Bodilis [bodilis] est une commune française, située dans le pays de Léon qui correspond au nord du département du Finistère (en région Bretagne).
Géographie
Localisation et communes limitrophes
La commune, qui faisait partie traditionnellement du pays de Léon, est située à environ 28 kilomètres au sud-ouest du centre de Morlaix et à 5 kilomètres au nord-ouest de la ville de Landivisiau.
Elle est proche du parc naturel régional d'Armorique.
Communes limitrophes de Bodilis
Plougar
Plougar
Plougourvest
Saint-Servais
Landivisiau
Ploudiry
Loc-Eguiner
Loc-Eguiner
Relief
Le finage de la commune est limité au sud par la partie aval de la vallée du fleuve côtier Élorn (lequel coule entre 33 mètres à son entrée et 27 mètres à sa sortie du territoire communal) dont la vallée, dont les versants sont boisés (Bois du Quinquis notamment), est encaissée d'une bonne cinquantaine de mètres par apport au plateau du Léon qui occupe la majeure partie de la commune et est situé entre 80 mètres et 113 mètres d'altitude, le bourg de Bodilis étant situé au point le plus élevé de la commune.
Quelques affluents de rive droite de l'Élorn ont eux-mêmes des vallées encaissées, du moins dans leur partie aval, notamment à l'est le ruisseau de Kerfeunteniou, dont le cours sert à deux reprises de limite communale avec Landivisiau, qui alimentait en eau par le passé plusieurs moulins (Kerfeunteniou, Kerriergars, ar Chastel notamment, ou encore celui de Creac'h Guial sur l'un de ses affluents), et juste avant sa confluence l'étang de Penguilly.
Le petit fleuve côtier la Flèche prend sa source dans l'extrême nord-ouest du territoire communal, à l'est-nord-est de la Base d'aéronautique navale de Landivisiau dont la partie orientale du terrain d'aviation se trouve dans la commune de Bodilis, même si l'essentiel de ses installations sont sur le territoire de la commune de Saint-Servais.
La commune présente, ou plutôt présentait, un paysage rural traditionnel de bocage avec un habitat dispersé en de nombreux écarts formés de hameaux et fermes isolées ; le bourg est excentré dans la partie nord du finage communal. Quelques lotissements se sont créés récemment au sud du bourg, mais la construction est freinée par les nuisances liées à la proximité de la base aérienne de Landivisiau.
La commune est classée en zone de sismicité 2, correspondant à une sismicité faible.
Transports
L'ancienne route nationale 12, désormais D 712, traversait l'extrême sud du territoire communal, son tracé sinueux empruntant la rive droite de la vallée de l'Élorn (par contre la voie ferrée allant de Paris à Brest, dont le tracé est sur la rive gauche traverse les communes de Loc-Eguiner et Ploudiry ; La commune n'est desservie par aucune gare, la plus proche étant celle de Landivisiau) ; la nouvelle route nationale 12, une voie express, traverse la partie sud de la commune (son tracé a été dessiné sur le plateau), la commune étant desservie principalement par l'échangeur de Landivisiau ouest, situé en fait sur le territoire de la commune de Bodilis, auquel les habitants accèdent en empruntant la route départementale Plouescat.
Climat
Pour des articles plus généraux, voir Climat de la Bretagne et Climat du Finistère.
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Finistère nord, caractérisée par une pluviométrie élevée, des températures douces en hiver (6 . Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Monts d'Arrée », avec des hivers froids, peu de chaleurs et de fortes pluies.
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 amplitude thermique annuelle de 10,4 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Servais à 3 vol d'oiseau, est de 11,6 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
↑ Carte IGN sous Géoportail
↑ « ».
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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Toponymie
La trève est aussi dénommée Treff de Bodilis en 1486, Notre Dame de Botilys en 1647, Notre Dame de Botylis au .
Du breton bret. bod « demeure », et ilis « église » ; « demeure près de l'église ».Bot an iliz, « la demeure près de l'église », (presbytére), s'est transformé en Bodiliz en breton au fil des siècles avec la disparition de l'article défini.
↑ « », sur infobretagne.com (consulté le ).
↑ Ernest Nègre, « » (consulté le ).
Histoire
Préhistoire et Antiquité
Des tumuli en grande partie arasés, notamment au Spernen (à la limite de Plougar et Plougourvest) témoigent d'une occupation humaine à l'Âge du fer
Une voie romaine partant de Saint-Servais pour rejoindre Morlaix passait par le nord du bourg actuel ; elle rejoignait celle allant de Vorgium à l'Aber-Wrach.
Moyen Âge
Une motte castrale datant du haut Moyen Âge existe à Lessougar.
Une foire, ancêtre des foires de Landivisiau, fut créée en 1429, autorisée par le duc Jean V à la demande d'Olivier de Kerozéré [Kerouzéré], en pleine campagne à Coatsabiec, dont il était le seigneur (alors en Plougourvest, désormais en Bodilis), aux alentours de la chapelle Saint-Mathieu, ancien prieuré de l'abbaye Saint-Mathieu de Fine-Terre. « Il y a lieu convenable et proufitable à y faire tenir foire une foez len au jouret vigille de Saint Mahé auquel jour et lieu il y a congregacion et assemblée de gens (l'orthographe de l'époque a été respectée) ». Ne trouvant pas à se loger dans les environs, les marchands passaient la nuit sur place, brûlant du bois pour se réchauffer.
Les seigneuries existantes connues étaient celles de Lambezre, de l'Estang et de Creachcaribot, les principales familles nobles étant les De L'Estang, Du Dourguy, Boiséon de Kergorlay.
Époque moderne
Bodilis était alors une simple trève de la paroisse de Plougar, qui aurait son origine dans l'ancien monastère de Mouster-Paul, fondé par saint Paul Aurélien. Albert Le Grand, cité en 1647 par le Père Cyrille Le Pennec, décrit en ces termes Bodilis au XVIIe siècle :
« Dans Plouégar se voit de bien loin l'église tréviale de N.-D. de Botylis ; elle est magnifiquement construite sur une colline assez éminente et a esté ces dernières années merveilleusement embellye, selon la direction de noble et vénérable personne Claude missire de Kermenou, recteur de la susdite paroisse. Le concours et l'affluence du peuple qui la fréquente aux sollenitez de la Sainte-Vierge est très remarquable et dénote que ce dévôt lieu est parmy les Léonnais en singulière vénération et respect. (l'orthographe de l'époque a été respectée) »
Vers 1660, il y avait, sans compter les diacres et les sous-diacres, 13 prêtres dans la paroisse de Bodilis, ce qui s'explique par le grand nombre des chapellenies qu'il fallait desservir : elles étaient neuf en 1691 : Saint-Jean-Baptiste, de l'Étang, de Lambezre, de Yves Person (prêtre), de Yves Rannou, de Jean Rannou, de Yves Abgrall, de Catherine Madec, de Jean Berregar (prêtre) et de Pont-Arzullier. La trève de Bodilis était alors divisée en six cordelées : le bourg, Mouster-Paul, Coat-Sabiec, Ninivit, Le Plessix (ou Quinquis) et Lambezre. Une école des filles est attestée à Bodilis en 1698.
Jean Bérégard, recteur de Bodilis entre 1697 et 1704, a répertorié dans une sorte de livre de raison relié à même la couverture de son missel, les obligations religieuses des 130 familles de la paroisse, le montant des « cueillettes » [recettes] de la fabrique, l'état des offrandes, des testaments, répartis en deux cahiers, celui des riches et celui des pauvres ! La confrérie du Rosaire, pour qu'il améliore son ordinaire lui laissait « manœuvrer » [travailler] le tiers du clos "Parc Mesper", ce qui lui permettait de cultiver quelques journaux de terre en légumes et en « bleds », qui lui rapportaient moins de cinq livres par an. Ce prêtre prêchait en breton en traduisant ce qu'il avait d'abord écrit en français.
Selon les archives de Bodilis, le maître-autel de l'église Notre-Dame aurait été exécuté en 1700 ou 1701 par L'Érel, maître-sculpteur à Landivisiau et un marché est passé le avec maître Clérent, « maître peintre et doreur de la ville de Saint-Paul [Saint-Pol-de-Léon] » et M. Fourguelen, « aussy maistre-peintre et doreur, demeurant en la ville de Landerneau » pour « étoffer [peindre et dorer] le maître-autel et toutes les boiseries, niches et statues du sanctuaire ». Bodilis s'enrichit à cette époque en raison de l'essor de l'artisanat de la toile (crées du Léon), cultivant et transformant le lin et le chanvre, la paroisse tirant aussi ses revenus de produits tels que le cuir et le miel.
Au épiscopat fit combler la fontaine de Mouster-Paul en Bodilis car elle était un lieu où survivaient des pratiques religieuses pré-chrétiennes.
Le 22 septembre 1768 Jour de la foire Saint-Matthieu dans le hameau de Coatsabec, alors en Plougourvest (désormais en Bodilis), la foule tue un exempt, le Sieur LE ROUX "prévot de la Brigade de Landerneau" "tué par les paysans venus à la foire de St Mathieu à Bodilis" et blesse deux gendarmes qui voulaient arrêter un mendiant.En appel, il y aura 1 condamnation à mort et 5 aux galères.
En 1770, Guiclan est la paroisse la plus riche du Haut-Léon central : les habitants paient en tout 2590 livres de capitation (pour 3 100 habitants), devançant Plouvorn : 2 524 livres (pour 3 600 habitants), Landivisiau : 1 564 livres (pour 2 400 habitants) et Bodilis : 1 208 livres (pour 2 000 habitants).
Révolution française
Jean Pencreach fut le délégué représentant la trève de Bodilis à l'assemblée du tiers-état de la sénéchaussée de Lesneven le
En 1792, en réponse à une enquête, la municipalité de Bodilis répond que le nombre de personnes « qui ont besoin d'assistance » est de 200 (sur 1 881 habitants).
En 1799, il n'y a plus que 46 marchands de toiles à Saint-Thégonnec (mais c'est encore la commune où ils sont les plus nombreux), 26 à Guiclan, 23 à Plouvorn, 16 à Bodilis, 10 à Landivisiau, 4 à Saint-Servais, etc.
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Yves Mével, recteur de Bodilis entre 1779 et 1804, eût une forte influence, qui perdura longtemps : « les dangers si nombreux qu'encourut le vénérable Y. Mével, les souffrances que parfois il endura pendant les dix années de Terreur, pour procurer à ses compatriotes de Bodilis ainsi qu'aux habitants des paroisses voisines les secours de la Religion, attirèrent visiblement la bénédiction de Dieu sur son ministère. Aussi vit-on bientôt accourir de tous côtés des jeunes gens, la plupart baptisés par M. Mével pendant la Révolution, venant lui demander, au vieux presbytère du Bugn, de leur apprendre les premiers éléments de la langue latine, afin qu'ils puissent, à leur tour et au plus tôt se dévouer au salut des âmes ». Quatorze hommes originaires de Bodilis furent ordonnés prêtres entre 1812 et 1828. Une autre étude relève 38 prêtres originaires de Bodilis depuis le Concordat pendant le . Parmi eux, Jean-Marie Picart fut recteur de Plougar avant de devenir moine bénédictin dans le monastère de Kerbénéat qu'il contribua à fonder.Il aurait découvert un trésor et c'est lui qui verse en 1876 les 12 000 Frs à Mme et Melle de Rodellec du Portzic, "en partie sans doute avec son propre argent". Ses obsèques, le premier enterrement depuis la fondation du monastère de Kerbénéat eurent lieu le lundi 26/04/1897, en présence d' une trentaine d' ecclésiastiques et de près d' un millier de fidèles. Le 02/04/1903, au milieu de manifestations diverses provoquées par le départ en exil des moines, sa famille, comme le raconte le journal " la Patrie ", vint emporter son corps à Bodilis pour l'inhumer dans la tombe de famille au pied du clocher. Son corps était intact, 6 ans plus tard, ses vêtements sacerdotaux sont à peine jaunis ! On était venus avec une urne pour recueillir ses derniers restes, et il faut retarder l'enterrement pour lui confectionner un cercueil. Sa soeur Jeanne pleurait aux portes de Kerbénéat car on ne voulait pas la laisser rentrer. En 1977 Les moines demandèrent à la famille l' autorisation de le transférer à Landévennec, où la nouvelle abbaye avait été inaugurée en septembre 1958.Ce vénérable religieux eut donc 3 tombes.
A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Bodilis en 1845 :
« Bodilis, commune formée de l'ancienne trève de Plougars, aujourd'hui succursale. (...) Principaux villages : Kerlergars, Clastrinec, Mousterpaul (voir Plougars pour ce lieu), Creac'h-Quial, Guéletquer, Quinquis, la Vile-Neuve, Creac'h-Hiller. Superficie totale : 2 668 ha, dont (...) terres labourables 1 220 ha, prés et pâturages 141 ha, bois 86 ha, landes et incultes 675 ha (...). Usine : 1. Moulins : 8 (de Kerfeunteniou, de Kerlergars, de Kervennou, du Châtel, de Penguily, du Quinquis. Manoir du Soul. La route royale n° 12, dite de Paris à Brest, traverse la commune de l'ouest à l'est ; sur cette route, le pont de Bodilis est à 39,75 mètres au-dessus du niveau de la mer et le sommet de la côte de Marc'hallan est à 89, 84 mètres. Géologie : le sol repose sur micaschiste. On parle le breton. »
Le pourcentage de conscrits illettrés à Bodilis entre 1858 et 1867 est de 48 %.
Jean Rohou, recteur de Bodilis entre 1873 et 1883, fut un antirépublicain notoire, « redouté des paroissiens par sa violence » et « adversaire déclaré du gouvernement », déclare le sous-préfet de Morlaix. En 1885 une polémique éclata entre M. Guirriec, notaire à Landivisiau, et le maire, Quentric, appuyé par son conseil municipal, de tendance républicaine, à propos de pressions qui auraient été exercées par l'abbé Poulhazan, vicaire à Bodilis, visant à empêcher la désignation du maire et de son adjoint comme délégués sénatoriaux.
Calvaire érigé lors de la mission paroissiale de 1875.
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La Belle Époque
Répondant en 1904 à une enquête de l'inspection académique, Godec, instituteur à Bodilis, écrit qu'« un nombre assez restreint des habitants connaissent le français, même imparfaitement, si l'on excepte les personnes qui connaissent seulement quelques mots usuels sans pouvoir converser du tout. Les enfants au sortir des écoles, les soldats à leur retour du régiment, parlent uniquement breton et oublient bien vite le peu de français qu'ils avaient pu apprendre ».
Le bourg de Bodilis vers 1910 (carte postale ND Photo).
L'entrée du bourg vers 1910 (carte postale ND Photo).
La Première Guerre mondiale
Le monument aux morts de Bodilis porte les noms de 68 soldats et marins morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale : parmi eux un marin (Joseph Diverrez, quartier-maître chauffeur à bord du Natal, disparu en mer lors du naufrage de son bateau le ) ; un soldat au moins est mort sur le front belge (Alain Le Bras, tué à l'ennemi dès le à Arsimont, décoré à titre posthume de la Médaille militaire) ; la plupart des autres sont décédés sur le sol français (parmi eux, Vincent Croguennec, soldat au régiment d'infanterie, tué à l'ennemi le
La Seconde Guerre mondiale
Le monument aux morts de Bodilis porte les noms de 8 Bodilisiens morts pour la France pendant la Deuxième Guerre mondiale.
Abalain Hervé Marie, né le 17 octobre 1912 - Coatreun - Bodilis, soldat au 101e régiment d'infanterie, est décédé le 10 juin 1940 à Torcy-en-Valois, dans l'Aisne, à l'âge de 27 ans. Il a été cité et décoré de la croix de guerre.
Simon Marie Marguerite Thérèse, née en 1932 à Paris, trouvera la mort dans l'église d'Oradour-sur-Glane en 1944 à l'âge de 11 ans. Elle y avait été envoyée à l'abri chez ses grands-parents maternels.
Elle était la fille de Jean François Simon 1899-1973 originaire de Bodilis, employé de commerce au Bon Marché à Paris et qui s'était marié en 1927 à Oradour avec Redon Émilie
Guennegan Jean Pierre Marie né le 24 janvier 1907 - Mescam - Bodilis, est décédé le 11 août 1944 - 17 rue du Pont - Brest, à l'âge de 37 ans. Il a été fusillé par les Allemands en représailles de la fusillade du 8 août. Des preuves de son implication ayant été trouvées à son domicile de la rue du Pont.
L'après Seconde Guerre mondiale
Le remembrement donna lieu à des querelles infinies et à des affrontements épiques à Bodilis.
La création de la base aéronavale de Landivisiau entraîna des modifications des limites communales, Bodilis perdant 257 .
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En 2 000, la commune comptait 52 exploitations agricoles, 9 commerces, 17 entreprises industrielles, 7 artisanales et 7 de services, regroupées principalement dans la zone d'activités de la Croix des Maltotiers, à proximité de l'échangeur routier de Landivisiau-Ouest.
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↑ Louis Le Guennec, "Bulletin de la Société archéologique du Finistère", 1928, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5786704t/f137.image.r=Coatsabiec?rk=42918;4
↑ a b et cBodilis, "Bulletin de la Commission diocésaine d'architecture & d'archéologie", 1903, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k109982z/f180.image.r=Bodilis
↑ a b c et dJean Rohou, "Catholiques et Bretons toujours ? (essai sur l'histoire du christianisme en Bretagne)", éditions Dialogues, Brest, 2012, [ (ISBN )]
↑ Bodilis, "Bulletin de la Commission diocésaine d'architecture & d'archéologie", 1903, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k109982z/f192.image.r=Bodilis
↑ a b et cJean Rohou, "Fils de ploucs", tome 2, 2007, éditions Ouest-France, [ (ISBN )]
↑ Charlet Frédéric, « »
↑ Antoine Favé, Le prône du dimanche à Bodilis vers 1700, "Bulletin de la Société archéologique du Finistère", 1899
↑ a et bhttp://www.bodilis.org/histoire-nom-blason.php
↑ Noëlle Le Goff, avec le concours de Jeanne Leboulleux-Léonardi., "Bodilis, une terre, des hommes, un clocher", 2004, pages 60 et 61, https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb41071028p
↑ a b et cJean Rohou, "Fils de ploucs", tome 1, 2005, éditions Ouest-France, [ (ISBN )]
↑ J. Mavidal et E. Laurent, "Archives parlementaires de 1787 à 1860 : recueil complet des débats législatifs et politiques des Chambres françaises, imprimé par ordre du Corps législatif. 1e série, 1787-1799. SER1, T3", 1867, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k480097g/f496.image.r=Plougar?rk=2124474;0
↑ a et bBodilis, "Bulletin de la Commission diocésaine d'architecture & d'archéologie", 1903, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k109982z/f194.image.r=Bodilis
↑ A. Marteville et P. Varin, "Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne", tome 1, 1845, consultable https://books.google.fr/books?id=Ekk-AAAAYAAJ&printsec=frontcover&dq=bibliogroup:%22Dictionnaire+historique+et+g%C3%A9ographique+de+la+province+de+Bretagne%22&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwiUjJb2gL3hAhWC8eAKHW9NApkQ6wEILzAB#v=onepage&q=Bodilis&f=false
↑ "Impressions : projets, propositions, rapports... / Sénat", n° du 4 mai 1885, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9735575b/f726.image.r=Bodilis
↑ Fanch Broudic, L'interdiction du breton en 1902 : la IIIe République contre les langues régionales, Spézet, Coop Breizh, 1997, 182 ISBN ).
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