Dugny

Localisation

Carte du monde

Dugny : descriptif

Informations de Wikipedia
Dugny

Dugny, est une commune française située dans le département de la Seine-Saint-Denis, en région Île-de-France. Petit village jusqu'à la Révolution française, la commune de Dugny subit de nombreux dégâts et destructions à l'époque contemporaine

En 1814 et 1815, lors de la première restauration, Dugny est occupée par les armées alliées (russe, prussienne et autrichienne) qui y font des dégâts, les batailles du Bourget de 1870 détruisent en partie la commune et les bombardements aériens qui visent l'aéroport du Bourget, lors de la Seconde Guerre mondiale, rasent la ville à plus de 90 %. L'histoire et le patrimoine de la ville sont fortement liés à l'aviation

L'aéroport du Bourget et le musée de l'air et de l'espace couvrent une partie du territoire dugnysien

La base aérienne 104 était implantée à Dugny depuis la Première Guerre mondiale et elle accueillait depuis 1953, l'Établissement d'aéronautique navale de Dugny-Le Bourget

Elle a définitivement fermé en 2011

Des installations rénovées accueillent fin 2016 le transfert d'activités d'Airbus Helicopters implantées antérieurement à La Courneuve.

Géographie

Localisation

Vue de la commune de Dugny en rouge sur la carte de la « Petite Couronne » d'Île-de-France.

Dugny est une commune de la banlieue nord de Paris, elle se situe à 8 kilomètres des boulevards des Maréchaux à Paris, et à 11,6 kilomètres au nord-est de la cathédrale Notre-Dame de Paris, centre de la capitale française. Dugny se situe à une dizaine de kilomètres de l'Aéroport Roissy Charles de Gaulle et de sa zone aéroportuaire. Elle se trouve proche de la Plaine Saint-Denis et fait partie de la zone économique de l'aéroport du Bourget.

La commune est située dans la partie méridionale du pays de France, qui est aujourd'hui fortement urbanisée.

La commune se trouve dans l'aire d'attraction de Paris ainsi que dans son unité urbaine et dans son bassin de vie. Elle fait partie de la zone d'emploi de Roissy.

Communes limitrophes

Dugny est limitrophe de six communes. Elle est voisine de Stains, de La Courneuve, du Bourget et du Blanc-Mesnil, communes de la Seine-Saint-Denis et de Bonneuil-en-France et de Garges-lès-Gonesse, communes du Val-d'Oise


Communes limitrophes de Dugny
Garges-lès-Gonesse Bonneuil-en-France Bonneuil-en-France
Stains Dugny Le Blanc-Mesnil
La Courneuve Le Bourget Le Blanc-Mesnil

Géologie et relief

La superficie de la commune est de 3,89 .

À l'époque glaciaire, les berges et les lits de la Marne et de la Seine recouvraient sans doute la ville. Aussi, le sol de la commune est-il composé en partie de limons et de marnes.

Hydrographie

Carte hydrographique de la commune.
Le Petit Moulin de Dugny au début du XXe siècle.

Dugny est baignée par de nombreux petits cours d'eau qui ont été pour la quasi-totalité busés et enterrés au cours du . Les plus importants sont le Croult, qui prend sa source à Goussainville, traverse Dugny sur une étendue de 1 580 mètres et se jette dans la Seine, à Saint-Denis et la Morée, qui prend sa source au Tremblay-en-France et se jette dans le Croult à Dugny. Sa longueur dans la traverse de Dugny est de 2 600 mètres. Le Croult est encore visible à Dugny dans le parc Georges-Valbon,,. La Morée forme la limite entre Dugny et Bonneuil-en-France et est aujourd'hui busée. On peut également citer la Vieille Mer, petite rivière alimentée par les eaux du Croult, qui prend naissance à Dugny. Elle traverse le département de la Seine-Saint-Denis sur un tronçon de 7 Seine-Saint-Denis après la Seine et la Marne. Le cours d'eau a été canalisé et busé entièrement entre 1954 et 1964.

D'autres cours d'eau plus modestes traversaient la ville mais ont disparu et ont été transformés en conduit d'assainissement, comme la Molette, qui prend naissance à Rosny-sous-Bois, et reçoit les égouts de cette commune et de différentes routes nationales comme ceux de la route nationale 3 et de la route nationale 2. Ce ruisseau formait la limite entre les communes de la Courneuve et de Dugny et se jetait dans le Rouillon, cours d’eau fait de main d’homme, aujourd'hui disparu, était alimenté par une prise d’eau dans le Croult, dite le « trou provendier ».

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 .

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12 amplitude thermique annuelle de 15,2 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bonneuil-en-France à 2 vol d'oiseau, est de 12,1 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

Statistiques 1991-2020 et records LE BOURGET (95) - alt : 49m, lat : 48°58'02"N, lon : 2°25'39"E
Records établis sur la période du 01-07-1920 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 2,3 2,1 4,2 6,3 9,8 13 14,9 14,6 11,5 8,8 5,2 2,8 8
Température moyenne (°C) 4,9 5,4 8,4 11,2 14,7 18 20,2 20 16,5 12,7 8,1 5,4 12,1
Température maximale moyenne (°C) 7,5 8,7 12,6 16,1 19,6 23 25,5 25,4 21,5 16,5 11,1 7,9 16,3
Record de froid (°C)
date du record
−18,2
17.01.1985
−16,8
14.02.1956
−9,6
07.03.1971
−3,7
01.04.1931
−1,6
06.05.1957
0,9
13.06.1935
3,5
09.07.1929
1,9
01.08.1923
0,1
24.09.1931
−5,6
30.10.1985
−9,5
28.11.1921
−15,1
16.12.1925
−18,2
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
16,1
27.01.03
20,8
28.02.1960
25,5
31.03.21
31,9
18.04.1949
35
24.05.1922
36,9
27.06.11
42,1
25.07.19
40,2
12.08.03
35,3
09.09.23
29,4
04.10.1921
21,3
08.11.15
17,2
16.12.1989
42,1
2019
Ensoleillement (h) 574 737 1 293 171 1 894 203 2 132 2 064 1 616 1 113 637 543 16 342
Précipitations (mm) 46,8 41,1 43,9 43,1 60,5 53,8 56,3 52,5 44,6 56,7 53,6 63,4 616,3
Source : «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Milieux naturels et biodiversité

Parc Georges Valbon.

Une partie du territoire communal est occupée par le parc départemental Georges-Valbon. Le parc, anciennement appelé parc départemental de La Courneuve (avant 2010), est un site du réseau Natura 2000. Il a été officiellement rebaptisé parc Georges-Valbon le samedi , en hommage au premier président du conseil général de Seine-Saint-Denis. Il est le plus grand parc d'Île-de-France avec une superficie de 415 hectares. La partie dugnysienne du parc est composée de l'aire des Vents et du bassin du Brouillard.

Dugny dispose également d'autres espaces verts, les jardins de la Morée au nord de la commune et le square Jean Jaurès à proximité de l'aire des Vents.

  1. «  »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur le site lion1906.com de Lionel Delvarre (consulté le ).
  2. «  »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur le site lion1906.com de Lionel Delvarre. (consulté le ).
  3. «  », sur le site de l'établissement public d'aménagement Plaine de France, (consulté le ).
  4. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Cassini
  5. Raymond Liegibel, Regards sur Drancy : Une commune dans l'Histoire de France, Société Drancéenne d'Histoire et d'Archéologie, 350 p., p. 14.
  6. a b et c Dugny: notice historique et renseignements administratifs, Montévrain, ouvrage mentionné en Bibliographie.
  7. «  », sur Sandre, portail national d’accès aux référentiels sur l’eau (consulté le ).
  8. «  », sur Sandre, portail national d’accès aux référentiels sur l’eau (consulté le ).
  9. «  », sur le site du conseil général du Val-d'Oise (consulté le ).
  10. Patrice Dupont et Thierry Maytraud, « La dé-couverte d'une rivière urbaine : Le projet de la Vieille mer en Seine-Saint-Denis », dans Les cahiers de l'IAURIF : Le fleuve, un système, des territoires, des acteurs, Paris, IAURIF, (ISSN 0153-6184), chap. 141, p. 82-86.
  11. «  », sur le site de la mairie de Dugny (consulté le ).
  12. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  13. «  », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  14. «  », sur fr.distance.to (consulté le ).
  15. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  16. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  17. «  », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  18. « La Courneuve : Le parc départemental baptisé Georges Valbon », Le Parisien, édition de la Seine-Saint-Denis,‎ .
  19. «  », sur parcsinfo.seine-saint-denis.fr, un site du Conseil général de la Seine-Saint-Denis (consulté le ).
  20. a et b Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées plan


Erreur de référence : Des balises <ref> existent pour un groupe nommé « I », mais aucune balise <references group="I"/> correspondante n’a été trouvée

Toponymie

Dugny viendrait du gallo-romain Duniacum qui signifie domaine de Dunius, son propriétaire. Plus tard, le site est surnommé Dugny-en-France, du fait de la plaine de France dans laquelle elle se situe.

  1. «  », sur le site de la mairie de Dugny (consulté le ).

Histoire

Les origines de Dugny

Une fouille de sauvetage effectuée en 1998 a permis de mettre au jour deux enclos circulaires et sont datables de l'holocène et plus spécifiquement de la Protohistoire (à l'âge du bronze ou à l'âge du fer). On pense qu'ils délimitaient des tertres et même si aucune inhumation ou incinération de l'époque n'a été découverte, la fonction funéraire du lieu semble certaine. Quatre sépultures datées de l'époque mérovingienne ont néanmoins été retrouvées sur ce même lieu, de même que des bijoux qui sont datables de la fin du ,. À cette même époque, le territoire de Dugny est situé sur un plateau entouré de marais, au carrefour de sept rivières. La première apparition de Dugny dans les documents paraît dater de 832.

Moyen Âge

En 1119, Dugny appartient au prieuré de Saint-Martin-des-Champs puis aux Montmorency avant d'être cédée à l'Abbaye de Saint-Denis en 1216.

En 1443, Henri VI, roi d'Angleterre, confisque la terre de Dugny à Jacques de Luiller resté fidèle à Charles VII, pour la donner à un Français qui avait embrassé son parti.

Temps modernes

Carte de Cassini du Bourget et ses environs vers 1780.

Au Croult et l'on voit au .

Au Gonesse qui fournit le blé et le pain pour la population parisienne. Le village compte alors 200 habitants. À cette même époque, le hameau du Bourget, qui n'est alors constitué que d'une seule rue, est rattaché à Dugny, ainsi que le hameau du Pont-Yblon qui ne constitue lui qu'un groupement de maisons.

Révolution française et Empire

En 1789, c'est la fin de l'Ancien Régime, les privilèges sont abolis par la Révolution. Cette même année, Dugny organise des élections, c'est Pierre Trossu qui est élu. En 1790, Le Bourget, qui dépendait à ce moment-là de Dugny, se sépare de sa tutelle pour devenir une commune autonome.

En 1814 et 1815, lors de la Restauration, Dugny est occupé par les armées alliées (russe, prussienne et autrichienne) qui y font des dégâts. Les jours paisibles reviennent peu à peu à Dugny, la commune devient un lieu de villégiature et de plaisance pour les Parisiens. Dès 1858, le village est plutôt bien desservi grâce au chemin de fer et à la gare du Bourget. Dugny passe de 328 habitants en 1806 à 611 en 1866.

Époque contemporaine

La guerre de 1870

La guerre franco-allemande de 1870 vient changer les choses et plus particulièrement le Siège de Paris (1870), le territoire de Dugny est alors occupé par les Prussiens et subit des tirs de l'artillerie française implantée au Bourget,. De même, lors de la première bataille du Bourget mais surtout lors de la deuxième bataille du Bourget, qui ont respectivement lieu du 28 au 30 octobre 1870 et le 21 décembre 1870, les affrontements provoquent d'importants dégâts sur la commune. Sous le feu des canons, l'église est détruite et le village ravagé,.

Dugny au début XXe siècle.

À la Belle Époque, la commune se reconstruit peu à peu et le .

1914-1945 : l'influence de l'aéroport
La cité de l'Eguillez construite en 1932.

Au Bourget, est liée à celle de l'aérodrome puis aéroport du Bourget. Même s'il est, à l'époque, principalement situé sur la commune de Dugny, l'aéroport a pris le nom du Bourget, lieu où se trouvait la gare de chemin de fer,,. Les évènements se déroulant sur l'aéroport sont donc associés le plus souvent à la ville du Bourget. Il en va ainsi pour l'arrivée de Charles Lindbergh à l'aéroport du Bourget et qui réalise ainsi la première traversée aérienne de l'Atlantique Nord entre New York et Paris le , ou encore pour le retour d'Édouard Daladier en France, le après la signature des accords de Munich, où une foule énorme vient le saluer à l'aéroport du Bourget.

Parallèlement, le département achète les terres labourables pour y construire des logements HBM. Avec cela la population change, elle se militarise notamment de par la présence de l'aéroport du Bourget sur le territoire communal et elle devient de plus en plus ouvrière de par les nombreux sites industriels qui ouvrent au nord de Paris.

En 1932, la cité-jardin de l'Eguillez est édifiée par les architectes Georges Albenque et Eugène Gonnot pour l'Office public d'HBM de la Seine. En 1933, la cité du Pont-Yblon est bâtie par l'architecte Germain Dorel, composée de 334 logements. Cet ensemble HBM, isolé du centre de Dugny par l'aérodrome, accueillant exclusivement des militaires à partir de 1934, intègre alors un dispensaire et un groupe scolaire,. L'architecte Félix Dumail s'est aussi impliqué dans les travaux.

Au cours de la Seconde Guerre mondiale, les Allemands prennent possession de l’aéroport et l’agrandissent considérablement. Le 16 août 1943, les forces américaines et anglaises bombardent les pistes mais la base aérienne reste occupée jusqu’à sa libération,. Ce bombardement du , appelé opération Starkey, destiné à détruire l'aéroport, rase la commune à 95 ou 98 %,, notamment l'hôtel de ville qui sera reconstruit en 1952.

De la libération à nos jours
Un de 1941, avion de chasse américain, au musée de l'air et de l'espace.

Pour avoir subi pas moins de quinze bombardements, la ville de Dugny est alors décorée de la croix de guerre avec palmes le ,. De même, l'aéroport du Bourget, sérieusement endommagé pendant la Seconde Guerre mondiale est reconstruit à l'identique, et sert d'aéroport civil de Paris jusque dans les années 1970. La création du nouvel aéroport de Roissy libère de la place au Bourget et le regroupement des collections dispersées dans une partie du hall de l'aéroport est étudié. C'est à partir de 1973 que le musée de l'air et de l'espace déménage progressivement de Chalais-Meudon à l'aéroport du Bourget. Le premier hall, le hall B, est inauguré en 1975 peu avant le salon du Bourget.

Parallèlement, la ville de Dugny, qui a été en grande partie détruite, se reconstruit peu à peu. Finalement, seul le quartier du Pont-Yblon avait été en quelque sorte préservé. En plus de sa reconstruction, la ville doit aussi faire face à un développement démographique qui est la conséquence d'une demande de construction très rapide de logements entre les années 1950 et les années 1970, en partie pour loger les rapatriés d'Algérie mais aussi la population issue du grand bidonville de Saint-Denis-La Courneuve qui a été démantelé. Ces années voient aussi l’arrivée de nouvelles populations immigrées.

Le site Eurocopter de La Courneuve.

En 1973, c'est la fin des Trente Glorieuses, il marque aussi pour Dugny et de manière plus générale pour la banlieue nord de Paris, le début des difficultés économiques. La crise du pétrole, la désindustrialisation de la région parisienne et, à une échelle plus locale, la cessation des activités de l'aéroport du Bourget provoquent un taux de chômage explosif.

En novembre 2005, comme de nombreuses communes de l'agglomération parisienne et celles des grandes villes de province, des faits de délinquance touchent la ville mais restent plus modérés que dans d'autres communes du département, même voisines, telle Le Blanc-Mesnil. Il n'y a pas eu de violences accrues à Dugny comme le montre la chronologie des émeutes de 2005 en France. Néanmoins, cet épisode relayé par les médias de nombreux pays montre alors l'état de ghettoïsation ethnique et sociale de nombreux secteurs de banlieue et l'incapacité du pouvoir politique à faire face à l'échec de l'intégration d'une importante population immigrée.

La base aérienne 104 implantée à Dugny depuis la Première Guerre mondiale en bordure des pistes de l'aéroport du Bourget, et qui accueillait depuis 1953, l'Établissement d'Aéronautique Navale de Dugny-Le Bourget, ferme définitivement le . Ses installations accueillent depuis Airbus Helicopters, qui inaugure officiellement le site le

  1. Pascal Métrot et Cécile Buquet, Dugny, av. du Maréchal Leclerc de hautecloque (RD 50) 93 09 030 (Seine-Saint-Denis). DFS de fouille d'évaluation archéologique (22/12/1997 - 31/05/1998), Conseil général de la Seine-Saint-Denis, .
  2. Laëtitia Bouniol & Josabeth Millereux-Le Béchennec, Dugny. Rue de la Luzernière 93 030 (Seine-Saint-Denis). Rapport de diagnostic archéologique, Conseil général de la Seine-Saint-Denis, .
  3. a b c d e et f Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées M
  4. a b c et d Jean Lebeuf, Histoire de la banlieue ecclésiastique de Paris, vol. 6, Prault, , p. 250-268.
  5. «  », sur le site de la mairie de Dugny (consulté le ).
  6. «  »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur le site de la mairie du Bourget (consulté le ).
  7.  », sur Mairie de Dugny.
  8. Raymond Liegibel, Regards sur Drancy : Une commune dans l'histoire de France, Société Drancéenne d'Histoire et d'Archéologie, , 349 p., p. 264-278.
  9. a b c d et e «  », sur le site de la mairie de Dugny (consulté le ).
  10. «  », sur Mer et Marine, site de toute l'actualité maritime (consulté le ).
  11. a et b «  », sur le site officiel du musée de l'air et de l'espace (consulté le ).
  12. «  », sur le site du comité départemental du tourisme de la Seine-Saint-Denis (consulté le ).
  13. a et b «  »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur le site de la mairie du Bourget (consulté le ).
  14. «  », sur Chemins de mémoire, site gouvernemental (consulté le ).
  15. «  », sur l'atlas du patrimoine de la Seine-Saint-Denis, édité par le conseil général (consulté le ).
  16. «  », sur le site du comité départemental du tourisme de la Seine-Saint-Denis (consulté le ).
  17. Jean-Barthélémi Debost (coord.), Éléments d'architecture des années 1930 - Dugny, Le Blanc-Mesnil, Le Bourget, Conseil général de la Seine-Saint-Denis, , 6 p..
  18. a et b «  », sur le site du comité départemental du tourisme de la Seine-Saint-Denis (consulté le ).
  19. «  », sur le site du ministère des Affaires étrangères (consulté le ).
  20. «  », sur le site officiel du musée de l'air et de l'espace (consulté le ).
  21. Sebastian Roché, «  », sur le site du quotidien Le Figaro (consulté le ).
  22. «  », sur le site du ministère de la Défense (consulté le ).
  23. Léo Barnier, «  », journal-aviation.com, (consulté le ).
  24. Nathalie Perrier, « La base aérienne de Dugny, c'est fini : Ce site où s'était posé Lindbergh après sa traversée de l'Atlantique de 1927 et qui était la base de l'aéronautique navale depuis 1953 ferme aujourd'hui ses portes. », Le Parisien, édition Seine-Saint-Denis,‎ (lire en ligne).
  25. Nathalie Perrier, « Eurocopter, c'est gagné ! : L’usine de pales d’hélicoptères d’Eurocopter, avec ses 700 emplois, ne sera pas délocalisée en Allemagne : elle restera en Seine-Saint-Denis et déménagera de La Courneuve à Dugny. », Le Parisien, édition Seine-Saint-Denis,‎ (lire en ligne).

Héraldique

Blason
Écartelé : au premier et au quatrième d'azur au clou d'argent accompagné de trois fleurs de lys d'or, au deuxième et au troisième de gueules à l'anille d'argent accompagnée de neuf épis de blé d'or, formant trois fleurs de lys ordonnées 2 et 1,.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
  1. «  », sur le site OLDJP, la banque du blason 2 (consulté le ).
  2. «  », sur le site de la mairie de Dugny (consulté le ).

Ces informations proviennent du site Wikipedia. Elles sont affichées à titre indicatif en attendant un contenu plus approprié.

Dugny dans la littérature

Découvrez les informations sur Dugny dans la bande dessinée ou les livres, ou encore dans la ligne du temps.

1309 autres localités pour Ile-de-France

Vous pouvez consulter la liste des 1309 autres localités pour Ile-de-France sur cette page : https://www.gaudry.be/lieu/fr/fr-idf/villes.html.

Deutsche Übersetzung

Sie haben gebeten, diese Seite auf Deutsch zu besuchen. Momentan ist nur die Oberfläche übersetzt, aber noch nicht der gesamte Inhalt.

Wenn Sie mir bei Übersetzungen helfen wollen, ist Ihr Beitrag willkommen. Alles, was Sie tun müssen, ist, sich auf der Website zu registrieren und mir eine Nachricht zu schicken, in der Sie gebeten werden, Sie der Gruppe der Übersetzer hinzuzufügen, die Ihnen die Möglichkeit gibt, die gewünschten Seiten zu übersetzen. Ein Link am Ende jeder übersetzten Seite zeigt an, dass Sie der Übersetzer sind und einen Link zu Ihrem Profil haben.

Vielen Dank im Voraus.

Dokument erstellt 03/01/2018, zuletzt geändert 30/10/2024
Quelle des gedruckten Dokuments:https://www.gaudry.be/de/lieu/fr/fr-idf/36984.html

Die Infobro ist eine persönliche Seite, deren Inhalt in meiner alleinigen Verantwortung liegt. Der Text ist unter der CreativeCommons-Lizenz (BY-NC-SA) verfügbar. Weitere Informationen auf die Nutzungsbedingungen und dem Autor.