Nouzonville
Localisation
Nouzonville : descriptif
- Nouzonville
Nouzonville est une commune française, située dans le département des Ardennes en région Grand Est.
Géographie
Les communes limitrophes sont Aiglemont, Bogny-sur-Meuse, Charleville-Mézières, Damouzy, Joigny-sur-Meuse, Montcy-Notre-Dame et Neufmanil.
Description
Nouzonville est une ville ardennaise de la vallée de la Meuse, marquée par son passé industriel, située à 7 Charleville-Mézières, 80 Reims, 70 Charleroi et à cent à l'ouest de Luxembourg, à une dizaine de kilomètres de la frontière franco-belge. Elle est desservie par la route départementale RD 1, qui longe la Meuse.
Située à la confluence des vallées de la Meuse et de la Goutelle, la ville se trouve dans le parc naturel régional des Ardennes.
Transports
La gare de Nouzonville, située sur la ligne de Soissons à Givet, est desservie par des trains TER Grand Est circulant entre les gares de Charleville-Mézières et Givet, via Revin.
Nouzonville est desservie par le réseau de bus appelé TAC (Transport en commun de l'Agglomération de Charleville Mezieres -Sedan) les lignes 6 et 9 desservant la ville. Ce réseau est exploité par la RATP Dev.
Principaux hameaux
Le hameau de Meiller-Fontaine — qui fut une commune autonome jusqu'en 1974 — est une exclave, séparé de Nouzonville par le territoire de la commune de Bogny-sur-Meuse.
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La Meuse et le massif ardennais
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La gare
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La voie ferrée et la Meuse
Communes limitrophes
Hydrographie
La commune est dans le bassin versant de la Meuse au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la Meuse, le ruisseau la Goutelle, le ruisseau de Nedimont et le ruisseau du Pré Allard,.
La Meuse, d'une longueur de 486 fleuve européen qui prend sa source en France, dans la commune du Châtelet-sur-Meuse, à 409 mètres d'altitude, et se jette dans la mer du Nord après un cours long d'approximativement 950 kilomètres traversant la France, la Belgique et les Pays-Bas. Elle traverse la commune et le bour du sud bers le nord, sur une longueur d'environ 4,5 km.
La Goutelle, d'une longueur de 12 Gespunsart et se jette dans la Meuse sur la commune, après avoir traversé trois communes. Elle est alimentée par le ruisseau de Naidimont, qui constitue la limite est du territoire communal.
Le hameau de Meiller-Fontaine est limité au sud par le ruisseau de Meiller-Fontaine et par un autre ruisseau à l'est.
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La Meuse et l'église.
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Réseau hydrographique de Nouzonville.
Climat
En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 .
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,6 amplitude thermique annuelle de 15,5 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Charleville-Méz. », sur la commune de Charleville-Mézières à 5 vol d'oiseau, est de 9,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 928,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,2 ,,.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | −0,3 | −0,6 | 1 | 2,8 | 6,6 | 9,9 | 11,8 | 11,2 | 8,2 | 5,8 | 2,8 | 0,4 | 5 |
Température moyenne (°C) | 2,7 | 3,1 | 6,2 | 9,1 | 12,8 | 16 | 18 | 17,6 | 14,1 | 10,4 | 6,1 | 3,3 | 9,9 |
Température maximale moyenne (°C) | 5,6 | 6,9 | 11,3 | 15,3 | 19 | 22,1 | 24,1 | 23,9 | 20 | 15 | 9,3 | 6,1 | 14,9 |
Record de froid (°C) date du record |
−17,5 01.01.1997 |
−16,7 18.02.1991 |
−13,8 13.03.13 |
−8,5 08.04.03 |
−4,4 18.05.1991 |
−2,4 05.06.1991 |
1,7 11.07.1993 |
0,4 30.08.1993 |
−3,4 30.09.18 |
−6,7 30.10.1997 |
−11,8 24.11.1998 |
−16,4 21.12.09 |
−17,5 1997 |
Record de chaleur (°C) date du record |
15 05.01.1999 |
21,7 27.02.19 |
24,4 31.03.21 |
28,1 25.04.07 |
31,2 28.05.17 |
34,9 28.06.11 |
39,2 25.07.19 |
37 12.08.03 |
34,4 15.09.20 |
27,7 01.10.11 |
19,9 07.11.15 |
15,7 30.12.22 |
39,2 2019 |
Ensoleillement (h) | 504 | 69 | 1 281 | 1 767 | 1 973 | 2 029 | 2 142 | 1 986 | 1 525 | 968 | 484 | 407 | 15 755 |
Précipitations (mm) | 100,4 | 78,3 | 68,6 | 56,6 | 67,6 | 66,8 | 72,3 | 74,4 | 63,4 | 80,1 | 83,8 | 116,1 | 928,4 |
Diagramme climatique | |||||||||||
J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D |
5,6 −0,3 100,4 | 6,9 −0,6 78,3 | 11,3 1 68,6 | 15,3 2,8 56,6 | 19 6,6 67,6 | 22,1 9,9 66,8 | 24,1 11,8 72,3 | 23,9 11,2 74,4 | 20 8,2 63,4 | 15 5,8 80,1 | 9,3 2,8 83,8 | 6,1 0,4 116,1 |
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm |
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
- « », sur SNCF TER Grand Est.
- « », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
- Sandre, « »
- Sandre, « »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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- « », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « », sur meteofrance.com, (consulté le ).
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Toponymie
Initialement, de 1234 à 1400, selon Théophile Malicet, la localité porte le nom de Nozon-de-les-Braux, faisant référence à une abbaye, l'abbaye de Braux, qui imposait sa loi à une trentaine de villages. Puis le nom devient Nouzon et enfin Nouzonville le , à la demande de la direction des PTT qui veut en finir avec les confusions entre Nouzon et Mouzon,.
D'après Ernest Nègre, Nouzon a pour origine un nom germanique.
- Théophile Malicet, Histoire-chronique de Nouzonville, Société d'études ardennaises, , « Le tout petit Nouzon-de-les-Braux », p. 1-10
- Roger Maudhuy, La vallée, de la place ducale à Givet, Éditions Les cerises aux loups, , « Les frères de la misère », p. 39-48
- , Toponymie générale de la France : formations non-romanes, formations dialectales, Librairie Droz, , 1368 lire en ligne), p. 855
Histoire
En 1468, les Liégeois arrivent, chassés par les exactions de Charles le Téméraire (les Thomé, Roynette, Barbette, Dehan, Malicet,… ) et s’installent aux portes de Nouzon, le long d’un petit ruisseau nommé la Goutelle. Alors que jusqu’au ,.
L’ancienne propriété d’un maître de forges nommé Robillard est achetée en 1688 par Maximilien Titon et Victor Fournier, alors respectivement directeur de la police et receveur des deniers de Charleville. Ils lancent la construction d’un ensemble d’usines, entouré rapidement d’une enceinte de protection, au lieu-dit la Forge de Nouzon (en 1690-1691). La manufacture, installée au fond de la vallée de la Goutelle, utilise la force hydraulique. En plus de l'enceinte, une garnison de 80 hommes à plein temps est ensuite établie. L’usine est spécialisée dans la fabrication des canons de fusil. Des ouvriers viennent y travailler de toute la région et de Belgique. Les métallurgistes utilisent le fer de l’abbaye d’Orval, l’acier d’Allemagne et le fer refondu issu de la récupération de petites ferrailles ; le montage et l’épreuve des fusils ayant lieu à la Manufacture d'armes de Charleville, une manufacture royale créée là encore par Maximilien Titon, où opèrent des spécialistes et les équipes monteurs. Les établissements de Charleville et de Nouzon sont complémentaires. Ils génèrent aussi d'autres activités à proximité. Ainsi, la platinerie et la garniture du canon sont assurées en sous-traitance par des artisans dispersés dans les bourgs environnants Nouzon. L'établissement s’agrandit en 1772 d’une fabrique d’armes blanches où sont aiguisées des baïonnettes et des baguettes. En 1784, une annexe est fondée à la Cachette, en amont de la Forge. Pendant la période 1789-1815, la production double : les conflits engendrés pendant la période de la Révolution et de l’Empire se traduisent par des commandes militaires importantes,.
Un déclin progressif a ensuite lieu jusqu’à la fermeture définitive en 1836. Le choix au niveau de l'État est fait de privilégier la manufacture d’armes de la ville de Saint-Étienne, peut-être en raison d'une proximité moindre des frontières. Le maître de forges Jean-Nicolas Gendarme achète les bâtiments en 1837. Puis le site est occupé durant la deuxième moitié du ferronnerie en 1859, François Fuzelier implante une fonderie en 1860, Louis-Gustave Thomé un atelier de forge en 1869. Ces nouveaux industriels multiplient les installations sur le territoire de la commune. La mise en place d'une ligne de chemin de fer durant le Second Empire, la ligne de Soissons à Givet passant par Charleville-Mézières, facilite également le développement de l'activité industrielle dans cette partie de la vallée de la Meuse. La population de Nouzon continue à connaître une croissance significative.
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La fonderie Sainte-Marguerite
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Ouvriers de la Fonderie Sainte-Marguerite
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Les ateliers Thomé-Génot
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Les nouvelles usines
Pendant la guerre de 1914-1918, le territoire de la commune est occupé par les forces allemandes. Celles-ci pillent les usines et s'emparent des machines et matériels. Mais l'activité repart après cette Première Guerre mondiale.
En raison des confusions fréquentes entre Mouzon et Nouzon, à la lecture d'une adresse manuscrite, la commune de Nouzon, sollicitée par l'administration postale, change de nom en Nouzonville le par décision du conseil municipal (écartant ainsi d'autres propositions : Nouzon-la-Forge, Nouzon-les-Forges, Nouzon-sur-Meuse, et enfin Nouzon-la-Cachette… ),. En 1924, l´entreprise des Ateliers Thomé-Génot construit une cité ouvrière rue Ambroise Croizat.
La crise des années 1930 fragilise la métallurgie ardennaise, avec des mesures de chômage partiel. En 1936, un mouvement de grève générale touche les établissements industriels de Nouzonville à partir du 4 juin. La reprise s'effectue les 29 et 30 juin, après des négociations au niveau national et départemental. L'activité économique reprend de la vigueur fin 1936.
Le , la population est incitée à quitter la ville pour gagner les Deux-Sèvres. Le , lors de la bataille de France, la rive droite de Nouzonville est occupée dans l'après-midi par les Allemands de la du Generalleutnant Walter Lichel, la rive gauche étant défendue par le demi-brigade de mitrailleurs indigènes coloniaux (, les Allemands doivent franchir la Meuse en canots ; ils précèdent leur attaque par un intense bombardements aérien qui touche la ville. Malgré les dégâts, les défenseurs repoussent la tentative allemande de traversée du fleuve. Les Allemands repassent à l'attaque le lendemain à 7 h 30 au niveau du cimetière de la ville, mais sont cloués au sol par le feu français, dont l'artillerie de la casemate de Nouzonville tire à vue. Néanmoins en fin de matinée, ce feu diminue, la division d'infanterie de forteresse dont dépend la DBMIC se replie vers l'arrière à cause de la menace que fait peser la percée de la 6e Panzerdivision à Monthermé depuis quelques heures. À 11 h ce , Nouzonville est aux mains des Allemands de la 3. Infanterie-Division. La casemate de Nouzonville continue à tirer jusqu'à la nuit lorsque sa pièce est hors d'usage. La population revient progressivement les mois suivants. La ville est occupée jusqu'au où elle est libérée par les forces américaines, guidées par quelques résistants.
Le pont est finalement reconstruit après la guerre. En 1974, la commune fusionne avec celle de Meillier-Fontaine. Le site de l'ancienne Manufacture Royale de Nouzon est presque entièrement démoli en 1986. Une salle de sport est implanté dans l’ancien magasin, et un des ateliers accueille le musée du Vieux Nouzon. Cette ville ouvrière (64 % d'ouvriers en 1982 pour 42,5 % en moyenne en France), avec ses habitations côtoyant les usines, sent véritablement le fer, relève le sociologue Michel Pinçon, né à proximité. Le bruit des marteaux-pilons en constitue le fond sonore, et, aux heures de changement d'équipes, les rues et la place Gambetta sont parcourues par les hommes en bleu de travail : « on a été élevé avec le bruit des marteaux-pilons, des sirènes d'usines », note Guy Istace, maire de Nouzonville à l'époque, dans un article du Figaro de 2007.
Mais dès les années 1960 et années 1970 avec par exemple la fermeture de l'entreprise Usinage Mécanique Générale Ardennaise, l'activité industrielle décroît et des établissements industriels commencent à fermer. La concurrence internationale, la guerre des prix et le manque de soutien des banques et de l'État se traduisent par la disparition progressive d'une grande partie des entreprises métallurgiques, à Nouzonville comme dans l'ensemble du territoire français. Une des fermetures les plus emblématiques, qui s'accompagne d'un mouvement social désespéré, est la fermetures des Ateliers Thomé-Génot en 2007, accélérée par des repreneurs qui s'avèrent être des voyous.
- Théophile Malicet, Histoire-chronique de Nouzonville, Société d'études ardennaises, , « Les Liégeois arrivent », p. 10-13
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incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nomméesMaudhuy1999
- Maya Bennani, Bruno Decrock, François Griot et Julien Marasi, Patrimoine industriel des Ardennes, Langres, Éditions Dominique Guéniot, , 288 ISBN , lire en ligne), « Usine d'armes dite Manufacture Royale d'armes de Nouzonville, actuellement salle de sport et musée », p. 179
- « Nouzonville », Le Monde illustré « La reconstitution des régions dévastées - Les Ardennes 1918-1922 », , p. 53-64
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incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nomméesMalicetChapPremier
- Maya Bennani, Bruno Decrock, François Griot et Julien Marasi, Patrimoine industriel des Ardennes, Langres, Éditions Dominique Guéniot, , 288 ISBN ), « Cité ouvrière Thomé-Génot », p. 176
- Michel Cart, « Les grèves dans les Ardennes en 1936, à partir des rapports officiels et de la presse », Revue historique ardennaise, vol. XXI, , p. 63-84
- Théophile Malicet, Histoire Chronique de Nouzonville : (reprise de l'édition de 1969), Paris/Autremencourt, Office d'édition du livre d'histoire, , 178 ISBN , BNF 36699879), « La remontée et la rechute (1919-1940) », p. 127-144
- Jean-Yves Mary, Le Corridor des Panzers, Heimdal, , p. 341-342
- Jean-Yves Mary, Le Corridor des Panzers, Heimdal, , p. 207
- Jean-Yves Mary, Le Corridor des Panzers, Heimdal, , p. 358 à 362
- Théophile Malicet, Histoire Chronique de Nouzonville : (reprise de l'édition de 1969), Paris/Autremencourt, Office d'édition du livre d'histoire, , 178 ISBN , BNF 36699879), « L'exode et la colonisation manquée (1940-1945) », p. 145-162
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incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nomméesCassini
- Michel Pinçon, Désarrois ouvriers. Familles de métallurgistes dans les mutations industrielles et sociales, Paris, Éditions L'Harmattan, , 178 ISBN , BNF 34943343), p. 13
- N. S., « Chronique d'une mort annoncée », Le Figaro,
- Théophile Malicet, Histoire Chronique de Nouzonville : (reprise de l'édition de 1969), Paris/Autremencourt, Office d'édition du livre d'histoire, , 178 ISBN , BNF 36699879), p. 163-178
- Maya Bennani, Bruno Decrock, François Griot et Julien Marasi, Patrimoine industriel des Ardennes, Langres, Éditions Dominique Guéniot, , 288 ISBN , lire en ligne), « Fonderie Brisville et Cie, puis entreprise de construction mécanique Usinage Mécanique Générale Ardennaise », p. 178
- Larry Séré, De l'espoir aux larmes, Arch'Libris Éditions, , 143 p.
Héraldique
Blason | D’azur à la barre d’argent accompagné en chef d’une barque contournée d’or en barre, avec un pêcheur de carnation et un aviron aussi d’argent, voguant sur des ondes de sinople mouvant du côté supérieur de la barre et en pointe d’une enclume aussi d’or adextrée d’un marteau renversé du même brochant en barre. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
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Nouzonville dans la littérature
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Dokument erstellt 03/01/2018, zuletzt geändert 12/12/2024
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