Trémolat est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Géographie
Généralités
Dans le sud du département de la Dordogne, en limite du Bergeracois et du Périgord noir, la commune rurale de Trémolat est entièrement située en rive droite de la Dordogne qui limite la commune sur environ six kilomètres. Le large méandre constitué par la Dordogne à cet endroit porte le nom de « cingle de Trémolat ». Le barrage de Mauzac implanté en aval, entre Calès et Mauzac-et-Grand-Castang, y forme une retenue d'eau calme, propice aux sports nautiques.
Le bourg de Trémolat se situe, en distances orthodromiques, sept kilomètres au nord-ouest du Buisson-de-Cadouin, huit kilomètres au nord-est de la bastide de Lalinde et huit kilomètres et demi au sud-ouest du Bugue. Il est établi à l'intersection des routes départementales (RD) 30 et 31.
La commune est également desservie par la ligne ferroviaire de Libourne au Buisson en gare de Trémolat.
Le chemin de grande randonnée GR 6 traverse le territoire communal au nord sur six kilomètres, passant dans le bourg de Trémolat.
Communes limitrophes
Trémolat est limitrophe de six autres communes.
Les limites communales de Trémolat et celles de ses communes adjacentes.
Communes limitrophes de Trémolat
Mauzac-et-Grand-Castang
Pezuls
Paunat
Calès
Le Buisson-de-Cadouin
Alles-sur-Dordogne
Géologie et relief
Géologie
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Trémolat est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé.
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire datant du Cénozoïque et de roches sédimentaires du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c5c, date du Campanien 3, une alternance de marnes à glauconie et de calcaires crayo-marneux jaunâtres. La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « , et sa notice associée.
Légende de la carte géologique.
Ère
Période
Époque
Formations géologiques
Cénozoïque (0 - 66.0)
Quaternaire (0 - 2.58)
Holocène
CFp :
Formations superficielles : colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites indifférenciées
CFvs :
Formations superficielles : colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris
Moyennes terrasses - Terrasses de Malleret sup. indifférenciées (types 3 à 5) : argiles à graviers, galets à la base et sables fins à moyens au sommet (Elstérien - '-Mindel'-)
Fvb(D) :
Hautes terrasses (RD Garonne) - Terrasse de Malleret inf. (type 2) indifférenciée : sables à graviers et galets rubéfiés (Ménapien-Bavélien - '-Gunz'-)
Néogène (2.58 - 23.03)
non présent
Paléogène (23.03 - 66.0)
non présent
Mésozoïque (66.0 - 252.17)
Crétacé (66.0 - ≃145.0)
Supérieur
c5e :
Campanien 5 : calcaires bioclastiques jaunâtres à rudistes, orbitoides media, Larrazetia, calcaires gréseux jaunes à grands silex versicolores, lumachelles à huîtres (Pycnodonte vesicularis) (formation d'Aubeterre, de Lalinde, de Couze)
c5d :
Campanien 4 : calcaires crayo-marneux grisâtres et calcaires graveleux bioclastiques à orbitoides media et à lumachelles à huîtres (P. vesicularis) (formations de Barbezieux, de Lamonzie)
c5c :
Campanien 3 : alternance de marnes à glauconie et calcaires crayo-marneux jaunâtres (formations de Biron et de Coursac), présence localement de niveaux de calcaires gréseux fins ocre à Larrazetia et tempestites (formation de Journiac)
inférieur
non présent.
Jurassique (≃145.0 - 201.4)
non présent
(201.4 - 251.902)
non présent
Paléozoïque (252.17 - 538.8)
non présent
Relief et paysages
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 41 mètres au nord-ouest, là où la Dordogne quitte la commune pour servir de limite entre celles de Calès et Mauzac-et-Grand-Castang, et 186 mètres également localisée au nord-ouest, en limite de la commune de Pezuls, au nord du lieu-dit le Monteil.
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 14,03 ,,. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 14,04 .
Hydrographie
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne. Elle est drainée par la Dordogne, la Rèze et, qui constituent un réseau hydrographique de 15 ,.
La Dordogne, d'une longueur totale de 483,1 puy de Sancy (1 885 monts Dore, traverse six départements dont la Dordogne dans sa partie sud, et conflue avec la Garonne à Bayon-sur-Gironde, pour former l'estuaire de la Gironde,. Elle borde la commune sur dix kilomètres, de l'est au nord-ouest en passant par le sud, face à Alles-sur-Dordogne, Le Buisson-de-Cadouin et Calès.
Affluent de rive droite d'un bras de la Dordogne, la Rèze arrose le territoire communal sur près de quatre kilomètres et demi, dont environ la moitié sert de limite naturelle face à Paunat.
Réseaux hydrographique et routier de Trémolat.
Le village de Trémolat au bord de la Dordogne.
La Rèze dans le bourg de Trémolat.
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne Atlantique ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - Vézère)., d'une superficie de 2 700 établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR). Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le 10 mars 2022.
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité.
Climat
Pour des articles plus généraux, voir Climat de la Nouvelle-Aquitaine et Climat de la Dordogne.
Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain.
En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 .
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,6 amplitude thermique annuelle de 15,1 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Pays de Belvès à 18 vol d'oiseau, est de 13,0 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée.
D'après l'Inventaire national du patrimoine naturel (INPN), neuf aires protégées concernent le territoire communal.
Réserve de biosphère
La commune fait partie du bassin de la Dordogne, un territoire d'une superficie de 24 000 réserve de biosphère par l'UNESCO en juillet 2012 et fait partie à la fois de sa « zone centrale » (la Dordogne elle-même), sa « zone tampon » (sa plaine alluviale) et sa « zone de transition », c'est-à-dire le reste de son bassin versant.
Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS).
Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune.
La Dordogne est un site du réseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les 103 communes riveraines de la Dordogne, dont Trémolat,. Seize espèces animales et une espèce végétale inscrites à de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées.
La zone Coteaux calcaires de la vallée de la Dordogne, qui s'étend au total sur 3 686 hectares et est partagée avec vingt-quatre autres communes, fait également partie du réseau Natura 2000,. Deux espèces de chauves-souris inscrites à de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées : le Grand rhinolophe (Rhinolophus ferrumequinum) et le Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros). Sur la commune, elle s'étend sur près d'un kilomètre carré en deux sites, bordant la Dordogne en rive droite.
ZNIEFF
Deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) ont été définies sur la commune.
Trémolat fait partie des 102 communes concernées par la ZNIEFF de type 2 « La Dordogne »,, dans laquelle ont été répertoriées huit espèces animales déterminantes et cinquante-sept espèces végétales déterminantes, ainsi que quarante-trois autres espèces animales et trente-neuf autres espèces végétales.
La commune présente une ZNIEFF de type 1 : les « coteaux calcaires de la vallée de la Dordogne », limités à une zone plus restreinte que la zone Natura 2000 homonyme, au nord du cingle de Trémolat (le large méandre qu'effectue la Dordogne) ; elle présente en rive droite une paroi calcaire ensoleillée d'une centaine de mètres de hauteur où peut s'épanouir une flore de type méditerranéen,.
Protection du biotope
Comme l'ensemble des communes du département de la Dordogne baignées par la Dordogne, Trémolat est soumis à un arrêté préfectoral de protection de biotope de 1991 destiné à favoriser la migration et le frai de plusieurs espèces de poissons.
Sites remarquables
La Dordogne et ses « cingles » (méandres) présentent trois sites naturels protégés, aussi bien terrestres qu'aquatiques, en partie sur le territoire de Trémolat.
Le cingle de Trémolat offre deux zones qui se recouvrent en partie :
un site inscrit depuis 1965 ;depuis la limite communale avec Mauzac-et-Grand-Castang jusqu'au pont ferroviaire de la ligne de Libourne au Buisson, limité au nord par les lieux-dits Cazal et Rocamadou et à l'est par la Cabane, le bourg de Trémolat et la Placelle ;
plus récemment, un site classé en 1985, s'étend depuis la limite communale avec Mauzac-et-Grand-Castang jusqu'au pont de la route départementale 31.
Le cingle de Limeuil quant à lui est un site classé depuis 1985,, depuis les Bretoux et Viaunet, en limite de la commune de Limeuil, jusqu'au Rocq, en passant par les Flaments.
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Toponymie
En occitan, la commune porte le nom de Tremolat.
↑ Le nom occitan des communes du Périgord - Tremolat sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 4 novembre 2021.
Histoire
Préhistoire et Antiquité
L'abri de Rochebécude fouillé en 1893 par Rabois-Bousquet puis en 1910-1911 par Tarel et Delugin a fourni du matériel archéologique du Solutréen et du Magdalénien.
La caverne de Lestruque découverte en 1929 par Delmas et par Louis Peyrille a elle aussi fourni des artéfacts. D'après Peyrony (1949) puis plus tard Denise de Sonneville-Bordes (1960), elle a fourni des industries du Solutréen et du Magdalénien supérieur. Peyrony mentionne également de l'Azilien. Michel Lenoir fait une étude typologique et statistique du matériel de la grotte ramassé en surface.
Deux autres abris ont également été répertoriés sur la commune, à la Roque et à Roquegrosse, ainsi qu'une villa gallo-romaine à Saint-Hilaire.
Moyen-Âge
Selon la légende, Trémolat serait la patrie de saint Cybard (Eparchius), né au siècle, ermite qui vivait dans une grotte au-dessus de la Charente. Au-dessus de ce refuge désert naît le monastère de Saint-Cybard d'Angoulême. Au invasions normandes.[réf. nécessaire]
↑ Raoul Daniel, « L'abri de Rochebécude à Trémolat (Dordogne) », dans Bulletin de la Société préhistorique française, Persée.
↑ M S Blanc, « Les fouilles de MM. Louis Peyrille et Delmas à Lestruque, commune de Trémolat (Dordogne) », dans Bulletin de la Société préhistorique française, 28-4, 1931, Persée.
↑ [Peyrony] Denis Peyrony, Le Périgord préhistorique, Périgueux, Publication de la Société historique et archéologique du Périgord, 1949, 92 Lenoir 1970, p. 71.
↑ [Sonneville-Bordes 1960] Denise de Sonneville-Bordes, Le Paléolithique supérieur en Périgord, Bordeaux, Delmas, 1960, 558 Lenoir 1970, p. 71.
↑ a et b[Lenoir 1970] Michel Lenoir, « Le Paléolithique supérieur en surface devant la grotte de Lestruque, commune de Soulalève (Dordogne) », Bulletin de la Société préhistorique française, lire en ligne), Persée.
↑ a et bJean-Luc Aubarbier, Michel Binet et Guy Mandon, Nouveau guide du Périgord-Quercy, Luçon, Ouest-France, 1987, 441 ISBN ), p. 382-383.
Héraldique
Pour un article plus général, voir Armorial des communes de la Dordogne.
Blason
D'azur au croissant d'or ; au chef cousu de gueules chargé de trois étoiles d'or.
Détails
* Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (gueules sur azur). Le statut officiel du blason reste à déterminer.
↑ Trémolat, L'Armorial des villes et des villages de France, consulté le 22 octobre 2024.
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