Bourg-la-Reine

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Bourg-la-Reine : descriptif

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Bourg-la-Reine

Bourg-la-Reine est une commune française du département des Hauts-de-Seine en région Île-de-France, dans l'arrondissement d'Antony, au sud de Paris. Elle fait partie de la métropole du Grand Paris créée en 2016.

Géographie

Localisation

Bourg-la-Reine est située à une dizaine de kilomètres au sud de Paris (Notre-Dame) et cinq kilomètres de la porte d'Orléans. La commune est traversée par la RD 920 (anciennement appelée ) qui la traverse sur toute sa longueur, reprenant le tracé de la voie romaine via Aurelianensis, qui traversait la Gaule du sud au nord, venant d’Espagne pour aller à la Colonia Claudia Ara Agrippinensium, l’actuelle ville de Cologne.


Hydrographie

Bourg-la-Reine est traversée d’ouest en est par le cours de l’ancien ru de la Fontaine du Moulin, appelé aussi ru des Blagis ou ru de Fontenay. Avant d'être canalisé, il passait le long de l'ancienne église de Bourg-la-Reine qui était située un peu avant le croisement de la rue de la Bièvre le long de laquelle il coulait et de l'avenue du Général-Leclerc, et qu'il finit par faire tomber en ruine par les remontées d'eau.

Canalisé et mis en souterrain, ce ru est devenu aujourd’hui le collecteur des Blagis, servant au drainage des eaux pluviales. En amont, exutoire de l’étang Colbert du Plessis-Robinson, il traverse Fontenay-aux-Roses (d’où une grande partie de ses eaux est dirigée via des collecteurs secondaires vers Choisy-le-Roi et la Seine), puis son débit allégé alimente le réservoir des Blagis, avant d’atteindre Bourg-la-Reine. L’ex-ru/collecteur se jette enfin à L'Haÿ-les-Roses dans une rivière (elle aussi mise en souterrain sur cette partie de son cours) : la Bièvre. Bourg-la-Reine est situé sur la rive gauche de celle-ci. Mais contrairement à une idée reçue, aucune partie du cours de la Bièvre n’est située sur le territoire communal réginaburgien. Suivant un axe sud-ouest/nord-est dans sa traversée de L'Haÿ-les-Roses — en direction de Paris où elle se jette dans la Seine —, la rivière ne fait que longer Bourg-la-Reine, mais sans y pénétrer.

Communes limitrophes

Rose des vents Bagneux Bagneux, Cachan Cachan Rose des vents
Sceaux N L'Haÿ-les-Roses
O    Bourg-la-Reine    E
S
Sceaux Antony L'Haÿ-les-Roses

Lieux-dits

Le territoire de la commune comprend de nombreux lieux-dits.

Au nord
  • La Faïencerie.
  • Les Hauts-Blagis, au couchant.
  • Mirebeau, à l'est des Hauts-Blagis
  • Le Clos Payen, à l'ouest.
  • Derrière le Clos Saint-Cyr.
  • Le Petit-Bagneux, depuis 1834.
  • Derrière le Jardin du Luxembourg, Tromière, à l'est.
  • Les Blagis, au couchant.
  • Pré Hilduin.
Au sud
  • Clos Marchais, par la suite le Clos Saint-Cyr, au levant.
  • Clos du Luxembourg, au couchant.
  • Pavé de l'Haÿ, du levant au couchant.
  • Les Hauts-Blagis, au couchant.
  • Clos Saint-Jacques.
  • Derrière le Clos Saint-Jacques.
  • Petit-Chambord, depuis 1834.

Géologie et relief

La superficie de la commune est de 186 hectares ; l'altitude varie de 43 à 77 mètres.

La commune s'étend sur une couche d'alluvions déposés par la Bièvre au-dessus de la couche de calcaire lutétien.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 .

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,9 amplitude thermique annuelle de 15,3 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Choisy-le-Roi à 7 vol d'oiseau, est de 12,7 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

Voies de communication et transports

Voies routières

Bourg-la-Reine est traversé par la RD 920 (l'ancienne ) sur un axe nord-sud arrivant de Cachan et continuant vers Antony. Elle se sépare en deux artères, entre la place de la Résistance au nord et celle de la Libération au sud : le boulevard du Maréchal-Joffre est l’axe de circulation nord-sud et passe notamment devant la gare de Bourg-la-Reine du RER, tandis que l’avenue du Général-Leclerc, (aujourd’hui encore désignée par les plus anciens Réginaburgiens sous son ancien nom de Grand-rue) est l’axe de circulation sud-nord.

Quant aux principaux axes est-ouest, il s'agit de :

  • au nord : les rues Léon-Bloy et du Port-Galand ;
  • au centre : les rues de la Bièvre, du 8-Mai-1945 et de Fontenay ;
  • au sud : les avenues Galois et Victor-Hugo (D 60).
Pistes cyclables

Quelques pistes cyclables sont créées notamment sur les voies départementales, par exemple sur la rue de Fontenay à proximité du collège Évariste-Galois ou encore sur la RD 920 qui voit s'achever en la réfection du tronçon Nord. La rue René-Roeckel, unique zone piétonne du centre-ville, est interdite aux cyclistes.

Certaines voies communales sont à circulation partagée, cycles et autos, limitées à 30 km/h.

Transports en commun

Bourg-la-Reine est desservi par la ligne B du RER d'Île-de-France par l'intermédiaire de la gare de Bourg-la-Reine.

Dix-huit lignes de bus relient Bourg-la-Reine à Paris et aux communes limitrophes, via les réseaux de bus de l'Île-de-France :

  • sept lignes du réseau de bus RATP : 172, 192, 197, 388, 390, 391 et 394 ;
  • une ligne du réseau de bus de la Bièvre : 12 ;
  • deux lignes du réseau de bus Vallée Sud Bus : 6 et 7 ;
  • deux lignes du Noctilien : N14 et N21.
  1. «  », sur un site spécifique créé par le conseil général des Hauts-de-Seine (consulté le ).
  2. Yvonne Firino, Antony - Cinq siècles de rues et de lieux-dits, APPA, Antony, 1998 (ISBN ).
  3. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. «  », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. «  », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. «  », sur meteofrance.fr, (consulté le )

Toponymie

Les noms de Burgum Reginæ et Burgus Reginæ sont attestés depuis le début du XIIe siècle. En 1230, on trouve juxta Burgum Reginæ in censiva dicts Abbatis et en 1247, Burgo Reginæ.

De nombreuses hypothèses ont été échafaudées quant à la reine dont il s'agit. On a parlé de Blanche de Castille, la mère de Louis IX de France mais celle-ci ayant régné au Adélaïde de Savoie, épouse de Louis VI le Gros. De fait, le couple royal fonde en ce lieu en 1134 un établissement pour l'abbaye des Dames de Montmartre au lieu-dit Vert Pré,.

En 1793, la commune est renommée « Bourg de l’Égalité », puis « Bourg-Égalité » en 1801 puis de nouveau « Bourg-la-Reine » en 1812.

  1. Un monastère d'hommes existait déjà du côté des Blagis.
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Histoire

Préhistoire

Des silex et une hache en pierre trouvés dans le quartier de la Fontaine Grelot à Bourg-la-Reine, ainsi que des haches en bronze, témoignent de la présence humaine durant la période préhistorique.

Moyen Âge

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La seigneurie de Bourg-la-Reine est donnée par Louis VI le Gros (1081-1137) en aux dames de l'abbaye de Montmartre, fief qu'il avait obtenu des religieuses de l'abbaye Notre-Dame d'Yerres en échange de la terre d'Inoilliers sur la paroisse de Briis-sous-Forges, qu'il avait acquis auprès des chanoines de Notre-Dame de Paris. Les dames d'Yerres tenait cette terre soit par aumône ou par l'une des religieuses, abbaye de Montmartre qu'il avait fondée avec sa femme la reine Adélaïde de Savoie : elle le garde jusqu'à la Révolution, sauf de 1710 à 1736 où les dames de Montmartre sont obligées d'aliéner leur domaine par impécuniosité en faveur du duc du Maine. Cette terre a également porté le nom de Pré Hilduin suivant une charte de 1160 de Louis VII, restituant une terre sise au Pont-la-Reine,.

Les religieuses de Montmartre firent élever l'église de Bourg-la-Reine en 1152 à l'entrée du village en venant de Paris. Ce bâtiment subit les affres du temps et des conflits et fut reconstruit en 1200.

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Thomas de Mauléon, abbé de l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés, devenu seigneur du Bourg-la-Reine en 1247, affranchit les habitants.

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En , lors de la chevauchée d’Édouard III, Bourg-la-Reine subit le pillage des soudards anglais.

En 1360, Édouard III d'Angleterre y passe la nuit alors que son armée assiège vainement Paris. Henri II de Bourbon-Condé et Henri IV y campent.

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En 1470, on note le passage de Louis XI et un recensement indiquant une centaine d'habitants à la même époque.

Temps modernes

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En 1544-1549 le Chapitre de l'église Saint-Benoît a une rente sur « les Trois rois » à Bourg-la-Reine, 1544-1549 (d. 4);

La léproserie dite de la Bulbienne, donnée par Charles IX à l'Hôtel-Dieu de Paris et située près du bourg, est détruite en 1564.

Puis viennent des temps noirs avec des brigandages en tous genres, guerres de Religion (1562-1598) et le massacre de la Saint-Barthélemy en 1572, puis la Fronde en 1648 puis la guerre de Trente Ans, la seconde Fronde, et la terrible année 1652 avec sa crise économique, la famine et la peste.

L'église, bâtie en 1152 par les religieuses de Montmartre puis reconstruite en 1200, est ruinée, pillée et brûlée par les huguenots, en 1567 pendant les guerres de Religion.

Il reste de cette époque troublée la harangue faite au roi Henri III par Louise de Lorraine-Vaudémont, reçoit un mauvais traitement à Bourg-la-Reine.
En 1600, la ville obtient la permission de s'entourer de murailles, dont, à la fin du Bièvre et en 1579 une nouvelle crue affecte son affluent la rivière de Fontenay dit aussi ruisseau de Bourg-la-Reine ou ru de la Fontaine des Moulins.

Henri IV fait bâtir une maison de campagne accompagnée d'un assez grand parc, dont il fait cadeau à Gabrielle d'Estrées. C'est dans cette maison qu'en 1722, Louis XV reçoit l'infante d'Espagne.

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En 1709, 68 feux sont recensés et en 1745 ils sont 88 dans le dénombrement de l'Élection publié par Doisy. Le Dictionnaire Universel de France donne pour 1726 une population de 400 habitants.

Le fief est acquis en 1710 par Louis-Auguste de Bourbon (1670-1736), duc du Maine qui possède Sceaux aux dépens des religieuses de Montmartre, obligées d'aliéner leur domaine par suite d'impécuniosité jusqu'en 1736 à la mort de ce dernier.

Révolution française et Empire

En 1789, le directeur de la manufacture de faïence est élu syndic de la commune. Le cahier de doléances fait mention des mêmes revendications que les autres communes de France, on note toutefois la demande de la reconstruction du pont sur le ruisseau de Fontenay en direction de l'Haÿ et la suppression de la Caisse, c'est-à-dire le privilège de marché des communes de Sceaux et de Poissy.[réf. nécessaire]

Les biens du chapitre Notre-Dame sont confisqués le .[réf. nécessaire]

La Garde nationale du district avec pour commandant Loridon, dit Claude Étienne Duplessis, dont la fille Lucille a épousé Camille Desmoulins est créée le . Un mois après est créée la milice bourgeoise dont le commandant est Régnier de Rohault[réf. nécessaire].

Sur les 900 habitants que compte le village, 40 sont partis défendre les frontières en tant que volontaires[réf. nécessaire].

L'Assemblée nationale décrète, d'après l'avis du comité de constitution, que le département de Paris est divisé en trois districts. L'un est formé par la ville de Paris, un autre à Saint-Denis et le troisième à Bourg-la-Reine. Ces deux derniers sont purement administratifs, de sorte que tous les établissements de judicature seront fixés à Paris.

Le , le savant Nicolas de Condorcet est incarcéré à la maison d'arrêt du bourg sous son nom d'emprunt Pierre Simon, il meurt dans la nuit.

Chef-lieu du district de Bourg-de-l'Égalité de 1790 à 1795, le village perd en 1795 la qualité de chef-lieu d'arrondissement au profit de Sceaux.

Époque contemporaine

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Le M4a3 Sherman, avec son canon de 75 .

La commune retrouve le calme durant la première partie du [réf. nécessaire]. C'est par une ordonnance royale, signée le par Louis-Philippe, annexant à Bourg-la-Reine une partie de la pente méridionale du territoire de Bagneux, qu'apparaît le toponyme les Bas-Coquarts pour désigner ce territoire nouvellement réginaburgien, le distinguant ainsi du lieu-dit les Coquarts, resté balnéonais, dont le coteau culminant à 80 mètres domine au nord-ouest Bourg-la-Reine.

En 1846, la ligne de Sceaux est inaugurée. La section de Bourg-la-Reine à Orsay l'est en 1854.

Guerre franco-allemande de 1870

Lors du siège de Paris de 1870, la ville est occupée à partir du par les armées prussiennes.

Première Guerre mondiale

Charles Péguy emménage à Bourg-la-Reine en 1913. Il est l'une des 170 victimes réginaburgiennes de la Première Guerre mondiale.

En 1935, le boulevard du Maréchal-Joffre, déviant la circulation du centre, est percé.

Seconde Guerre mondiale
Le Sherman M4a3 historiquement nommé Bourg-la-Reine, exposé à Phalsbourg.

La Seconde Guerre mondiale fait 48 morts dans la commune.

Lors des combats de la Libération de la France, la résistance locale bloque une pièce d'artillerie allemande postée au bas de l'allée d'honneur.
Un poste de secours a été installé dans la villa Hennebique, en face du parc du lycée Lakanal.
Trois résistants locaux, Paul-Henry Thilloy, René Rœckel, Jean-Roger Thorelle, sont fusillés par les Allemands. Et trois autres sont abattus : Roger Place, Marcel Babu, Georges Claude Courby.
Un autre résistant Michel Guillois (1899-1944) d'Honneur de la Police meurt en opération à Paris le , lors d'une échauffourée place de l'Opéra.

Les troupes victorieuses de Leclerc traversent la ville et l'un des chars de sa Division porte le nom de la ville de Bourg-la-Reine.

On peut d'ailleurs trouver un des sherman de la division exposé à Phalsbourg et portant l'inscription « Bourg-la-Reine ».

Historique des moyens de transport

Premier relais sur les routes allant de Paris à Orléans, Toulouse et Bordeaux, cette ancienne voie romaine qui traverse Bourg-la-Reine est très tôt un lieu de rencontres historiques et culturelles.

La poste aux chevaux était à la hauteur des no 80-82 de l'avenue du Général-Leclerc dont le maître de poste était Antoine Barbery en 1711. Elle est transférée en 1751 à la Croix de Berny.

À la fin du coucous, petites voitures hippomobiles à deux roues, au départ de la barrière d'Enfer. Puis viennent Les Élégantes, voitures à quatre roues faisant le trajet quatre fois par jour.

Ce mode de transport disparaît à la création du chemin de fer de l'ingénieur Jean-Claude-Républicain Arnoux, inauguré en 1846 par le duc d'Aumale représentant le roi Louis-Philippe, puis du tramway L'Arpajonnais. La ligne de celui-ci inaugurée en 1893 de la porte d'Orléans à Longjumeau (puis l'année suivante jusqu'à Arpajon). L'Arpajonnais transporte à 20 kilomètres à l'heure, outre des passagers, les marchandises pour les Halles ; il est électrifié, mais la section desservant Bourg-la-Reine disparaît en 1933.

[réf. nécessaire]
  1. André Joly, Images de Bourg-la-Reine, éd. SAEP Ingersheim, 1975, pp. 12-13.
  2. a b et c , volume 3.
  3. Jean-Marie Alliot, Histoire de l'abbaye des religieuses bénédictines de Notre-Dame d'Yerres, Paris, A. Picard, 1899.
  4. Archives nationales de France, LL.1030, no 26.
  5. a b c et d Ermete Pierotti, Dictionnaire historique des environs de Paris.
  6. Histoire de La ville de Poissy depuis ses origines jusqu'à nos jours, lire en ligne].
  7. Jean Froissard, Chroniques, lire en ligne].
  8. Archives nationales de France : S//893/A
  9. Abbé Lebeuf, op. cit., p. 387.
  10. A. Joly, Bourg-la-Reine, 1975, p. 17.
  11. Archives parlementaires de 1787 à 1860, première série (1787 à 1799), t.XI, p. 539.
  12. «Les Bas-Coquarts : au cœur des mémoires », BLR magazine no 441, juin-juillet-août 2019, p. 12.
  13. Xavier Lenormand, Histoire des rues de Bourg-la-Reine, p. 19.
  14. , exposé à Phalsbourg.


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Héraldique

Blason
Parti, au 1er d'azur à trois fleurs de lys d'or, au 2e d'hermine plain.
Détails
Ces armes sont identiques à celles de Brest.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

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Bourg-la-Reine dans la littérature

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Dokument erstellt 03/01/2018, zuletzt geändert 30/10/2024
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