Hénin-Beaumont

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Hénin-Beaumont : descriptif

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Hénin-Beaumont

Hénin-Beaumont est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. La commune résulte de la fusion d'Hénin-Liétard et de Beaumont-en-Artois en 1971. Peuplée en 2021 de 26 035 habitants, c'est la 6e ville du département et la 24e de la région

Hénin-Beaumont est le siège de la communauté d'agglomération Hénin-Carvin qui regroupe 14 communes, soit 126 840 habitants en 2021, mais est directement sous l'influence des villes de Lens et Douai, entre lesquelles elle est située, appartenant ainsi à l'unité urbaine de Douai-Lens, agglomération de 67 communes formant le pôle urbain de l'aire urbaine de Douai-Lens, duquel elle est l'une des quatre villes-centres. Avec sept charbonnages sur son territoire, quelques terrils et plusieurs centaines de maisons des mines, la commune conserve d'importantes traces de son passé industriel (cf

époque contemporaine).

Géographie

Localisation

Carte interactive (cliquer sur la carte).

Hénin-Beaumont se situe dans la Gohelle dans la région Hauts-de-France et comme toutes les villes de la communauté d'agglomération Hénin-Carvin, elle fait partie du bassin minier du Nord-Pas-de-Calais.

Lille est à 30 kilomètres, Arras à 20, Douai et Lens à 10.

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de dix communes, dont une située dans le département du Nord :

Communes limitrophes d’Hénin-Beaumont
Montigny-en-Gohelle Courrières Oignies
Dourges
Billy-Montigny Hénin-Beaumont Noyelles-Godault
Rouvroy,
Drocourt
Izel-lès-Équerchin     Quiéry-la-Motte Esquerchin
(Nord)

Géologie et relief

La superficie de la commune est de 20,72 . Les terrils culminent cependant à 115 mètres et 77 mètres, et le Haut-Bois du Bois à 74 mètres.

Hydrographie

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.

La partie nord de la commune, basse, est traversée par le canal de la Deûle à son extrémité, ainsi que par un bras de ce canal. La station d'épuration se situe au croisement de ces deux cours d'eau. Cette zone touche plusieurs anciens marais : le grand marais (Courrières), le marais de Labiette, le marais de Dourges, le marais de Bourcheuil (Dourges). Autrefois la ville était traversé par un cours d'eau : l'Eurin. Ce cours d'eau prend sa source dans les environs de la mairie pour finir sa course lente dans la Deûle. Canalisé en sous sol, il n'est visible qu'à partir de la route reliant le hameau Bourcheuil à Courrières.

Réseau hydrographique d'Hénin-Beaumont.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (.

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 amplitude thermique annuelle de 14,5 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Douai à 11 vol d'oiseau, est de 11,0 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

Milieux naturels et biodiversité

Pour une ville de l'ancien bassin minier du Nord-Pas-de-Calais, les terrils y sont implantés. On peut voir le terril .

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend quatre ZNIEFF de type 1 :

  • les terrils 84 et 205 d'Hénin-Beaumont. Ce site, situé au cœur du bassin minier, est situé au carrefour des communes de Billy-Montigny, Rouvroy et Hénin-Beaumont. Il est constitué de deux terrils (84 et 205) reliés par un fossé alimenté par les eaux de ruissellement ;
  • le marais et le terril d’Oignies et le bois du Hautois, d’une superficie de 213 hectares et d'une altitude variant de 25 à 90 mètres ;
  • les terrils 85 et 89 d'Hénin-Beaumont, d’une superficie de 37 hectares et d'une altitude variant de 0 à 37 mètres ;
  • les terrils 87 et 92 de Dourges et d’Hénin-Beaumont, d’une superficie de 75 hectares et d'une altitude variant de 29 à 125 mètres. Ces deux terrils, bordant les autoroutes A1 et A21, proviennent de l’activité de la fosse n°2 dite « Fosse Sainte-Henriette », et présentent un faible taux de végétalisation et la quasi-absence de boisements.
Carte des ZNIEFF sur la commune.
Espèces faunistiques et floristiques

Le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) recense plusieurs espèces faunistiques et floristiques sur le territoire de la commune dont certaines sont protégées et d’autres menacées et quasi-menacées.

  1. « Découvrir Hénin-Beaumont », site de la mairie.
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  3. «  », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  4. Sandre, «  » (consulté le )
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. «  », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. «  », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. «  », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. Charte d’écologie urbaine et rurale de la communauté d’agglomération d’Hénin-Carvin : Diagnostic environnement — Page 6
  12. «  », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. «  », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. «  », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. «  », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. «  », sur Le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).


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Toponymie

La commune résulte de la fusion d’Hénin-Liétard et de Beaumont-en-Artois en 1971.

Hénin est attesté sous les formes Hennium (964) ; Henninium (966) ; Heninium (955-981) ; Henim (1040) ; Hinniacum Lethardi, Hinniacum (1123) ; Henniacum (1142) ; Sanctus Martinus de Henain (1146) ; Hennin (XIIe siècle) ; Hanninum (1202) ; Hingniacum (1242) ; Héning (1243) ; Aenin (1248) ; Hanin (vers 1250) ; Hynniacum (1260) ; Hyniacum (1269) ; Hanin-le-Liétart (1274) ; Letardi Hiniacum (1287) ; Hénin-Létart (1290) ; Hennyn (XIIIe siècle) ; Hanyn-Lietard (1302) ; Hénin-Lieutard (1302) ; Hennin-Lietart (1337) ; Hennin (1340) ; Henniliétart (XIVe siècle) ; Hainin-Liétart (1501) ; Hényn-Liétard (1507) ; Hénin-Liétard (1611) ; Hénin-l’Humanité (1792).

Il s'agit d'une formation toponymique médiévale basée sur l'anthroponyme germanique Henno, suivi du suffixe -inum.

On ajouta Liétard en souvenir du seigneur, soit en reconnaissance des services rendus à la ville pour ses fortifications, soit tout simplement pour la distinguer d'Hénin-sur-Cojeul, à 30 kilomètres de là.

Beaumont est attesté sous les formes Belmont (1191) ; Bellus mons (1213) ; Bellomuns (1255) ; Bellus mons versus Héning (1260) ; Biaumont (1270) ; Biemont (1272) ; De Montebello (XIIIe siècle) ; Byaumont (1333).

Durant la Révolution française, la commune d'Hénin-Liétard porte le nom de L'Humanité.

En flamand, la ville s'appelle Henen-Schoonberg.

  1. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN ), p. 348b
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  3. Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Imprimerie nationale, (lire en ligne), p. 36.
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  5. flandreetartois.over-blog.com

Histoire

Antiquité

Le site a été très tôt occupé : l'existence d'un village gaulois prospère est attestée par les fouilles. Au .

En 360, une première église est construite à l'emplacement actuel de l'église Saint-Martin. Hénin est définitivement christianisée au VIIe siècle.

Moyen Âge

Au abbaye augustinienne d'Hénin, renommée plus tard Notre-Dame d'Hénin-Liétard, fut fondée par saint Aubert.

Le , les Vikings incendient Hennium.

La ville, qui dépend de la seigneurie des comtes de Liétard (qui dominent la ville de 950 jusqu'à 1244), est pillée et incendiée par les troupes impériales en 1053. Isaac Liétard, le , comte d’Artois.

Temps modernes

Le , la ville d’Hénin-Liétard est érigée en comté, avec adjonction de la baillie et fief de Gouy-Servain, au bénéfice d'Oudard de Bournonville, chevalier, baron de Barlin et Houllefort, seigneur de Capres, Divion, Ranchicourt, Tournes, Bandas, du Maisnil, gentilhomme de la bouche du roi (maître d'hôtel du roi), chef d'une bande d'hommes d'armes, gouverneur et capitaine des ville et cité d'Arras, capitaine d'une compagnie de chevau-légers.

Époque contemporaine

On note la verrerie Beauvois à Hénin

Grands bureaux de la Compagnie des mines de Dourges vers 1905.

En 1852, la découverte de la houille dans le bassin minier du Nord-Pas-de-Calais fait entrer Hénin-Liétard dans la modernité. À partir de 1856, de nombreux étrangers viennent à Henin-Liétard travailler dans les mines..

La compagnie des chemins de fer du Nord fait construire la gare de Hénin-Liétard sur les lignes de Lens à Ostricourt et d'Hénin-Beaumont à Bauvin - Provin en 1859.

Lors de la guerre franco-allemande de 1870, le maire de l'époque s'enfuit. Paul Galland devint maire par la force des choses et organisa la défense de la ville face aux Prussiens qui arrivaient. Il fit d'Hénin-Liétard la seule ville défendue par ses habitants que les Prussiens ne prirent pas. Après la guerre, il démissionna, bien que tout le monde lui demandât de rester maire. En 1888, à sa mort, il y eut une foule importante et un long discours pour saluer ce grand personnage de la ville. Il fut enterré dans le caveau de la famille de son épouse Bruneau-Maréchal. Cette tombe existe toujours derrière le calvaire du cimetière d'Hénin-Beaumont, section B [réf. nécessaire].

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Au début du Jeune syndicat de Benoît Broutchoux.

Lors de la Première Guerre mondiale, l'occupation allemande est dure et destructrice. Dans la nuit du 3 au , les occupants procèdent au pillage et au saccage de la maison communale. En , cette dernière subit l'acharnement des alliés à vouloir déloger l'occupant, il n'en restera bientôt plus que les murs. L'évacuation totale de la commune est effective le . Vers le  (non certifié par l'absence de témoins), les Allemands font exploser l'église Saint-Martin avant de quitter la ville. Après la signature de l'Armistice, les premiers habitants seront notés de retour le .[1]

La cité Foch de la fosse no 2 - 2 bis.

Durant l'entre-deux-guerres, Hénin-Liétard se reconstruit peu à peu sous l'impulsion du maire Adolphe Charlon (SFIO), qui sera constamment réélu jusqu'à sa démission en 1940. L'hôtel de ville est reconstruit en 1925. La Compagnie des mines de Dourges fait édifier l'église Sainte-Marie en 1928 pour les mineurs de la cité Foch. L'église Saint-Martin est reconstruite en style gréco-byzantin par l'architecte Boutterin en 1932, la nouvelle gare est inaugurée en 1933. À l'instar des affrontements politiques nationaux, la ville connait également des moments houleux : le , des socialistes s'opposent à des royalistes qui avaient organisé une réunion politique. Les Camelots du roi royalistes tirent sur les socialistes qui avaient forcé l'entrée de la salle et Joseph Fontaine, mineur et militant communiste, est tué.

Libérée par les Alliés en , la ville est d'abord dirigée par le communiste Nestor Calonne de à . Le socialiste Fernand Darchicourt est élu maire d'Hénin-Liétard en 1953. C'est un autre socialiste, Jacques Piette, qui lui succède. Après la fermeture du dernier puits de mine en , Jacques Piette doit négocier la difficile transition d'Hénin-Liétard d'une ville minière à une ville tournée vers le commerce et les services. Il mène à bien la fusion d'Hénin-Liétard et de Beaumont-en-Artois, qui permet à la ville de se doter d'une vaste zone commerciale dans le secteur du Bord des Eaux, le centre commercial de Noyelle avec l'enseigne Auchan. Dès lors, le centre-ville ne cesse de se vider de ses commerçants.

Frappée par la fermeture de l’usine voisine de Metaleurop en 2003 et celle de Samsonite en 2007, Hénin-Beaumont est dirigée depuis l’élection municipale de 2001 par Gérard Dalongeville, ex-directeur de cabinet de Pierre Darchicourt. En 2007, au second tour des élections législatives, Marine Le Pen, affronte le député-maire de Courrières Albert Facon, et obtient 45 % des voix à Hénin-Beaumont. Infiltré dans l’équipe de campagne de Steeve Briois, le chercheur en sciences politiques Djamel Mermat estime qu'en 2008, le FN a 130 et 140 adhérents à Hénin-Beaumont. Gérard Dalongeville obtient l’investiture du Parti socialiste pour les municipales et François Hollande, premier secrétaire du PS, vient lui apporter son soutien. Il réussit à se faire réélire, avec au premier tour 43 % des voix contre 28 % pour Steeve Briois, mais Marine Le Pen intègre le conseil municipal et en 7 ans, le FN est passé de 1999 voix à 3650 voix soit dix points de plus.

Dans cette ville, l’ex-maire Gérard Dalongeville, dont la "gestion calamiteuse" a entraîné une hausse de 85% des impôts, est mis en examen pour détournement de fonds en 2009, à Liévin, un autre élu socialiste, le député-maire Jean-Pierre Kucheida est visé par une enquête sur l’utilisation frauduleuse d’une carte bleue de la société gestionnaire des anciens logements miniers, créant le sentiment que « dans la région, les affaires gangrènent les fédérations socialistes ». Albert Facon, député sortant, s'oppose à son ex-assistant parlementaire Jean-Pierre Corbisez, devenu maire d'Oignies et qui l'a évincé en 2008 de la présidence de la communauté d'agglomération, tandis que Philippe Kemel, maire de Carvin, se lance aussi dans la bataille de la primaire militante. Par la suite, conquise dès le premier tour des municipales de 2014 par Steeve Briois, Hénin-Beaumont deviendra une "vitrine du frontisme municipal".

La fosse no 2 - 2 bis reconstruite après guerre.

Grève des mineurs de mai-juin 1941

C'est dans la commune proche de Montigny-en-Gohelle, dans le Pas-de-Calais, à la fosse 7 de la Compagnie des mines de Dourges, que la grève patriotique des cent mille mineurs du Nord-Pas-de-Calais de mai-juin 1941 a démarré, avec Emilienne Mopty et Michel Brulé (1912-1942), privant les Allemands de 93 000 tonnes de charbon pendant près de 2 semaines.

C'est l'un des premiers actes de résistance collective à l'occupation nazie en France et le plus important en nombre, qui se solda par 414 arrestations en 3 vagues, la déportation de 270 personnes, 130 mineurs étant par ailleurs fusillés à la Citadelle d'Arras.

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La commune avec la percée du Front National depuis le début du RSA.

Le 30 juin 2012, 353 éléments du Bassin minier du Nord-Pas-de-Calais sont classés au patrimoine mondial de l'UNESCO au titre de « paysage culturel évolutif vivant ». Pour Hénin-Beaumont les sites 45, 46 et 48 : cité jardin Foch, les terrils liste des biens du bassin minier du Nord-Pas-de-Calais inscrits sur la liste du patrimoine mondial) sont retenus. Puis, en 2021, des vestiges de l'abbaye Sainte-Marie-sous-Eurin sont retrouvés, grâce au projet immobilier de la Société régionale des cités jardins. Cette dernière a entraîné des fouilles préventives. Les fouilles devaient être arrêtées en octobre 2021, mais, compte tenu de l'importance des vestiges, elles vont durer beaucoup plus longtemps.

  1. Patrick Bouquet et Henri Claverie, «  », site de Hénin-Liétard à Hénin-Beaumont (consulté le ).
  2. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 160, lire en ligne
  3. Raoul Hancart, « La situation dans la verrerie à vitres », La Voix des Verriers,‎ , p. 1.
  4. Patrick Bouquet et Henri Claverie, «  », site de Hénin-Liétard à Hénin-Beaumont (consulté le ).
  5. Patrick Bouquet et Henri Claverie, «  », site de Hénin-Liétard à Hénin-Beaumont (consulté le ).
  6. Cent ans de vie dans la région : 1914-1939, La Voix du Nord éditions, , p. 53.
  7. a b c d e et f "Hénin-Beaumont : le frontisme municipal décrypté" par David Noël, dans La Pensée en 2020 [2]
  8. a b et c "Terril en la demeure pour le PS" par Haydée Sabéran, (à Lille) le 13 mai 2012 dans Libération [3]
  9. Article par PASCAL WALLART ET PIERRE-LAURENT FLAMEN dans La Voix du Nord [4]
  10. Etienne Dejonghe, « Chronique de la grève des mineurs du Nord/Pas-de-Calais (27 mai - 6 juin 1941) », Revue du Nord, ISSN 0035-2624, e-ISSN 2271-7005, DOI 10.3406/rnord.1987.4298).
  11. «  », Chemins de Mémoire (consulté le ).
  12. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Sabéran, 2014
  13. UNESCO Centre du patrimoine mondial, «  », sur UNESCO Centre du patrimoine mondial (consulté le ).

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Hénin-Beaumont dans la littérature

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Dokument erstellt 03/01/2018, zuletzt geändert 30/10/2024
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