Plouvorn

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Plouvorn : descriptif

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Plouvorn

Plouvorn [pluvɔʁn] est une commune du département du Finistère, dans la région Bretagne en France.

Géographie

Communes limitrophes de Plouvorn
Trézilidé Mespaul Plouénan
Plouzévédé Plouvorn Taulé
Plougourvest Landivisiau Guiclan, Saint-Thégonnec
Carte situant la commune de Plouvorn.

La commune est située au nord-nord-est de Landivisiau, sur le plateau du Léon et fait partie historiquement du Pays de Léon, même si elle appartient de nos jours à la communauté de communes du Pays de Landivisiau.

Étang devant le moulin du château de Keruzoret.

Le finage communal, dont les altitudes sont dans l'ensemble comprises entre 60 Guiclan avant de confluer pour former l'Éon, affluent de rive gauche de la Penzé ; l'Horn, un petit fleuve côtier, traverse la partie centrale de la commune, passant à l'est du bourg (un de ses affluents de rive gauche, après être passé juste au sud de la chapelle de Lambader, alimente l'étang du château de Troërin ainsi que le plan d'eau de Lanorgant et un autre celui de Keruzoret).

La commune présente un paysage agraire de bocage avec un habitat dispersé en de nombreux hameaux. Le bourg est excentré au sein du finage, situé à sa limite ouest avec le finage de la commune de Plougourvest ; il est situé sur une colline, vers 80 m d'altitude, entre les vallées des deux ruisseaux de Troërin (au sud) et de Keruzoret (au nord).

La commune est traversée par deux axes routiers principaux : la route départementale D 69, qui va de Landivisiau à Kerbrat, lieu-dit de la commune de Plougoulm situé sur la rive sud de l'estuaire de l'Horn et la route départementale D 19, qui traverse le bourg de Plouvorn et qui, vers l'est, va en direction de Morlaix ; les deux routes se croisent au carrefour de Croaz Hir.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Finistère nord, caractérisée par une pluviométrie élevée, des températures douces en hiver (. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Monts d'Arrée », avec des hivers froids, peu de chaleurs et de fortes pluies.

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 amplitude thermique annuelle de 10,1 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Servais à 11 vol d'oiseau, est de 11,6 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous les formes Ploevaorne en 1282, Ploemahorn vers 1330, Ploemaorn en 1378, 1467 et en 1481, Plouemaorn en 1443 et Plouemorn en 1572.

Plouvorn vient du breton ploe (paroisse) et de Maorn, un saint breton, connu aussi sous le nom de Mahorn ou Mahouarn ; l'existence réelle de ce saint est qualifiée de douteuse par Dom Alexis Lobineau. Plouvorn veut donc dire « Paroisse de Maorn/Morn ».

  1. a et b Hervé Abalain, Noms de lieux bretons, Paris, Editions Jean-paul Gisserot, ISBN , OCLC 44926369, lire en ligne), p. 97.
  2. a et b infobretagne.com, «  » (consulté le ).
  3. Guy Alexis Lobineau, Les vies des saints de Bretagne, Rennes, (lire en ligne).

Histoire

Préhistoire et Antiquité

Le tumulus de Kernonen, vue extérieure d'ensemble.

Des tumuli de l'âge du bronze ont été découverts à Plouvorn, dont le tumulus de Kernonen, ainsi que des vestiges gallo-romains et des mottes féodales.

Moyen Âge

À la fin du trèves, Mespaul et Sainte-Catherine, compte quarante-deux familles nobles. La paroisse primitive dépend de l'évêché de Léon.

Plouvorn compte 33 nobles lors de la Réformation de 1426 (dont Guyon Kerroignant, seigneur du dit-lieu et de Traoulen, et de Kerguvelen, seigneur du dit-lieu et de Tromeur) ; 8 sont cités lors de la Réformation de 1443 ; 44 lors de la Montre de l'évêché de Léon à Lesneven en 1481 ; etc. La maison noble de Keravefan appartenait en 1320 à Henri Trémic, seigneur de Keravefan. Son petit-fils, Jean Trémic, fut chevalier des Ordres du Roi.

La famille de Troërin

La famille de Troërin est connue depuis au moins le comte Geoffroy en 1185 et le sire Pierre Michel de Troërin participe à la première croisade de Saint-Louis à partir de 1248.

La famille de Troërin, seigneurs du dit lieu (l'existence du manoir de Troërin est attestée dès 1413), de Kerjean, de Kergounan (en Lampaul-Ploudalmézeau, de Kerrannou (en Saint-Pol-de-Léon), présente aux montres de 1426 à 1534, fut reconnue d'ancienne extraction noble lors de la réformation de 1669, à la demande d'Anne de Troërin, épouse de Louis de Kerhoas, seigneur de Coatcoulouarn (en Saint-Thégonnec) et du Quellenec. En 1638, Charles de Troërin épousa à Lampaul-Ploudalmézeau Louise de Kerlec'h. Leur petit-fils Jan de Troërin fut lieutenant des maréchaux de France en Bretagne ; il transforma le manoir en château aux alentours de 1717 et fit faire par Isaac Robelin un nouvel aménagement paysager du parc.

L'abbé Jean-Corentin de Troërin, né au château de Kerjean, prêtre en 1767, fut grand vicaire de Jean-François de La Marche, puis, à l'époque du Concordat de Claude André et de Pierre-Vincent Dombidau de Crouseilles, évêques de Quimper et de Léon. Il mourut le à Landerneau.

Le , Henriette-Marie-Salomé de La Tullaye, fille de François-Henri de La Tullaye et de Marie-Anne-Corentine de Troërin, mariés le à Plouvorn, épousa Charles-Marie-Henri Boscal de Réals, capitaine au régiment de Bresse en 1790, issu d'une famille originaire du Poitou. Depuis le château de Troërin appartient à la famille Boscal de Réals.

Les Templiers et les Hospitaliers

Lambader est une ancienne commanderie de l'ordre des Templiers et devint ensuite un prieuré des Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem.

Temps modernes

La commune est connue pour des faits liés à la révolte des Bonnets rouges en 1675. Au Saint-Thégonnec, s'étendait alors sur huit paroisses : Plouvorn, Saint-Thégonnec, Taulé, Plougar, Guiclan, Pleyber-Christ, Plounéour-Ménez et Commana. Le manoir du Rusquec (disparu de nos jours) appartenait à la famille du Rusquec, présente aux montres entre 1426 et 1562 et fondue ensuite par mariage dans la famille de l'Estang du Rusquec. D'autres manoirs, aussi disparus de nos jours ont existé à Plouvorn comme celui de Coatcren, édifié à la fin du sénéchal de Léon en 1580 ou encore ceux de Kerudot, de Kervidones (Kerguidonné), de Lanorgant.

Au châtellenie de Daoudour (qui avait appartenu avant sa scission à François époux de Gilette de Quélen) est subdivisée en deux juridictions : celle de Daoudour-Landivisiau, dite aussi Daoudour-Coëtmeur, qui avait son siège à Landivisiau et comprenait Plouvorn et ses trèves de Mespaul et Sainte-Catherine, Plougourvest et sa trève de Landivisiau, Guiclan, Saint-Thégonnec, Guimiliau, Lampaul-Bodénès, Pleyber-Christ, Commana et sa trève de Saint-Sauveur, Plounéour-Ménez et pour partie Plouénan ; et celle de Daoudour-Penzé, qui avait son siège à Penzé et comprenait Taulé et ses trèves de Callot, Carantec, Henvic et Penzé, Locquénolé, Saint-Martin-des-Champs et sa trève de Sainte-Sève.

Vers 1710, la moitié des paysans de Plouvorn sont aussi tisserands, au moins à temps partiel pendant l'hiver. En 1710, année de disette, sinon de famine, la mortalité augmenta de 108 % à Plouvorn par rapport aux deux années précédentes.

En 1759, une ordonnance de ordonne à la paroisse de Plouvorn de fournir 50 hommes et de payer 328 livres pour « la dépense annuelle de la garde-côte de Bretagne ».

En 1763 à Plouvorn, il y avait un recteur, un vicaire, cinq prêtres habitués, un diacre, un acolyte.

En 1770, Guiclan est la paroisse la plus riche du Haut-Léon central : les habitants paient en tout 2 590 livresde capitation (pour 3 100 habitants), devançant Plouvorn (y compris ses trèves de Mespaul et Sainte-Catherine) : 2 524 livres (pour 3 600 habitants), Landivisiau : 1 564 livres (pour 2 400 habitants) et Bodilis : 1 208 livres (pour 2 000 habitants).

Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi la paroisse de Plouvorn en 1778 :

« Plouvorn, à deux lieues un quart au sus-sud-ouest de Saint-Pol-de-Léon, son évêché et sa subdélégation ; à 41 lieues de Rennes. Cette paroisse ressortit à Lesneven et compte 4 200 communiants, y compris ceux de Mespaul et Sainte-Catherine, ses trèves ; la cure se présente par l'évêque. Des vallons, des ruisseaux, des prairies, des terres bien cultivées et abondantes en grains, lin et fruits pour le cidre : voilà ce que le territoire présente à la vue […] »

Révolution française et Empire

François Ouroual, originaire de Ploudiry, est élu recteur constitutionnel de Plouvorn ; arrivé dans sa paroisse le

En , les paysans révoltés du Léon s'insurgent à l'occasion de la levée de 300 000 hommes, après leur défaite lors de la bataille de Kerguidu. Ils se soumettent à Canclaux, commandant en chef de l'Armée des côtes de Brest ; ils remettent leurs armes, des otages, et payent les frais de l'expédition.

Les communes insurgées acceptent le les conditions suivantes : « tous les particuliers […] seront désarmés dans tiers [trois] jours à la diligence de leurs conseils généraux […] et tous les fusils seront remis et toutes autres armes offensives, aux administrateurs de leurs districts respectifs […] ; le contingent des dites communes sera fourni dans tout délai de demain (...) ; les frais de l'emploi de la force armée et autres dépenses nécessitées par la révolte des paroisses seront réglées par une contribution dont la masse sera répartie entre les dites paroisses […], et payée dans tiers jours après qu'elle sera connue ; […] les principaux coupables et les chefs de l'insurrection dans chacune des trois communes seront désignés par elles aux commissaires ; […] les cloches des dites paroisses seront descendues […] ; les ponts abattus par les rebelles seront rétablis aux fais des paroisses insurgées […] ; les communes (...) fourniront chacune quatre otages de choix et parmi leurs notables habitants pour sûreté de l'accomplissement des conditions ci-dessus […] ». Le conseil municipal de Plouvorn accepta ces conditions et désigna des otages. Plouvorn dût payer 9 000 livres.

Le , la municipalité, constituée en 1790, demande aux représentants du peuple « d'accorder l'église paroissiale aux citoyens Abgrall et Corre, prêtres catholiques, apostoliques et romains, attendu qu'ils sont suivis par plus de 2 500 individus, et au citoyen Ouroual, ancien curé constitutionnel, la chapelle de Lambader, attendu qu'il n'est suivi pour cet effet (le culte) que d'environ 50 individus ».

En 1799, il n'y a plus que 46 marchands de toiles à Saint-Thégonnec (mais c'est encore la commune où ils sont les plus nombreux), 26 à Guiclan, 23 à Plouvorn, 16 à Bodilis, 10 à Landivisiau, 4 à Saint-Servais, etc..

Le | ]

En 1835 une école de filles ouvre à Plouvorn « dans un appartement trop petit et incommode » ; on y apprend « à lire le breton et le latin et à faire du tricot ». Dès 1840, grâce à l'action de Mr de Keruzoret et de son gendre le comte de Kerdrel, Plouvorn eût une école chrétienne, dont la direction fut confiée aux Frères de l'instruction chrétienne de Ploërmel. « Le premier maître […] fut le frère Zoel, éducateur émérite, qui déploya un zèle remarquable pendant la famine de 1845-1846 et qui mourut au bout de quelques années victime de son zèle à soigner les malades pendant la grave épidémie de typhoïde et de choléra de 1850-1851 ». En 1856, l'école des garçons est jugée « remarquable sous tous les rapports » ; elle accueille alors 120 élèves, dont 15 adultes, et 118 d'entre eux savent lire et écrire, selon l'inspecteur.

A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Plouvorn en 1853 :

« Plouvorn (sous l'invocation de saint Pierre et saint Paul) : commune formée par l'ancienne paroisse du même nom, moins sa trève Mespaul […], devenue commune[…]. Principaux villages : Kergoulouarn, Créachantern, Mesmeur, Kergonan, Traonmeur, Kerdrein, Kervinguy, Kerguédal, Lannorgant. Manoir du Rusquec. Superficie totale : 3 389 micaschiste domine, mais le schiste argileux se montre dans l'est. On parle le breton. »

François Quéré, sonneur de cloches à Plouvorn, fut zouave pontifical, participant notamment à la bataille de Castelfidardo lors de laquelle il fut blessé, puis à la bataille de Mentana et, en 1870, à la défense de Rome. Rentré en France, il participa à la guerre de 1870 en tant que volontaire de l'Ouest, participant aux combats d'Orléans, de Brou, puis à la bataille de Loigny au cours de laquelle il fut mortellement blessé.

Le pourcentage de conscrits illettrés à Plouvorn entre 1858 et 1867 est de 49 %.

L'école de Plouvorn avait 246 élèves en 1881 ; la laïcisation de cette école en 1887 fit passer ses effectifs à 142 élèves en 1888 en raison de l'ouverture d'une école privée catholique ; ils n'étaient plus que 16 en 1902 contre 263 élèves pour l'école privée. Un instituteur public de Plouvorn déclare en 1894 : « Depuis longtemps j'ai renoncé à aller récolter des insultes à l'église » ». Le recteur refusait alors l'absolution aux parents qui mettaient leurs enfants à l'école publique. « Aujourd'hui, les cultivateurs aisés envoient leurs enfants dans un internat pendant plusieurs années pour leur faire mieux apprendre le français » note le maire de Plouvorn en 1889. L'école publique ferma en 1940.

Le | ]

La Belle Époque

Le , avec un grand déploiement de forces, l'inventaire des biens d'église de Plouvorn pût être fait sans incidents graves, le clergé ayant prêché énergiquement le calme ; les portes de l'église paroissiale étant fermées, elles furent forcées par des crocheteurs aidés de quelques soldats.

La Première Guerre mondiale
Le monument aux morts de Plouvorn.

Le monument aux morts de Plouvorn porte les noms de 144 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale. Parmi eux, Yves Harnay de la Médaille militaire ; Nicolas Berthevas, Yves Corvé et Jean Tonnard ont été tous les trois décorés de la Médaille militaire et de la Croix de guerre. Le frère de ce dernier, Yves Tonnard, est également mort pour la France. Maurice Simon est mort en Grèce, Jean Enez et Jean Nédélec en Belgique ; Jean Jaffrès, matelot électricien, est disparu en mer lors du naufrage du Léon Gambetta le  ; Hervé Goumelon est mort alors qu'il était prisonnier en Allemagne ; Antoine Waldimir est mort en Allemagne après l'armistice le ; la plupart des autres sont morts sur le sol français.

Quatre frères originaires de Plouvorn, Hervé, Jean-Louis, Yves et François Allain, ont combattu pendant la Première Guerre mondiale, dont deux sur le front d'Orient (Hervé, soldat au 3e régiment d'infanterie coloniale et Yves, soldat au 175e régiment d'infanterie) ; les quatre eurent la chance de rentrer vivants.

L'Entre-deux-guerres

En 1923, il y avait 3 garçons et 4 filles dans les deux écoles publiques de Plouvorn contre environ 150 garçons et 200 filles (grâce à un internat) dans les deux écoles catholiques de la commune. L'école publique devint mixte en 1924 et ferma en 1940.

La Seconde Guerre mondiale

Le monument aux morts de Plouvorn porte les noms de douze personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale. Parmi les soldats tués, Louis de Menou et Guy de Réals ont été tous deux décorés de la Médaille militaire et de la Croix de guerre.

Léon Picart fut déporté le depuis Compiègne vers le camp de concentration de Buchenwald, puis à Ravensbrück, Dora et Bergen-Belsen d'où il fut rapatrié le .

Depuis 1944

La venue le d'une des quatre statues de Notre-Dame de Boulogne fut l'occasion d'une manifestation de piété populaire : 21 arcs de triomphe furent dressés dans la paroisse le long de l'itinéraire qu'elle parcourut.

Le , les militants de l'Action catholique de Plouvorn remettent au maire une pétition revêtue de 290 signatures demandant « de vouloir bien interdire les bals » dans la commune. Le Conseil municipal approuva par douze voix contre deux.

En 1953 le quartier de Lesvenan et Dalar Veur, situé à l'est de la commune de Plouzévédé et éloigné de ce bourg, mais proche de celui de Plouvorn, est annexé par Plouvorn.

L'école publique de Plouvorn, devenue mixte, n'a que 20 élèves en 1953 contre 144 garçons et 127 filles dans les deux écoles privées catholiques. L'école publique ferma en 1971.

Cinq personnes originaires de Plouvorn sont mortes pendant la guerre d'Algérie.

  1. topic-topos.com, Histoire de Plouvorn.
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  20. A. Marteville et P. Varin, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, tome 2, 1853 [lire en ligne].
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Dokument erstellt 03/01/2018, zuletzt geändert 30/10/2024
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