi d'abri pendant le Mésolithique (12 000 environ à 6 000 ans avant notre ère) est un témoignage de l'occupation très ancienne des environs de Chauvigny. Pendant le Néolithique (de 5 000 à 2 000 ans avant notre ère), des hommes ont vécu à l'emplacement de l'actuel donjon de Gouzon sur le plateau. Les restes d'un fossé, des trous de poteaux appartenant à de grands bâtiments ont été découverts par les archéologues. Des outils (grattoirs, burins...) et des restes de poteries y ont été aussi trouvés.
Les périodes protohistoriques (1 000 à 50 avant notre ère) ont livré assez peu de vestiges sur la commune de Chauvigny. Cependant, la réalisation de la déviation contournant la ville par le sud a donné l'occasion aux archéologues de fouiller deux sites. Situés sur le plateau dominant la Vienne sur le versant ouest le Peuron et les Essarts de Peuron ont livré les vestiges (trous de poteaux et de piquets, longs fossés) d'une occupation rurale datant de la Tène (de 500 à 20 avant notre ère).
Antiquité
À l'époque romaine, une agglomération se développe à Saint-Pierre-les-Églises, près du gué qui passe la Vienne. Elle est traversée par la voie romaine qui allait de Poitiers à Bourges en direction de Lyon, capitale des Gaules. Plusieurs habitations ont été fouillées dans lesquelles se trouvaient de la vaisselle en terre cuite, des outils en fer et en bronze, des bijoux, et d'autres objets destinés à la vie quotidienne (clefs, décors...). Ces maisons abandonnées vers le IVe siècle ont été, pour certaines, recouvertes par un cimetière médiéval (XIIe-XIIIe siècles).
Chauvigny joue très tôt un rôle important à cause de sa situation sur un éperon rocheux dominant la Vienne.
Moyen Âge
Pendant le Moyen Âge, les hommes se sont implantés essentiellement sur l'éperon rocheux et le plateau qui dominent la vallée de la Vienne au nord. Une cité se développe à partir du XIe siècle, elle accueille cinq châteaux forts : château Baronnial ou des Évêques, château d'Harcourt, donjon de Gouzon, château de Montléon et tour de Flin, ainsi que la collégiale Saint-Pierre construite au cours du XIIe siècle. La cité est entourée de remparts dont les accès sont protégés par des portes fortifiées.
Dans la vallée sur la rive droite, au pied de la cité forte, un bourg s'organise autour de l'église Notre-Dame fondée au moins au début du XIe siècle. En même temps la vallée marécageuse est en partie assainie par l'aménagement du ruisseau le Talbat.
Peu après l'an 1000, les évêques de Poitiers de la famille des Isembert, succédant à une famille portant le nom de Chauvigny, deviennent seigneurs de Chauvigny, puis barons à partir du Isembert Ier (mort en 1047) sans doute membre de la famille de Chauvigny dont il avait hérité la seigneurie, après lui se sont succédé plusieurs évêques jusqu'en 1789. L’évêché de Poitiers est propriétaire de la grande forêt de Mareuil d’une superficie de 1215 arpents (415 hectares) qui lui permet par les revenus des coupes ordinaires et extraordinaires de réparer les bâtiments ecclésiastiques souvent en mauvais état. Par ailleurs la forêt, grâce aux droits d’usages accordés aux habitants, leur permet de se fournir en bois de construction et de faire paitre leurs bestiaux.
est l'un des descendants des Chauvigny mentionnés dans les textes du Déols et seigneur de Châteauroux par son mariage (vers 1189) avec la pupille et filleule du roi Richard d'Angleterre, Denyse de Châteauroux, il s'est illustré au cours de la troisième croisade (en 1190). Son courage lui a valu le surnom de « Preux des Preux ». Un récit légendaire témoigne de ses exploits : un jour que les musulmans cherchaient à forcer un passage entre deux montagnes, André se précipita sur eux des hauteurs « et rasa tout ce qui se trouvait sur son chemin et mit en fuite l'ennemi jusqu'à ce que le passage fût délivré ». Au cours de ce combat retentit pour la première fois le cri de guerre : « Chauvigny, chevaliers pleuvent » qui est resté la devise des descendants d'André Ier.
Durant la guerre de Cent Ans, Chauvigny, est ravagée par les troupes du comte de Derby en 1346.
Dix ans plus tard, les troupes du Prince Noir suivies de celles de Jean le Bon, passent à Chauvigny avant d'aller s'affronter à Nouaillé-Maupertuis où Jean le Bon sera fait prisonnier.
En 1372, Du Guesclin et Jean de Berry, chassent les Anglais mais, en 1412, Chauvigny tombe entre les mains des troupes anglaises du duc de Clarence.
Les fiefs voisins vont, à leur tour, édifier des châteaux forts, qui seront rachetés successivement par les évêques de Poitiers jusqu'en 1447. En ce XVe siècle, la ville atteint sa plus grande extension, entourant de ses 2 kilomètres de remparts, cinq châteaux et quatre églises.
Renaissance
En 1562, les huguenots occupent Chauvigny, puis sont chassés par les troupes royales. Ils reviennent en 1569 avec l’amiral de Coligny à leur tête avant la bataille de Moncontour. Le château, la ville et l'église Saint-Pierre sont pillés et incendiés.
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Durant la Fronde, en 1652, Charles Chasteigner, marquis de La Roche-Posay, occupe la ville et le château et leur fait subir pillages et incendies. La même année il est délogé par le duc de Roannes, gouverneur du Poitou.
Depuis l'Ordonnance des Eaux et Forêts de 1669, la forêt ecclésiastique de Mareuil est administrée sous le contrôle de la Maîtrise de Poitiers. La restriction des droits d’usages imposés par les autorités royales et ecclésiastiques, contraint les riverains, pour qui la forêt est une indispensable ressource nourricière, vers la délinquance. Ceci conduisant à la veille de la Révolution à une forêt en mauvais état et notamment « très dépeuplée ».
En 1708, tout n'étant que ruines, le Parlement décharge les évêques-barons de l'obligation d'entretien.
Révolution française et Premier Empire
À la Révolution, les ruines sont devenues « carrière publique », les habitants aggravent les dégâts en arrachant les pierres intéressantes.
La forêt ecclésiastique de Mareuil n’est pas aliénée avec les biens nationaux, et devient par la loi du 2 novembre 1789, une forêt domaniale gérée par une Conservation des eaux et Forêts.
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En 1826, Jean Bozier crée une fabrique de poterie d'argile commune et à la fin du siècle son petit-fils, Gaston Deshoulières, qui fut vice-président de la Chambre de Commerce de la Vienne, y développa la production de poterie vernissée et de faïence stannifère.
En 1906, son petit-fils Fernand Deshoulières, ancien élève de l'École nationale de Sèvres et inspecteur de l'Enseignement technique, y créa l'industrie de porcelaine dure puis, dans les années 1920, celle de grès d'art ; il concevra dans sa manufacture de 7 000 , spécialité céramique obtenue par irisation de l'émail au cours de la cuisson au bois dans une atmosphère réductrice.
En 1843, l'État confie les ruines des châteaux à la Société des antiquaires de l'Ouest qui réussit à les sauver en réparant murs et contreforts.
En 1848, avec la Révolution française de 1848 et le retour de la République, un arbre de la liberté est planté place du Marché ; le peuplier meurt rapidement, arrosé d’eau bouillante : il est aussitôt remplacé par un ormeau.
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Un nouvel arbre de la liberté est planté en 1919, pour célébrer la victoire de la République et du Droit (notamment du droit des peuples) lors de la Première Guerre mondiale. Il est arraché peu de temps après.
Durant la Seconde Guerre mondiale, la section locale de la légion française des combattants (association unique d’anciens combattants vichyssoise) est la deuxième plus importante de la Vienne, avec 207 adhérents. Dans la nuit du 23 au 24 août 1944, les FFI font sauter le pont de la route nationale sur la voie ferrée, dans la montée vers Poitiers, puis celui de la route nationale sur la Vienne dans l’après-midi du 25 août. Une colonne de la Wehrmacht en retraite franchit la rivière sur des bateaux de caoutchouc et le pont de chemin de fer : elle commet des exactions du 26 au 28 août. Elle est néanmoins obligée de passer beaucoup de temps à l’arrêt dans la montée, ce qui en fait une cible facile vue du ciel, bientôt mitraillée par une escadrille de chasseurs alliés en patrouille à la recherche d’objectifs d’opportunité le 27 août : plusieurs véhicules allemands sont incendiés et perdus. En 1945, pour fêter la Libération et le retour de la République, un nouvel arbre de la liberté est planté dans le jardin public en bordure de Vienne. Enfin, en 1948, un séquoia est planté lui aussi comme arbre de la liberté, pour le centenaire de la révolution de 1848.
Les communes avoisinantes ne sont pas exemptes de ce mouvement : Pouzioux plante elle aussi un arbre de la liberté, dès 1944. Cette commune est rattachée à Chauvigny en 1973.
- Eric Dumontet, « Un exemple de gestion d'une forêt ecclésiastique sous l'Ancien Régime, la forêt de Mareuil », Annales de Normandie, lire en ligne).
- L'Orientation économique et financière, La Vienne, 1931, p. 118 et 119.
- Robert Petit, Les arbres de la liberté à Poitiers et dans la Vienne, Éditions CLEF 89/Fédération des œuvres laïques, Poitiers, 1989, p. 215-216.
- Robert Petit, Les arbres de la liberté à Poitiers et dans la Vienne, Éditions CLEF 89/Fédération des œuvres laïques, Poitiers, 1989, p. 221.
- Roger Picard, La Vienne dans la guerre 1939/1945 : la vie quotidienne sous l'Occupation, Horvath, Lyon, 1993, 264 p. (ISBN ), p. 9.
- Christian Richard, 1939-1945 : la guerre aérienne dans la Vienne, Geste éditions, , 348 ISBN ), p. 280.
- Christian Richard, op. cit., p. 288.
- Jean-Henri Calmon, Occupation, Résistance et Libération dans la Vienne en 30 questions, La Crèche, Geste éditions, ISBN ), p. 54.
- Christian Richard, op. cit., p. 280.
- Robert Petit, op. cit., p. 222.
- Robert Petit, op. cit., p. 225.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
Héraldique
Blasonnement :
D'argent à la fasce fuselée de cinq pièces de gueules, surmontée d'un lambel de six pendants de sable.
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Chauvigny dans la littérature
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Dokument erstellt 03/01/2018, zuletzt geändert 23/12/2024
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