Landaul

Localisation

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Landaul : descriptif

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Landaul

Landaul [lɑ̃dol] est une commune française, située dans le département du Morbihan en région Bretagne.

Géographie

Carte de la commune de Landaul et des communes avoisinantes.

Localisation

Communes limitrophes de Landaul
Landevant Pluvigner
Nostang Landaul
Locoal-Mendon Brech

Géographie physique

Landaul est délimitée au nord par le Ruisseau de la Demi-Ville (qui porte dans sa partie amont le nom de Ruisseau du Kergroix ou Kergroëz), qui marque la limite avec Landévant et son affluent de rive gauche le Goah er Licenneü (qui sépare Landaul de Pluvigner), et au sud par le Ruisseau de Tréavrec qui marque la limite avec Brech (mais qui porte plus en aval le nom de Ruisseau de Kerlino, séparant à cet endroit Landaul de Locoal-Mendon) ; côté ouest le Ruisseau de Langonbrac'h marque lui aussi sur une petite partie de son cours la limite communale avec Locoal-Mendon ; tous les trois étant de minuscules fleuves côtiers se jetant dans la rivière d'Étel. À l'extrémité sud-ouest de la commune la presqu'île de Larmor, qui se termine par la Pointe du Gouhel, se trouve à l'une des extrémités nord de cette rivière d'Étel, entre l'estuaire du Ruisseau de la Demi-Ville et le Bras de Mer du Vieux Moulin.

Les altitudes varient entre 66 mètres (seule la partie nord-est du finage communal dépasse 60 mètres d'altitude) et le niveau de la mer ; la majeure partie de la commune, très plane, à l'exception de la butte de Mané Landaul, située dans la partie ouest de la commune, qui atteint 40 mètres d'altitude, et est entre une quarantaine de mètres (altitude du bourg notamment) et une dizaine de mètres, s'abaissant progressivement vers le sud et l'ouest. Le bourg est vers 23 mètres d'altitude.

La faiblesse des altitudes et des pentes, surtout dans les parties proches de la ria d'Étel, explique la présence de nombreux marais, souvent plantés de pinèdes dans le courant du .

Géologie

Un filon quartzeux cuprifère contenant notamment de la malachite, de l'erubescite et de la chalcopyrite, affleure près de Kergolven en Landaul et de Kerhilias en Pluvigner.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Intérieur  », exposée à un climat médian, à dominante océanique.

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,8 amplitude thermique annuelle de 11,6 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Auray à 11 vol d'oiseau, est de 12,6 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

Transports

Landaul est traversé dans la partie sud-ouest de son territoire communal par la voie express RN 165 de Nantes à Quimper et Brest via Vannes et Lorient. La commune est desservie par l'échangeur no 36, dit de Poulvern.

Landaul est traversé aussi par la ligne ferroviaire venant de Vannes et se dirigeant vers Lorient et Quimper, dénommée anciennement Ligne de Savenay à Landerneau. La gare, dite gare de Landaul-Mendon, située au sud-ouest du bourg de Landaul, est desservie par des trains TER. Une zone artisanale a été développée entre la gare et la voie express RN 165.

Paysages et habitat

Landaul présente, du moins dans sa partie nord Un paysage agraire traditionnel de bocage avec un habitat dispersé en écarts formés de hameaux (dénommés localement "villages", les principaux sont Locmaria, Kerguestin, Trézédy, Langonbrac'h et Kergoëz) et fermes isolées. Le sud présente un paysage de marais et de pinèdes. Le bourg, un peu excentré dans la partie nord du village, était traditionnellement de peu d'importance.

Le bourg, mais aussi les principaux hameaux ont beaucoup grossi depuis la Seconde Guerre mondiale avec la construction de plusieurs lotissements et de nombreuses maisons individuelles en raison de la relative proximité des agglomérations de Lorient et Hennebont ainsi que du littoral et de la bonne desserte en transports (voie express et gare).

  1. «  », sur patrimoine.bzh, (consulté le ).
  2. F. Kerforne, « Contribution à létude des gisements minéralisés du Massif Armoricain. Partie III : Filon cuprifère de Landaul », Bulletin de la Société géologique et minéralogique de Bretagne,‎ , page 49 (lire en ligne, consulté le ).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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Toponymie

Le nom de la localité est mentionné sous les formes Landaul en 1387 ; Landaule en 1389, ; Landaule en 1448 - 1536 ; Landole en 1636 ; Landaul en 1902.

Le nom breton de la commune est Landaol.

Du breton lan(n) « lieu consacré », d'où le sens « d'établissement de la classe sacerdotale » (« ermitage », « monastère » voire « église »).

Il est suivi du breton dol, -ioù, -où « terre basse, lieu fertile et bas, plaine, méandre », par extension « polder » et pouvant désigner une île formée par les méandres d'un cours d'eau. Enserrée entre deux ruisseaux dont les sources sont proches, Landaul se prolonge vers la Ria d'Étel et forme comme une île.

Une autre hypothèse est que l'élément -daul représenterait un hagionyme et plus précisément la forme contractée de Théleau (Telo), car pendant plusieurs siècles et notamment à l'époque moderne, l'église paroissiale était dédiée à sainte Marie-Madeleine et saint Théleau qui en étaient les deux saints patrons. Ce n'est qu'en 1863 que la chapelle Notre-Dame du Vrai-Secours est devenue, après avoir été agrandie, notamment par l'adjonction de deux chapelles latérales, église paroissiale ; elle prit alors le nom d'Église Saint-Théleau. Cependant, les formes anciennes et la phonétique ne vont pas dans ce sens (voir supra).

  1. a et b Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN ), p. 383a
  2. a et b Hervé Abalain, Noms de lieux bretons, p. 76[réf. incomplète].
  3. KerOfis, Office public de la langue bretonne : formes anciennes de Landaul (lire en ligne) [1]
  4. François Falc'hun, Les noms de lieux celtiques, Volume 1, 1983, p. 103.
  5. «  », sur landaul.fr (consulté le ).

Histoire

Préhistoire

Le lec'h christianisé de Langonbrach.

Le lech de Langobrach date du Néolithique et a été christianisé au ou  siècle ; il comprend des inscriptions latines difficilement déchiffrables (Crux britient mulieris kilezoc filiae conberti. Hoc opus quicumque legerit salvus sit probablement) et est situé près de la chapelle Saint-Maurille.

Antiquité

La voie romaine allant de Darioritum (Vannes) à Civitas Aquilonia (Quimper) passe près de Trézedy et à Kervadec.

Moyen-Âge

Les origines de la paroisse

Landaul proviendrait du démembrement de la paroisse de l'Armorique primitive de Pluvigner ; la première église construite daterait des environs de l'an 900.

La vicomté de Kerambourg et les autres seigneuries

La châtellenie de Kerambourg appartenait en 1300 à Henri, seigneur de Kerambourg, puis à la famille de Laval qui l'aurait ensuite vendu à la famille de Kaër et en 1350 au sieur Jean de Guer-Malestroit (par son mariage avec Marie de Kaër) ; en 1551 la seigneurie fut érigée en vicomté au profit de Claude de Malestroit, décédé en 1554, qui fut donc le premier vicomte de Kerambourg. Cette vicomté fut par la suite vendue à Jean de Robien, , second fils de Christophe de Robien, Plainte (1573-1625). La fille de Thomas de Robien, , Julienne de Robien-Kerambourg, se maria avec Christophe-Paul de Robien, son parent au .

Une autre seigneurie était importante, celle de Kerambarh (Kerambartz). Yvonnet de Kerambartz, écuyer, est commandant de la compagnie des gens d’armes en 1537 ; elle appartient ensuite à la famille Chohan, puis à celle des Gouyon de Vaudurand dans la avec Louise Gouyon, appartient à la famille de Robien.

D'autres maisons nobles existaient à Landaul : le Granic, Kerriante et Kerlivaux, cette dernière au bord d'un grand étang.

Temps modernes

Carte de Cassini de la paroisse de Landaul et de ses environs (1789).

Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Landaul en 1778 : « Landaul ; à 5 lieues et demie à l'Ouest-Nord-Ouest de Vannes, son évêché ; à 24 lieues de Rennes et à 2 lieues un quart d'Aurai, sa subdélégation et son ressort. La cure est à l'Ordinaire, et compte 600 communiants. La haute-justice de la vicomté de Kerambourg et celle du Val s'exercent à Aurai. (...) Ce territoire forme à peu près une plaine dont les terres sont très bien cultivées. On y fait du cidre. »

Révolution française

Jean-Louis Le Molgat, recteur de Landaul depuis 1778, refusa de prêter serment à la Constitution civile du clergé et, devenu prêtre réfractaire, partit en exil en Espagne le .

En 1795, dans le cadre de l'Expédition de Quiberon, le village de Langombrach et les bois des alentours (les villages de Trézédy, Lamgombrach, Kerguen et Kerveno, entourés de forêts furent propices à la révolte chouanne) furent le théâtre de violents combats entre les Chouans commandés par le Chevalier de Tinténiac (une centaine de Landaulais auraient participé à cette bataille à ses côtés) et les troupes républicaines dirigées par le général Hoche ; le , pris en tenaille par les Bleus, les Chouans durent se replier sur Mendon.

Louis Urbain Bruë a décrit ces événements, écrivant notamment : « La troupe marchait militairement. Vers midi, à une petite lieue de Landévan, vis-à-vis le village de Trezidy-Keriagun, commune de Landaul, les grenadiers éclaireurs de l'avant-garde ont aperçu en embuscade, derrière le fossé qu'ils montaient, un nombre considérable d'hommes (que nous avons estimé être à deux cents au moins), tous armés, très bien vêtus et presque généralement en carmagnole et pantalons bleus (...) Le pas de charge a été battu sur le champ ; les grenadiers, les chasseurs et une partie du détachement de Hennebont (...) ont avancé sur eux et les ont poursuivi républicainement. Malgré la fusillade vive des brigands, qui, forcés de se replier, chargeaient et tiraient en marchant, ils ont atteint plusieurs de ces sclélérats qu'ils ont tués. (...) Le nombre de tués, du côté des rebelles, a été de plus de vingt »

Jean-Louis Béard, maire de Brech depuis 1796, signale aux autorités l'existence à Landaul d'une auberge mal famée, fréquentée par Joachim Kermorvant, dit Marmousse, originaire de Kerguengoch en Brech, qui se qualifie de "chef de légion de l'armée catholique" et qui serait en relation avec Georges Cadoudal ; il fut amnistié en 1802.

Émile Sageret cite, parmi les Chouans « ne reculant devant aucune violence », Jean Le Lan (de Kervignac), Le Crom (de Landaul) et François Le Gouriff, dit Ulysse, de Sainte-Hélène

Le | ]

Le 150 soldats envahirent la maison de la mère, âgée de 71 ans, d'un réfractaire (Chouannerie de 1832) dans le village de Kerguestin et fouillèrent aussi tous les environs, les maisons des membres de la famille du réfractaire et chez le curé de la paroisse, pillant presque tout sur leur passage.

A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Landaul en 1843 :

« Landaul : commune formée de l'ancienne paroisse de ce nom ; aujourd'hui succursale. Il y a foire le 25 mai, clé 13 juillet. Géologie : constitution granitique. On parle le breton. »

En 1862 l'ancienne église paroissiale est démolie (ce qui permet l'agrandissement du cimertière) et remplacée par la chapelle Notre-Dame du Vrai-Secours (elle daterait de 1493 et a été construite par les seigneurs de Kerambourg) située à proximité et qui prend le nom d'église Saint-Théleau.

Une épidémie de variole frappa 44 personnes et fit 16 morts à Landaul entre 1865 et 1870.

Le | ]

La Belle Époque

L'école des filles de Landaul, tenue par des religieuses, est laïcisée en janvier 1903 en application de la loi de 1901 qui provoque l'expulsion des congrégations religieuses.

Comme dans d'autres communes voisines, le l'inventaire des biens d'église ne put avoir lieu à Landaul « où la résistance est organisée ».

La Première Guerre mondiale

Le monument aux morts de Landaul porte les noms de 54 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale ; parmi eux, deux au moins sont morts en Belgique dès 1914 (Joseph Tual, dès le lors des combats de Maissin et Louis Lorho ; Martin Quéric est mort le dans l'actuelle Macédoine du Nord et a été décoré de la Croix de guerre ; la plupart des autres sont morts sur le sol français, dont Guigner Le Moullec, soldat du 62e régiment d'infanterie, disparu à Ailles (Aisne) le , décoré de la Médaille militaire et de la Croix de guerre ; Pierre Audran, soldat du 298e régiment d'infanterie, a été décoré de la Croix de guerre ; Joseph Le Dorze et Joachim Guégan sont décédés après l'armistice, le premier des suites de ses blessures, le second de maladie. Le maire, Paul Parmentier est mort pour la France le à l'hôpital de Vitry-le-François (Marne).

L'Entre-deux-guerres

Une voie de garage, un quai et un pont bascule sont aménagés à la gare de Landaul-Mendon, pour permettre l'expédition de wagons entiers de marchandises, notamment des huîtres provenant de la ria d'Étel et des primeurs ; prévus en 1921, ces aménagements sont réalisés en 1927-1928.

En 1923 le cimetière qui était jusque-là au chevet de l'église paroissiale, est transféré à son emplacement actuel, route de la Gare. Le , Alphonse Rio, sous-secrétaire d'État à la marine marchande, inaugure le monument aux morts de Landaul.

La Seconde Guerre mondiale

Pendant la Deuxième Guerre mondiale, Landaul fut le théâtre d'événements liés à sa proximité avec les combats pour la base sous-marine de Lorient. Les bombardements de Lorient à partir de 1942 donnaient lieu à des combats aériens au-dessus de la commune. Le , un bombardier américain, le « Beats Me », touché par des avions de chasse allemands largua ses bombes sur Kergolven avant de s'abattre à Kéronic en Pluvigner. L'équipage comprenait huit aviateurs: sept furent tués, un seul, le radio, en réchappa. Il s'appelait Charles Roth.

Un parachutage à l'intention de la Résistance atterrit, sans doute par erreur, dans la propriété Maho en plein bourg. La Résistance envoya ensuite un commando récupérer les objets parachutés.

Le meunier du moulin de Plusquen, Gilbert Denis, suspecté d'avoir dénoncé des résistants, fut tué par balle et le meurtre attribué à François Moizan, lieutenant FFI.

Pendant la guerre, des habitants de Lorient et Hennebont se réfugièrent en grand nombre à Landaul.

Au début de l'année 1944, la Résistance organisa des sabotages de la voie ferrée traversant la commune et qui approvisionnait Lorient. De nombreux déraillements eurent lieu entraînant à partir d’, les rafles et ratissages des commandos de chasse allemands, suivis de tortures, exécutions et déportations, qui firent de la région une véritable zone de guerre. Le , cinq jeunes résistants (Lucien David, François Fayo, Francis Le Bellec, Victor Le Mestre et Eugène Le Palud) furent capturés à Kergouarec et fusillés sur la place du bourg, en présence du maire, Mathurin Le Rouzic et d'une quarantaine de Landaulais contraints d'assister à l'exécution. Sur le monument, un sixième, fusillé à Pluvigner, André Le Gleuher, a été ajouté sur la plaque du monument.

Le , huit Allemands furent victimes de la vengeance : « Des soldats allemands sont venus de Nostang à Landévant se rendre aux soldats alliés ou aux résistants après avoir tué leur officier qui les menaçait de mort s'ils désertaient. Huit d'entre eux seront conduits à pied à Landaul, les mains sur la tête, pour une sorte de sacrifice expiatoire, à la mémoire des cinq patriotes fusillés le 30 avril sur la place du bourg. Ils furent abattus et enterrés sur place, au pied d'un mur derrière l'école... ».

Le lendemain, un commerçant du bourg, Joseph Gauter fut arrêté, torturé par la Gestapo à Locminé, puis déporté NN (Nacht und Nebel) au camp du Struthof après avoir été condamné à mort à la prison de Vannes. L'évacuation des déportés du Struthof vers Dachau devant l'avance des Alliés lui permit d'échapper à la mort.

La Libération ne mit pas fin aux combats dans la région, Landaul étant situé en limite de la Poche de Lorient où les Allemands ne capitulèrent que le . Pendant toute cette période de nombreux FFI, combattants de la poche de Lorient, séjournaient à Landaul.

Le monument aux morts de Landaul porte les noms de 7 personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale : parmi elles Jean Le Carour, mort au printemps 1940 lors de la Bataille de France dans l'Aisne ; Mathurin Le Boulaire, mort en combat aérien à Palmyre (Syrie) en 1941 ; Joseph Tuffigo, mort en captivité en Allemagne en 1944 ; Joseph Le Formal, mort accidentellement au Liban en 1944.

L'après Seconde Guerre mondiale

Un soldat originaire de Landaul, Alphonse Le Ménach, est mort pour la France pendant la Guerre d'Algérie.

  1. Joseph-Marie Le Mené, Histoire archéologique, féodale et religieuse des paroisses du diocèse de Vannes, Vannes, Imp. de Galles, .
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  6. a b et c Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Landaul. Histoire
  7. D'après la notice d'information touristique située sur place.
  8. Louis Urbain Bruë, Au nom du peuple français. Copie de la lettre écrite par Brue, représentant du peuple près les armées des côtes de Brest et de Cherbourg, à ses collègues composant le Comité de salut public, Vannes, impr. de J. M. Galles (lire en ligne), pages 2 et 3.
  9. Émile Sageret, Le Morbihan et la chouannerie morbihannaise sous le Consulat. : Tome 3, Paris, A. Picard et fils, 1910-1918 (lire en ligne), pages 391 et 392.
  10. Émile Sageret, Le Morbihan et la chouannerie morbihannaise sous le Consulat. : Tome 1, Paris, A. Picard et fils, 1910-1918 (lire en ligne), page 185.
  11. « Nouvelles de l'Ouest », Journal Gazette de Metz,‎ (lire en ligne, consulté le ).
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  18. « Déplacements ministériels », Journal L'Éclair comtois,‎ , page 1 (lire en ligne, consulté le ).
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  21. Leroux Roger, Le Morbihan en guerre, 1939-1945
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Culture

  • Le bagad Avel Hun Tadeu existe depuis 1952 et anime avec son cercle de danseurs diverses fêtes et pardons.
  1. Le bagad Avel Hun Tadeu

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