Marolles-sur-Seine

Localisation

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Marolles-sur-Seine : descriptif

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Marolles-sur-Seine

Marolles-sur-Seine est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Géographie

Localisation

Le village est situé à 7 Montereau-Fault-Yonne sur la rive gauche de la Seine. La commune s'étend sur un axe est-ouest de part et d'autre de la Seine, bordée au sud par l'Yonne.

Localisation de la commune de Marolles-sur-Seine dans le département de Seine-et-Marne.

Communes limitrophes

Carte des communes limitrophes de Marolles-sur-Seine.
Communes limitrophes de Marolles-sur-Seine
Saint-Germain-Laval Courcelles-en-Bassée
Montereau-Fault-Yonne Marolles-sur-Seine La Tombe
Misy-sur-Yonne
Cannes-Écluse La Brosse-Montceaux Barbey

Géologie et relief

La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible. L'altitude varie de 46 mètres à 70 mètres pour le point le plus haut , le centre du bourg se situant à environ 54 mètres d'altitude (mairie).

Hydrographie

Réseau hydrographique
Carte des réseaux hydrographique et routier de Marolles-sur-Seine.

Le réseau hydrographique de la commune se compose de neuf cours d'eau référencés :

  • la Seine, fleuve long de 774,76 , ainsi que :
    • un bras de 0,76  ;
    • la dérivation de Marolles, canal de 2,04 , qui conflue avec la Seine
    • l’ Yonne, longue de 292,34 , principal affluent gauche de la Seine ;
      • le ru des Prés Hauts, 3,68 , affluent de l’Yonne ;
    • la rivière Auxence (ou la Vieille Seine), longue de 34,18 , affluent en rive droite de la Seine ;
      • le fossé 01 de la Gravière , 1,41  qui conflue avec l’Auxence ;
    • la rivière La Noue, 6,94 , affluent de la Seine, ainsi que :
      • un bras de 2,24 .

La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 21,82 .

Gestion des cours d'eau

Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie.

La commune fait partie du SAGE « Bassée Voulzie », en cours d'élaboration en décembre 2020. Le territoire de ce SAGE concerne 144 communes dont 73 en Seine-et-Marne, 50 dans l'Aube, 15 dans la Marne et 6 dans l'Yonne, pour une superficie de 1 710 ,. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par Syndicat Mixte Ouvert de l’eau potable, de l’assainissement collectif, de l’assainissement non collectif, des milieux aquatiques et de la démoustication (SDDEA), qualifié de « structure porteuse ».

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (.

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 amplitude thermique annuelle de 15,7 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de La Brosse-Montceaux à 5 vol d'oiseau, est de 12,0 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

Statistiques 1991-2020 et records LA BROSSE-MX (77) - alt : 77m, lat : 48°21'06"N, lon : 3°01'23"E
Records établis sur la période du 01-01-1973 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 2 1,8 3,7 5,6 9,2 12,3 14,4 14,2 11,1 8,5 4,9 2,6 7,5
Température moyenne (°C) 4,5 5 8,1 10,9 14,6 18 20,4 20,2 16,4 12,5 7,8 5,1 12
Température maximale moyenne (°C) 7 8,3 12,6 16,3 20 23,6 26,4 26,1 21,7 16,6 10,7 7,5 16,4
Record de froid (°C)
date du record
−20,5
17.01.1985
−14,8
25.02.1986
−10,4
01.03.05
−3,5
09.04.03
−0,1
03.05.21
2,5
04.06.1991
5,2
04.07.1984
4
29.08.1986
1,5
19.09.1977
−3,2
30.10.1997
−9,2
24.11.1998
−15,5
31.12.1985
−20,5
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
16,5
01.01.23
21,4
27.02.19
25,4
31.03.21
28,5
25.04.07
32,5
28.05.17
38,9
27.06.11
42,9
25.07.19
40
06.08.03
35,5
14.09.20
31
01.10.1985
22,5
07.11.15
18,3
16.12.1989
42,9
2019
Précipitations (mm) 51 47,7 47,5 51,7 60,1 53,3 51,6 52,3 51,3 63,3 59,9 63,2 652,9
Source : «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Milieux naturels et biodiversité

Espaces protégés

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée,.

Deux espaces protégés sont présents dans la commune :

  • la « Héronnière des Motteux », objet d'un arrêté préfectoral de protection de biotope, d'une superficie de 41  ;
  • le « Carreau Franc », objet d'un arrêté préfectoral de protection de biotope, d'une superficie de 26 .
Réseau Natura 2000
Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles.

Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats », :

  • la « Bassée », d'une superficie de 1 403 Bassin parisien ainsi qu’un ensemble relictuel de prairies humides,.

et un au titre de la « directive Oiseaux » :

  • la « Bassée et plaines adjacentes », d'une superficie de 27 643 ,.
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal de Marolles-sur-Seine comprend huit ZNIEFF de type 1,, :

  • les « bois alluvial de l'Hermitage » (63,5  ;
  • le « Bois de Châlon » (82,7  ;
  • la « héronnière de Marolles "Les Motteux" » (40,92  ;
  • les « noue, plans d'eau et bois de Veuve » (155,02  ;
  • le « plan d'eau des Préaux à Marolles » (108,27  ;
  • les « plans d'eau de Cannes-Ecluse » (237,8  ;
  • la « Réserve ornithologique du Carreau-Franc » (23,64  ;
  • la « Rivière Auxence, de Châtenay-sur-Seine à la Confluence » (38,27  ;

et deux ZNIEFF de type 2, :

  • la « Basse vallée de l'Yonne » (1 658,38  ;
  • la « vallée de la Seine entre Montereau et Melz-sur-Seine (Bassée) » (14 216,75 .
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Toponymie

Le nom de la localité est mentionné sous les formes Villa Madriolas au .

Toponyme issu du latin mares, « marais ». Il est préférable d'y voir un toponyme bas latin Materiola, diminutif de materia « bois (de construction) » qui explique également Marolles-sous-Lignières (Aube, Matriole 1132), Marolles-sur-Seine (Seine-et-Marne, Madriolas vers 576). On notera ici la différence avec l'étymologie de Marolles-en-Brie, « grande clairière ».

  1. Marianne Mulon, Noms de lieux d’Île-de-France, Paris, Bonneton, , 231 ISBN ).

Histoire

Préhistoire

Paléolithique
Tureau des Gardes

Le site du Tureau des Gardes est occupé au Magdalénien,. Son industrie lithique présente les mêmes caractéristiques hambourgiennes que celle de la Pierre-aux-Fées à Cepoy (à 50 km au sud dans le Loiret). Plus proche, le grand site magdalénien de Pincevent se trouve à quelque 7 km à l'ouest.

Le Grand Canton

Le Grand Canton est un autre site magdalénien sur la commune. Technologiquement et typologiquement, son industrie est en relation étroite avec celle du Tureau des Gardes voisin mais aussi celle de Marsangy (Yonne, ~50 km au sud-est).

Néolithique

Une maison du Néolithique dont le mobilier appartient au groupe de Cerny daté d'environ 3 000 ans av. J.-C., a été découverte au lieu-dit les Gours-aux-Lions en rive gauche (côté sud) de la Seine, près d'une gravière exploitée par la Société chimique et routière de la Gironde (S.G.R.E.G.), à 8  - ce qui place le site à 2 .

Âge du bronze

Une nécropole de l'âge du bronze se trouve à la Croix de la Mission.

En 1960 Daniel Jalmain repère aux Gours du Lion trois enceintes : une circulaire, une rectangulaire et une réniforme. En 1966, l'avancement de l'exploitation de la gravière met au jour de nombreux vestiges du Néolithique et de l'âge du bronze ainsi que, le 21 juillet 1966, une sépulture collective à faible profondeur associée à une autre enceinte circulaire,,,. Une initiative du chauffeur du bulldozer épargne une bonne partie de ces vestiges. Le directeur des antiquités préhistoriques régionales de l'époque est Gérard Baillou, déjà collaborateur de André Leroi-Gourhan à Arcy et à Pincevent. Le Cercle Archéologique de Bray-sur-Seine, dont Daniel et Claude Mordant, est alerté. Se joignent Dominique Lefranc, Claude Masset et Jean Leclerc du Centre de recherches préhistoriques et protohistoriques de la Faculté des Lettres et Sciences humaines de Paris. Depuis son chantier de fouilles de Pincevent, Leroi-Gourhan envoie aux Gours du Lion du matériel et quelques fouilleurs pour renforcer l'équipe sur place.
Les vestiges découverts s'échelonnent entre les périodes néolithique et gallo-romaine.

Protohistoire

En 1967, l'exploitation de la gravière des Gours du Lion a déjà détruit presque totalement une grande enceinte rectangulaire, probablement de La Tène.

Antiquité

Aux Gours du Lion, des inhumations gallo-romaines ont été mises au jour vers 1940 dans de petites gravières proches de l'exploitation de la SGREG.

Moyen Âge

Il existait sur la commune la villa mérovingienne de Childebrand Ier, revendue au Comte Aubert en 786.

Le passé du village se confond avec celui de Saint-Germain-Laval. En 1154, Louis VII confère la seigneurie de Marolles à l’abbaye de Saint-Germain-des-Prés. La seigneurie est également fortement liée aux familles champenoises de Villemaur et de Pougy.

Jusqu'au XVIIIe siècle Marolles-sur-Seine dispose de deux églises : Saint-Georges et Saint-Germain.

  1. [Bridault 1995] Anne Bridault, « Le problème de l'exploitation du gibier au Tureau des Gardes (Marolles-sur-Seine, Seine-et-Marne) », Cahiers archéologiques de Bourgogne, Dijon, lire en ligne [PDF] sur halshs.archives-ouvertes.fr, consulté en ).
  2. a et b [Alix et al. 1993] lire en ligne [sur persee]), p. 196.
  3. [Valentin, Bodu & Julien 2004] Boris Valentin, Pierre Bodu et Michèle Julien, Habitats et peuplements tardiglaciaires du Bassin parisien (Projet collectif de recherche 2003-2005. Rapport d’activité pour 2004), CNRS, Équipe ethnologie Préhistorique UMR 7041, , 187 lire en ligne [PDF] sur hal-lara.archives-ouvertes.fr), p. 67.
  4. [Mordant & Mordant 1970] Claude Mordant et Daniel Mordant, « Le site néolithique des Gours-aux-Lions à Marolles-sur-Seine », Bulletin de la Société préhistorique française, lire en ligne [sur persee]).
  5. a b c et d Masset, Mordant & Mordant 1967, p. 76.
  6. a b et c [Masset, Mordant & Mordant 1967] Claude Masset, Daniel Mordant et Claude Mordant, « I. Présentation », Gallia Préhistoire, lire en ligne [sur persee]), p. 75 et note 1.
  7. « Le site d'exploitation de la S.G.R.E.G. (où se trouvent les Gours aux Lions), carte interactive » sur Géoportail.
  8. [Peake et al. 1999] Rebecca Peake, Valérie Delattre et Patrick Pihuit, « La nécropole de l'âge du bronze de "La Croix de la Mission" à Marolles-sur-Seine (Seine-et-Marne) », Bulletin de la Société préhistorique française, lire en ligne [sur persee]).
  9. [Poulain-Josien 1967] Thérèse Poulain-Josien, « II. Études des vestiges osseux de la sépulture I », Gallia Préhistoire, lire en ligne [sur persee]).
  10. [Baron, Demetz & Monmignaut 1967] Roland Baron, Jean-Louis Demetz et Claire Monmignaut, « III. Les hommes de la sépulture II », Gallia Préhistoire, lire en ligne [sur persee]).
  11. [Horemans et al. 1967] Pierre Horemans, François Poplin, Thérèse Poulain-Josien et Isabelle Roux, « IV. Sépulture II : le milieu », Gallia Préhistoire, lire en ligne [sur persee]).

Héraldique

Blason
Tiercé ondé en fasce : au 1) d’azur au chevalier (oiseau) d’argent accosté de deux fleurs de lys d’or, au 2) de gueules aux deux chevrons d’argent, au 3) d’or à l’urne funéraire du bronze ancien de gueules.
Détails

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Marolles-sur-Seine dans la littérature

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Dokument erstellt 03/01/2018, zuletzt geändert 30/10/2024
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