Laluque

Localisation

Carte du monde

Laluque : descriptif

Informations de Wikipedia
Laluque

Laluque est une commune française située dans le département des Landes en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

Localisation

Commune située dans les Landes de Gascogne, elle fait partie du pays landais de l'Aguais ( ou Landes de Dax). Elle fait partie du canton du pays Tarusate depuis 1997.

Communes limitrophes

Les communes limitrophes sont Bégaar, Gourbera, Lesgor, Pontonx-sur-l'Adour, Rion-des-Landes, Saint-Vincent-de-Paul, Taller et Boos.

Communes limitrophes de Laluque
Rion-des-Landes
Taller Laluque Lesgor
Gourbera,
Saint-Vincent-de-Paul
(par un quadripoint)
Pontonx-sur-l'Adour Bégaar
(par un quadripoint)

Climat

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Littoral charentais et aquitain » et « Aquitaine, Gascogne ».

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,2 amplitude thermique annuelle de 13,7 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rion-des-Landes à 10 vol d'oiseau, est de 13,7 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. «  » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. «  », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. «  », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. «  », sur meteofrance.fr, (consulté le ).

Toponymie

Laluque, La Luca en gascon, vient du mot luca qui signifie guette « poste de guet, archère, arbalétrière dans un mur ».De plus, il y a le quartier de Larquier qui vient de arquèr en gascon qui se traduit par l'archer.

Le nom de la localité est attesté sous les formes : Sanctus Johannes de Luke au .

  1. Bénédicte Boyrie-Fénié, DICTIONNAIRE TOPONYMIQUE DES COMMUNES. Landes et Bas-Adour, cairn,

Histoire

Antiquité

Avant l'occupation romaine, Laluque était dans le territoire du peuple aquitain des Cocosates. Pendant la Pax Romana, ce peuple fut annexé avec celui des Tarbelles lors de la création de la Novempopulanie.

La présence des Romains à Laluque est attestée par la découverte en , au lieu-dit le Cos dans la propriété de M. Cardenau, d'une urne enterrée contenant 180 pièces romaines datant du

Le village se trouvait à proximité de la voie romaine reliant Bordeaux à Dax, (Burdigala - Aquae Tarbelicae) itinéraire retranscrits dans le guide de voyage l'itinéraire d'Antonin.L'hypothèse de son tracé originel et qu'à partir de la station relais de Coequosa (Sindères), la voie partait en ligne droite sur Dax. Le tracé fut repris au début du Moyen Âge pour la création des limites des paroisses, ainsi selon les recherches archéologiques récente la voie romaine est la frontière entre les communes Rion et Lesperon, ensuite la frontière des communes Laluque et Taller et puis atteignait Gourbera,.

Moyen Âge

Selon l'historien dacquois Dompnier de Sauviac, Laluque a été saccagé par le passage des Normands au .

Dès le sénéchaussée de Dax qui était une subdivision du duché d'Aquitaine.

L'église Saint-Jean-Baptiste est construite en 1159, elle dépendait du diocèse de Dax et l'archiprêtré de Lanescq.

À la suite du mariage d'Alienor d'Aquitaine avec Henri Plantagenêt d'Angleterre en 1152, le territoire des Landes passe sous occupation Anglaise jusqu'à la fin de la guerre de cent ans en 1453.

Dans ce contexte roi d'Angleterre reçoit la confirmation des coutumes de la paroisse de Laluque en 1255. Elie de Caupenne (1240-1337), Sénéchal du Périgord, Limousin et Quercy, baïle d'Auribat, reçoit la seigneurie de Pontonx.

En cette période de guerre, l'église fut incendiée selon le vicomte de Tartas Arnaud Raymond III (1270-1312) qui stipule dans son testament, daté de mars 1312 : « qu'il soit fait amende à l'église de Laluque, qui fut arse au temps de la guerre (...) ». Par la suite, l'église est reconstruite et massivement fortifiée avec un clocher donjon,.

La seigneurie de Pontonx est relève directement du roi Edouard II d'Angleterre en 1319 puis elle est cédée en 1340 par le roi Edouard III d'Angleterre au vicomte de Tartas Bernard Ezi d’Albret.

Époque moderne | ]

Au tournant des guerre de Cent Ans, l'église est agrandie avec un collatéral au nord.

Le 9 septembre 1498 Raymond de Boyrie achète au vicomte de Tartas Alain d'Albret la seigneurie de Pontonx. Il devint seigneur de Poy ou Pouy, baron de Pontonx, de Rion et de Laluque, seigneur de Lesgor, Carcen, St Jean et St Pierre de Lier, Vic et Gousse, du bois de Beguin et des péages du Brassenx,.

La seigneurie de Laluque est séparée de la seigneurie de Pontonx et est élevée en baronnie. Ce nouveau statut permet l'installation d'une cour de justice dans une maison seigneuriale où été également tenus les actes notariaux. Selon des témoignages recueillis en 1887, cette bâtisse dite « la seigneuriale » se trouvait à 50 mètres du pont qui enjambe le ruisseau du bourg, pont qui s'appelle toujours aujourd'hui le pont du Juge.

François de Boyrie (dit de Poy) mourut en 1583 sans descendance, la baronnie est héritée par Gabriel du Sault (1591-1641) chevalier, baron de Laluque, seigneur de l'Espine et conseiller du roi. Le petit fils de celui-ci, Antoine du Sault (mort en 1709), chevalier, baron de Magescq, Laluque et Hinx, vendit tout ses biens afin de poursuivre ses expériences en chimie, pour tenter de faire la découverte de la pierre philosophale. La baronnie de Laluque revient dans les années 1690 à Jean de Reynier Chevalier, baron de La Ferrade, Capbreton et Laluque. La baronnie est ensuite héritée par Antoine de Neurrisse (1663-1726) Baron de Laluque, Seigneur de Poylohaut, Lieutenant général au sénéchal de Tartas. N'ayant pas eu d'enfant, la baronnie revient à son frère Bernard de Neurisse de Laluque (1696-1739) Baron de Laluque, Lieutenant général du Sénéchal de Tartas, puis au fils ainé de celui-ci Pierre François Salvat de Neurisse (1730-1798), conseiller du roy, lieutenant général commissaire enquêteur, examinateur au sénéchal de Tartas, Baron de Laluque. Il sera le dernier baron,,,,,.

Les péages sur les entrées des marchandises prirent fin sur le territoire de la barronnie le 29 mars 1740.

Révolution Française

En 1792, les deux autels en marbre blanc que comptait l'église (maître-autel et autel de sainte Barbe) furent détruits.

La baronnie devient en 1793 la municipalité de Laluque faisant partie du canton de Tartas dans la juridiction du district de Tartas.

Pendant la terreur, le quotidien des Landais est ponctué par de nombreuses réquisitions, voici les plus importantes pour les Laluquois : le 10 mai 1793, la République réquisitionne les cloches des églises afin de les convertir en canons. L'église de Laluque perd ainsi ses cloches. Le 3 Prairial 1794 (le 22 mai), le district de Tartas réquisitionne sur le champ tout le charbon disponible dans ses communes afin d'assurer l'approvisionnement des forges de Pontenx les forges. Le 6 fructidor 1794 (le 24 aout) est requestionné 112 milliers de laine pour le service du port de Brest.

Révolution industrielle ( | ]

En 1825, on compte à Laluque au quartier de Berdot trois tuileries (de Mancamps, de Gouadet et du Bas) et deux moulins à eau, un sur le ruisseau de Larquier (moulin de Boiloun) et un sur le ruisseau du bourg (moulin d'Assegne).

En 1854, la ligne de chemin de fer Bordeaux Dax est mise en service par la compagnie du Midi, avec un arrêt à la gare de Laluque construite en 1855. Le 27 octobre 1890 la Société des chemins de fer d'intérêt local du département des Landes met en service les lignes Laluque-Tartas et Laluque-Linxe, et le 15 octobre 1909 la Société des chemins de fer du Born et du Marensin ouvre la ligne Linxe-Saint-Girons-en-Marensin, permettant de relier Tartas à Saint-Girons via une ligne longue de 49 km. Elle traversait le nord de la commune en partant de la gare de Laluque-Midi (quartier de la gare), elle passait par l'actuelle piste DFCI n°301, puis le chemin de la petite gare où a été construit la gare Laluque-Boos (détruite en 2005, elle était situé sur le chemin de la petite gare à 60 mètres de la route D27), puis en longeant l'ancien transformateur EDF elle passait sur l'actuelle piste DFCI n°103 en direction de la gare de Taller,.

Plan des Mines de Laluque, 1917.

L'arrivée du trafic ferroviaire permit à l'activité industrielle de croitre dans la commune. Ainsi à partir de 1849 à 1904 on ressence sur la commune autour de cette ligne deux distilleries de résine, cinq tuileries, une poterie, une briqueterie, un four à chaux, un moulin à scie (scierie) et une usine d'allumette.

Cette croissance économique permit à la commune de réaliser plusieurs chantiers dont la construction du presbytère en 1855, le déplacement du cimetière en 1862, la construction de la mairie et des écoles en 1887 et d'entreprendre de grands travaux d'agrandissement de l'église Saint-Jean-Baptiste à partir de 1864 jusqu'en 1889. A cette époque Mr Cardenau industriel, propriétaire de l'usine d'allumette, construit au bourg le château Cardenau.

Une première concession minière pour l’exploitation de lignite est institué en 1859 au quartier de Larquier. Le minerai est extrait artisanalement et est utilisé localement comme combustible. Ce n’est qu’à partir de 1916 qu’une exploitation significative débute via la société des mines et produits agglomérés de Laluque. En 1924 l'usine de distillation de lignite voit le jour au lieu-dit des Mines. L'extraction souterraine à Larquier est abandonnée vers 1924 pour l'extraction à ciel ouvert avec la carrière du quartier de Berdot jusqu'en 1926 où elle est fermée et remplacée par la carrière aux Mines. En 1926 l’extraction du lignite est réalisée à l’aide de trois pelles à vapeur, elles remplissent des wagonnets qui acheminent le lignite à l'usine de distillation et puis le produit fini à la gare de Laluque-Midi. Les sites industriels et la gare sont reliée entre eux par des voies Decauville. La société utilisait 4 locomotives et 50 wagonnets. Cette industrie prend fin dans les années 1935-1940.

Première guerre mondiale

Pendants la première guerre mondiale, 81 militaires Laluquois perdent la vie. Leurs noms sont inscrits sur le monument aux morts de la commune réalisé par l'architecte Albert Pomade en 1920. Il se compose d'un pilier commémoratif surmonté d'un colonne tronqué décorée d'un guirlande de feuilles en lauriers. Un autre monument aux morts est érigé dans l'église comportant un tableau réalisé par le peintre Gaston Gélibert,,.

Seconde guerre mondiale

Lors de l'occupation allemande, Laluque se retrouve en zone occupée. La Wehrmacht arrive en juin 1940 et installe à Taller au lieu dit des trois parcs, via la ligne ferroviaire Laluque-Saint-Girons, le deuxième plus grand dépôt de munitions et d'armes de la guerre en France, rassemblant de nombreuses pièces d'artillerie, de canons, fusils, et de grandes quantités de poudre destinés à la défense du Mur de l’Atlantique.

Le sabotage du train de munition en gare de Laluque le 27 juillet 1944

À la suite du débarquement des troupes alliées en Normandie et de la percée d'Avranches par les troupes du général Patton, l'état-major allemand réclama des armements et des munitions à destination de ses troupes basées à Rennes. Il est décidé de l'acheminement depuis la gare de Laluque vers Rennes d'un stock d'armement du dépôt de Taller. Le train de munition, long de 69 wagons est constitué entre le 24 et 27 juillet 1944, le départ pour Rennes est annoncé pour le 27 juillet à 21h,,.

Henri Ferrand instituteur de 24 ans, est classé inapte pour le STO en Allemagne grâce à un certificat médical de complaisance, mais est interdit d’exercer son métier d’instituteur. Il est requis par le service du travail pour travailler en France et est affecté au dépôt SNCF de Laluque comme auxiliaire dans l'équipe d'entretien de la voie ferrée. Résistant depuis octobre 1943 dans le réseau de Pontonx, il fait le relevé des installations de Taller et Laluque et transmet les plans au réseau de renseignement Dominique d'Alger, mais aucune action de destruction n'a été entreprise par les Allées. Il surveille les mouvements des trains lorsqu'arrivent des wagons de munitions en provenance du dépôt de Taller. Il en rend compte jour après jour à Robert Labeyrie le chef des résistants de Pontonx. Celui-ci calma difficilement l'impatience de ses troupes, sachant que le train devait comporter entre 80 et 100 wagons, Robert Labeyrie interdit tout sabotage tant que le train n'atteigne pas au moins 70 wagons. Les instructions furent respectés et Henri Ferrand l'informe qu'il assurera seul le sabotage,

Il se rend à la gare à 18h, les groupes de résistances de Pontonx et de Dax lui ont procuré deux pains de plastics et deux crayons détonateurs à retardement de deux heures, qu’il rangés dans une musette. Arrivé sur place Il se cache dans les toilettes pour armer ses deux bombes, puis il se rend sur la voie de garage où est stationné le train de munitions en déjouant la vigilance des quatre soldats patrouillant autour des rames du convoi, il parvint à placer un pain de plastic par le vasistas ouvert du deuxième wagon lequel transporte de la poudre puis la seconde bombe dans le septième wagon. Il parvint ensuite à s'enfuir en se mêlant au flot de voyageurs et repart chez lui à Pontonx,.

La première explosion intervient à 19h35, l'incendie se propage vite à l'ensemble du train, allumant la série d'explosions qui se termine à 1h du matin. Seuls douze wagons échappent au désastre et sont détachés par les hommes d’une locomotive qui venait de quitter le dépôt de Taller avec les treize derniers wagons destinés à compléter le train. Les dégâts sont considérables, cinq-cents mètres de voies sont inutilisables, quatre voies de garage arrachées, toutes les caténaires sont détruites et la gare et le hall des marchandises sont sévèrement endommagés. Il n'y eut aucune victime. Henri Ferrand retourne travailler à la gare durant la nuit afin de ne pas éveiller les soupçons de la police nazie,,.

Radio Londres annonça la destruction du train de munitions le 30 juillet. Ce sabotage a empêché l’artillerie allemande de Rennes de recevoir les munitions qu’elle attendait et permit ainsi au général Patton d’atteindre la ville le 4 août 1944. Ce dernier écrivit dans ses Cahiers de guerre que « La destruction du train de Laluque a provoqué avec le maximum d'opportunité l'asphyxie de l'artillerie allemande qui ne put s'opposer au franchissement de la Sélune par 100 000 hommes et 15 000 véhicules de l'armée américaine ». Churchill lui-même dira qu’il s’agissait là de « l’un des sabotages les plus spectaculaires de l’été 44 »,,.

En 2008, une plaque commémorative en relief en bronze est réalisé par le sculpteur Alain Huth. Inaugurée le 24 mai 2008 sur la place de l'église, l'œuvre commémore Henri Ferrand (1920-1992) résistant et instituteur, l'école de Laluque porte également son nom.

Pendant la guerre huit militaire Laluquois sont morts en 1940 et 1945 et un en 1957 lors de la guerre d'Algérie, leurs noms sont inscrits sur le monuments aux morts.

Époque contemporaine

La ligne ferroviaire ferme aux voyageurs le 27 avril 1950 et puis définitivement le

  1. a b et c Travail d'études et de recherches présenté par Hervé Barrouquère réalisé sous la direction de Monsieur Jean-Bernard MARQUETTE, professeur d'histoire médiévale, OCCUPATION DU SOL ET PEUPLEMENT DANS LA VICOMTE DE TARTAS DU NEOLITHIQUE AU XIVe SIECLE, Université Bordeaux III "Michel de Montaigne" UFR d'Histoire, Université Bordeaux III "Michel de Montaigne" UFR d'Histoire, année universitaire 2000-2001 (lire en ligne)
  2. a b c d et e Césaire (1858-1945) Auteur du texte Daugé, Rion-des-Landes : son histoire / l'abbé Césaire Daugé,..., (lire en ligne)
  3. «  ».
  4. Jean Pierre Bost et Bénédicte Boyrie-Fenie, « Auguste, la Gaule et les routes d'Aquitaine : la voie direct de Dax à Bordeaux », Bulletin de la société de Borda,‎ (lire en ligne)
  5. a b c et d Dossier réalisé par Maisonnave Jean-Philippe, Église paroissiale Saint-Jean-Baptiste, Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel (lire en ligne)
  6. Histoire de la commune de Dax, la Chancellerie des Universités de Paris (lire en ligne)
  7. Charles (1848-1939) Auteur du texte Bémont et Édouard II (1284-1327 ; roi d'Angleterre) Auteur du texte, Rôles gascons. Tome 4, 1885-1962 (lire en ligne)
  8. L'Aquitaine historique et monumentale : monographies locales illustrées. T. 2 / publiées par MM. Dufourcet, Taillebois et G. Camiade, 1890-1893 (lire en ligne)
  9. «  », sur patrimoine-nouvelle-aquitaine.fr (consulté le ).
  10. Dupouy, LA VICOMTE DE TARTAS (lire en ligne)
  11. a et b Bernard-Augustin de Cabannes Cauna, Armorial des Landes / par le baron de Cauna, 1863-1869 (lire en ligne)
  12. a b et c Julien (1847-1889) Auteur du texte Sacaze, Manuscrits numérisés de la Bibliothèque municipale de Toulouse. Manuscrits. Recueil de linguistique et de toponymie des Pyrénées / par Julien Sacaze. Recueil de linguistique et de toponymie des Pyrénées / par Julien Sacaze. Volume VIII, département des Landes. Deuxième partie : arrondissement de Saint-Sever, (lire en ligne)
  13. « L'œil de hinx », journal,‎ , lire en ligne)
  14. Pierre Daret, «  », .
  15. Cécile Dantarribe, Histoire de la présence de l’Inra en Aquitaine. Etudehistorique. Première partie : Le château de La Ferrade,l’histoire d’un château viticole (lire en ligne), En 1693 (le 05 septembre), lors d’un arrêt prononcé à son encontre, Jean de Reynier « de Reyniac » porte le titre plus moderne de « baron de La Ferrade, de Laluque et de Capbreton ».
  16. établie par Cyril Delmas-Marsalet (Centre Généalogique des Landes), Généalogie descendante de Jean de NEURISSE (1565/1565 - 1631/1631), (lire en ligne)
  17. «  », sur Geneanet
  18. Dossier réalisé par Maisonnave Jean-Philippe, Ensemble du maître-autel (autel, 2 gradins, tabernacle), Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel (lire en ligne)
  19. «  », sur cassini.ehess.fr (consulté le ).
  20. «  », sur trainlandes.free.fr (consulté le ).
  21. Pierre Cuzacq, Les grandes Landes de Gascogne : études historiques et géographiques, (lire en ligne)
  22. lire en ligne).
  23. «  »
  24. Maisonnave Jean-Philippe, «  », sur (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
  25. «  », sur monuments-aux-morts.fr (consulté le )
  26. a et b Témoignage de Henri Ferrand (lire en ligne)
  27. a et b «  », sur France 3 Nouvelle-Aquitaine, (consulté le ).
  28. a b c et d Gilbert Dupau, La Résistance dans les Landes, 1940-1945: visages et témoins de résistants, ,, Gascogne, (ISBN )
  29. a et b «  », sur https://cprd-landes.org/, (consulté le )
  30. Extraits du Procès-verbal de renseignements relatif à l’explosion d’un train de munitions en gare de Laluque du 27 juillet 1944 à 20h30. (lire en ligne)
  31. «  », sur Landes en vrac (consulté le ).
  32. Maisonnave Jean-Philippe, «  », sur (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
  33. «  »
  34. «  », sur reseau-train-ho-de-paquito40.e-monsite.com (consulté le ).

Ces informations proviennent du site Wikipedia. Elles sont affichées à titre indicatif en attendant un contenu plus approprié.

Laluque dans la littérature

Découvrez les informations sur Laluque dans la bande dessinée ou les livres, ou encore dans la ligne du temps.

4394 autres localités pour Nouvelle-Aquitaine

Vous pouvez consulter la liste des 4394 autres localités pour Nouvelle-Aquitaine sur cette page : https://www.gaudry.be/lieu/fr/fr-naq/villes.html.

Deutsche Übersetzung

Sie haben gebeten, diese Seite auf Deutsch zu besuchen. Momentan ist nur die Oberfläche übersetzt, aber noch nicht der gesamte Inhalt.

Wenn Sie mir bei Übersetzungen helfen wollen, ist Ihr Beitrag willkommen. Alles, was Sie tun müssen, ist, sich auf der Website zu registrieren und mir eine Nachricht zu schicken, in der Sie gebeten werden, Sie der Gruppe der Übersetzer hinzuzufügen, die Ihnen die Möglichkeit gibt, die gewünschten Seiten zu übersetzen. Ein Link am Ende jeder übersetzten Seite zeigt an, dass Sie der Übersetzer sind und einen Link zu Ihrem Profil haben.

Vielen Dank im Voraus.

Dokument erstellt 03/01/2018, zuletzt geändert 13/01/2025
Quelle des gedruckten Dokuments:https://www.gaudry.be/de/lieu/fr/fr-naq/284890.html

Die Infobro ist eine persönliche Seite, deren Inhalt in meiner alleinigen Verantwortung liegt. Der Text ist unter der CreativeCommons-Lizenz (BY-NC-SA) verfügbar. Weitere Informationen auf die Nutzungsbedingungen und dem Autor.