Larchant

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Larchant : descriptif

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Larchant

Larchant est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France. En 2021, elle compte 713 habitants.

Géographie

Localisation

Localisation de Larchant dans le département de Seine-et-Marne.

La commune de Larchant se trouve dans le département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France.

Elle se situe à 34,08  de Melun, préfecture du département, à 19,18 , sous-préfecture et à 7,87 Nemours, bureau centralisateur du canton de Nemours dont dépend la commune depuis 2015. La commune fait en outre partie du bassin de vie de La Chapelle-la-Reine.

Communes limitrophes

Les communes les plus proches sont : Guercheville (4,0 La Chapelle-la-Reine (4,2 Chevrainvilliers (4,6 Amponville (5,0 Villiers-sous-Grez (5,4 Châtenoy (6,1 Ormesson (6,1 Garentreville (6,4 km).


Communes limitrophes de Larchant
La Chapelle-la-Reine Villiers-sous-Grez, Grez-sur-Loing
Amponville Larchant Saint-Pierre-lès-Nemours
Guercheville Chevrainvilliers

Géologie et relief

Larchant se trouve dans le parc naturel régional du Gâtinais français. Son finage est un des plus vastes du canton de la-Chapelle-la-Reine et s'étend sur des terroirs variés et originaux, aux confins du pays de Bière.

À l'ouest, le plateau du Gâtinais est un paysage de grande culture, avec des champs ouverts, où la couche de Limon éolien a favorisé la culture du blé, mais aussi l'avoine et surtout l'orge, dont la qualité lui vaut d’être exportée vers les brasseries de l'Europe du Nord. À l'est, le plateau se découpe autour d’un « golfe » qui abrite en contrebas, le village de Larchant. La grosse ferme du Chapitre occupe une place particulière, sur un éperon du plateau. À l'est, un diverticule de la forêt de Fontainebleau se prolonge vers la vallée du Loing. Au cœur de ce vaste cirque, se situe le marais de Larchant, un des derniers grands marais de l’Île-de-France.

Le territoire de la commune se situe dans le sud du Bassin parisien, plus précisément au nord de la région naturelle du Gâtinais.

Géologiquement intégré au bassin parisien, qui est une région géologique sédimentaire, l'ensemble des terrains affleurants de la commune sont issus de l'ère géologique Cénozoïque (des périodes géologiques s'étageant du Paléogène au Quaternaire),.

Géologie de la commune de Larchant selon l'échelle des temps géologiques,.
Ères Périodes géologiques Époques géologiques Nature des sols
Cénozoïque Quaternaire Holocène
LP : Limon des plateaux de composition argilo-marneuse.
Fz : Alluvions récentes : limons, argiles, sables, tourbes localement.
Pléistocène
Néogène Pliocène non présent.
Miocène
m1CPi : Calcaire de Beauce, Calcaire de Pithiviers (Loiret).
m1MG  : Molasse du Gâtinais, marnes vertes de Neuville-sur-Essonne (Loiret).
Paléogène Oligocène
g1CE : Calcaire d'Étampes, meulières, marnes, calcaires du Gâtinais.
g1GF : Grès de Fontainebleau en place ou remaniés (grésification quaternaire de sables Stampiens dunaires).
g1SF : Sables de Fontainebleau, accessoirement grès en place ou peu remanié (versant).
g1SP : Sable à galets de silex, Poudingues, localement Faciès molassique.
Éocène
e7C : Calcaire de Champigny, Calcaire de Château-Landon, marnes de Nemours.
Paléocène non présent.

La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible.

Hydrographie

Le système hydrographique de la commune se compose de deux cours d'eau:

  • le cours d'eau 01 des Prés le Chemin de Grez, 1,06 ,.
  • le Grand Fossé, canal de 4,00 .

La longueur linéaire globale des cours d'eau sur la commune est de 1,58 .

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Sud-ouest du bassin Parisien » et « Nord-est du bassin Parisien ».

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 amplitude thermique annuelle de 15,3 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Pierre-lès-Nemours à 7 vol d'oiseau, est de 11,4 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

Milieux naturels et biodiversité

Espaces protégés

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée,. Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé, le parc naturel régional du Gâtinais français, créé en 1999 et d'une superficie de 75 567 ,.

Divers espaces protégés sont présents dans la commune :

  • les « Carrières dites de la Rue Jaune à Puiselet », objet d'un arrêté préfectoral de protection de biotope, d'une superficie de 16  ;
  • la réserve de biosphère « Fontainebleau et Gâtinais », créée en 1998 et d'une superficie totale de 150 544 forêt de Fontainebleau au centre, et le Val de Seine à l’est. La structure de coordination est l'Association de la réserve de biosphère de Fontainebleau et du Gâtinais, qui comprend un conseil scientifique et un Conseil Education, unique parmi les réserves de biosphère françaises,,, ;
  • la réserve naturelle régionale du marais de Larchant, d'une superficie de 123 Loing, dont un méandre l’a probablement façonné autrefois,.
Réseau Natura 2000
Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles.

Un site Natura 2000 a été défini sur la commune, tant au titre de la « directive Habitats » que de la « directive Oiseaux » : le « Massif de Fontainebleau ». Cet espace constitue le plus ancien exemple français de protection de la nature. Les alignements de buttes gréseuses alternent avec les vallées sèches. Les conditions de sols, d'humidité et d'expositions sont très variées. La forêt de Fontainebleau est réputée pour sa remarquable biodiversité animale et végétale. Ainsi, elle abrite la faune d'arthropodes la plus riche d'Europe (3 300 espèces de coléoptères, 1 200 de lépidoptères) ainsi qu'une soixantaine d'espèces végétales protégées

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal de Larchant comprend une ZNIEFF de type 1,,, les « Sablières de Bonnevault » (48,95  , et une ZNIEFF de type 2,, le « Marais de Larchant » (163,08 .

Richesse de la flore

En dehors du marais de Larchant, formation hygrophile, la commune de Larchant possède une grande variété de paysages, de géologie et d’hydromorphie, qui induit une diversité floristique exceptionnelle.

On distingue des formations thermophiles et xérophiles au niveau des zones de relief, des formations acidophiles ou acidiclines, sur les affleurements stampiens (sables et grès). On trouve également des formations mésophiles, neutrophiles ou neutroclines au niveau des plateaux limoneux ou des bas de pente. On dénombre sur le territoire de la commune 586 plantes vasculaires (soit 32 % de la flore vasculaire régionale). Mais, à la suite de l’évolution du climat et du paysage, 150 espèces notées avant 2000 n’ont pas été revues. Ces espèces non revues sont, en quasi-totalité, d’intérêt patrimonial. Beaucoup sont protégées, très rares, voire considérées disparues de la région Ile-de-France.

Une mention spéciale doit être faite à propos des sites de carrière après la fin de leur exploitation. Il s’agit de milieux particuliers, xérophiles, de colonisation. On y recense 161 espèces végétales, dont 2 très rares, 3 espèces rares et 7 espèces assez rares. Le site de la Roche au Diable est également riche, puisqu’on y recense 336 espèces, dont 3 espèces protégées (une au niveau national et 2 au niveau régional), 9 espèces très rares et 12 espèces rares.


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Toponymie

Le toponyme Larchant est attesté sous les formes latinisées Largus Campus en 1006, Liricantus sive Largus Campus vers 1041, Larchandum vers 1120 mais aussi sous la forme Saint-Mathurin-de-l'Arquan en 1634.

Les spécialistes ne s’accordent pas sur l’origine du nom de Larchant. Albert Dauzat puis Ernest Nègre se fondent sur la forme la plus ancienne Largus Campus pour formuler l'hypothèse d'un « large champ »,, dont la phonétique et le rapprochement avec d'autres noms de lieux homophones peuvent aboutir à la forme actuelle Larchant. En effet, le type toponymique Larchamp est fréquent par ailleurs, exemple : Larchamp (Mayenne, Largo Campo 1293), Larchamp (Orne, Larcamps 1287) et Larchamp (Orne, Larchant, sans date). C'est sans doute pour cela et à cause de l'antériorité de Largus Campus qu'Albert Dauzat considère même que Liricantus est une « fantaisie de scribe », Ernest Nègre lui emboite le pas.

En effet, le Liricantus de la mention latine Liricantus sive Largus Campus, c'est-à-dire « Liricantus ou encore Large Champ », peut difficilement évoluer phonétiquement en Larchant, sauf par analogie avec large champ. Cependant, plusieurs documents rédigés autour du  (cantos « cercle [de la roue], jante » cf. français chant « face la moins large d'un objet parallélépipédique », ex : Le chant d'une brique, d'un livre, d'une planche; poser à, de, sur chant). Cet élément -cantus en position finale s'observe également dans Mediocantus et Caticantus > Cachan.

  1. a b et c Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Droz, Genève, p. 1304, n° 24234 (lire en ligne) [1]
  2. a b et c Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN ), p. 387b.
  3. a b et c Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise, éditions errance 2003. p. 104 - 105.

Histoire

Préhistoire

La commune comporte une centaine de grottes ornées, dont la grotte à la peinture remontant au Mésolithique.

Protohistoire

Le site est un lieu mystique qui a inspiré pendant des siècles la foi des hommes et des femmes qui l’habitaient, avant même d’être un haut lieu de la spiritualité chrétienne. Il existait certainement sur ce site dans la Gaule, un sanctuaire dédié au culte de l’eau. On peut dater la destruction et l’abandon du sanctuaire de Larchant entre 350 et 378. Les autres sanctuaires proches de Larchant (Sceaux du Gâtinais, Pithiviers-le-Vieil, Châteaubleau) ont été détruits à peu près à la même époque.

Un habitat du premier âge du fer a été repéré en 2005 non loin du hameau de Bonnevault

Saint Mathurin

La légende fait naître saint Mathurin à Larchant, à la fin du manuscrit du Rome, Mathurin guérit les malades qui s’étaient portés à sa rencontre et sauva la fille de l’empereur, Théodora. Il resta trois ans à Rome, accomplissant de nombreux miracles et y mourut le jour des Calendes de novembre (le .

Chapitre de Notre-Dame de Paris

Elisabeth Le Riche, fille de Lisiard Le Riche, reçoit Larchant en héritage de son père vers 950. Au début du 1005 ?), en accord avec son fils Renaud de Vendôme, évêque de Paris, elle donne Larchant au chapitre de la cathédrale Notre-Dame de Paris. Le destin de Larchant est alors lié jusqu'à la Révolution française en 1789 au chapitre de chanoines de Notre-Dame de Paris qui, devenu seigneur de Larchant, y a un rôle primordial, notamment par rapport à l’église de Larchant dédiée à saint Mathurin et siège d’un très important pèlerinage.
À la Révolution, les biens du chapitre sont vendus et dispersés.

Les Templiers

À la fin du commanderie de Templiers était établie à Beauvais-en-Gâtinais, près de Grez-sur-Loing et de Nemours. Cette commanderie était seigneur de trois fiefs sur le territoire de Larchant :

  • la commanderie de Bonnevault, où la commanderie possédait, depuis 1246, une ferme de 200 arpents de terre ;
  • le village de Blomont, acquit par Pierre de Beaumont en 1264 ou la commanderie de Templiers possédait une ferme de 112 arpents de terre ;
  • la ferme des Coudres, achetée en 1280 à Jean de la Coudre, un bourgeois d'Yèvre-le-Châtel de 202 arpents de terre.

Ces écarts ne se relevèrent pas des ruines après la guerre de Cent Ans.

Pèlerinage médiéval

Un pèlerinage important se développa au Moyen Âge sur le tombeau de saint Mathurin. En 1324, ce pèlerinage était si florissant que les chanoines utilisèrent une partie des offrandes pour subvenir aux besoins des clercs de Notre-Dame de Paris. Le renom de Larchant se développa au cours du Moyen Âge, et on trouve la mention de Larchant et de saint Mathurin dans plusieurs chansons de geste. La foule des pèlerins rendit nécessaire la construction de cette grande église. L’apogée du pèlerinage culmina vers la fin du Moyen Âge, à partir du . Plusieurs rois vinrent en pèlerinage à Larchant : Charles IV en 1325, Louis XI en 1467, Charles VIII en 1486, François . Le pèlerinage disparut après la Révolution et quelques prêtres et fidèles tentèrent de le faire revivre au début du XXe siècle. La tradition fut reprise après la guerre de 1914 et, de nos jours, une cérémonie se déroule le lundi de Pentecôte pour honorer saint Mathurin.

  1. Aline Rousselle (1990) Croire et guérir. La foi en Gaule dans l'Antiquité tardive. Fayard, 382 pp.
  2. Un habitat gaulois à Larchant, Association culturelle de Larchant.
  3. Pierre Morel (1988) Traduction de la plus ancienne vie de Saint Mathurin. Larchant, 10000 ans d'histoire, Château-Musée de Nemours, Association Culturelle de Larchant, p. 106-114.
  4. Branche Le Riche de Paris sur nobles-ancetres.pagesperso-orange.fr.
  5. Marc Verdier, L'église Saint-Mathurin de Larchant, Amis des Monuments et Sites de Seine-et-Marne, 1969, 140 p.
  6. Marc Verdier (1997) Le temporel de la Commanderie de Beauvais (près de Nemours en Seine-et-Marne). Mémoires Féd. Soc. Hist. et Archéo. de Paris et I.-de-F. 48 : 151-160.
  7. Priscille Dulin, Le pèlerinage de saint Mathurin de Larchant : aspects spirituels et matériels, mémoire de maîtrise d'histoire, Université Paris X-Nanterre, 1995, 185 p.
  8. Eugène Thoison, Les séjours des rois de France dans le Gâtinais, Paris, Picard ; Orléans, Herluison, 1888, 197 p.

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Dokument erstellt 03/01/2018, zuletzt geändert 30/10/2024
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