Naizin
Localisation
Naizin : descriptif
- Naizin
Naizin [nɛzɛ̃] (en breton Neizin, parfois abrégé en Nein) est une ancienne commune française située dans le département du Morbihan, en région Bretagne. Le 1er janvier 2016, elle prend le statut administratif de commune déléguée de la nouvelle commune d'Évellys de statut administratif commune nouvelle.
Géographie
Localisation
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Carte de l'ancienne commune de Naizin et des communes avoisinantes.
Traversée par l'Ével, la commune est située à 17 Pontivy.
Relief et hydrographie
Le finage de l'ancienne commune de Naizin est formé pour l'essentiel d'un plateau incliné vers le sud-ouest, les altitudes les plus élevées se rencontrent à la limite nord du territoire (136 mètres au hameau de Penvern, à cheval avec la commune voisine de Kerfourn, ainsi qu'à Boquetteu, proche de cette même limite communale) et la plus basse (57 mètres) se trouve à la confluence entre l'Ével, rivière affluente de rive gauche du Blavet, qui forme la limite sud de la commune avec Moréac, et de son affluent de rive droite le Ruisseau de Belle Chère, qui formait sur une partie de son tracé la limite avec l'ancienne commune de Moustoir-Remungol avant la création de la commune nouvelle d'Évellys, avant de traverser la partie sud-ouest du territoire communal de Naizin. Ce ruisseau de Belle Chère a comme affluent le Ruisseau du Guénolay, qui coule aussi nord-sud et traverse la partie centrale de cette ancienne commune, passant à l'ouest du bourg. À l'est, le Ruisseau de Coëtdan, affluent du Ruisseau du Runio et sous-affluent de l'Ével, traverse la partie orientale de la commune, forme sur une partie de son tracé la limite communale avec Réguiny et alimente l'étang de Coëtdan, aménagé désormais en base de loisirs. Le bourg est sur une hauteur vers 120 mètres d'altitude.
Le paysage agraire traditionnel de cette ancienne commune est celui du bocage avec un habitat dispersé en de nombreux écarts formés de hameaux (villages) et fermes isolées. Éloignée des grands centres urbains, cette commune a échappé à la rurbanisation ; par contre le bourg a connu une expansion notable avec la création de plusieurs lotissements dans ses alentours (périurbanisation) de puis les deux dernières décennies du XXe siècle.
Cette ancienne commune était traversée par la Route nationale 167 allant de Vannes et Locminé au sud, vers Pontivy et Lannion en direction du nord ; cette route a été déclassée en route départementale (D 767), aménagée en voie express, qui traverse sa partie occidentale. Le bourg de Naizin et le reste de son finage ne sont desservis que par des axes routiers secondaires, l'échangeur de Kerroux desservant toutefois aisément, à partir de la D 767, via la D 203, le bourg, desservi par ailleurs par la D 17 venant de Locminé, via Moréac.
Paysages et habitat
Naizin présente un paysage agraire traditionnel de bocage avec un habitat dispersé en de nombreux écarts formés de hameaux et fermes isolées. Le territoire de la commune comprend de nombreux lieux-dits : le Pudy ; Corgarho ; Kermaprio ; le Cosquer ; le Boterff ; Kerrrobin ; Kerjaujic ; le Clandy ; Tocplouz ; le Salut ; Pont Dran ; Kergat ; la lande de Porhman ; Coëtdan ; la lande de la Chataigneraie ; le Perzo ; la Poste ; Pembual ; Pervern ; Kerabevin : Saint Brigitte ; Hembord ; Kerdréan ; Kermaria ; Kergicquel ; les Trois Alouettes ; Kerlagadec ; Kerdec ; Keriel ; Luzunin ; le Stimoès ; le Camper ; Siviac. Le bourg est excentré vers l'est du territoire de cette ancienne commune.
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Bourg de Naizin : vue générale.
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Bourg de Naizin : la Grand-Rue.
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Bourg de Naizin : l'ancienne mairie.
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Le bourg de Naizin : vue aérienne vers 1950.
Géologie et relief
Hydrographie
Voies de communication et transports
Toponymie
Le nom de la localité est mentionné sous les formes Naizin, Neidin, Neizin, prononcée Nein en breton vannetais ; Naizain en 1793 ; Naizin en 1801,.
Naizin [nɛzɛ̃], en breton Neizin, parfois abrégé en Nein dérive du vieux breton Nith signifiant « lieu où l'on s'établit ».[réf. nécessaire]
- Dans les archives de l'abbaye de Lanvaux.
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- Charles Floquet, Naizin au cours des siècles, éd. Association du 14 juillet-Naizin, 1999, p.11
Histoire
Préhistoire et Antiquité
Joseph-Marie Le Mené a écrit en 1891 que « dans la lande de Guerneven et dans celle de Kerdec, se trouvent deux petits retranchements, de forme carrée, de 60 à 80 mètres de côté, dont les parapets ont encore 2 m. de hauteur ; ils portent le nom de Camp, et on y trouve des briques en assez grand nombre », ce qui est révélateur d'une ancienne présence romaine.
Moyen Âge
Naizin est une paroisse de l'Armorique primitive qui a probablement été évangélisée vers le invasions normandes vers le doyenné du Porhouët. Déjà, la paroisse a comme saints patrons Cosme et Damien, alors que l'église est placée sous le vocable du Saint-Sauveur. On pense que le bourg primitif n'était pas à son emplacement actuel, mais plutôt au Humborg « vieux bourg ».
Guéthénoc, évêque de Vannes, donna vers 1200 à l'abbaye Notre-Dame de Lanvaux les dîmes de Neizin (Naizin).
En 1296, Henri de Kergoat, seigneur de Naizin, céda en 1296 les revenus dont il disposait dans la paroisse au vicomte Alain VI de Rohan.
Selon un aveu de 1471, Naizin était, au sein de la Vicomté de Rohan, une des 46 paroisses ou trèves de la seigneurie proprement dite de Rohan.
Temps modernes
Tout au long des décennies, la situation évolue et au . Douze seigneuries ont été recensées dans la paroisse selon Joseph-Marie Le Mené : Canvez, Cléguennec, Coetpidan, Fournello, Guénolay, Kerdréan-les-Bois, Kercandal, Kerguzangor, Kermorval, Kersimon Penturban et le Resto. La paroisse de Naizin était divisée en 9 frairies (Bourg, Stimoise, la Poste de Guénolay, Guern, Resto, Luzunin, Siviec, Kerden et Penvern) et deux chapellenies s'y trouvaient (Saint-André et Sainte-Brigitte). En 1756 M. de Langle, président à mortier au Parlement de Bretagne et propriétaire des deux chapelles latérales (dénommées Saint-Sauveur et Couronne) de l'église paroissiale, accepta que celles-ci soient démolies afin que l'église paroissiale puisse être agrandie et embellie
Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Naizin en 1778 :
« Naizin, à huit lieues trois quarts au nord de Vannes, son évêché ; à 17 lieues trois quarts de Rennes, et à deux lieues trois quarts de Pontivi, sa subdélégation. Cette paroisse, dont la cure est à l'ordinaire, compte 2 000 communiants et ressortit à Ploërmel. La basse justice du Gué-de-l'Île appartient à M. Jacquelot. Ce territoire est fertile en grains et foin, mais il n'est pas aussi exactement cultivé qu'il pourroit l'être. On y voit des landes dont le sol n'est pas indigne des soins du cultivateur. (...) Les manoirs nobles de Kerdréan et du Teil-Porman sont dans ce territoire. »
Révolution française et Empire
En 1790 Naizin devint une commune appartenant au canton de Locminé et au district de Pontivy. Son recteur depuis 1780, Charles Lefranc, prêta en 1791 le serment de fidélité à la Constitution civile du clergé, puis il se rétracta, devenant donc prêtre réfractaire ; il fut alors remplacé par son vicaire. Les biens du clergé, y compris ceux de la chapellenie de Saint-André et le bois de Sainte-Brigitte furent vendus comme biens nationaux.
Après la Révolution, Napoléon cherche à ramener la paix religieuse dans les campagnes. L'annonce du Concordat signé entre le Vatican et le gouvernement français est accueillie avec satisfaction. Le nouvel évêque de Vannes Mayneaud de Pancemont convoque les prêtres du diocèse pour faire connaissance et pour réorganiser le diocèse en 37 cures. Concernant Naizin, les paroissiens n'ayant pas accepté les nouvelles limites, les choses restent en l'état comme avant la Révolution.
Le | ]
La première moitié du | ]
Le cinq chouans armés furent vus dans le bourg de Moustoir-Remungol. Le lendemain is se réunirent à Naizin au nombre de quinze et tirèrent plusieurs coups de fusil. Le Courrier du Midi écrit que « l'inquiétude renaît dans les campagnes, où les réfractaires et les anciens chouans reparaissent de nouveau (...) ; on assure que Guillemot les dirige dans le nord du département du Morbihan ». Le même journal écrit que « les chouans commencent à reparaître dans [le] département ; il y a peu de jours, dix-neuf hommes, armés de fusils, pistolets et poignards, ont parcouru le bourg de Saint-Nicolas, près le Blavet. Au bâtiment de l'éclusier, ils ont forcé le sieur Templier de leur remettre son fusil à deux coups ».
En 1841 le décès d'un réfractaire (par légitimisme et hostilité à la monarchie de Juillet), un nommé Métayer, victime de la fièvre typhoïde, fut le prétexte à plusieurs rassemblements de paysans (à Plumelin le 11 mars, à Moréac le 17 mars et à Naizin un peu plus tard. Métayer n'ayant rien fait d'extraordinaire, « on ne peut voir dans ce déploiement de pompe funéraire que la volonté de présenter comme honorable la conduite des réfractaires, d'encourager la résistance à la loi et de pousser leurs camarades à les imiter ».
Naizin vers le milieu | ]
A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Naizin en 1853 :
« Naizin (sous l'invocation de saint Sauveur, et comme seconds pasteurs, sous celle de saint Cosme et saint Damien) ; commune formée de l'ancienne paroisse de ce nom ; aujourd'hui succursale. (...) Principaux villages : Hembor, Keraugie, Pudehy, Quénécan, Cosquer, la Poste (route de Josselin à Pontivy), Kerabevin, Penvern, Kerouëh, le Crugan, Keraprio, Kerlizé, Kerlevic, Kerdec, Ponturban, Siviac, Kerollet, Luzumen, le Camper, le Stimoës, Kerviguenno, Penhual, Kergoff. Moulins de Kerguzengor, de Kersimon, à vent ; de Coat-Dan et de Stang, à eau. L'église de Naizin est ancienne, mais elle a été réparée à plusieurs reprises, notamment en 1691, date inscrite sur plusieurs parties de cet édifice. La tour, qui mérite d'être mentionnée, est de 1780 ; elle a été commencée en 1773, sur les plans de M. Noury, recteur de Bignan. Avant 1789 il y avait dans cette commune cinq chapelles desservies ; aujourd'hui l'on en compte les plus que trois, les deux autres sont en ruines. Jusqu'à cette dernière époque, l'église de Naizin fut desservie par les moines de Lanvaux, qui étaient décimateurs. Tous les anciens manoirs sont en ruines : tels sont Kerdréan, Kermorval, Kerguzengor, Guinolan, Kergandal, etc.., qui, tous, appartiennent à M. le marquis de Langle, propriétaire des sept huitièmes des terres de la commune. »
Les mêmes auteurs poursuivent :
« Il y a assemblée le 27 septembre, jour de la fête de saint Cosme et saint Damien, mais elle est célébrée le dimanche le plus près de ce jour. La veille on chante vêpres, puis l'on va en procession avec la grande bannière. Cette bannière, suspendue à deux pièces de bois, formant croix, et chargée aux bras de plus de 30 kilogrammes de fer, est portée par des pèlerins qui, pendant tout le trajet de la procession, se disputent cet honneur. Plus d'une fois pendant cette cérémonie, elle tombe et blesse les assistants, qui s'en réjouissent comme d'un bonheur qui leur arriverait. Derrière cette bannière viennent d'autres étendards et les statues de saint Cosme et saint Damien. Cette procession est l'une des plus suivies des environs de Josselin et de Pontivy. La commune de Naizin fait quelques exportations de blé, seigle, blé noir, beurres, chanvres, etc.. Il y a foire le 26 avril et le 27 septembre. Géologie : schiste talqueux ; quelques minerais de fer. On parle le breton. »
Naizin dans la seconde moitié du | ]
Plusieurs missions sont prêchées à Naizin, en 1869, 1875 et 1885.
Lors des élections législatives de 1876 « de nombreux témoins ont déposé qu'à Pluméliau, à Cléguérec, à Moustoir-Ac, à Baud, à Séglien, à Locuon, à Naizin, à Noyal-Pontivy, et dans un grand nombre d'autres communes, les curés et les vicaires se tenaient, le jour du scrutin, à la porte des sections de vote, surveillaient les bulletins, déchiraient ceux de M. Cadoret, forçaient les électeurs à prendre ceux de M. de Mun, et les conduisaient voter ».
Le | ]
La Belle Époque
L'école des filles au couvent avait vu le jour en 1874 grâce au marquis de Langle qui céda un terrain aux sœurs de Kermaria. En 1902, la loi sur les congrégations interdisant aux sœurs d'enseigner, elles sont contraintes de déménager. Le couvent est alors acheté par la municipalité pour y installer l'école publique des filles, en 1904.
Le plusieurs maires de la région, dont Coetmeur, maire de Naizin, réunis à Pontivy, signent un texte dans lequel ils refusent de surveiller si les prêtres de leur paroisse utilisent la langue française, et non la langue bretonne, lors des leçons de catéchisme et des instructions religieuses.
En 1909, le père Le Clainche de Naizin préside la grand-messe du avant de regagner définitivement sa mission du Tanganyika. À Naizin comme dans toute la Bretagne, une forte opposition se manifeste à l'application de la loi de séparation des Églises et de l'État. Le , plus de 300 paroissiens de Naizin attendent le receveur de Locminé qui a bien du mal à effectuer son inventaire des biens d'église. Les biens de la fabrique sont estimés à 15 310 francs.
L'ancien presbytère avait été construit en 1895, sous le ministère du recteur Le Moing. Le frère Théodule Guével de Plouharnel, alors directeur des Saints-Anges de Pontivy en réalise les plans, pour un coût total de 15 975 francs. À la suite de la séparation des biens de l'Église et de l'état, la commune en devient alors propriétaire. En 1908, après négociations le loyer était fixé à 125 francs par mois.
La Première Guerre mondiale
Le monument aux morts de Naizin porte les noms de 126 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale ; parmi eux 6 (Mathurin Audrain, Auguste Glais, Jean Le Gallo, Joseph Le Pioufle, Joachim Pasco et Louis Robic) sont morts le même jour dès le en Belgique, soit à Rossignol, soit à Maissin ; 3 autres (Alexis Maugan, Auguste Cadic et Mathurin Guillemin) sont aussi morts en Belgique, mais à d'autres dates ; 2 (François Le Bigot et Louis Le Dévédec) sont morts en Grèce dans le cadre de l'expédition de Salonique ; 3 (Jean Le Flohy, Louis Joanno et Jean Even) sont morts en captivité en Allemagne ; les autres sont morts sur le sol français.
L'Entre-deux-guerres
Le monument aux morts est inauguré en 1923.
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Le monument aux morts : vue d'ensemble.
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Le monument aux morts : partie sommitale.
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Le monument aux morts : liste des morts de la Première Guerre mondiale 1.
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Le monument aux morts : liste des morts de la Première Guerre mondiale 2.
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Le monument aux morts : liste des morts de la Première Guerre mondiale 3.
En 1920, le recteur Pédronno crée une association sportive, L'Avant Garde avec une fanfare et une équipe de football qui fonctionne jusqu'en 1986. Des missions sont prêchées, en 1924, 1934, 1949, 1954 et 1971.
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L'église et le cimetière l'entourant vers 1920.
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La place centrale du bourg de Naizin vers 1925.
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Naizin : la Grand Rue vers 1925 (carte postale).
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Naizin : procession avec les statues de saint Côme et saint Damien.
Un nouveau couvent voit le jour en 1930 grâce à l'impulsion de Françoise le Métayer qui quête avec d'autres paroissiennes dans toute la commune. La nouvelle école ouvre ses portes le avec 65 élèves.
L'école des garçons « École Saint-Joseph » fut construite en 1890 grâce au don de monsieur de Cuy. On note 54 élèves en 1899, 81 en 1902 et 72 en 1906, 75 en 1940, 133 en 1944 pour descendre à 51 en 1966. Les frères abandonnent l'enseignement aux vicaires jusqu'à la mixité en 1966. L'école continue à recevoir des élèves jusqu'en 1983, elle ferme définitivement, puis est démolie en 1998.
En 1936, le vieux presbytère datant du .
La Seconde Guerre mondiale
Le monument aux morts de Naizin porte les noms de 9 personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale ; parmi elles Henri Nicol, un marin tué lors de l'attaque anglaise de Mers-el-Kébir le ; Auguste Cadic est mort en Belgique le ; Alphonse Audo, Joseph Gainche et André Rouillé, trois résistants FFI fusillés à la Citadelle de Port-Louis en juin 1944 ; Henri de Langle, résistant membre du Réseau Johnny, mort en déportation le au camp disciplinaire de Dieburg-Rodgau (Allemagne), chevalier de la Légion d'honneur, Croix de guerre 1914-1918, Médaille de la Résistance, Medal of Freedom.
L'après Seconde Guerre mondiale
Le | ]
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- Joseph-Marie Le Mené, Histoire archéologique, féodale et religieuse des paroisses du diocèse de Vannes, Vannes, Imp. de Galles, .
- Charles Floquet, Naizin au cours des siècles, éd. Association du 14 juillet-Naizin, 1999, p.15
- Théodore Derome, « De l'usement de Rohan ou du domaine congéable », Revue critique de législation et de jurisprudence, , lire en ligne, consulté le ).
- « », sur InfoBretagne.com (consulté le ).
- Jean-Baptiste Ogée, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, lire en ligne), pages 3 et 4.
- Charles Floquet, Naizin au cours des siècles, éd. Association du 14 juillet-Naizin, 1999, pp.86-87
- « On écrit de Pontivy le 8 mai », Le Courrier du Midi, (lire en ligne, consulté le ).
- « On écrit de Ploërmel à l'Auxiliaire breton », Niederrheinischer Kurier, (lire en ligne, consulté le ).
- A. Marteville et P. Varin, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, lire en ligne), page 81.
- Auguste Vacquerie, « L'enquête sur l'élection de Mun », Journal Le Rappel, (lire en ligne, consulté le ).
- « La langue bretonne dans le Morbihan », Journal La Dépêche de Brest et de l'Ouest, , page 2 (lire en ligne, consulté le ).
- Charles Floquet, Naizin au cours des siècles, éd. Association du 14 juillet-Naizin, 1999, pp.88-90
- « », sur memorialgenweb.org, (consulté le ).
- Charles Floquet, Naizin au cours des siècles, éd. Association du 14 juillet-Naizin, 1999, p.90
- Charles Floquet, Naizin au cours des siècles, éd. Association du 14 juillet-Naizin, 1999, pp.126-127
- Arrêté préfectoral portant création de la commune nouvelle d’Évellys, [lire en ligne].
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Héraldique
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Naizin dans la littérature
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Dokument erstellt 03/01/2018, zuletzt geändert 30/10/2024
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