Bourcefranc-le-Chapus
Localisation
Bourcefranc-le-Chapus : descriptif
- Bourcefranc-le-Chapus
Bourcefranc-le-Chapus (prononcé [buʁ.sə.fʁɑ̃.lə.ʃa.py]) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente-Maritime (région Nouvelle-Aquitaine)
Ses habitants sont appelés les Bourcefrançais ou Chapusais et les Bourcefrançaises ou Chapusaises. Commune de création récente — née en 1908 de la fusion de plusieurs hameaux dont les deux principaux sont Bourcefranc et Le Chapus —, elle n'en possède pas moins une riche histoire et un patrimoine urbain et maritime diversifié
C'est la dernière commune du continent à être traversée avant d'aller sur l'île d'Oléron, accessible depuis 1966 par le viaduc d'Oléron. Faisant partie de l'agglomération urbaine de Marennes dont elle prolonge l'urbanisation vers le nord-ouest en direction du pont de l'île d'Oléron, Bourcefranc-le-Chapus est une commune littorale dynamique dont les activités sont principalement orientées vers l'ostréiculture, le tourisme et la fonction résidentielle de villégiature.
Géographie
Situation géographique
La commune de Bourcefranc-le-Chapus est située au Sud-Ouest du département de la Charente-Maritime en région Nouvelle-Aquitaine.
Sur un plan plus général, Bourcefranc-le-Chapus est localisée dans la partie Sud-Ouest de la France, au centre de la côte atlantique dont elle est riveraine, faisant partie du « Midi atlantique ».
Il s'agit avant tout d'une commune littorale, formant la fin d'une petite presqu'île, en bordure de la mer des pertuis charentais qui la met directement en contact avec l'océan Atlantique.
Au Nord, elle est délimitée par le pertuis d'Antioche et au Sud par le pertuis de Maumusson. Ces deux détroits se rejoignent dans la passe du courreau d'Oléron qui la sépare de l'Ile d'Oléron, à l'Ouest, distante d'environ deux kilomètres à vol d'oiseau.
Bourcefranc-le-Chapus est également située à l'extrémité de la vaste embouchure de la Seudre, sur sa rive droite, qui y atteint ici sa plus large extension.
Par sa situation géographique, Bourcefranc-le-Chapus est située à 3 Marennes formant avec cette dernière une agglomération urbaine continue dont les activités économiques, caractérisées par l'ostréiculture, les activités tertiaires (commerces et services) et le tourisme, sont quasi identiques.
Par rapport aux villes principales de la Charente-Maritime, elle est située à 24 Rochefort, à 34 Royan, à 45 Saintes et à 57 La Rochelle.
Un seul axe routier d'importance la jalonne du Sud-Est au Nord-Ouest, la D26, route départementale particulièrement fréquentée chaque week-end et lors de la période estivale et qui aboutit au viaduc de l'île d'Oléron depuis Marennes.
Le cadre géographique
La commune de Bourcefranc-le-Chapus occupe un site de presqu'île qui se termine par deux petits caps, la pointe du Chapus et la pointe des Chardons, mais dans le détail, son rivage fait alterner de petits caps peu élevés qui isolent des baies plus ou moins étroites dont quelques-unes sont sablonneuses et les autres formées de vasières littorales.
Le rivage de la commune
Au Sud-Est de la commune, la pointe de Bonnemort termine l'embouchure de la Seudre sur sa rive droite qui correspond ici à son extension maximale. Ce cap est l'aboutissement d'un cordon dunaire d'environ 3 mètres de hauteur qui s'est formé naturellement depuis le site de Marennes-Plage dans la commune voisine de Marennes-Hiers-Brouage. Ce cordon dunaire, très étroit et peu élevé, isole à l'arrière sur la péninsule, d'anciens marais salants aujourd'hui transformés en parcs à huîtres. La faible portion sablonneuse abrite une petite plage, à l'arrière de laquelle quelques infrastructures touristiques ont été mises en place (centre nautique avec école de voile, piscine, camping, résidence de tourisme). Une route touristique, la route verte, longe ce littoral en partie arboré. Ces équipements touristiques intercommunaux sont partagés avec la municipalité de Marennes-Hiers-Brouage.
Entre la pointe de Bonnemort, au Sud-Est, et la pointe de l'Ascension, au Nord-Ouest, se situe la baie de Marécareuil qui fait face au pertuis de Maumusson et à la station balnéaire de Saint-Trojan-les-Bains dans le Sud-Est de l'Ile d'Oléron. Cette baie étirée est bordée par un littoral marécageux dont les vasières sont occupées par les parcs à huîtres et les cabanes des ostréiculteurs. Devant le lieu-dit de Sinche (au sud-ouest par rapport au centre de Bourcefranc) se trouve l’île de Nôle appartenant à l’archipel charentais, dont elle est la plus petite des îles et qui fait partie du territoire de la commune.
Entre la pointe de l'Ascension, au Sud, et la pointe du Chapus, au Nord, se love l'étroite baie de la Grognasse, entièrement dévolue aux parcs à huîtres. C'est à la pointe de l'Ascension que débute le pont de l'île d'Oléron d'une longueur totale de 3 027 mètres et qui a été construit en 1966. C'est depuis la baie de la Grognasse que se découvre le viaduc d'Oléron. Dans cette partie de cette agglomération ostréicole des infrastructures importantes jalonnent la route départementale avant l'entrée vers le pont d'Oléron. Outre les nombreuses cabanes ostréicoles aux couleurs vives et variées qui signalent l'industrie dominante, le lycée maritime et l'Office de tourisme du Pays de Marennes-Oléron constituent les deux autres vitrines de l'économie du bassin de Marennes-Oléron.
La pointe du Chapus, au Sud, et la pointe des Chardon, au Nord, sont deux petits caps dont les promontoires de faible altitude terminent la péninsule de l'ancienne Isle de Marennes. Ils font face à l'île d'Oléron et sont le lieu de transition entre deux détroits, au Sud, le pertuis de Maumusson et, au Nord, le pertuis d'Antioche. Ces deux caps isolent une baie très étroite et entièrement marécageuse, la baie du Chapus. C'est à la pointe du Chapus qu'était établi l'ancien embarcadère pour le bac de l'île d'Oléron avant la construction du viaduc. L'estacade d'accès au quai et le quai lui même est toujours là, mais barrée et interdite aux piétons. Depuis le port du Chapus, à seulement 300 mètres du rivage, se dresse le remarquable Fort Louvois qui abrite aujourd'hui un intéressant musée sur l'huître. C'est le port ostréicole de la commune et un lieu d'embarquement pour les croisières touristiques sur le Pertuis d'Antioche.
De la pointe des Chardons jusqu'au débouché du canal de Mérignac qui sert ici de limite administrative avec la commune voisine de Hiers-Brouage s'évase une longue baie marécageuse qui débouche sur le pertuis d'Antioche. Elle correspondait à l'époque gallo-romaine à l'ouverture sur le vaste et profond golfe santonique ou golfe de Saintonge qui, dès le début du Moyen Âge, s'est progressivement colmaté pour devenir l'actuel marais de Brouage. Toute cette partie du rivage de la commune est le domaine exclusif des parcs à huîtres.
Le domaine de la péninsule
Cette presqu'île qui est l'aboutissement de l'Isle de Marennes, longue péninsule effilée à l'époque gallo-romaine, est de formation calcaire et appartient entièrement au domaine géologique de la Saintonge formée de sols du Crétacé.
Les villages terriens ont été initialement créés à l'époque des grands défrichements médiévaux sur les parties les plus élevées de la presqu'île, le long d'une voie romaine qui aboutissait au site du Chapus, alors terminal et embarcadère pour l'île d'Oléron.
Bourcefranc, le chef-lieu de la commune, est une création purement médiévale et occupe un des sites les plus élevés de la commune avec 12 mètres de hauteur. Aux portes de ce bourg franc des moulins à vent avaient été édifiés, dont seul subsiste aujourd'hui celui de la Plataine. C'est dans cette partie de la commune que l'urbanisation a le plus progressé en direction notamment de Marennes dont La Chainade constitue la jonction urbaine entre les deux villes qui forment aujourd'hui la sixième agglomération urbaine de la Charente-Maritime.
Les altitudes les plus élevées sont situées au Nord-Est de l'agglomération, en limite de la ville voisine de Marennes. Au village de Nodes, elles montent jusqu'à 14 mètres et dominent le Marais de Brouage dont le dénivelé assez marqué rappelle la limite de l'ancien rivage du golfe santonique aujourd'hui comblé. C'est dans le petit bois du Fief des Ailes, au Sud du village de Nodes, qui prolonge sur la commune voisine le bois de la Lande que se trouve l'altitude la plus élevée de la commune avec 18 mètres de hauteur.
Les terrains calcaires, fortement urbanisés, qui exhaussent en son centre la presqu'île représentent une faible partie du finage communal. La moitié de la commune est en zone basse et littorale, occupée par les vastes étendues de marais, principalement ceux du Marais de Brouage que coupe ici le canal de Mérignac. Dans ces terres de marais la plupart desséchés, les altitudes sont proches du niveau de la mer et montent jusqu'à 2 mètres à l'intérieur des terres.
Les ports de la commune, Le Chapus et Daire, sont situés sur de petits promontoires qui terminent la péninsule et surplombent de quelque deux à trois mètres l'océan.
Communes limitrophes
Depuis 2019, Bourcefranc-le-Chapus n'est limitrophe que d'une seule commune.
Hydrographie
- Ruisseau du Grand Dardenne ;
- Ruisseau du Nord.
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- Louis Papy, Le Midi atlantique, atlas et géographie de la France moderne, Flammarion, Paris, 1984, p. 21
- « », sur Mapcarta (consulté le ).
- Carte IGN sous Géoportail
Toponymie
Le nom de Bourcefranc provient de l'expression typiquement médiévale bourg franc, qui désigne un bourg bénéficiant d'une exonération de taxes accordée par un seigneur. Ce privilège est apparu lors de la création du "bourg franc", dans le courant du Moyen Âge, en raison également de sa position sur la petite butte dominant les marais environnant la presqu'île.
Quant au petit site portuaire dénommé le Chapus, il précède la création de Bourcefranc, le chef-lieu de la commune. Son toponyme s'explique par sa situation géographique, provenant de l'ancienne appellation latine d'Arx Caputiana c'est-à-dire la Citadelle du cap.
Ce n'est que depuis 1970 que la commune est dénommée Bourcefranc-le-Chapus.
- Jean-Marie Cassagne et Mariola Korsak, Origine des noms des villes et villages de la Charente-Maritime, éditions Bordessoules, Saint-Jean-d'Angély, 2002, p. 51
- Jean-Marie Cassagne et Mariola Korsak, Origine des noms des villes et villages de la Charente-Maritime, éditions Bordessoules, Saint-Jean-d'Angély, 2002, p. 51-52
- Jean-Marie Cassagne et Mariola Korsak, Origine des noms des villes et villages de la Charente-Maritime, éditions Bordessoules, Saint-Jean-d'Angély, 2002, p. 52
Histoire
Histoire sommaire de la commune
Ce n'est qu'à partir du 23 mars 1908 que Bourcefranc est devenue une commune à part entière appartenant jusqu'à cette date à la commune de Marennes. Son premier maire, Léon Oriou, administra la commune jusqu'en 1935. C'est lui qui inaugura l'Hôtel de ville construit en 1930 au milieu du chef-lieu de la commune.
Toute l'histoire de Bourcefranc est étroitement liée à sa grande voisine, Marennes.
Bourcefranc fut érigée en bourg franc à l'époque des grands défrichements médiévaux après que la paroisse de Marennes fut cédée en donation à l'Abbaye-aux-Dames de Saintes en 1047. Dans la seconde moitié du XIe siècle, les terres hautes et calcaires de cette partie de la presqu'île de Marennes, où passait l'antique voie romaine qui aboutissait au Chapus, furent mises en valeur. Un village agricole se forma grâce aux privilèges accordés par les abbesses de Saintes. Celles-ci avaient besoin de main d'œuvre pour défricher la paroisse de Marennes qui était entièrement couverte de forêt au début du XIe siècle.
À l'époque gallo-romaine, la pointe du Chapus abritait un village de pêcheurs et probablement de sauniers. Ce cap était l'aboutissement de l'antique voie romaine le long de laquelle, à l'époque médiévale, l'abbaye de Saintes posséda de très nombreux fiefs entre Saintes et Marennes.
Le Chapus est une création romaine dont le toponyme révèle à la fois son rôle géographique et son rôle de transit. Ce site signifie la tête, la hauteur, le cap. À l'époque médiévale, il joua le rôle d'embarcadère pour l'île d'Oléron, de port de pêche et surtout de port du sel. Il fut tardivement fortifié pour y abriter une citadelle à la fin du fort Louvois, quand l'arsenal militaire de Rochefort fut établi à partir de 1666.
Au site du Chapus, le restaurant Le Terminus - qui rappelle l'ancienne implantation de la gare du Chapus en 1888 - et les quelques maisons qui subsistent encore à la pointe étaient pendant le Fort Louvois. Une chapelle et un cimetière y furent implantés. C'est dans cette époque qu'apparaissent les naufrageurs.
Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, Le Chapus fut choisi pour l'emplacement d'un embarcadère moderne, avec un quai d'accostage et une estacade longue de 650 m, construit en 1947 afin d'assurer les liaisons par bacs avec l'île d'Oléron.
Lorsque le pont de l'île d'Oléron fut construit et mis en service en 1966, l'embarcadère devint obsolète et les liaisons par bacs pour l'île d'Oléron abandonnées. L'accès aux piétons de l'estacade fut interdit en 2004 et le site est devenu un gigantesque collecteur pour l'élevage des huîtres contribuant à faire du Chapus un des tout premiers ports ostréicoles de France. Des projets de réhabilitation se font jour.
Mais c'est également un port de voyageurs dont les croisières touristiques sont assurées en période estivale par des vedettes sur le Pertuis d'Antioche en direction de l'île d'Aix, de fort Boyard et de La Rochelle.
Patrimoine et lieux touristiques
Patrimoine religieux
L'église Saint-Louis
Au île d'Oléron, les villages de la Pointe, Nodes, la Garde, Sainceaudiére, Chatain, le Chapus prennent une nouvelle importance mais sont encore dépourvus d'une église ou d'un temple.
De passage vers Oléron, Madame de Maintenon aurait souhaité faire dévotions. Informée de l’absence d’un lieu de culte dans ces villages de la Pointe, elle aurait adressé un don dès son retour à Paris, décidant le roi Louis XIV à la construction de l’église Saint Louis en 1687.
L'édifice est composé d’une nef unique, d’un transept peu saillant et d’un chevet en hémicycle. Elle ouvre aux fidèles en 1694. La chapelle est d’abord desservie par les moines Récollets de Marennes, puis par un curé qui devient titulaire après 1856.
L'église Saint-Louis est une paroisse de marins, en témoignent l’autel de pierre de taille orné d’un vaisseau et d’ancres ainsi que le vitrail de Saint Pierre où figure le fort Louvois.
Suspendue en ex-voto à la voûte, une maquette de bateau, le Saint-Louis, a aujourd'hui disparu. Elle était l’œuvre de Étienne Tétaud, né à Bourcefranc en 1888. Infirme, il faisait des sabots et des maquettes de bateaux.
À l'origine, l'église n’avait pas de clocher mais un campanile où sonnait depuis 1694 la cloche de l'ancien temple de Saint-Just. Ce dernier fut détruit en 1685 lors de la Révocation de l'édit de Nantes. Les registres renseignent sur cet édifice réformé qui mesurait 14 mètres de long et qui était doté d'un campanile.
Cette cloche historique, fondue en 1604, est gravée de cette date et d’une inscription :
« Au nom de Dieu, Jehan Favre ma faicte, je suis este faicte pour servir à l’église réformée de Saint Just »
Fendue, elle ne sonnait plus.
C'est en 1957 que l’abbé Paul Bourgeon fait édifier le clocher, y installe des cloches électroniques, systèmes de croix en cristal avec fil à ressort qui oscillent dans le vide, le son est amplifié et diffusé par des haut-parleurs et donne le change à de vraies cloches. Il assiste en 1969 à son rêve, la pose de deux autres cloches baptisées Madeleine et Jeanne-Andrée. L’abbé Bourgeon qui demeurait à Bourcefranc était un prêtre-ouvrier, ostréiculteur et inventeur à ses heures de repos.
Patrimoine civil
Le fort du Chapus (ou fort Louvois)
Situé entre l'île d’Oléron à l'Ouest et le continent à l'Est, face au petit port de pêche et ostréicole du Chapus, ce monument historique est l'un des plus visités du littoral charentais recevant plus de 20 000 visiteurs chaque année. Il est accessible par une chaussée découverte à chaque marée basse, n'étant situé qu'à 400 mètres du rivage, sinon par bateau lors des marées hautes.
Construit en 1691 sous le règne de Louis XIV pour défendre les pertuis charentais — pertuis d'Antioche et surtout le pertuis de Maumusson — contre les incursions de navires ennemis, il faisait partie de la Ceinture de feu afin de protéger l'arsenal militaire et maritime de Rochefort.
Depuis 1972, il abrite également sur plusieurs niveaux le Musée de l'huître et est doté d'un intéressant plan relief du littoral charentais et de l'île d'Oléron.
Hôtel de ville
Après la création de la commune de Bourcefranc le 23 mars 1908 par distraction de celle de Marennes, la ville a fait édifier un bel hôtel de ville qui a été inauguré par son premier maire, monsieur Léon Oriou, en 1930.
Depuis 1970, elle se dénomme officiellement Bourcefranc-le-Chapus. Bourcefranc demeure le chef-lieu administratif de la commune avec les services de la mairie et des écoles, tandis que Le Chapus en est le centre économique. Il est l'un des tout premiers ports ostréicoles de France et en même temps un site touristique très prisé.
En 2008, la ville a célébré le centenaire de sa création.
Le moulin de la Plataine
Situé aux portes même du bourg de Bourcefranc, le moulin de la Plataine qui a été édifié vers 1650 est aujourd'hui la propriété de la commune. Une association « Les amis du moulin de la Plataine » a terminé sa restauration complète en 2010.
Pont de l'île d'Oléron
Depuis l'été 1966 pour sa mise en service, le pont de l'île d'Oléron relie le continent depuis la commune de Bourcefranc-le-Chapus. Il fut, lors de son inauguration, le plus long pont de France et, ce, jusqu'en 1988, année où il fut détrôné par le pont de l'île de Ré, maintenant le plus long viaduc de France à relier une île au continent.
Le pont de l'île d'Oléron fut également le premier pont à être construit pour relier une île. Son passage est gratuit et sa gestion est assurée par le conseil général de la Charente-Maritime.
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Les parcs à huîtres et le viaduc d'Oléron vus depuis le Chapus au crépuscule.
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Arches du pont-viaduc d'Oléron.
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Le moulin de la Plataine.
Gare du Chapus
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- Jean-Marie Cassagne et Mariola Korsak, Origine des noms de villes et villages de la Charente-Maritime, éditions Bordessoules, 2003, p. 52.
- Par Fabien Paillot Le 18 janvier 2022 à 08h03, « », sur leparisien.fr, (consulté le ).
- Présentation de la ville de Bourcefranc-le-Chapus
Héraldique
Blasonnement :
D’argent au fort Louvois d’or terrassé de sinople, au chef d’azur chargé de trois fleurs de lis d’or.
Commentaires : Le statut officiel du blason reste à déterminer.
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Bourcefranc-le-Chapus dans la littérature
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Dokument erstellt 03/01/2018, zuletzt geändert 30/10/2024
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