Baignes-Sainte-Radegonde
Localisation
Baignes-Sainte-Radegonde : descriptif
- Baignes-Sainte-Radegonde
Baignes-Sainte-Radegonde est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine). Ses habitants sont appelés les Baignois et Baignoises.
Géographie
Localisation et accès
La commune de Baignes-Sainte-Radegonde, chef-lieu de canton, est située au sud-ouest de la Charente. C'est la capitale du Petit Angoumois. Elle se trouve à l'est de la forêt de la Double saintongeaise et à l'ouest du vignoble charentais. Elle est limitrophe de la Charente-Maritime, à 12 Barbezieux et à 42 Angoulême.
Elle est aussi à 9 Chevanceaux, 16 Brossac, 17 Jonzac, de Montendre et d'Archiac, 35 Cognac et 66 Bordeaux.
Le gros bourg de Baignes est une petite ville commerçante située à l'extrémité est de la commune, de sorte que l'un de ses faubourgs appartient à la commune de Touvérac.
La RN 10 de Paris en Espagne limite la commune au sud-est.
La commune est traversée par de nombreuses routes départementales, et le bourg de Baignes est desservi par la D 2 d'est en ouest, qui va de Brossac à la limite départementale, en direction de Jonzac, la D 14 qui va en direction de Barbezieux par Reignac, la D 100 qui va au nord en direction de Cognac par Archiac, la D 38 au nord-est en limite avec Touvérac en direction de Montchaude, et la D 132 vers le sud-est en direction de la N 10 et de Bors.
Lieux-dits et hameaux
Parmi les très nombreux hameaux, les principaux sont : Sainte-Radegonde, ancien chef-lieu de la paroisse, qui possède encore une église du .
Communes limitrophes
Géologie et relief
Une grande partie centrale et ouest de la commune est située dans le Campanien, calcaire crayeux du Crétacé supérieur qui occupe une grande partie sud des Charentes. Le nord et le sud-est sont occupés par un terrain composé de sable kaolinique, d'argiles et de galets datant du Tertiaire. Ces sols sont souvent boisés en pins maritimes et constituent la lisière nord-ouest de la Double saintongeaise,,.
La partie occidentale de la commune forme une vaste plaine ouverte vers l'ouest, et le relief se concentre sur la partie orientale. Des bois importants couvrent le nord et le sud-est de la commune, qui font partie de la Double saintongeaise. Le point culminant de la commune est à une altitude de 148 .
Hydrographie
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin versant de la Charente et le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne. Elle est drainée par le Pharaon, le Tâtre, le ruisseau le Lariat et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 24 ,.
Le Pharaon, d'une longueur totale de 18,9 Seugne à Ozillac, après avoir traversé 7 communes. Il traverse la commune d'est en ouest et arrose les bourgs de Baignes et de Sainte-Radegonde. Il sert de limite communale à l'est avec Touvérac, et il s'appelle ruisseau de la Grolle en amont. Il prend sa source au pied du point culminant de la commune,
Au nord, la commune est limitée par le Tâtre et, sur une certaine distance, par l'étang de Saint-Maigrin. Le Tâtre, d'une longueur totale de 20,1 Touvérac et se jette dans le Trèfle à Allas-Champagne, après avoir traversé 9 communes.
Le ruisseau le Lariat, d'une longueur totale de 13,9 Léoville, après avoir traversé 4 communes.
Au sud-ouest, le Mathelon, autre petit affluent indirect de la Seugne (par le Lariat qui coule à Bran), prend sa source et coule vers l'ouest.
Le territoire communal est aussi jalonné de nombreux petits étangs et retenues d'eau au sud, et de quelques sources au nord (Font du Bouille, Font du Quart).
-
Le Pharaon à Baignes
-
Réseaux hydrographique et routier de Baignes-Sainte-Radegonde
Gestion des cours d'eau
Le territoire communal est couvert par les schémas d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente » et « Isle - Dronne ». Le SAGE « Charente», dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 établissement public territorial de bassin Charente. Le SAGE « Isle - Dronne», dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR). Ils définissent chacun sur leur territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le .
Climat
Le climat est océanique aquitain et semblable à celui de la ville de Cognac où est située la station météorologique départementale.
La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et en service de 1967 à 2018 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | 2,7 | 2,3 | 4,4 | 6 | 9,9 | 12,4 | 13,7 | 13,9 | 11,1 | 9,2 | 5,2 | 2,8 | 7,8 |
Température moyenne (°C) | 6 | 6,6 | 9,5 | 11,4 | 15,6 | 18,4 | 20,1 | 20,4 | 17,1 | 13,9 | 8,9 | 6,1 | 12,9 |
Température maximale moyenne (°C) | 9,3 | 11 | 14,6 | 16,8 | 21,3 | 24,4 | 26,5 | 26,9 | 23,2 | 18,6 | 12,6 | 9,3 | 17,9 |
Record de froid (°C) date du record |
−9,9 09.01.09 |
−16 08.02.1991 |
−10,9 01.03.05 |
−3,7 21.04.1991 |
−0,5 01.05.16 |
3,1 01.06.06 |
5,4 13.07.1993 |
5,5 29.08.1998 |
0,9 18.09.01 |
−4,8 30.10.1997 |
−8,5 17.11.07 |
−10,8 21.12.01 |
−16 1991 |
Record de chaleur (°C) date du record |
17,8 13.01.1993 |
24 15.02.1998 |
26,2 20.03.05 |
30 30.04.05 |
33,5 30.05.01 |
38,6 26.06.11 |
37,9 19.07.16 |
40,3 05.08.03 |
36,2 03.09.05 |
31,2 02.10.11 |
24,2 08.11.15 |
19,1 07.12.00 |
40,3 2003 |
Précipitations (mm) | 78,9 | 60,8 | 61,3 | 72,1 | 71,2 | 56,1 | 49,6 | 51,2 | 63 | 83,9 | 89,1 | 90 | 827,2 |
- Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
- Carte IGN sous Géoportail
- Carte du BRGM sous Géoportail
- Visualisateur Infoterre, site du BRGM
- BRGM, « », sur Infoterre, (consulté le ).
- « », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
- « », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
- Sandre, « »
- Sandre, « »
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- « », sur gesteau.fr (consulté le ).
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- « », sur eau-grandsudouest.fr (consulté le ).
- « » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, (consulté le ).
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Toponymie
Les formes anciennes sont Cathmeriacum, nom peut-être d'origine celtique, avant le siècle, date de la fondation de l'abbaye lorsque les moines lui donnèrent le nom de Beania (féminin singulier), qu'on retrouve en 1068 et après, et Sancta Radegundis.
Beanus signifierait en bas-latin « étudiant nouvellement arrivé à l'Académie », ou bec jaune. Mais selon Dauzat, Beania pourrait être une déformation populaire de Bethania, localité souvent citée dans les Évangiles.
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- Paul-François-Étienne Cholet (lire en ligne), p. 13,332
- Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 524
- Gilles Ménage et Jean Picart, Les origines de la langue françoise, , 848 lire en ligne), p. 104
- et , Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN ), p. 46.
Histoire
À l'époque romaine, Baignes-Sainte-Radegonde s'appelait alors Cathmeriacum et le cours d'eau qui la traversait était le Cavallo,.
Période médiévale
Selon la tradition populaire, l'abbaye Saint-Étienne de Baignes aurait été construite, à l'époque de Charlemagne, au sud du bourg. Dans son principe, cette abbaye dépendait de l'ordre de Saint-Benoît mais Ramnulphe (Ramnulfus Focaudi), évêque de Saintes entre 1083 et 1106, la confia à la direction de Hugues, abbé de Cluny. Pierre II de Soubise, son successeur à l'évêché de Saintes (1107-1112), confirma cette cession à l'abbé Pontius selon la charte que l'on en a gardé dans les archives de Cluny.
Entre le et siècles, Baignes était le siège d'une viguerie, qui rendait la justice localement. Elle était alors dans le diocèse de Saintes, puis fut rattachée aux six autres du comté d'Angoulême, qui en comptera une vingtaine de par son extension au siècle.
Baignes devint plus tard la baronnie de Montausier. Le château de Montausier s'élevait à une faible distance du bourg, au nord. Il n'en subsiste plus qu'une vieille tour et une fontaine, appelée Font de Madame, dont on peut remarquer la voûte.
Au Moyen Âge, les moines de l'abbaye donnèrent à la ville le nom de Beania. Béania réunissait le bourg de l'abbaye et le bourg de Montausier.
La baronnie de Montausier, avec celle voisine de Chaux, formait l'enclave du Petit Angoumois, ressortissant pour la justice au présidial d'Angoulême, et pour l'administration à l'intendant de la Généralité de Limoges. Ce territoire se composait d'une douzaine de paroisses, dont sept, en tout ou partie, sont dans le département de la Charente : Sainte-Radegonde avec Mathelon, Chantillac, Le Tâtre, Touvérac, Bors avec Venet, Boisbreteau en partie avec Peirrefont. Tout le pays environnant était de Saintonge, élection de Barbezieux. La paroisse de Baignes, elle-même, était saintongeaise et de cette élection. Cela provenait de ce que la baronnie de Montausier et Chaux avait été détachée, au Moyen Âge, du comté d'Angoulême.
Seigneurs de Montausier
À l'origine, la baronnie de Montausier appartenait en effet directement aux , comtes d'Angoulême.
Mais, en 1031, le comte Geoffroi Taillefer la détacha du comté et en fit don à son fils cadet Arnaud († ap. 1076). Et le comte Guillaume V la détacha dans la . Les descendants de cet Arnaud Taillefer conservèrent la terre de Montausier, et leur succession pourrait être : < sa fille Fina/Phine (dont l'époux est inconnu et dont la sœur Guibourg/Guiborc de Montausier maria Olivier de Chalais, attesté vers 1182-1214 : grands-parents d'Agnès de Chalais, mariée à Hélie Talleyrand, Barbezieux < Arnaud de Barbezieux < Foulque(s) ou Foucauld, qui suit. Montausier passa ensuite dans la de Montgoger/Montgauger,, car Guy Ste-Maure — alias Guillaume III de Pressigny — et de Jeanne de Rancon de Marcillac), épousa vers 1325 Marguerite de Montausier, fille héritière de Pétronille/Perronnelle, dame de Mosnac et Jonzac, et dudit Foucaud/Foulque(s), baron de Montausier (veuve, Marguerite se remaria vers 1340 avec Bernard de Comborn) : d'où - Renaud, - Aénor (x Guillaume de Chamborant de Lavaux), et leur frère aîné :
- Pierre (II) de Ste-Maure de Montausier, Josnac et Jonzac, † après 1378, x 1365 Miramonde de La Mothe de Cadillac et Saint-Seurin/Saint-Séverin, d'où - Jean († jeune) et :
- Arnaud de Ste-Maure baron de Montausier, Josnac et Jonzac, fl. 1403, 1425, 1450, x Perrette Marchand dame de Marcilly et de La Gravelle (à Marsilly ?) et de la viguerie de Talmont, veuve d'Aymar d'Archiac, fille d'André Marchand conseiller au Parlement et prévôt des marchands de Paris et de Jeanne de La Gravelle, d'où : - Renaud, fils aîné, baron de Jonzac, Mosnac et Cadillac, viguier de Talmont (x 1456 Françoise fille de Renaud Chabot de Jarnac : Postérité) ; - Marguerite dame de Mosnac en partie et de St-Seurin (x Etienne du Puy de Cazes, puis Jean de La Motte-Fouqué) ; - Béatrix dame de Meux (x 1° Jacques Chesnel de Moings, et 2° Guyot de Brousse de Jussac) ; - Catherine de Sainte-Maure, et :
- Léon Ier de Sainte-Maure, fils puîné d'Arnaud et Perrette Marchand, baron de Montausier, † vers 1485, x 1450 Jeanne fille de Gérard Le Boursier, d'où : - Jacques, - Catherine (x 1° 1477 Prégent d'Aix du Barret, 2° Jean du Pont), et
- Léon II de Sainte-Maure de Montausier, fils aîné, x 1480 Anne fille de Guillaume d'Appelvoisin sire de Chaligny/Chaligné, Puigné, La Guyray(r)e, Boisbaudran et d'Iseult de Linières/de Liniers (dame de Fougeray/Fougeré/Fougerit — sans doute à Amailloux, les Liniers ayant en effet Amailloux ; en tout cas ce fief a un lien avec les Sainte-Maure-Montausier comme on va le voir — plutôt que Fougeray à Mougon : voir ci-dessous François de Sainte-Maure, qui épouse au château de Fougerit en Amailloux Louise Gillier de Salles, mariage protestant du 23 août 1572), d'où : - Léon de Ste-Maure chevalier de Saint-Jean ; - René sire de La Guyraye (postérité de sa femme Françoise, fille de François de L'Esperonnière et de La Roche-Bardou(l)) ; - Jeanne, - Catherine, - Béatrix (trois religieuses), - Jacqueline, et :
- Guy II de Sainte-Maure de Montausier, fils aîné, † 1569, x 1538 Marguerite, fille de Claude Clinet de La(n)nes (Lannes ?) baron de La Roche-Alais/La Roche-Chalais, du Cubzaguais et du Bouilh, vicomte de Belhade, et de Catherine de Mortemer d'Ozillac. Parents de : - Louise (x François de Salignac de Rochefort), - Anne (x Charles de Noçay/Nossay de La Forge-Tillou de Saint-Michel et Chavagnes), et :
- François huguenot, x 1572 Louise fille de René Gillier de Salles, d'où : - Guy de Fougeray [postérité de sa femme Marie de Jussac, fille de François de Jussac d'Ambleville de Saint-Preuil et d'Isabeau de Bourdeilles, nièce de Brantôme, dame d'Archiac, Barret et Lagarde : branche des Sainte-Maure de Fougeré/Fougeray — probablement en Amailloux — barons d'Augé, marquis de Chaux et d'Archiac] ; - François de Salles († en janvier 1614 tué en duel) ; - Catherine (dame d'honneur d'Anne d'Autriche en 1638 ; x Jean de Galard de Brassac de Béarn), et :
- les deux frères aînés, successivement barons de Montausier : - (Charles)-François II de Sainte-Maure († 1594 au siège de Laon) ; et - Léon III de Ste-Maure. Léon III épouse en 1606 Marguerite, fille de Philippe de Châteaubriant des Roches-Baritaut de Grassay et de Gilberte du Puy-du-Fou : parents de - Catherine (x 1635 Antoine de Lenoncourt de Blainville, et x 1645 Philibert-Hélie de Pompadour marquis de Laurière), et de deux frères successivement barons de Montausier : - Hector de Sainte-Maure (fils aîné, qui participe au siège de Casal en 1629 et † en juillet 1635 à Bormio dans la guerre de Trente ans) ; puis son cadet - Charles de Sainte-Maure, qui suit :
Le membre le plus remarquable de cette famille fut - Charles de Sainte-Maure (1610-1690), duc de Montausier, en 1645 converti au catholicisme et marié à Julie d'Angennes de Rambouillet, précepteur en 1668 du Grand Dauphin fils de Louis XIV, et en faveur duquel ce prince érigea la baronnie de Montausier en marquisat (1644) puis en duché-pairie (1664).
Charles de Montausier n'était qu'à demi un honnête homme (au sens du terme) : intègre, mais parfaitement désagréable ; il servit de modèle à Molière, pour son personnage d'Alceste, dans la comédie du Misanthrope.
Il eut pour successeur sa fille unique, - Julie Marie de Montausier (1646-1695), mariée en 1664 à Emmanuel II de Crussol, duc-pair d'Uzès, gouverneur de Saintonge et d'Angoumois. Cette branche de Crussol posséda Montausier jusqu'à la Révolution, sans l'avoir jamais habité. La terre fut alors confisquée pour cause d'émigration, et le château détruit en 1793.
Période contemporaine
Pendant la Révolution, la commune de Sainte-Radegonde s'est appelée provisoirement Pharon, puis Radegonde-la-Plaine.
Dans les années 1870, l'abbé Jean Hippolyte Michon, auteur de la Statistique monumentale de la Charente, fit construire un manoir sur l'emplacement de l'ancien château de Montausier.
Au début du siècle, la principale activité économique de Baignes est l'élevage des bœufs et des cochons. Presque tous les laboureurs sont des tisserands qui fabriquent de grosses toiles vendues sur les marchés bordelais. On compte également plusieurs tanneurs et mégissiers qui préparent des cuirs forts, des basanes et des peaux blanches.
En 1855, Sainte-Radegonde fusionne avec Baignes pour donner Baignes-Sainte-Radegonde.
En 1893, la première coopérative laitière charentaise voyait le jour à Baignes. L'appellation beurre de Baignes bénéficie encore d'une grande renommée.
Pendant la première moitié du ligne de Châteauneuf à Saint-Mariens par Barbezieux, et la gare était commune avec Touvérac.
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- Histoire et passion, « », (consulté le ).
- Histoire de l'Angoumois - manuscrit de Louis Desbrandes (1816), conservé à la bibliothèque municipale d'Angoulême
- André Debord in Jean Combes (ISBN , BNF 34901024, présentation en ligne), p. 88
- « », sur Racines & Histoire, par Etienne Pattou, 2008 et 2020.
- « », sur Histoire généalogique et chronologique de la Maison royale de France, t. V, par le Père Anselme de Ste-Marie et Honoré Caille du Fourny, à la Compagnie des Libraires associés, à Paris, 1730.
- « », sur Grand Dictionnaire historique, par Louis Moréri, t. IX, aux Libraires associés de Paris, 1759.
- , Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 66-67
- Jacques Baudet et Jacques Chauveaud, « Toponymie révolutionnaire en Charente », Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, 4e trimestre 1986, lire en ligne [PDF] sur andre.j.balout.free.fr, consulté en )
Héraldique
Blasonnement :
Losangé d'or et d'azur.
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Baignes-Sainte-Radegonde dans la littérature
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Dokument erstellt 03/01/2018, zuletzt geändert 23/12/2024
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