Oissery

Localisation

Carte du monde

Oissery : descriptif

Informations de Wikipedia
Oissery

Oissery est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France. Les habitants sont appelés les Ostéraciens.

Géographie

Localisation

Oissery est à 50 Paris, et à environ 2 Picardie.

Communes limitrophes

Communes limitrophes d’Oissery
Silly-le-Long
(Oise)
Ognes
(Oise)
Brégy
(Oise)
Saint-Pathus Oissery Douy-la-Ramée
Marchemoret Saint-Soupplets Forfry

Géologie et relief

La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible.

Hydrographie

Le réseau hydrographique de la commune se compose de quatre cours d'eau référencés :

  • la Thérouanne, longue de 23,31 , qui conflue avec un bras de la Marne (F64-4301), ainsi que :
    • un bras de 1,26  ;
    • le ru de Brégy, 3,17 , affluent de la Thérouanne ;
      • le ru d'Oissery, 1,37 , qui conflue avec le ru de Brégy.

La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 6,6 .

Carte des réseaux hydrographique et routier d'Oissery.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (.

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 amplitude thermique annuelle de 15 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune du Plessis-Belleville à 5 vol d'oiseau, est de 11,4 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

Statistiques 1991-2020 et records PLESSIS-BELLEVILLE (60) - alt : 116m, lat : 49°06'21"N, lon : 2°44'13"E
Records établis sur la période du 01-05-2003 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,6 1,9 3 5,3 8,4 11,5 13,1 12,9 10,3 8,2 4,9 2,2 6,9
Température moyenne (°C) 4 5 7,3 10,8 13,7 17,3 19,5 18,9 15,9 12,2 7,8 4,6 11,4
Température maximale moyenne (°C) 6,4 8 11,5 16,4 19 23 25,8 24,9 21,5 16,2 10,6 7 15,9
Record de froid (°C)
date du record
−14,1
10.01.09
−11,9
07.02.12
−11,2
13.03.13
−3,9
07.04.21
−0,7
06.05.19
2,9
01.06.06
3,8
31.07.15
5,1
26.08.18
−0,3
30.09.18
−5,7
28.10.03
−5,7
30.11.10
−8,7
19.12.09
−14,1
2009
Record de chaleur (°C)
date du record
15,5
09.01.15
19,4
27.02.19
23,8
31.03.21
29,1
20.04.18
31,4
27.05.17
35,5
18.06.22
42,2
25.07.19
40,1
06.08.03
34,9
09.09.23
28,3
01.10.11
21,7
08.11.15
16,6
17.12.15
42,2
2019
Précipitations (mm) 56,2 49,8 48,8 36,2 74,2 63,4 53,2 60,3 46 53,5 52,6 67,5 661,7
Source : «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Milieux naturels et biodiversité

Carte des ZNIEFF de type 1 localisées sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal d'Oissery comprend une ZNIEFF de type 1,,, l'« Étang de Rougemont » (13,11 .


Erreur de référence : Des balises <ref> existent pour un groupe nommé « Carte », mais aucune balise <references group="Carte"/> correspondante n’a été trouvée

  1. «  ».
  2. Sandre, «  » (consulté le ).
  3. Sandre, «  » (consulté le ).
  4. Sandre, «  » (consulté le ).
  5. Sandre, «  » (consulté le ).
  6. , consulté le 24 janvier 2019
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. «  », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  9. «  », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  12. «  », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  13. «  », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. «  », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).


Erreur de référence : Des balises <ref> existent pour un groupe nommé « Note », mais aucune balise <references group="Note"/> correspondante n’a été trouvée

Toponymie

Oissery aurait pour origine étymologique la forme Oisseriaci, le pays des oseraies (terrains plantés d'osiers) .

Le nom de la localité est mentionné sous différentes formes : Osseri en 1112 et 1151 ; Oxeriacum en 1177 ; Oxiri en 1178 ; Ossiri vers 1180 ; Terra de Oseriis en 1189 ; Oisseriacum en 1222 et 1229 ; Ouseriacum en 1254 ; Oxeriacum en 1257 ; Oisseriacum et Osseriacum en 1261.

  1. Fernand Labour 1876, p. 21.
  2. Voir et , Dictionnaire topographique du département de la Seine-et-Marne, Paris, (lire en ligne), p. 423.
  3. Du Plessis, Histoire de l'Église de Meaux, lire en ligne), p. 21.
  4. Archives nationales, L 877, no 87.
  5. Archives nationales, LL 1351, fol. 64 v°.
  6. Archives nationales, L 877, no 65.
  7. Archives nationales, S 5190b, no 46.
  8. Archives nationales, L 877, no 1.
  9. Bibl. nat., ms. latin 18355, fol. 42.
  10. Archives nationales, MM 894, no 118.
  11. Bibl. nat., coll. Picardie, vol. 314, no 4.
  12. Bibl. nat., coll. Picardie, vol. 314, nos 21 et 23.

Histoire

Les seigneurs d'Oissery

Sous l'Ancien Régime, dès le milieu du suzeraine qui relève directement du roi de France.
Parmi les seigneurs du lieu, on trouve :

  • deux maréchaux de France ;
  • trois chambellans de roi ;
    Maison des Barres, branche aînée des seigneurs d'Oissery.
  • des prévôts de Paris ;
  • un ministre de la marine ;
  • un prince du sang.

Huit familles ou maisons se sont succédé à la tête d'Oissery jusqu'à la Révolution.

La maison des Barres

Les membres successifs de la branche ainée de la maison des Barres sont seigneurs d'Oissery. Ces seigneurs, chevaliers et croisés, sont, dans l'ordre, Fredelus (mort vers 1160) suivi de sa descendance agnatique : , Guillaume II, Guillaume III et Jean des Barres (d'Oissery) mort en 1289.

Guillaume II s'est illustré à la Bataille de Bouvines (1214), il a été inhumé au Prieuré de Fontaines-les-Nonnes, près d'Oissery.

Jean des Barres est connu de tous les ostéraciens : une rue et le collège de la commune portent son nom ; l'église abrite sa sépulture et sa pierre tombale où il est représenté, entouré de ses deux épouses successives.

La maison de Chabot

Marguerite des Barres, deuxième fille de Jean des Barres qui n'a pas d' « hoir mâle », hérite entre autres d'Oissery.
Elle épouse, vers 1280, Gérard II Chabot dit « Gérard II de Retz », seigneur de Retz, de Machecoul, etc.
En 1285, il participe, avec le roi Philippe III le Hardi, à la croisade d'Aragon.
Marguerite lègue à son époux le tiers de tous ses biens fonciers par charte du 28/04/1289. Celui-ci meurt en 1298 sans descendance. Oissery reviend alors à Jeanne, sœur de Marguerite,.

La maison d'Ivry

La généalogie concernant la maison d'Ivry et son lien avec Oissery est en partie incertaine.
Jeanne des Barres (†<1310), sœur de Marguerite est supposée hériter d'Oissery. Elle épouse un dénommé Guillaume d'Ivry (Guillaume II ?). Parmi ses descendants, Guillaume III est cité dans le Dictionnaire de la noblesse : « Guillaume III, baron d'Ivry et de Bréval, seigneur d'Oissery et de Saint-Pathus, épouse en 1363 Marie de Montmorency dont le père est maréchal de France ».

Leur fils aîné, Charles II héritera de ses parents. Il est conseiller et chambellan du roi Charles VI. Il devient Grand- Maître des Eaux & Forêts de France avant 1412 et meurt à la bataille d'Azincourt en 1415.

Mort sans descendance, sa nièce Catherine de Marcilly, devenue baronne d'Ivry, reçoit en héritage, entre autres, la seigneurie d'Oissery-en-Multien.

La maison d'Estoutville

La fille de Catherine de Marcilly épouse en 1447 Robert VII d'Estouteville et lui apporte en dot la seigneurie d' Oissery.
Robert est donc le premier seigneur d'Oissery appartenant à la maison d'Estoutville.
Conseiller et chambellan du roi Charles VII, puis de Louis XI, il devient prévôt de Paris en 1446.

Son fils, Jacques, hérite en 1479 de la chatellenie d'Oissery. Chambellan du Roi et prévôt de Paris après son père, il est le mari de Gillette de Coëtivy, petite-fille de Charles VII et d'Agnès Sorel. Pour l'anecdote, elle lui apporte en dot 12 000 écus d'or, somme énorme pour l'époque. Jacques meurt en 1509.

Marie, sa seconde fille, héritera d'Oissery. Elle épouse en 1513 Gabriel de Tourzel d'Alègre.

La maison d'Alègre

Gabriel d'Alègre (° vers 1480 - † < 1540) est maître des requêtes de l'Hôtel, prévôt de Paris et bailli de Caen, il a de sa femme Marie d'Estouville, dame d'Oissery, plusieurs enfants dont :

François (°1515 - †1542/1543) et Christophe Antoine Duprat, seigneur de Nantouillet et chancelier de France sous .

Christophe II, Christophe III, Louis, Emmanuel seront des héritiers successifs.

Le dernier membre de la famille d'Alègre, seigneur d'Oissery, est Yves d'Alègre.
Marquis, il est fait maréchal de France en 1724, « après une carrière militaire des plus honorable ».
Il meurt en 1730. Avec lui s'éteint le dernier des seigneurs d'Oissery de cette maison d'Alègre qui a possédé la châtellenie pendant plus de deux siècles.

La maison Danycan de Landivisiau

Au décès d'Yves Alègre (1730), la famille Danycan acquiert plusieurs châtellenies du Multien : Le Plessis, Silly et Oissery. C'est une riche famille d'armateurs et corsaires de Saint-Malo.

D'après Fernand Labour, il semble que ce soit le fils de Noël Danycan, sieur de Landivisiau, mort en 1730, qui reçoive Oissery.
« La seigneurie d'Oissery ne resta pas longtemps entre leurs mains. En effet, le terrier d'Oissery indique qu'en 1745, Oissery passera à la maison de Pontchartrain. »

La maison de Pontchartrain

En 1745, la comtesse de Pontchartrain, Hélène de L'Aubespine (1690-1770), achète la châtellenie d'Oissery.
Elle est la seconde épouse de Jérôme Phélypeaux de Pontchartrain, ancien secrétaire d'État de la Marine.
Ce dernier étant très dépensier, la comtesse est obligée de recourir à la séparation de biens pour sauver sa fortune.

Elle réside habituellement dans son château du Plessis-Pontchartrain tout près d'Oissery. C'est là que, pour se rendre compte de l'état de sa fortune, elle fait dresser par son procureur fiscal le terrier féodal et censuel de la châtellenie suzeraine d'Oissery. Après analyse de ces biens, devant une situation financière désastreuse, elle est obligée de vendre Oissery en 1763 au prince de Conti.

La maison de Bourbon-Conti

En 1763, Louis-François-Joseph de Bourbon-Conti achète Oissery.
Louis-François-Joseph (1734-1814), est prince du sang. Il est successivement comte de la Marche puis prince de Conti en 1776.
La Révolution est une période qu'il traverse difficilement : arrêté en 1793, remis en liberté en 1795 par le Directoire, il est conduit à la frontière espagnole. Réfugié à Barcelonne, il y meurt en 1814. Sans descendance, il est le dernier membre de la maison Bourbon-Conti.

Oissery qu'il garde dix-huit ans sera vendu comme bien national en 1791 au sieur Brodelet,. Louis-François-Joseph est donc le dernier seigneur de la châtellenie suzeraine d'Oissery.

Le château

Le château fort est érigé au maison des Barres.
Il n'existe pas d'archives sur cette demeure féodale à l'exception de la trace de la fondation d'une chapelle en 1272-1273 (voir Jean des Barres, le bienfaiteur).

Néanmoins :

Des sceaux des seigneurs d'Oissery de l'époque, représentent un château fort stylisé. Ils ont inspiré les armes actuelles de la ville. Suivant certains auteurs, cette représentation peut donner une idée de l'architecture partielle du château.

Les traces du château en ruines se retrouvent sur des plans d'Oissery datés de 1780 et du XIXe siècle.

Fernand Labour (1839-1903), en fait une description qu'on peut supposer être assez fiable.

Le sceau de 1246 qui a inspiré F. Labour (1876).

« Cette féodale demeure était située presqu'au milieu d'un immense étang ; c'était une massive construction de forme carrée, flanquée aux quatre angles de larges tours à mâchicoulis, reliées entre elles par une longue courtine crénelée… Au milieu de la partie sud s'élevait une tour carrée. C'était le donjon qui faisait communiquer avec l'extérieur par une porte ogive qui donnait sur un pont-levis assez étroit… La haute porte d'entrée est accompagnée de deux portes de service pour les piétons.,. »

En 1591, à l'époque de la Ligue, « quatre-vingts ligueurs, hommes d'armes, tant de pied que de cheval sont abrités derrière les puissantes murailles du château ». Assaillis par les paysans, ils décampent et se retirent à Meaux. Voulant reprendre Oissery en 1592, ils sont battus par les troupes royalistes vers Puisieux ; un an plus tard, le premier janvier 1594, Henri IV fait son entrée triomphale à Meaux ; le 22 mars, ce sera Paris, !

En 1745, la comtesse de Pontchartrain (voir supra) fait dresser le terrier de la châtellenie d'Oissery. On peut y lire que le châtel est ruiné, à moitié démoli. Il ne reste que les murailles de clôture et une grosse tour qui sert de prison et d'auditoire pour la juridiction. Elle est surplombée d'un colombier ; attenant à cette grosse tour, on trouve la chapelle de Jean des Barres rétablie par la comtesse et rebénie en 1752.

Les ruines du château ne semblaient plus subsister en 1888 ; en 2020, à son emplacement, se trouve la mairie, jouxtant la rue des Chevaliers. Tout près, subsistait encore en 2014, la grange dîmière du seigneur, datant du XIIIe siècle.

La chatellenie

Oissery était, en droit seigneurial, une châtellenie suzeraine.
Dans cette châtellenie, le seigneur concède à des vassaux des domaines ou fiefs, en contrepartie de certains services : l'investiture est réalisée par la cérémonie de l'hommage où le vassal promet fidélité, conseils, aide militaire et financière au suzerain. En échange, ce dernier doit protection et justice à ses vassaux.

Vers 1750, la comtesse de Pontchartrain, dame haute justicière, donne procuration à son notaire pour recevoir les déclarations et reconnaissance des vassaux de sa châtellenie suzeraine d'Oissery et des seigneuries de Saint-Pathus, Noêfort (sur Saint-Pathus), Forfry, La Ramée, Silly et les nombreux fiefs s'y rattachant.

Environs d'Oissery, plan de 1717.

Depuis l'époque des Barres, les seigneurs concèdent des fiefs à des particuliers ou des communautés religieuses. Sur le terrier de 1745, Fernand Labour en dénombre vingt-sept, sans tenir compte des arrière-fiefs. Ils se répartissent dans les seigneuries précitées et plus loin dans la région, jusqu'à Lizy, Orly, etc.

Pour le domaine direct des seigneurs d'Oissery, voici en quoi il consistait en 1747 :

  1. le vieux château avec la grange du Champart (grange aux dîmes) dans la rue éponyme ;
  2. les étangs d'Oissery et du Rougemont ;
  3. le moulin hydraulique et le canal de Rougemont avec des prés ;
  4. les prés de Clacquetel ( Claquette ?) et des marais sur Brégy ;
  5. les bois des Barres et de l'Homme-Mort, vers Saint-Pathus ;
  6. les terres labourables de la ferme seigneuriale.

Le tout pour une contenance d'environ 755 arpents, soit un peu moins de 380 hectares. C'est ce « beau domaine » qui sera vendu en 1763 au prince de Conti.

Époque contemporaine

Le le groupe de résistants Charles Hildevert est décimé à Oissery par les forces allemandes. Ces combats auront fait 105 morts et 65 prisonniers ou disparus. Quelques plaques et monuments commémorent ces faits de guerre à Oissery et Forfry.

On peut trouver différents témoignages de cet épisode sanglant dans la commune, notamment à l'emplacement de la râperie, qui fut incendiée par les nazis et près de l'étang de Rougemont. L'odonyme rue du 26-Août-1944 commémore également cet évènement.

  1. Fernand Labour 1876, p. 138.
  2. D'après Étienne Pattou 2006-2016, p. 6..
  3. Voir la page sur les Guillaume d'Ivry dans le dictionnaire de la noblesse.
  4. Fernand Labour 1876, p. 141.
  5. Fernand Labour 1876, p. 143.
  6. Fernand Labour 1876, p. 144-146.
  7. Fernand Labour 1876, p. 147-148.
  8. Fernand Labour 1876, p. 149.
  9. PLU d'Oissery (accès en ligne.
  10. Fernand Labour 1876, p. 150-151.
  11. Voir tous les sceaux des Barres : accès en ligne.
  12. Voir le plan d'intendance d'Oissery daté de 1780, accès en ligne
  13. Fernand Labour 1876, p. 21-22.
  14. Fernand Labour 1861.
  15. Fernand Labour 1876, p. 23.
  16. Christian de Bartillat, Un champ de bataille et de blé, La Région Nord de Meaux (Multien, Goële, Petite France), Paris, éditions Bartillat, .
  17. Fernand Labour 1876, p. 23-26.
  18. Fernand Labour 1876, p. 10.
  19. Fernand Labour 1876, p. 35-100.
  20. Fernand Labour 1876, p. 29.
  21. www.noisylegrand-tourisme.fr Le réseau de résistance Charles Hildevert.
  22. # http://liberation-de-paris.gilles-primout.fr/oissery-un-dommage-collateral
  23. # http://monuments77.jimdo.com/mémoriaux-évènementiels/groupe-hildevert/


Erreur de référence : Des balises <ref> existent pour un groupe nommé « Note », mais aucune balise <references group="Note"/> correspondante n’a été trouvée

Ces informations proviennent du site Wikipedia. Elles sont affichées à titre indicatif en attendant un contenu plus approprié.

Oissery dans la littérature

Découvrez les informations sur Oissery dans la bande dessinée ou les livres, ou encore dans la ligne du temps.

1309 autres localités pour Ile-de-France

Vous pouvez consulter la liste des 1309 autres localités pour Ile-de-France sur cette page : https://www.gaudry.be/lieu/fr/fr-idf/villes.html.

Deutsche Übersetzung

Sie haben gebeten, diese Seite auf Deutsch zu besuchen. Momentan ist nur die Oberfläche übersetzt, aber noch nicht der gesamte Inhalt.

Wenn Sie mir bei Übersetzungen helfen wollen, ist Ihr Beitrag willkommen. Alles, was Sie tun müssen, ist, sich auf der Website zu registrieren und mir eine Nachricht zu schicken, in der Sie gebeten werden, Sie der Gruppe der Übersetzer hinzuzufügen, die Ihnen die Möglichkeit gibt, die gewünschten Seiten zu übersetzen. Ein Link am Ende jeder übersetzten Seite zeigt an, dass Sie der Übersetzer sind und einen Link zu Ihrem Profil haben.

Vielen Dank im Voraus.

Dokument erstellt 03/01/2018, zuletzt geändert 30/10/2024
Quelle des gedruckten Dokuments:https://www.gaudry.be/de/lieu/fr/fr-idf/277729.html

Die Infobro ist eine persönliche Seite, deren Inhalt in meiner alleinigen Verantwortung liegt. Der Text ist unter der CreativeCommons-Lizenz (BY-NC-SA) verfügbar. Weitere Informationen auf die Nutzungsbedingungen und dem Autor.