Marpiré est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne, peuplée de 1 018 habitants.
Géographie
Situation
Marpiré est située dans le centre-est du département d'Ille-et-Vilaine.
Communes limitrophes de Marpiré
La Bouëxière
Val-d'Izé
Champeaux
Châteaubourg
Saint-Jean-sur-Vilaine
Relief
Le finage communal présente une ligne de hauteurs, des crêtes appalachiennes, d'altitude légèrement supérieure à 110 forêt de Chevré, Bois de la Lisière et ses prolongements (Bois de la Herlisse à l'ouest, Bois de Briérue à l'est). Le bourg est vers 108 m d'altitude.
Le finage est drainé par plusieurs modestes affluents (qui tous prennent leur source dans la partie nord du territoire communal) de rive droite du ruisseau de Palet, lui-même affluent de rive droite de la Cantache ; l'un d'entre eux, le ruisseau des Landes de Marpiré, délimite même pendant une partie de son cours le sud-est du territoire communal. À l'ouest, le ruisseau de la Gaillardière est un affluent du ruisseau de la Vallée, lui-même affluent de rive droite de la Vilaine. Plusieurs étangs ont été aménagés le long de leur cours, notamment l'étang de la Baluère au sud de la commune, l'étang de la Corbière à l'ouest dans la forêt du même nom, ou encore le Plan d'eau de l'Orée du Bois, à la limite méridionale du Bois de la Lisière.
Le paysage rural traditionnel est le bocage avec habitat dispersé en de nombreux hameaux et fermes isolées.
Géologie
Faisant partie du Massif armoricain, la commune, située à la limite nord-est du bassin de Rennes est traversée par des crêtes appalachiennes orientées ouest-nord-ouest - est-sud-est, correspondant aux restes érodés de deux plis anticlinaux et de synclinaux, dits de La Bouëxière et d'Izé, datant du plissement hercynien, formés de roches précambriennes, ordoviciennes, siluriennes, et dévoniennes, des grès et des schistes d'Angers, ardoisiers, pour la bande de la Corbière, des schistes de Saint-Lô et des grauwackes quartzeux pour la bande de la forêt de Chevré
Climat
Pour des articles plus généraux, voir Climat de la Bretagne et Climat d'Ille-et-Vilaine.
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Sud Est », avec des étés relativement chauds et ensoleillés.
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 amplitude thermique annuelle de 13,2 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Arbrissel à 24 vol d'oiseau, est de 12,1 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
↑ Charles Barrois, Le bassin du Ménez-Bélair, "Annales de la Société géologique du Nord ", 1894, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k57748152/f327.image.r=Marpir%C3%A9 et A. Bigot, Observations géologiques sur la feuille de Laval, "Bulletin de la Société Linnéenne de Normandie", 1902, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5817987d/f141.image.r=Marpir%C3%A9?rk=665239;2
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑ « », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
↑ « », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le ).
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Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Marpireium en 1157 et capella Marpireii en 1213.
Le gentilé est Marpiréen.
↑ Amédée Guillotin de Corson, Pouillé historique de archevêché de Rennes, volume 5, 1880, consultable [1]
Histoire
Moyen Âge
En 1157, Étienne, évêque de Rennes, confirma Guillaume, abbé de Saint-Melaine, dans la possession de tout le territoire de Marpiré que le baron de Vitré avait donné à son monastère ; cette donation est confirmée en 1213 par Pierre, un autre évêque de Rennes, à Geffroy, autre abbé de Saint-Melaine. Mais, selon Amédée Guillotin de Corson, rien ne prouve que Marpiré était alors une paroisse. Un aveu rendu au prieur de Notre-Dame-de-Vitré (ce prieuré dépendait de l'abbaye Saint-Melaine de Rennes) datant de 1399 concernant le fief de Marpiré a été conservé.
Époque moderne
Selon un aveu de 1546, les habitants de Marpiré devaient fournir un garde forestier et un cheval aux seigneurs de Gazon en Pocé-les-Bois pour la garde des parties de la forêt de Chevré et de l'étang de Chevré qui leur appartenaient. Selon un autre aveu daté du , le seigneur de Gazon, possédait dans la paroisse de Marpiré le domaine et la métairie de Mainbert [ou Mainberte, ou Mauberte] « maisons, court [cour], (...), issues, fuyes, garennes, bois de haute fustaye, viviers, etc. Comme propriétaires dudit lieu, les Beaumanoir ont droit de prééminence en l'église de Marpiré, droit d'enfeu, (...), bancs à accoudoirs à queue, écussons d'armes et armoiries, tant au dedans qu'au dehors d'icelle église »
Selon Amédée Guillotin de Corson, il est probable que la paroisse de Marpiré n'aurait été créée que dans la seconde moitié du recteur ayant été Mathurin Nicolas, cité en 1664, même si les registres de baptême de Marpiré remontent à 1601. Elle aurait été précédemment l'équivalent d'une trève dépendant du prieuré Notre-Dame de Vitré, lui-même dépendant de l'abbaye Saint-Melaine de Rennes. Au bénédictins de Vitré abandonnèrent pour portion congrue toutes les dîmes levées dans la paroisse au bénéfice du recteur de Marpiré, parfois appelé à tort "prieur" ; ces dîmes étaient levées à la onzième gerbe « dans toute l'étendue de la paroisse sur les froment, seigle, avoine, sarrasin, lins et chanvres ».
En raison de la présence de bois et forêts, une verrerie a existé à Marpiré à la fin du duc de la Trémoille, baron de Vitré, et dirigée par des membres de la famille de Cacqueray (ou Caqueray), issus d'une famille normande de maîtres-verriers.
Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Marpiré vers 1778 :
« Marpiré, à cinq lieues et demie à l'Est-Nord-Est de Rennes, son évêché et son ressort, et à deux lieues un tiers de Vitré, sa subdélégation. On y compte 300 communiants. La cure est à l'Ordinaire. Ce territoire est un pays couvert, dont les terres sont exactement cultivées. Le cidre qu'on y fait est excellent. M. le duc de la Trimouille y possède deux bois : celui de la Marcelière, qui est le plus étendu, peut avoir une lieue de circuit. »
Révolution française
Julien Lemarchant fut le délégué de la paroisse de Marpiré à la réunion du tiers état de la sénéchaussée de Rennes lors de la rédaction des cahiers de doléances pour les États généraux de 1789.
Jean-Baptiste Gendrot, qui était curé de Marpiré avant la Révolution française, prêta le serment de fidélité à la Constitution civile du clergé, mais la paroisse de Marpiré étant alors supprimée, il fut nommé curé constitutionnel de Moulins. La paroisse de Marpiré fut rétablie en 1803 par de Maillé, puis fut à nouveau réunie à celle de Champeaux en 1806, avant d'être à nouveau rétablie par ordonnance royale le .
Le | ]
Le cadastre de 1813 montre un bourg formé seulement de quelques maisons, qui ne se distingue des autres hameaux que par la présence de l'église.
Marpiré vers le milieu du | ]
A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Marpiré vers 1845 :
« Marpiré (sous l'invocation de saint Pierre) ; commune formée par l'ancienne paroisse de ce nom, aujourd'hui succursale. (...) Principaux villages : Launay-Posson, les Epinais, la Cadignère, Minbert, la Buchetière, la Loisière. Superficie totale 1063 ha, dont (...) terres labourables 429 ha, prés et pâtures 81 ha, bois 300 ha, vergers et jardins 12 ha, landes et incultes 202 ha, étangs 10 ha (...). Moulin de Corbière, à eau. Cette commune contient à l'ouest la forêt de Chevré, à l'est les bois de la Herlisse, de la Lisière, de Briera ; au sud-ouest l'étang de Corbière. Géologie : schiste argileux. On parle le français (en fait le gallo). »
En 1851, le journal La Presse écrit :
« Les loups commencent à s'agiter dans les forêts enclavées entre les bourgs de La Bouëxière, Servon, Dourdain, Marpiré, Broons et Saint-Jean-sur-Vilaine, et la gendarmerie de Châteaubourg a déjà eu à constater de graves dégâts. Ces redoutables animaux paraissent jusqu'à présent sortir plus particulièrement de la forêt de la Corbière. Le 31 décembre [1850], un cheval et un poulain ont été dévorés sur le territoire de Saint-Jean, et une génisse sur celui de Broons. Les loups doivent être nombreux, car on entend beaucoup de hurlements dans les campagnes. On a rencontré, dans la commune de Broons, une louve et quatre louveteaux. »
En 1874, 149 habitants des communes de Taillis, Champeaux, Marpiré, Saint-Christophe et Eancé signent une pétition à l'Assemblée nationale suppliant les députés de proclamer comme roi légitime Henri V.
Les nouvelles école, église et routes
En 1859, l'école de Marpiré est « provisoirement fermée » et la commune fait partie de six communes du département « dépourvue de tout moyen d'instruction ». En 1875, l'école de Marpiré est décrite ainsi : « La classe dans laquelle sont reçus les enfants de la commune de Marpiré est située au premier étage d'une maison bordant le cimetière ; sa superficie n'est que de 36 . Mais finalement une construction neuve fut projetée.
En 1879, la commune de Marpiré demande une subvention au Conseil général d'Ille-et-Vilaine pour le solde des travaux de construction de la nouvelle église paroissiale ; « la commune de Marpiré ne possède, il est vrai, aucune ressource et elle réserve tous ses fonds pour la construction d'une maison d'école » déclare le rapporteur. L'année suivante, la commune de Marpiré demande une subvention au Conseil général d'Ille-et-Vilaine afin de construire une maison d'école. La nouvelle église paroissiale, construite à l'initiative de l'abbé Jean Royer, recteur de Marpiré à partir de 1856, pour remplacer l'ancienne église en partie ruinée depuis la Révolution française, fut consacrée par Place, archevêque de Rennes, le , mais la première messe y fut célébrée dès le .
En 1846 le Conseil général d'Ille-et-Vilaine adopte le tracé du chemin de grande communication Cantache, pour de là, passer par Marpiré (...) ». En 1882 le tracé du chemin de grande communication Vitré via Champeaux et se dirigeant, après avoir traversé Marpiré, vers Servon-sur-Vilaine, est adopté.
Les grottes dédiées à Notre-Dame de la Salette
En 1885, l'abbé Cochet, recteur de la paroisse, fit élever une butte rocheuse, une rocaille, au sommet de laquelle fut aménagée une représentation des apparitions de Lourdes, et sous laquelle se trouvent trois grottes dédiées à Notre-Dame de La Salette. Dans l'une, consacrée spécialement à Notre-Dame-des-Sept-Douleurs, on célébrait parfois la messe. « Les paroissiens ont une grande dévotion à Notre-Dame de la Salette ; ils se réunissent souvent à la grotte pour réciter le Rosaire et chanter des cantiques, principalement pendant les mois de mai et (...) d'octobre. Les habitants de la contrée viennent en pèlerinage à Marpiré et les parois de la grotte sont recouvertes d' ex-voto ». De nos jours encore, « le sommet de la butte offre une scénographie "aérienne", avec la Vierge de Lourdes et Bernadette visibles du passant de tous les coins de la place, tandis que trois alvéoles aménagés dessous en chapelles/grottes, et accessibles par des portes, offrent une représentation en quelque sorte chtonienne de La Salette. La grande liberté prise avec les représentations topographiques à le mérite de placer la scène de Lourdes au-dessus de celle de La Salette ».
Trois institutrices
Le journal Ouest-Éclair évoque en 1913 trois institutrices de Marpiré : d'abord Julie Posson (« Cette bonne demoiselle, très forte pour son temps et très à la hauteur de sa tâche puisqu'elle savait lire et écrire et qu'elle osait parfois affronter la multiplication, n'était pas riche et ne recevait pas de traitement fixe. De temps en temps, les familles lui témoignaient leur reconnaissance par quelques subsides en nature : une pannerée de choux, trois bouts de saucisse ou un morceau de lard salé. Plus tard, le Conseil municipal, d'accord avec les propriétaires les plus imposés, remédia royalement à cette situation précaire en mettant à sa disposition un coin de lande qui lui permit de nourrir une chèvre ») ; puis Perrine Viel, fille du maire de l'époque, à partir de 1863 (elle « obtint son brevet et fut nommée institutrice dans sa propre commune. Elle était intelligente et avait le don de communiquer la science »), décédée en 1892 ; enfin Marie-Rose Fougères, orpheline dès son enfance et élevée par Julie Posson, qui commença à enseigner à Marpiré en 1867 comme aide de mademoiselle Viel (« adjointe volontaire et sans traitement ») sans être rétribuée pendant 25 ans jusqu'à la mort de celle-ci et fut ensuite directrice de l'école jusqu'à 1913 au moins, année où elle obtint un prix de vertu décerné par l'Académie française ; « très pieuse (...), 46 ans qu'elle enseignait les enfants de cette commune et son école est une des plus florissantes et des plus justement réputées de l'arrondissement ».
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La Belle Époque
En , une tempête provoqua de nombreux dégâts à Marpiré ; « on ne se souvient pas à Marpiré avoir vu pareille tempête ».
En 1904 est envisagé la création d'une ligne téléphonique desservant Marpiré.
Le , un habitant de la commune, Louis Fougères, est condamné à 8 jours de prison et 50 francs d'amende par le tribunal correctionnel de Vitré pour insultes à l'encontre d'un gendarme de Châteaubourg lors de l'inventaire des biens d'église à Marpiré. Un décret en date du
En 1909, la Ligue patriotique des Françaises organisa un pèlerinage à Marpiré à l'occasion de la bénédiction d'une statue de Notre-Dame-de-Lourdes, érigée en reconnaissance de la guérison miraculeuse de l'abbé Cochet, recteur de Marpiré, qui souffrait d'un lupus de la face, lors d'un pèlerinage à Lourdes. Celui-ci se présenta le 27 avril 1911 au bureau des constatations des miracles à Lourdes et fit le récit de sa guérison, selon lui miraculeuse, survenue en juillet 1908. Précédemment, une habitante de Marpiré, Félicité Hamon, aurait elle aussi bénéficié d'une guérison miraculeuse (une carie d'un os d'un pied) lors d'un pèlerinage à Lourdes en septembre 1900.
Des charbonniers exerçaient alors leur activité dans la forêt de la Corbière.
La Première Guerre mondiale
Le monument aux morts de Marpiré porte les noms de 22 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale. Parmi eux, trois (Joseph Beaugendre, François Fauvel, Prosper Legré) sont morts en Belgique et tous les autres sur le sol français dont Alphonse Fauvel, frère de François Fauvel (fils de Pierre Fauvel et Marie Rose Savinel), et trois frères (André, Isidore et Pierre Viel), fils d'André Viel et Perrine Gadebois qui habitaient Maison Neuve en Marpiré.
Le 25 juin 1917, un soldat de Marpiré, T. Coché [en fait probablement Cochet, nom de famille alors présent à Marpiré], envoya un ex-voto en remerciement à sainte Thérèse de Lisieux (un calepin dans lequel se trouvait une image de la sainte, perforé par une balle), car il pensait avoir été sauvé grâce à elle.
L'Entre-deux-guerres
Une école publique existait alors à Marpiré, ainsi qu'une école libre (catholique).
Une agence postale ouvre à Marpiré le 16 octobre 1928. La commune commence à être électrifiée en 1932. Dans la décennie 1930, une ligne d'autobus allant de Liffré à Vitré passait par La Bouëxière, Marpiré et Champeaux.
Un entrepreneur d'origine espagnole, José Buil, exploitait alors des carrières à la Briheu en Marpiré et à Montreuil-des-Landes et employait notamment un certain nombre de ses compatriotes. Une autre carrière était exploitée à La Corbière et des accidents survenaient fréquemment.
En avril 1933 un incendie dévasta le bois de la Corbière (un quadrilatère vaste de 300 . Un autre incendie, moins grave, était déjà survenu dans le même bois en mars 1931. Des charbonniers y faisaient encore à l'époque du charbon de bois. Des battues aux sangliers étaient aussi à l'époque régulièrement organisées.
Un certain Eugène Grenard, surnommé "La Terreur de Marpiré" aurait pendant cette période « rançonné et rossé les trois-quarts de la population » de la commune, et fit l'objet de nombreuses condamnations.
La Seconde Guerre mondiale
Marpiré n'a eu aucun mort par faits de guerre pendant la Seconde Guerre mondiale.
L'après Seconde Guerre mondiale
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↑ Amédée Guillotin de Corson, "Pouillé historique de archevêché de Rennes", volume 5, 1880, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k75001z/f142.image.r=marpir%C3%A9
↑ Chronique d'histoire et de littérature de la Bretagne, revue "Annales de Bretagne", 1907, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k115319g/f176.image.r=Marpir%C3%A9?rk=42918;4
↑ M. Etasse, Documents inédits concernant la baronnie de Vitré, "Bulletin et mémoires de la Société archéologique du département d'Ille-et-Vilaine", 1910, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k207795g/f103.image.r=Marpir%C3%A9
↑ Édouard Frain, "Une terre, ses possesseurs catholiques et protestants, de 1200 à 1600 : pour faire suite aux «Familles de Vitré»", 1879, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k54086453/f132.image.r=marpir%C3%A9
↑ a b et cAmédée Guillotin de Corson, "Pouillé historique de archevêché de Rennes", volume 5, 1880, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k75001z/f143.image.r=marpir%C3%A9
↑ "Armorial général de France", volume 1, consultable https://books.google.fr/books?id=YiRJAAAAcAAJ&pg=PA112&lpg=PA112&dq=maire+Marpir%C3%A9&source=bl&ots=-6nhpQZCxe&sig=YPNgxnB8TFgUPAA716Vi7_3jMeo&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjIhMnUzJjRAhUDrRoKHWCPBEA4UBDoAQgkMAI#v=onepage&q=maire%20Marpir%C3%A9&f=false
↑ Louis de Caqueray, né en 1644, marié le 29 octobre 1685 à Aubermesnil-aux-Érables (Seine-Maritime), sieur du Coudray en Marpiré, est décédé le 12 janvier 1689 à Marpiré ; Charles de Cacqueray est maître-verrier à Marpiré en 1690, Alexandre de Cacqueray (sieur des Landes, décédé le 4 avril 1729 à Bézancourt (Seine-Maritime ; une de ses filles Servane-Antoinette de Cacqueray des Landes, née le 9 mars 1700 à Marpiré, fut religieuse, voir Fleury Vindry, "Les demoiselles de Saint-Cyr (1686-1793)", 1908, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6374926f/f111.image.r=Marpir%C3%A9?rk=1072966;4) et Antoine de Cacqueray le sont en 1700, voir http://amisverriers.e-monsite.com/pages/histoire/maitres-verriers-de-haute-bretagne.html
↑ René Kerviler, "Répertoire général de bio-bibliographie bretonne". Livre premier, Les bretons. 7,BROU-CARN, 1886, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k58176362/f402.image.r=Marpir%C3%A9?rk=42918;4
↑ Personnes en âge de communier
↑ Jean-Baptiste Ogée, "Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne", 1778, consultable https://archive.org/details/dictionnairehist02og
↑ E. Sevestre, Le clergé breton en 1801, revue "Annales de Bretagne", 1913, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k115324x/f135.image.r=Marpir%C3%A9?rk=1051507;2
↑ A. Marteville et P. Varin, ""Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne", tome 2, 1845, consultable https://books.google.fr/books?id=9o8DAAAAYAAJ&printsec=frontcover&dq=bibliogroup:%22Dictionnaire+historique+et+g%C3%A9ographique+de+la+province+de+Bretagne%22&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjfoNWJ7_LQAhXBnRoKHcspAssQ6AEIHDAA#v=onepage&q=Marpire&f=false
↑ Journal La Presse, n° du 18 janvier 1851, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4754037/f3.image.r=Marpir%C3%A9?rk=21459;2
↑ "France. Assemblée nationale (1871-1875)", https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k64989074/f9.image.r=Marpir%C3%A9?rk=42918;4
↑ "Rapports et délibérations / Conseil général d'Ille-et-Vilaine", 1859, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5565199w/f228.image.r=marpir%C3%A9?rk=729617;2
↑ "Rapports et délibérations / Conseil général d'Ille-et-Vilaine", août 1875, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6125450t/f339.image.r=marpir%C3%A9
↑ "Rapports et délibérations / Conseil général d'Ille-et-Vilaine", août 1879, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5569883p/f208.image.r=marpir%C3%A9?rk=128756;0
↑ "Rapports et délibérations / Conseil général d'Ille-et-Vilaine", août 1880, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k58677391/f172.image.r=marpir%C3%A9?rk=64378;0
↑ "Rapports et délibérations / Conseil général d'Ille-et-Vilaine", 1846, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5565227r/f139.image.r=marpir%C3%A9?rk=343349;2
↑ "Rapports et délibérations / Conseil général d'Ille-et-Vilaine", avril 1882, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k55799268/f24.image.r=marpir%C3%A9?rk=21459;2
↑ Henri Chasle, Le culte de la Sainte Vierge dans le diocèse de Rennes pendant le https://books.google.fr/books?id=uJAVAAAAYAAJ&pg=PA107&dq=Marpir%C3%A9&hl=fr&sa=X&redir_esc=y#v=onepage&q=Marpir%C3%A9&f=false
↑ François Angelier et Claude Langlois, "La Salette, Apocalypse, pèlerinage et littérature (1856-1896)", éditions Jérome Million, consultable https://books.google.fr/books?id=OkfEqK6wgUEC&pg=PA167&dq=Marpir%C3%A9&hl=fr&sa=X&redir_esc=y#v=onepage&q=Marpir%C3%A9&f=false
↑ Julie Posson, née le 29 mai 1812 à Cornillé, décédée le 16 janvier 1880 au bourg de Marpiré, déclarée comme tricoteuse sur son acte de décès
↑ Perrine Viel, née le 10 octobre 1841 à Marpiré, décédée le 19 mars 1892 au bourg de Marpiré
↑ Marie-Rose Fougères, née le 8 mars 1849 (et non le 8 mai 1849 comme indiqué dans l'article du journal) à Cornillé
↑ Journal des débats politiques et littéraires, n° du 28 novembre 1913, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4851161/f2.image.r=marpir%C3%A9?rk=107296;4
↑ "Rapports et délibérations / Conseil général d'Ille-et-Vilaine", août 1902, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5568502w/f489.image.r=marpir%C3%A9?rk=278971;2
↑ "Journal officiel de la République française. Lois et décrets", n° du 4 septembre 1909, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k64567084/f8.image.r=marpir%C3%A9?rk=64378;0
↑ "Journal officiel de la République française. Lois et décrets", n° du 9 juin 1910, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6254539w/f4.image.r=saint-jean-sur-vilaine?rk=107296;4
↑ Journaux La Croix , n° du 21 juillet 1909, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k257429v/f2.image.r=marpir%C3%A9?rk=21459;2 et n° du 3 mai 1911, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k257985z/f2.image.r=marpir%C3%A9?rk=128756;0
↑ Probablement Félicité Hamon, née le 19 octobre 1866 à Vitré
↑ Georges Bertrin, "Lourdes, apparitions & guérisons : ouvrage présenté au Congrès marial de Rome au nom de https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5478315v/f484.image.r=Marpir%C3%A9?rk=1030048;0
↑ Joseph Beaugendre, né le 5 février 1873 à La Bouëxière, soldat au régiment d'infanterie territoriale, tué à l'ennemi le 23 avril 1915 à Boesinghe (Belgique), décoré de la Croix de guerre avec étoile de bronze
↑ François Fauvel, né le 10 octobre 1893 à Marpiré, marsouin au 1er régiment d'infanterie coloniale, tué à l'ennemi le 22 août 1914 à Rossignol (Belgique)
↑ Prosper Legré, né le 13 février 1891 à Marpiré, soldat au 136e régiment d'infanterie, tué à l'ennemi le 22 août 1914 à Falisolle (Belgique)
↑ Alphonse Fauvel, né le 20 septembre 1888 à Marpiré, maître pointeur au 7e régiment d'artillerie de campagne, tué à l'ennemi le 3 juin 1918 à Bitry (Oise)
↑ André Viel, né le 15 février 1888 à Marpiré, caporal au 2e régiment d'infanterie, tué à l'ennemi le 6 septembre 1914 à Charleville (Marne)
↑ Isidore Viel, né le 22 mars 1889 à Marpiré, caporal au Roclincourt (Pas-de-Calais)
↑ Pierre Viel, né le 24 novembre 1891 à Marpiré, caporal au 94e régiment d'infanterie, mort le 12 octobre 1918 à l'hôpital de Fougères des suites de maladie contractée en service
↑ Par exemple, Pierre Cochet épousa le 4 mai 1885 Marie Rose Poirier à Marpiré ; il pourrait s'agir d'un de leurs fils
↑ Thérèse de l'Enfant-Jésus (1873-1897), "Pluie de roses. 5. Conversions, guérisons, interventions de Sainte-Thérèse de l'Enfant-Jésus pendant la guerre", consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5558437g/f480.image.r=Marpir%C3%A9?rk=21459;2
↑ Journal Ouest-Éclair https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k659247j/f7.image.r=Marpir%C3%A9?rk=4613756;4 et journal Le Populaire, n° du 13 avril 1933, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k8211614/f3.image.r=Marpir%C3%A9?rk=21459;2
↑ Voir par exemple les journaux Ouest-Éclair https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k658767h/f9.image.r=marpir%C3%A9?rk=5686723;2 et https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k658134g/f6.image.r=marpir%C3%A9?rk=5493589;2
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