Chaillevette
Localisation
Chaillevette : descriptif
- Chaillevette
Chaillevette (prononcé [ʃaj.vɛt]) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente-Maritime (région Nouvelle-Aquitaine)
Ses habitants sont appelés les Chaillevetons et les Chaillevetonnes. Localisée en plein cœur de la presqu'île d'Arvert et du Royannais, à quelques kilomètres d'Étaules, sur la rive gauche de la Seudre, cette petite commune à vocation résidentielle et ostréicole de la « grande banlieue » ouest de Royan joue sur sa situation au centre du célèbre bassin de Marennes-Oléron, important centre de production et d'élevage d'huîtres creuses, de renommée internationale. L'habitat, assez dispersé, se concentre à Chaillevette-Bourg et dans plusieurs gros hameaux dont le principal est le port de Chatressac
Fort modeste, ce dernier a failli entrer dans l'histoire au XVIIe siècle, ayant été un temps pressenti pour accueillir le Grand arsenal maritime du Ponant voulu par Louis XIV — lequel a finalement été édifié plus au nord et a donné naissance à la ville nouvelle de Rochefort. Chaillevette appartient à l'unité urbaine de La Tremblade et est à ce titre un des maillons d'une petite conurbation totalisant quatre communes et 11 841 habitants en 2016, constituant un des trois pôles d'équilibres du Pays Royannais avec Saujon et Cozes
Un peu en marge des stations balnéaires de la Côte de Beauté, elle n'en subit pas moins une forte influence de Royan, principal centre économique des environs
La modernisation des infrastructures routières, marquée par l'ouverture d'une rocade, facilite également les liaisons avec La Tremblade, chef-lieu du canton
Selon l'Insee, elle appartient à l'aire d'attraction de Royan. Chaillevette appartient au secteur Nord de la Communauté d'agglomération Royan Atlantique, structure intercommunale rassemblant 81 896 habitants (2014).
Géographie
Présentation
« Des cabanes édifiées en planches, goudronnées, surmontées d'un toit de tuiles rouges, abritent le matériel de l'ostréiculteur et s'alignent au bord des chenaux où chaque marée montante apporte son flux... »
— Louis Desgraves, La Saintonge, 1977 —
La commune de Chaillevette est située au sud-ouest du département de la Charente-Maritime, sur la côte nord de la presqu'île d'Arvert, dans la frange continentale de la côte de Beauté. Constituant un des maillons d'une conurbation de 11 517 habitants (en 2010) centrée sur La Tremblade et comprenant également les villes d'Étaules et d'Arvert, elle peut être considérée comme appartenant à la « grande banlieue » ouest de Royan, principal centre urbain et pôle économique des environs.
Administrativement parlant, Chaillevette appartient au canton de La Tremblade et à l'arrondissement de Rochefort. Elle est distante de 3,2 kilomètres d'Étaules, de 4,2 kilomètres de Breuillet, de 6,2 kilomètres de Saint-Augustin, de 7 kilomètres des Mathes, de 7,4 kilomètres de Saint-Sulpice-de-Royan, de 7,9 kilomètres du centre de La Tremblade, de 8,9 kilomètres du Gua, de 10 kilomètres de Saint-Palais-sur-Mer, de 11,8 kilomètres de Royan, de 12,2 kilomètres de Saujon, de 14,4 kilomètres de Bourcefranc-le-Chapus et du pont de l'île d'Oléron, de 24,7 kilomètres de Rochefort, de 32,7 kilomètres de Saintes, de 48,4 kilomètres de La Rochelle, la préfecture départementale, et de 105,7 kilomètres de Bordeaux, la grande métropole et préfecture régionale.
Appartenant comme le reste du département au midi atlantique, elle peut être rattachée à deux grands ensembles géographiques, le Grand Ouest français et le Grand Sud-Ouest français.
Cette petite commune résidentielle en plein développement (sa population étant passée de 1081 habitants en 1999 à 1458 habitants en 2010) s'est développée sur la rive gauche de la Seudre. Son territoire est constitué en partie de marais salés (marais de la Seudre) formant de vastes étendues verdoyantes s'étendant à perte de vue, ponctuées de haies de roseaux, de pâturages, d'herbes hautes en constant mouvement sous l'action des brises marines, et qui se prolongent par des vasières aux couleurs changeantes où le soleil se reflète. De nombreux petits cours d'eau, fort modestes il est vrai, viennent se jeter dans la Seudre : ruissons des Boinards et de l'Envie, chenaux de Bel-Air, de Chatressac et de Chaillevette. Les deux derniers accueillent chacun un petit port pittoresque où des cabanes ostréicoles apportent une touche caractéristique au paysage. La vie y est rythmée par le ballet des batâ (embarcations traditionnelles), des couralins (petits bateaux) et des chalands.
De fait, Chaillevette est au cœur d'un bassin ostréicole de réputation internationale, le bassin de Marennes-Oléron, et compte de nombreuses « claires » (bassins d'affinage) où les huîtres du pays prennent une teinte bleu-vert et une saveur iodée typiques sous l'action d'un pigment (marennine) produit par une algue microscopique connue sous le nom de navicule bleue. La partie occidentale du territoire communal est formée d'un plateau doucement incliné, couvert de broussailles et d'herbes sèches par endroits. La céréaliculture (blé, maïs) y occupe une bonne place, de même que la viticulture sur ses versants les mieux exposés. Les vignes servent à produire les alcools réputés de la région : cognac, pineau des Charentes, mais aussi vin de pays charentais.
Le plateau accueille également des forêts où résineux (pins maritimes) et feuillus (chênes, chênes-verts) se mêlent intimement : ce sont essentiellement le bois de Chassagne et le bois des Clônes, tout près d'Étaules, échos à la forêt domaniale de la Coubre toute proche, ainsi qu'aux massifs forestiers de Breuillet voisins. Les petites routes de campagne qui serpentent sur les hauteurs forment autant de « balcons naturels » permettant de mieux appréhender cet écosystème unique formé par des milliers d'hectares de marais et de claires, ou terre et mer finissent par ne former qu'un seul et même ensemble.
Communes limitrophes
Climat
Le climat dont bénéficie la Charente-Maritime est un climat océanique tempéré de type aquitain, marqué par un ensoleillement moyen assez important : avec 2 250 heures par an, il est comparable à celui que connaît une partie de la côte méditerranéenne. La pluviosité y est modérée, les précipitations ne dépassant pas 1 200 mm par an. Les températures, quant à elles, varient en moyenne de +5 °C en hiver à +20 °C en été.
Les îles et l'ensemble du littoral de la Charente-Maritime se caractérisent par un climat particulièrement doux en hiver, et rafraîchissant l'été, grâce aux influences océaniques perpétuellement en mouvement (brise marine). Ces conditions climatiques favorables, toujours soumises aux influences de l'océan Atlantique, ont favorisé un véritable microclimat de type sub-aquitain et l'existence d'une végétation déjà méridionale. Ainsi la flore se caractérise-t-elle par la présence étonnante de lauriers-roses, eucalyptus, agaves, et même les mimosas se mettent à fleurir dès le mois de janvier.
Aux essences déjà méridionales du chêne vert (ou yeuse) et du cyste, s'ajoutent une forte présence de palmiers, figuiers, orangers et même oliviers. Il existe toutefois un contraste entre le littoral, assez sec et ensoleillé et l'intérieur des terres, davantage pluvieux. La pluviométrie passe ainsi de 750 Haute-Saintonge.
Les relevés de la station météorologique de La Rochelle entre 1946 et 2000 permettent de déterminer quelques dates majeures au point de vue climatique en Charente-Maritime : ainsi, au cours de ce laps de temps, la température la plus froide est relevée le 15 février 1956 : −13,6 canicule de 2003) est atteint le 8 juillet 1982 avec près de 39 .
La Charente-Maritime est le département français qui a été le plus durement touché par la tempête Martin du 27 décembre 1999. Les records nationaux de vents enregistrés ont été atteints avec 198 île d'Oléron et 194 Royan.
Dans la nuit du 23 au 24 janvier 2009, la région est frappée par la tempête Klaus. Malgré des rafales dépassant les 120 Médoc tout proche.
Les côtes charentaises et vendéennes sont de nouveau durement éprouvées par la tempête Xynthia qui traverse la région dans la nuit du 28 février au . Les bois, les ports ostréicoles ainsi que de nombreuses toitures et hangars sur la commune ont subi d'importants dégâts.
Données générales
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | 3,4 | 2,8 | 5,4 | 7,4 | 10,7 | 13,7 | 15,8 | 15,7 | 13,7 | 10,5 | 6,3 | 3,9 | 9,2 |
Température moyenne (°C) | 5,9 | 6,9 | 8,7 | 11,1 | 14,3 | 17,5 | 19,8 | 19,6 | 17,8 | 14,2 | 9,4 | 6,6 | 12,7 |
Température maximale moyenne (°C) | 8,5 | 9,9 | 12,1 | 14,7 | 17,9 | 21,3 | 23,8 | 23,5 | 21,8 | 18 | 12,6 | 9,2 | 16,1 |
Ensoleillement (h) | 84 | 111 | 174 | 212 | 239 | 272 | 305 | 277 | 218 | 167 | 107 | 85 | 2 250 |
Précipitations (mm) | 82,5 | 66,1 | 57 | 52,7 | 61,1 | 42,9 | 35,1 | 46,4 | 56,5 | 81,6 | 91,8 | 81,8 | 755,3 |
Ville | Ensoleillement (h/an) |
Pluie (mm/an) |
Neige (j/an) |
Orage (j/an) |
Brouillard (j/an) |
---|---|---|---|---|---|
Médiane nationale | 1 852 | 835 | 16 | 25 | 50 |
Chaillevette | 2250 | 755 | 4 | 13 | 26 |
Paris | 1 717 | 634 | 13 | 20 | 26 |
Nice | 2 760 | 791 | 1 | 28 | 2 |
Strasbourg | 1 747 | 636 | 26 | 28 | 69 |
Brest | 1 555 | 1 230 | 6 | 12 | 78 |
Bordeaux | 2 070 | 987 | 3 | 32 | 78 |
Voies de communication et transports
Voies routières
Localisée au cœur de la presqu'île d'Arvert, sur un des grands axes de la région (Saujon-Marennes-Île d'Oléron), Chaillevette bénéficie de sa situation à l'entrée d'une conurbation à vocation résidentielle, touristique et ostréicole centrée sur La Tremblade, au centre d'un bassin de vie de plus de 11 000 personnes, qui voit sa population plus que doubler en haute saison. Cette fréquentation particulièrement marquée en période estivale, ainsi que la volonté de faciliter les liaisons entre Royan et sa grande banlieue ouest et de raccourcir les trajets domicile-travail dans ce même secteur, ont conduit à la réalisation par le conseil général de la Charente-Maritime d'une rocade entre Chaillevette, Étaules, Arvert et La Tremblade au début des années 2000.
Celle-ci, qui correspond à la D14, est un axe structurant du schéma routier du Pays Royannais, en ce sens qu'elle permet de faciliter les liaisons entre La Tremblade et sa périphérie et les autres pôles économiques des environs (Royan, bien sûr, mais aussi Saujon ou encore Marennes). Classée route départementale de première catégorie (grands axes routiers départementaux), elle supporte un trafic atteignant en moyenne 8000 à 9000 véhicules par jour, avec cependant de fortes disparités en fonction des périodes de l'année. Un rond-point, aménagé à la limite de la commune et de la ville voisine d'Étaules, permet de distribuer le trafic. Il est agrémenté d'une sculpture représentant une cabane ostréicole et des barques, qui indiquent toutes une direction possible : Chaillevette, Étaules ou encore Breuillet. Une station du réseau de transports urbains Cara'Bus et une aire de covoiturage de dix places ont été installées à proximité immédiate.
À l'avenir, le schéma routier départemental (2010-2030) prévoit de repenser totalement la circulation de la grande périphérie royannaise, dont Saujon (à environ 15 kilomètres) deviendrait une des « portes d'entrées ». Le trafic sera dès lors diffusé à partir de cette ville, afin de limiter au maximum les encombrements. Parmi les options devant faciliter les liaisons dans la presqu'île d'Arvert, figurent la création d'une voie nouvelle entre la rocade de Royan à Vaux-sur-Mer et Saint-Sulpice-de-Royan et Breuillet, dont le centre-ville serait contourné. La durée du trajet entre les communes de la grande banlieue de Royan et celles de sa proche banlieue serait ainsi raccourcie.
Les autres routes traversant la commune sont la D 140, qui fait la liaison entre le rond-point de la rocade et le port de Chatressac en passant par les quartiers de la Brousse, du Maine-Auriou, des Chassagnères, du Sur et des Fontaines et la D 145, qui suit le cours de la Seudre entre Chatressac, Chambion et les Petites Roches, avant de poursuivre vers Les Grandes Roches, sur la commune d'Étaules. Un réseau de petits chemins de campagne sillonne également le territoire communal, offrant parfois de beaux panoramas sur les marais de la Seudre, notamment près du hameau de Beauregard, qui surplombe de vastes étendues palustres.
Du fait de la configuration particulière de la presqu'île d'Arvert, rejoindre Marennes, Le Gua, Rochefort ou La Rochelle implique de traverser la Seudre, soit par le viaduc de la Seudre à La Tremblade, soit par les ponts du Vivier (sur le Liman) et de Mailloux (sur la Seudre) à L'Éguille.
Voies ferroviaires
La commune dispose d'une gare située sur la ligne Saujon-La Tremblade, inaugurée au Compagnie du chemin de fer de la Seudre, et passe ensuite à l'Administration des chemins de fer de l'État, puis à la Société nationale des chemins de fer français en 1937.
Désormais, elle ne sert qu'à des fins touristiques, étant une étape du « train des mouettes » qui permet de découvrir les marais de la Seudre et les ports ostréicoles de la presqu'île d'Arvert.
Les gares SNCF en fonction les plus proches sont celles de Royan et de Saujon.
Pistes cyclables
La commune dispose d'un réseau de pistes cyclables faisant partie des « Chemins de la Seudre ». Issu d'une collaboration entre le Conseil général du département, la Communauté d'agglomération Royan Atlantique et la Communauté de communes du Bassin de Marennes, ce réseau, mis en service à partir de 2007, permet de découvrir les espaces ostréicoles et les paysages des marais de la Seudre.
Transports en commun
La ville est desservie par le réseau de transports urbains Cara'Bus qui la relie aux autres communes de l'agglomération royannaise. Inauguré le 2 janvier 2006 sous le nom « Très Royannais », il était à l'origine composé de minibus de type hybride (électrique et diesel). Exploité depuis septembre 2008 par la société Veolia Transport (devenue Transdev en 2013), il est rebaptisé « Cara'Bus » depuis lors.
La modernisation du réseau de transports urbains de l'agglomération le 5 janvier 2009 a conduit à l'achat de navettes de type Heuliez GX 127 ainsi qu'à l'accroissement du nombre de lignes régulières, passant de trois à dix, auxquelles s'ajoutent trois lignes supplémentaires en période estivale.
La ligne 41 du réseau Cara'bus (Ronce-les-Bains-La Tremblade-Saujon-Cozes) et la ligne 22 (Ronce-les-Bains-La Tremblade-Breuillet-Vaux-sur-Mer-Royan) desservent la commune. Deux stations sont implantées sur son territoire. La station Cabanes se situe à proximité des grands axes de la presqu'île d'Arvert, la D 14 et l'entrée de la rocade ; quant à la station Place de Verdun, elle est située en centre-bourg, à proximité du bureau de poste et de la mairie.
Transports aériens
L'aéroport le plus proche est celui de Rochefort-Saint-Agnant, à environ 25 kilomètres au nord. L'aéroport de La Rochelle-Île de Ré, à 50 kilomètres au nord, permet de relier quelques grandes villes françaises, comme Paris ou Lyon, ainsi que les Îles Britanniques ou l'Europe du Nord. À environ 100 kilomètres au sud-est de la commune, l'aéroport de Bordeaux - Mérignac est un aéroport international permettant des liaisons vers de nombreux pays.
Les aérodromes de Royan-Médis et de Marennes-Saint-Just, tous deux à environ 15 kilomètres, sont réservés à l'aviation légère.
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- Royan Atlantique : les ports traditionnels
- Préfecture de Charente-Maritime : Météo France
- Relevés Météo-France de 1946 à 2000, sur le site Bernezac.com
- Journal Sud Ouest, édition locale de Royan datée du
- La tempête du 28 février 2010
- « », sur infoclimat.fr (consulté le ).
- Données de la station de La Rochelle, sources l'Internaute, INSEE et Lameteo.org
- La Charente-Maritime : schéma routier départemental, 2010-2030
- « », sur Trans'bus, (consulté le ).
- « », sur Carabus transport, (consulté le ).
Toponymie
Le nom de la commune est tiré du saintongeais chaille, signifiant « caillou ». Il pourrait faire référence à une antique « pierre sacrée», car on aurait trouvé les vestiges d'un temple assez important. Il est attesté que la région est habitée depuis fort longtemps ainsi qu'en témoignent les mosaïques trouvées dans des vignes et des dolmens, attestés au XIXe siècle, mais disparus aujourd'hui.
Histoire
La présence humaine est attestée sur le territoire de la commune dès le Néolithique par l'édification de plusieurs dolmens désormais détruits. Le premier était situé au lieu-dit la Grosse Borne, il n'en demeure que la Pierre levée de Beauregard située à la limite des communes d'Étaules et de Chaillevette. Le second édifice, dit de Cellery (ou de Sillery), portait également le surnom de Crève-Sot en raison des nombreuses gens qui creusèrent à son pied inutilement dans l'espoir d'y découvrir de l'or. Enfin, les ruines d'un troisième dolmen seraient visibles au lieu-dit des Moullères.
Des traces prouvant l'existence d'un atelier gaulois d'extraction de sel ont été découvertes sur la commune.
Le château de Chaillevette fut démantelé et reconstruit à Marennes.
Le temple de Chaillevette peut accueillir jusqu'à 300 fidèles, car à l'époque de sa construction, la population chaillevettonne était composée aux 2/3 de Protestants.
La première église se trouvait dans le vieux cimetière de Chaillevette, mais la population catholique augmentant de plus en plus, il a été décidé d'en construire une seconde, plus grande, à 500 mètres, près d'une place qui, autrefois, était un cimetière. Il ne reste plus rien de la première église.
Un moulin était implanté près de la Grosse Borne, disparu depuis longtemps, profitait surtout aux habitants du château de Beauregard.
Des moulins à marée fonctionnaient il y a encore peu de temps sur le territoire de la commune.
- Jean-Sébastien Pourtaud et Yves Olivet, Dolmens, menhirs, tumulus et pierres de légendes de Charente-Maritime, Rioux-Martin, Le Croît Vif, , 231 ISBN ), p. 170-171
- G. Musset, La Charente-Inférieure avant l'histoire et dans la légende, La Rochelle, 1885, p. 29, 30, 35, 61, 82, 89.
- C.Gabet, L'Époque gallo-romaine, Richesses de la France no 75.
Culture
Équipements culturels
La salle des fêtes permet aux principales associations (danse de salon, danse country, zumba, tennis de table) de tenir leurs réunions. Principale infrastructure culturelle de la commune, elle se dresse face à la mairie-école (place Edmond Besson). Elle peut accueillir près de 450 personnes (dont 350 places assises), comporte une scène permettant la tenue de pièces de théâtre, de concerts et peut à l'occasion faire office de cinéma.
Une « boîte à livre » a été installée dans la commune au niveau du bureau de poste. Ce concept d'origine américaine porté localement par le Lions Club permet à chacun de prendre et de déposer gratuitement des livres et des magazines.
- Présentation du foyer rural de Chaillevette, site APMAC Nouvelle-Aquitaine
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Chaillevette dans la littérature
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Dokument erstellt 03/01/2018, zuletzt geändert 30/10/2024
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