Hennebont

Localisation

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Hennebont : descriptif

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Hennebont

Hennebont [ɛnbɔ̃] est une commune française de 16 062 habitants (Insee 2021)

Elle est située en Bretagne dans l'ouest du Morbihan, en aval du fleuve côtier le Blavet

Ses habitants sont appelés les Hennebontais et Hennebontaises

La commune est chef-lieu du canton d'Hennebont

Elle fait partie de l'arrondissement de Lorient, du Pays de Lorient, du syndicat mixte de la Vallée du Blavet et de Lorient Agglomération avec 24 autres communes.

Géographie

Situation géographique

carte de la commune de Hennebont

Hennebont se situe en Bretagne, dans le sud-ouest du département du Morbihan, à 10 Lorient et 45 Vannes, les deux principales villes du Morbihan. Son territoire de 1 857 hectares est traversé par un fleuve côtier, le Blavet.

Hennebont est qualifiée de « Porte du Blavet » du fait de sa situation géographique. Par son implantation en fond de ria, la commune assurait la liaison entre le littoral et l'intérieur des terres. Hennebont marque la limite entre la partie maritime et la partie fluviale du Blavet.

Au sud, l'embouchure du fleuve rejoint l’océan au niveau de la rade de Lorient. Ses eaux s'y mêlent ainsi à celles du Scorff et de l’Atlantique. Le littoral se situe à une douzaine de kilomètres (Port-Louis).

Communes limitrophes

Les communes limitrophes sont Inzinzac-Lochrist, Languidic, Kervignac, Lanester et Caudan.

Communes limitrophes d’Hennebont
Inzinzac-Lochrist
Caudan Hennebont Languidic
Lanester Kervignac

Relief et hydrographie

Hennebont est la ville la plus en aval de la vallée du Blavet. De là débute le chemin de halage qui longe le fleuve côtier vers le nord sur 58 kilomètres. Celui-ci permet de rallier le canal de Nantes à Brest via Pontivy. Hennebont est le départ d'une voie verte qui permet de traverser la Bretagne du sud au nord et rejoindre la ville de Morlaix.

Sur la rive droite du Blavet se trouve le bois du Hingair, et sur la rive gauche les bois du Duc, du Talhouët et celui de Locoyarne.

Géologie

Transports

Hennebont est un nœud routier important où convergent les routes vers Vannes et Nantes. Dans l'autre sens vers Lorient et Quimper (voie express, route nationale 165), Rennes (voie express, route nationale 24), Roscoff, Quiberon et Port-Louis.

La ligne de chemin de fer Paris-Quimper traverse la commune au sud de la ville, la desserte TGV se faisant via la gare de Lorient.

Distance des grandes villes françaises

Ville Toulouse Bordeaux Strasbourg Lille Marseille Nantes Lyon Brest Paris
Distance

Orientation

744 km

(S-E)

506 km

(S-E)

967 km

(E)

708 km

(N-E)

1 144 km

(S-E)

160 km

(S-E)

874 km

(S-E)

139 km

(N-O)

489 km

(N-E)

La communauté d'agglomération Cap L'Orient.

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous la forme Hanebont en 1114

Il s'agit d'un composé brittonique formé des éléments Hen- « vieux, ancien » (celtique *seno-) et -bont forme mutée de pont « pont »,.

C'est en effet à Hennebont que fut construit le premier pont permettant de traverser le Blavet et ce fait explique le développement de la ville.

Henbont en breton.

  1. Geobreizh http://www.geobreizh.bzh/geobreizh/fra/villes-fiche.asp?insee_ville=56083
  2. Hervé Abalain, Noms de lieux bretons, Paris, J.-P. Gisserot, , 126 ISBN  et , lire en ligne), p. 27.

Histoire

Préhistoire et Antiquité

Le territoire de la commune est fréquenté depuis le néolithique. Sur le site de Polvern, un éperon rocheux dominant le Blavet, des fouilles archéologiques ont permis de mettre au jour des haches polies datées du Néolithique. D'autre part, ces mêmes fouilles ont mis en évidence l'occupation du site, situé en territoire vénète, du .

Moyen Âge

Hennebont et Jeanne de Flandre.
Le siège d'Hennebont en 1342.

À partir du Kemenet-Héboé établissent une motte féodale sur l'éperon rocheux au-dessus de ce qui deviendra, entre 1200 et 1264, par la volonté d'Henri d'Hennebont, la paroisse de Saint-Caradec-Hennebont, village de la rive droite, prédécesseur de la future ville d'Hennebont. La création de cette dernière par le duc de Bretagne, signa l'achèvement de l'absorption et du démantèlement de l'antique Kemenet-Héboé. Une situation stratégique qui permet de contrôler le passage étroit de la rivière.

Au milieu du Jean Le Roux (1237-1286) démantèle la motte féodale des seigneurs d'Hennebont et entreprend la construction des fortifications sur la rive gauche du Blavet, la ville close. Hennebont devient très vite une place forte importante du duché de Bretagne, ce qui lui vaudra de nombreux sièges durant cette époque.

L'histoire a surtout retenu le siège de 1342, pendant la guerre de succession du duché de Bretagne qui opposa les partisans de Charles de Blois à ceux de Jean de Montfort, les deux prétendants à la succession du duc Jean les remparts de la ville. En l'absence de son mari Jean de Montfort, prisonnier des Français, Jeanne de Flandre organise victorieusement la résistance et vient se réfugier derrière les murs d'Hennebont. La place forte, sur le point de se rendre, est délivrée in-extrémis par la flotte anglaise venu au secours des assiégés après avoir remonté le cours du Blavet. Lors de ce siège, Jeanne de Flandre y gagnera son surnom de Jeanne la Flamme pour son intrépidité au combat.

Quelques décennies plus tard, Du Guesclin assiégea aussi la place forte et passera la garnison anglaise au fil de l'épée après l'avoir prise. Le prince de Dombes, durant les guerres de la Ligue, l'assiégea également victorieusement.

Époque moderne

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La ville close d'Hennebont vers 1600 par Heudier.
La maison du Sénéchal, une construction urbaine typique du XVIe siècle. Avant l'incendie qui ravagea une grande partie du centre historique le 7 août 1944, il existait plusieurs maisons de ce type dans la ville.

Le Guerres de la Ligue. C'est au cours de ce siècle que la basilique Notre-Dame-du-Paradis est bâtie à l'initiative du maréchal-ferrant François Michart et avec l'aide de la population.

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Dans le cadre des Guerres de la Ligue, le , René d'Arradon accueille en sa ville de Vannes les troupes espagnoles débarquées à Saint-Nazaire. Le , celui-ci entreprend le siège d'Hennebont avec sa compagnie de gens d'armes et trois cents arquebusiers, soutenus par ces troupes espagnoles. Hennebont capitule le . Jusqu'aux XVIIe et XVIIIe siècles, la région vit essentiellement du commerce maritime et agricole. La commune compte alors entre 1 500 et 2 000 habitants.

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La ville perd son rôle de place forte militaire au Port-Louis.

Hennebont est aussi une ville commerçante et administrative de taille moyenne. Si, en 1666, la fondation de Lorient sonne le glas de sa primauté, Hennebont n'en reste pas moins, tout au long du siècle, une ville d'une grande vitalité. Les blés sauvent l'économie locale et Hennebont restera un des plus importants ports blattier de la côte sud (commerce des céréales). Les hôtels particuliers de cette époque témoignent de cette prospérité. La prépondérance administrative et judiciaire de la sénéchaussée hennebontaise décline cependant au profit de Lorient, où s'installe la Compagnie des Indes au milieu du XVIIIe siècle.

La paroisse de Saint-Caradec-Hennebont

Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Saint-Caradec-Hennebont en 1778 :

« Saint-Caradec-Hennebon : paroisse séparée de la ville de Hennebon par la rivière de Blavet. On y compte 2 200 communiants : la cure est à l'alternative. Le territoire produit du grain et du foin. »

Il précise aussi qu'il s'y tient deux foires chaque année et qu'il s'y vend « une grande quantité de bestiaux ».

Révolution française

Hennebont fut chef-lieu de district de 1790 à 1795.

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L'église et la place du marché vers 1850.

En 1857, les Haras nationaux s'installent sur le site de l'ancienne abbaye de la Joye-Notre-Dame. Hennebont devient alors un lieu important pour le développement du cheval breton.

Avec l'ère industrielle, la ville bénéficie d'une importante activité grâce à l'implantation à Kerglaw, sur la commune d'Inzinzac-Lochrist, des Forges d’Hennebont. Celles-ci assurent le développement du trafic sur le Blavet avec l'importation du charbon d'Angleterre et permettent l'essor de l'industrie régionale de la conserve de fer blanc.

À compter de 1862, la ville d'Hennebont est desservie par le chemin de fer.

Plusieurs lithographies d'Albert Robida, publiées dans La vieille France, Bretagne illustrent Hennebont vers 1900 :

Le photographe Félix Martin-Sabon a immortalisé à travers plusieurs clichés la ville close et ses alentours avec quelques-uns de ses habitants à la fin du XIXe siècle (avant 1897) :

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La Belle Époque

Ne trouvant plus de travail assuré dans la région, 50 ouvriers d'Hennebont et Inzinzac partirent travailler dans les mines de charbon de Courrières, certains partant avec leurs familles.

La Première Guerre mondiale
L'Entre-deux-guerres

Devenue cité ouvrière, Hennebont connaît, entre les deux guerres, un développement urbain important avec la construction de nouvelles zones d'habitat sur les périphéries.

Plusieurs anciennes carrières de granite ouvertes en bordure du Blavet au nord d'Hennebont près de Polvern, sont exploitées depuis au moins le . Propriété de la « Société des carrières et travaux de Paris » depuis 1937, ces carrières fournissent pendant l'Entre-deux-guerres des matériaux de revêtement des chaussés (pavés, bordures de trottoir), notamment pour la capitale (rond-point des Champs-Élysées, avenue de l'Opéra), et des matériaux pour la construction (pierre de taille, moellons, gravillons) utilisés notamment pour les travaux de canalisation du Blavet (écluses, barrages). La production de granite d'Hennebont (appelé aussi granite du Blavet, réputé pour sa dureté et sa résistance mais difficile à tailler) atteint 30 000 tonnes en 1927, les carrières employant alors 170 ouvriers. La roche était acheminée par des péniches sur le Blavet canalisé, puis par voie maritime via Le Havre et la Seine. Leur exploitation a cessé vers 1955,.

Les Forges d'Hennebont atteignent leur apogée en 1930, employant alors 3 000 ouvriers.

La Seconde Guerre mondiale

Claire Marcel Conedo, vingt-deux ans, et Marcel André, vingt ans, tous deux domiciliés à Hennebont, furent exécutés le pour « coups à des militaires allemands » alors qu'ils se trouvaient en état d'ivresse.

Maisons en ruine place du Marché suivant les bombardements du .

Sous l'Occupation, la résistance à Hennebont s'organise comme partout ailleurs en France. Dès 1943 le Capitaine Georges Hillion (1909-1977), demeurant au Manoir de Locoyarn, alias « Capitaine Francis » dans la résistance, en mémoire de son père, capitaine mort pour la France à la bataille Morhange en 1914.

Le Capitaine Hillion forme les jeunes recrues FFI avec des amis eux aussi capitaines, André de Neuville (mort pour la France), Jacques de Beaufort (qui sera déporté) André Aunier, Henri Réglain, la résistance dans le pays d’Hennebont, Languidic, Lorient et Plouay. Elle prend différentes formes : renseignement, sabotage. Les actes de sabotage en 1944 à Hennebont consistent en l'attaque de la voiture de paie de la Kriegsmarine le , des coupures de lignes électriques et téléphoniques, des déraillements les , et . Pour chaque acte de sabotage, les Allemands réprimaient durement la population.

Réfugiés parvenant à Hennebont pour fuir les combats de la Poche de Lorient (journal Combat du ).

Le marquera l'histoire d'Hennebont. Au matin, des résistants (sous le commandement du capitaine Georges Hillion, commandant la Gâvres, Ferdinand Thomas futur maire d’Hennebont, Louis Le Coupannec, Marcel Raoult futur maire de Clohars-Carnoët, l'abbé Laudrin etc...) ils se mettent en relation avec les Américains qui font leur entrée dans la ville par la route de Languidic. La population laisse exploser sa joie mais sa liesse sera de courte durée. Les troupes allemandes repliées sur la rive opposée du Blavet, à Saint-Caradec, n'entendent pas perdre la partie aussi facilement. Ils font sauter les ponts, bloquant ainsi la progression des Alliés. L'offensive allemande se poursuit. Une pluie de bombes incendiaires, tirées depuis Groix et Lorient, s'abat sur la ville. Les Américains amorcent un repli vers Lochrist où les ponts sont restés intacts. L'artillerie allemande continue ses tirs, réduisant peu à peu la ville à des amas de ruines. Des incendies se déclarent poursuivant inexorablement la destruction de celle-ci. En fin de journée, les secours s'organisent du mieux qu'ils peuvent. Le capitaine Hillion met a disposition deux autocars pour secourir la population civile d’Hennebont qui est évacuée par ses hommes. Bilan : 43 personnes tuées dans les bombardements, 180 blessés et une ville en feu. La ville est détruite aux ²⁄₃. Les quartiers les plus anciens sont très touchés. Une grande partie du patrimoine est irrémédiablement perdue : les superbes demeures du XVIe et du XVIIe siècle de la ville close ont disparu. Les tours Broerec'h ont vu leurs toits détruits. Il ne reste que les murs calcinés du musée. La basilique est heureusement préservée même si la flèche a été quelque peu malmenée. On estime à 857 le nombre d'habitations ou bâtiments industriels détruits totalement ou en partie. L'enfer n'est pas terminé pour autant. Le périple des derniers soldats ennemis va être ponctué de massacres en différents lieux de la rive droite. Sous prétexte de chercher de dangereux « terroristes », ils s'en prennent à une population sans défense et vont commettre de véritables atrocités. Ainsi, dans plusieurs abris de Saint-Caradec, l'ennemi lance des grenades à l'intérieur tuant ou blessant de nombreux civils innocents. Après la guerre vient naturellement l'ère de la reconstruction par l'action du capitaine Thomas à la tête de la municipalité, adjoint du capitaine Georges Hillion et qui se poursuivra jusqu'au milieu des années soixante où des baraques de bois provisoires ont été installées pour reloger les habitants sinistrés.

Une édition clandestine du journal L'Humanité en date du , reprenant un communiqué de l'état-major des FTP en date du , relate qu'« entre Landévant et Hennebont, 5 wagons de permissionnaires [allemands ont été] précipités dans un ravin », le sabotage faisant 20 morts et blessés.

Lors des combats de la Poche de Lorient, le front allait approximativement d'Auray au Pouldu, suivant appoximativement, à une distance variant de quelques centaines de mètres à quelques kilomètres le tracé de la Route nationale 165 (ancien tracé), passant au sud de Landévant, de Brandérion, d'Hennebont et de Pont-Scorff, longeant la Laïta au sud de Quimperlé jusqu'à la mer. « Il n'y a pas de durs combats, mais des duels d'artillerie et des escarmouches. Ce sont les villages de Nostang, Kervignac, Merlevenez et Sainte-Hélène qui sont l'enjeu des plus violentes attaques. Chaque jour des hommes tombent.. (...) Dans leur rage destructrice les Boches se sont acharnés sur la petite ville d'Hennebont, que les patriotes leur avaient enlevée. Il ne reste, dans le haut quartier et la rue Nationale, que quelques maisons et l'église. La ville basse, les quatre ponts sur le Blavet, ne sont plus qu'un amas de décombres, que gardent une vingtaine de FFI barbus ».

L'après-guerre

À cette destruction s'ajoutait le poids de la vétusté des immeubles, des réseaux, des bâtiments publics. La population évacuée à partir de 1943 n'allait réintégrer la commune que très progressivement en 1945 et 1946. Les premières tâches de la municipalité d'après-guerre allaient être la reconstruction et l'urbanisme. Le journal L'Espoir du Morbihan écrit le qu'à Hennebont « les gens sont logés dans de très mauvaises conditions. Rue Trottier, il a été installé des baraquements à usage commercial. Par ailleurs un certain nombre de familles a pu être logé dans des baraquements au camp de France ».

Des mesures provisoires étaient prises pour sauvegarder ce qui pouvait l'être. Tandis qu'aux confins de la commune, les agglomérations de Langroix et Saint-Gilles venaient agrandir le territoire communal, en 1946. Le chiffre de la population reprendra une courbe ascendante un moment interrompue. La vitalité du commerce sera attestée par les foires-expositions entre 1948 et 1954. À partir de 1957 commence la fermeture des Forges d'Hennebont qui deviendra totale en 1966 (malgré de nombreuses manifestations de protestation, celle d'octobre 1963 rassemblant 25 000 personnes). Peu à peu les espaces agricoles laissent la place à l'industrie et l'habitat. Les carrières de Polvern fermèrent vers 1955.

Une municipalité d'Union de la gauche investit la mairie en 1959. Des cités HLM sont construites et une importante politique sociale est menée. Économiquement la ville est de plus en plus dépendante du pays de Lorient. Hennebont adhère en 1991 au district du Pays de Lorient.

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Le tremblement de terre de 2002

Le plus gros tremblement de terre enregistré en Bretagne depuis que les instruments de mesure précis existent (vers 1980), survenu le avait son épicentre à Hennebont ; il a atteint une magnitude de 5,4.

Le changement de majorité municipale en 2014

Après 55 ans sans alternance politique (la gauche communiste étant constamment au pouvoir), une nouvelle municipalité issue d'un mouvement citoyen local est élue en 2014.


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  1. Yves Menez, Hennebont : Rapport de fouilles, , 96 p., p. 53.
  2. Étienne Raut et Léon Lallement, La Ligue au Pays de Vannes et les Aradon, "Bulletin de la Société polymathique du Morbihan", 1934, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6561153v/f109.image.r=Tudy.langFR.
  3. Jean-Baptiste Ogée, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, lire en ligne), page 205.
  4. Albert Robida, La vieille France, Bretagne, vers 1900, consultable https://gallica.bnf.fr
  5. « Émigration », Journal La Dépêche de Brest et de l'Ouest,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  6. a et b Michel Pichon, « Les carrières de Polvern : l'exploitation d'un granite d'exception », Les Cahiers d'histoire du vieil Hennebont, no 6,‎ , p. 51-66.
  7. Serj Le Maléfan, "Granites de Bretagne", Coop Breizh, 2013, (ISBN ).
  8. Louis Chauris, « Les anciennes carrières de la région lorientaise (Morbihan) », Annales de Bretagne et des pays de L'Ouet, DOI 10.4000/abpo.2667).
  9. Bernard Frélaut, "Hennebont", dans Alain Croix et Jean-Yves Veillard, "Dictionnaire du patrimoine breton", Presses Universitaires de Rennes, 2003, (ISBN ).
  10. Éric Rondel, "Crimes nazis en Bretagne (septembre 1941-août 1944)", éditions Astoure, 2012, (ISBN ).
  11. « L'action des Francs-Tireurs et Partisans », Journal L'Humanité, lire en ligne, consulté le ).
  12. Jacques Dapilly, « Sur le front de Lorient », Journal La France libre : organe de "Ceux de la Libération-Vengeance",‎ (lire en ligne, consulté le ).
  13. « Réunion de la commission des dommages immobiliers et mobiliers le 4 mars 1946 », Journal L'Espoir du Morbihan,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  14. Martin Vaugoude, La Bretagne est-elle une région sismique ?, journal Le Télégramme de Brest et de l'Ouest, n° du 31 mars 2020.

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Dokument erstellt 03/01/2018, zuletzt geändert 30/10/2024
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