Cadaujac

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Cadaujac : descriptif

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Cadaujac

Cadaujac est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde en région Nouvelle-Aquitaine. Ses habitants sont appelés les Cadaujacais et Cadaujacaises.

Géographie

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Commune de l'aire d'attraction de Bordeaux située dans son unité urbaine. Cadaujac est une commune du Canton de La Brède, située à 10 Bordeaux, s'étend sur 6 Garonne.

Communes limitrophes

Les communes limitrophes sont Camblanes-et-Meynac, Isle-Saint-Georges, Léognan, Martillac, Quinsac, Saint-Médard-d'Eyrans et Villenave-d'Ornon.

Hydrographie

La commune est située sur la rive gauche de la Garonne. Elle est traversée par l'Eau Blanche, et la Peguillére.

  • Natura 2000
Comme Saint-Médard-d'Eyrans, Cadaujac fait partie de sites naturels ou semi-naturels ayant une grande valeur patrimoniale, zone qui concerne la partie proche de la Garonne.
  • Plan de prévention du risque inondation pour Cadaujac.

Climat

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 .

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,9 amplitude thermique annuelle de 14,5 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 13,8 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

Statistiques 1991-2020 et records CADAUJAC-INRA (33) - alt : 20m, lat : 44°45'10"N, lon : 0°33'33"O
Records établis sur la période du 01-11-1985 au 02-11-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 2,9 2,6 4,9 7,2 10,6 13,6 15,2 15,1 12,1 9,6 5,7 3,5 8,6
Température moyenne (°C) 6,7 7,4 10,3 12,8 16,4 19,5 21,4 21,6 18,3 14,7 9,9 7,2 13,8
Température maximale moyenne (°C) 10,5 12,2 15,8 18,4 22,1 25,5 27,6 28,1 24,6 19,9 14,1 11 19,2
Record de froid (°C)
date du record
−15,8
17.01.1987
−10,5
09.02.12
−9,5
01.03.05
−2,6
04.04.1996
1,6
06.05.19
4,7
08.06.1989
6,6
04.07.1990
5,3
30.08.1986
2,9
30.09.1987
−4,1
30.10.1997
−7,3
24.11.1998
−10,6
17.12.01
−15,8
1987
Record de chaleur (°C)
date du record
20,4
13.01.1993
25,5
27.02.19
27,7
29.03.23
30,6
17.04.13
35,3
30.05.01
39,9
22.06.03
41,5
23.07.19
40
05.08.03
37,8
12.09.22
32,9
02.10.23
26,3
08.11.15
21
31.12.22
41,5
2019
Précipitations (mm) 86,5 64,7 61,3 75,9 75,2 71,9 51,2 63,8 76,3 78,7 112 100,8 918,3
Source : «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/11/2023 dans l'état de la base
  1. Natura 2000
  2. Site naturel sur Natura 2000 FR7200688
  3. Plan inondation Cadaujac
  4. «  » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  5. «  », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. «  », sur meteofrance.fr, (consulté le ).

Toponymie

Lieux-dits

Le toponyme Cadaujac est attesté sous les formes anciennes Cadauac (1273), Cadanyaco (pour *Cadauyaco, XIIIe siècle), Cadaujac (1273)…

C'est un nom de domaine en -acum basé sur le nom de son propriétaire. Celui-ci devrait être le nomen Catalius, attesté en Gaule cisalpine. La formation *Cataliacum aurait été traitée en deux termes *Catal-jaco donnant logiquement Cadau-jac en gascon.

Cadaujac étant dans le domaine nord-gascon, la plupart des lieux-dits anciens y sont explicables par le gascon, par exemple le Courdouney, l'Esclopey, les Brousteys, le Junca, l'Esquillot, la Péguillère...

Sur la carte de Cassini, sont mentionnés entre autres lieux :

  • Rive gauche : Le Luc, l'Herminage, la Hontan, la Motte ;
  • Rive droite : Fontanelle, Camarsac, La Motte.
  1. , Institut occitan, Dictionnaire toponymique des communes de Gironde, Pau, Éditions Cairn, , 402 ISBN )..
  2. Onomasticon provinciarum europae latinarum
  3. d'après , Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, Librairie Droz, ISBN , lire en ligne), n° 7016. E. Nègre base sa démonstration sur *Catilius donnant *Cadel-yac.
  4. «  »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur gasconha.com (consulté le ).

Histoire

Époque Gallo-romaine

Vitrine au Musée d'Aquitaine

La mise au jour de divers vestiges, cimetière, vases et voie romaine, démontre une occupation bien établie à l'époque gallo-romaine, comme le laisse présumer le toponyme en -ac. La vie de Cadaujac semble avoir été concentrée aux environs de l'actuel lieu-dit « Paté » (pastum, pâture). Un cimetière à incinération du .

Lors du transfert du cimetière de l'église, plusieurs sarcophages ont été découverts et l'un d'eux dessiné par J.-A. Brutails.

Des monnaies découvertes sur place donnent la datation approximative de 138 à 161 après J.C. : elles faisaient partie du Trésor de Garonne recueilli en face du château Malleret en novembre 1965, lors de dragages dans le fleuve. Plus de 4000 pièces ont été restaurées et étudiées, en majorité des sesterces, probablement en provenance du naufrage d'un navire marchand.

À un kilomètre de là, aujourd'hui sur la commune de Saint-Médard-d'Eyrans, des mosaïques, des fragments de céramiques de luxe, des fragments de verrerie et des briques striées attestent de la présence d'une "villa" romaine. En 1805, ont été découverts deux superbes sarcophages sculptés en marbre de Paros, actuellement exposés au Musée du Louvre, et dont la date de réalisation est estimée au premier tiers du chlamyde accompagné d'un enfant a été aussi découverte : elle représente peut-être Mercure. Elle est exposée au Musée d'Aquitaine.

Le ruisseau qui sépare Cadaujac de Saint-Médard-d'Eyrans « la Bugonne » (Fontaine des pâturages ou fontaine des bœufs, d'après Joseph Béraud-Sudreau). Enfin, la source miraculeuse de « Joye » était réputée pour avoir la particularité de guérir les maux d'yeux et peut-être d'autres afflictions, si on se réfère au nom du lieu-dit voisin, l'« Esclopey ».

Sur la commune passe également la voie romaine qui allait de Burdigala (Bordeaux) à Aginnum (Agen) et qui est connue aujourd'hui sous le nom de "route de Saint-Médard-d'Eyrans".

Le Moyen Âge

Cadaujac a été probablement évangélisée vers le église Saint-Pierre.

La baronnie de Cadaujac a probablement été constituée sous l'égide du Royaume d'Aquitaine à une date indéterminée et est devenue un fief des ducs d'Aquitaine.

En l'an 1100, Guillaume IX d'Aquitaine (grand-père d'Aliénor d'Aquitaine) donne, avant de partir en Croisade, la baronnie au Chapitre de Saint-André de Bordeaux. Auparavant, en 1098, l'année de la consécration de la cathédrale, il avait confirmé le droit de monnayage et de tonlieu, accordé au Chapitre par son père.

Les habitants de Cadaujac vivaient de trois ressources : l'élevage, la vigne et la forêt. La baronnie possédait deux châteaux : le Château des Freytets (fruitiers) et le Château des Fougères ou Faugères. Aujourd'hui, de ce dernier, il ne reste qu'un mamelon de terre, par contre, le château des Freytets est en partie conservé. Il est connu, depuis le château d'Eck.

À partir des rôles Gascons, conservés à Londres, qui listent tous les actes signés par les ducs d'Aquitaine entre 1317 et 1468, des archives du Chapitre de Saint-André et les archives conservées par la mairie de Cadaujac, on peut apercevoir et suivre la construction des maisons nobles et les accords de privilèges dans le développement de Cadaujac :

  • En 1250-1252 on trouve trace d'une transaction du Chapitre de Saint-André avec ses questaux de Cadaujac, où ils paient 1000 sous par an, la taille à volonté qu'il levait sur eux et leur concède à fief une partie de la palu.
  • 1273 : Géraud Demonts, qualifié de Miles (= soldat, guerrier) et Bertrand Demonts, qualifié de Damoiseau (= jeune gentilhomme) possédaient une maison noble, que l'on suppose située sur le site de l'actuelle « Maison noble du Pont de Langon ».
  • 1318 : le roi Édouard II d'Angleterre donne, en faveur de Gaucem de Pagan, la Judicature de la paroisse et en 1319 il donne en jouissance à Charles de Beaumont la terre de Cadaujac.
  • 1341 : il existait un fortin sur la Garonne, au port d'Hourtin, à l'embouchure du ruisseau du Rossignol.
  • 1565 : Le 11 juin le Chapitre de Saint-André cède la moitié des Vacans et Padouens,, aux habitants de Cadaujac, moyennant la redevance de dix ans en dix ans, pour le service de l'église, d'une torche de cire de douze livres. Une transaction confirmée par un arrêt du Parlement de Bordeaux le 29 mars 1763.

De la Renaissance à la fin du | ]

Cadaujac se développe tranquillement à l'abri des grands conflits. La population augmente, l'église est agrandie et le bourg se forme.

  • En 1565, le château des Fougères devient la propriété de M. de Guilloche, Seigneur de La Louvière, qui le revendra en 1601 au Chapitre de Saint-André. Il en restera la propriété tout au long du Chanoines.
  • La source de Joye est « christianisée », on lui donne le nom de Saint-Hilaire (en 1884 la source de Joye sera pourvue d'une grotte et ornée d'une statue de Saint Hilaire).
  • Les ports de Cadaujac sont en activité : Hourtin, Carpentey, Marguerite (Marteau) et le port, appelé à l'époque Coplon, et aujourd'hui Grima. En 1965, une drague a mis au jour les restes d'une gabarre, ainsi qu'un canon en bronze datant de Louis XIV.
  • La navigation sur la Garonne est soutenue et les maisons tournent leurs façades vers elle : Marteau, Sorbé, Le Moustey, Guyot, la Jujeotte, Rivière, Esquillot (Galibert), le Domaine des Places, le Domaine du Droit.
  • Le Château de la Pontrique est édifié en 1768 puis le Château de La Grâce à la fin du XVIIe.

Le Bordeaux, grâce au commerce extérieur avec les îles, et le développement de la navigation fluviale profitent aux Bordelais qui se font construire de belles maisons de campagne au bord de la Garonne. Le négoce du vin est en plein essor, les vins blancs des Graves acquièrent une renommée européenne.

  • Au début du . En 1782, on y comptait trois écoles.
  • Nous notons deux grandes inondations, l'une en 1770 et l'autre en 1777.
  • Le Château de Cadaujac ou Château Chapon est édifié à la fin du XVIIIe par Monsieur de Saige, Baron de Beautiran.
  • La Maison noble de Lamothe est édifiée à la même époque, alors que celle du Pont de Langon a été remaniée.

De la Révolution au Second Empire

Après la Révolution, l'église est fermée ; les statues brisées ; l’argenterie, les meubles et le château des Fougères sont confisqués. Le Château est ensuite vendu par l'état à M. Dauvion, qui possède déjà La Grâce. À cette époque, Fougères est encore entouré de bois, de prés et de vignes et sa grande allée aboutit à l'église.

  • 1792 : Le premier maire de Cadaujac se nomme J.B. Bonnet.
  • 1793 : M. de Saige est guillotiné à Bordeaux.
  • 1804, le Premier Consul Bonaparte devient l'empereur Napoléon Ier. L'Empire français succède à la Première République et en 1807, la Garde Nationale à Cadaujac se compose de 2 compagnies de 80 hommes.
  • Le chemin qui traverse le Bouscaut est pavé et devient la RN10.
  • 1850 : Le Château Bardins (Bardey) est construit.
  • À cette même époque, le Château Plombard (qui devient château Millefleurs en 1933) est construit avec les pierres de la maison de M. Roulle, à Callot, par l'architecte Granet.

Le Second Empire

Le Second Empire est une époque de prospérité matérielle pour Cadaujac.

  • Entre 1854 et 1856, la voie ferrée Bordeaux-Marseille passe par Cadaujac qui obtient une gare et voit se construire un « hôtel de la gare ».
  • 1855 : l'église est enfin refaite et le cimetière est transféré chemin Truchon en 1856.
  • 1858 : la nouvelle mairie et les écoles sont construites.
  • Le château Malleret, construit en 1860, reçoit la visite de Napoléon III à plusieurs reprises. Il est équipé d'un très bel embarcadère qui a parfois servi aux Cadaujacais lorsque celui de Grima était impraticable et qui est parfois compté dans le nombre des ports de Cadaujac.
  • En 1868, les producteurs de vins sont, pour les Graves, Truchon, Pontric, Lamotte, Fourgeau, Bardins, Valleroux, Cadaujac (Saige), Gourdin, Plombard.
Les vins du Palus : Malleret, Laisné, Droit, Le Plan, Galibert, Rivière, Laroussie, Lagavatchosse, Callot, Ferbos.
On compte 273 hectares de vigne plantés. On remarque que le Palus est plus important que les Graves, mais à cette époque ce sont encore les bords de Garonne qui sont les plus peuplés.
  • 1870 : le château de Saige appartient au comte de Noaillan. C'est encore un superbe édifice agrémenté d'une rotonde surmontée d'une terrasse, entouré d'un parc aux somptueux massifs. Il est entouré d'un vignoble de vin rouge.
  • Par contre, le château des Fougères n'est plus que ruines. Les restes d'une tour carrée et une cheminée du XVe attestent de son glorieux passé.
  • Lorsque la guerre franco-allemande de 1870 éclate, Cadaujac compte 1 000 habitants. Onze d'entre eux resteront sur les champs de bataille.
  • Signalons une très forte inondation en juillet 1875.

Du | ]

Tramway de la ligne B à Cadaujac.

Au début du XXe siècle, les liaisons avec Bordeaux sont encore difficiles. Il y a un train le matin à 7 heures. Le trajet est le plus souvent réalisé au moyen d'une "gondole" à vapeur qui accoste à 8 heures au port de Grima et dépose les voyageurs quai Richelieu à Bordeaux. Côté route, des "diligences" font un arrêt au Bouscaut.

  • La fête communale se tient une fois l'an, sur la place du Bouscaut, en plus, la commune donne une fête au bourg, la fête de la Saint Louis.
  • Pendant la Première Guerre mondiale, Cadaujac perd 45 de ses enfants au combat. Elle est la plus touchée des communes du canton.
  • 1920 : le Domaine des Places est donné à l’État par la famille Henry. On connait désormais le domaine sous le nom de "Colonie Henry" car elle accueille, jusqu'à la guerre d'Espagne, des orphelins. En 1938, elle loge des réfugiés basques-espagnols. Elle est vendue en 1942.
  • À partir de 1920 et jusqu'en 1955, la Compagnie T.E.O.B. dessert la ville au moyen de la ligne de tramway suburbain B, depuis la place de Bourgogne jusqu'au terminus du chemin Truchon .
  • 1928 : La commune est électrifiée.
  • 1929 : Le Sporting Club Cadaujacais est créé par Henry Pazot, Etienne Barbot et Gérard Eyrem. Le terrain est celui que nous connaissons encore et qui était à l'origine une prairie appartenant à M. Salvané.
  • Une forte crue est signalée en 1930.
  • 1939 : il y a 1 200 habitants à Cadaujac.
  • 1956 : les nouvelles écoles sont construites.
  • 1967 : on compte 2 000 habitants à Cadaujac.
  • 1970 : l'autoroute A62 traverse la commune, modifiant définitivement son visage.
  • Au début des années 1980, les lotissements "La Clairière à Julia" et "La Péguillère" augmentent considérablement le nombre de Cadaujacais.
  1. Pierre-Marie Abrard, Cadaujac à travers les âges : histoire d'une communauté du Bordelais de l'époque gallo-romaine à nos jours et récits complémentaires, Bordeaux, Drouillard, ISBN ).
  2. , Le Gascon : Études de philologie pyrénéenne, Tübingen; Pau, Verlag Max Niemeyer ; Marrimpouey Jeune, ISBN  et , OCLC 3345494, lire en ligne)..
  3. a b et c , Académie des inscriptions et belles-lettres, Carte archéologique de la Gaule 33-1 : La Gironde, Paris, Éditions de la Maison des sciences de l'homme, , ISBN ), pp. 173-175..
  4. Robert Étienne, Marguerite Rachet, «  », sur Persée, (consulté le ), p. 1235 à 1238.
  5. Joseph Béraud-Sudreau, Actes du lire en ligne), pages 509-518
  6. a et b Jacques Baurein, Variétés Bordeloises, lire en ligne) : article 4.XIX, pages 372-382.
  7. Jean-Marc Soyez, Quand les anglais vendangeaient l'Aquitaine : d'Aliénor à Jeanne d'Arc, Bordeaux, Les Dossiers d'Aquitaine, ISBN ).
  8. Pierre Harlé, Padouens du bordelais : Étude historique, Bordeaux, Y. Caderet, (lire en ligne).


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Héraldique

Les armes de Cadaujac se blasonnent ainsi :

Écartelé de gueules et d'azur, au premier aux deux clefs renversées d'argent passées en sautoir, au deuxième au château d'argent ouvert et ajouré de sable, la tour de senestre plus haute et essorée du même, au troisième aux trois coquilles d'argent mal ordonnées, au quatrième aux deux bâtons de pèlerin d'argent non pommetés passés en sautoir, celui en barre au pied fiché

La symbolique du blason : les clefs de saint Pierre, Patron de l'église ; les coquilles, symboles des pèlerins de Sait-Jacques de Compostelle ; le château Fougères, la résidence des Chanoines du Chapitre de Saint-André de Bordeaux et la croix de saint André pour rappeler que le Chapitre était aussi le seigneur de Cadaujac.

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Cadaujac dans la littérature

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Dokument erstellt 03/01/2018, zuletzt geändert 13/01/2025
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