Sougères-en-Puisaye

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Sougères-en-Puisaye : descriptif

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Sougères-en-Puisaye

Sougères-en-Puisaye (prononciation de « Puisaye Â» : [pÉ¥izÉ›]) est une commune française située dans le département de l'Yonne en région Bourgogne-Franche-Comté ; malgré son toponyme, ses paysages semblent plutôt l'associer à la région naturelle de la Forterre. À l'instar des autres petits villages de la région qui, eux aussi, ont subi un fort exode rural au cours du XXe siècle, la population du village a cessé de décroître à la fin du XXe siècle, pour même augmenter depuis le début du XXIe siècle dans des proportions assez significatives : plus de 10 % d'augmentation à Sougères-en-Puisaye, entre 1999 et 2009. La commune compte plusieurs hameaux : « Les Simons Â» (à proximité immédiate du bourg), « Pesselières Â», « Les Billards Â», « Les Roches Â», « Chauminet Â» et « Fougilet Â». Ses habitants sont appelés les Sougérois.

Géographie

Cartographies de la commune
La commune avec l'emplacement de la mairie dans le département
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Avec les communes environnantes
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  • 4Carte avec les communes environnantes

Localisation

Le village de Sougères-en-Puisaye est localisé dans le sud du département de l'Yonne en région Bourgogne-Franche-Comté (à 40 canton de Saint-Sauveur-en-Puisaye duquel le village dépendait jusqu'à mars 2015, à environ 13 chef-lieu, par voie routière. Les villages entourant Sougères-en-Puisaye sont d'une population équivalente et notamment Lainsecq, village avec lequel Sougères-en-Puisaye organise son remembrement et à ce titre, la redistribution de parcelles à la suite des réunions concertées de celles-ci.

Les communes limitrophes sont Étais-la-Sauvin, Druyes-les-Belles-Fontaines, Lain, Lainsecq, Sementron, Thury et Les Hauts de Forterre.

Communes limitrophes de Sougères-en-Puisaye
Lain Sementron
Thury Sougères-en-Puisaye Taingy
Druyes-les-Belles-Fontaines
Lainsecq Étais-la-Sauvin
Sougères-en-Puisaye ou « Sougères-en-Forterre » ?
Carte de la Puisaye par Gustave Goujon, semblant exclure Sougères-en-Puisaye de la Puisaye.

La commune fait partie du territoire de Pays de Puisaye-Forterre et est identifiée comme incluse dans la région agricole de la Puisaye même si elle est localisée à proximité immédiate de la Forterre. En effet, certaines caractéristiques du territoire sougérois, notamment l'absence de plateaux humides, catégoriserait plutôt la commune comme composante de la petite région naturelle de la Forterre. La cartographie de Gustave Goujon semble d'ailleurs exclure Sougères-en-Puisaye de... la Puisaye.

À ce sujet, il faut préciser que l'utilisation de « en Puisaye Â» dans la toponymie ne date que de 1955, remplaçant alors le toponyme Saugères-les-Simons. « Les Simons Â» est un hameau très proche du bourg du village.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Centre et contreforts nord du Massif Central, caractérisée par un air sec en été et un bon ensoleillement.

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 amplitude thermique annuelle de 16 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Molesmes_sapc Â», sur la commune de Les Hauts de Forterre à 8 vol d'oiseau, est de 11,1 Â°C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 850,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,6 ,,.

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

Relevés à Clamecy

Les relevés météorologiques officiels, les plus proches du village semblent être réalisés à Clamecy, dans le département de la Nièvre. Clamecy est à 18 vol d'oiseau de Sougères-en-Puisaye.

Relevé météorologique de Clamecy (située à 18 1948 à 1999
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) −0,4 −0,2 1,5 3,6 7,1 10,3 12,1 11,7 9,2 6,1 2,4 0,5 5,3
Température maximale moyenne (°C) 6,2 8,3 12,4 16 20,2 23,6 26,5 25,8 22,1 16,7 10,2 7 16,3
Précipitations (mm) 61,8 56,4 48,4 50,4 73,4 68,3 50,6 59,4 64,2 64,1 63,2 65,7 725,9
Nombre de jours avec précipitations 15,3 13,4 13,3 12,5 14,4 12,1 9,8 11,2 12,1 12,7 14,9 15,5 157,2
Source : SOPHY - Banque de données botaniques et écologiques (1948-1999)
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
6,2
−0,4
61,8
 
 
 
8,3
−0,2
56,4
 
 
 
12,4
1,5
48,4
 
 
 
16
3,6
50,4
 
 
 
20,2
7,1
73,4
 
 
 
23,6
10,3
68,3
 
 
 
26,5
12,1
50,6
 
 
 
25,8
11,7
59,4
 
 
 
22,1
9,2
64,2
 
 
 
16,7
6,1
64,1
 
 
 
10,2
2,4
63,2
 
 
 
7
0,5
65,7
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm
Relevés à Saint-Georges-sur-Baulche

D'autres relevés éclairent le climat sougérois en termes d'ensoleillement ; ceux effectués à la station Météo-France de Saint-Georges-sur-Baulche, à 31 vol d'oiseau de Sougères-en-Puisaye. Cette station est à une altitude de 207 m.

Relevés Auxerre Saint-Georges (Météo France) 1961-2007
Mois Janv Fév Mars Avr Mai Juin Juil Août Sept Oct Nov Déc Année
Ensoleillement (heure) 63 87 142 166 212 206 236 244 171 111 68 51 1757

Relief et géologie

Entrée de l'une des deux carrières de pierre de la Montagne-des-Alouettes.

L'altitude du village se situe entre environ 190 , le point le plus haut, situé à une altitude de 352 lieu-dit, la « Montagne-des-Alouettes Â» qui est une petite colline haute de 367 Lainsecq et à Sougères-en-Puisaye. Sur celle-ci, se trouvent côté sougérois et à proximité de Chauminet deux carrières de pierre désaffectées.

Le sous-sol de Sougères-en-Puisaye date de la période géologique du Jurassique. Un important gisement de roches fossilisées, datant du Séquanien a d'ailleurs été découvert à Sougères-en-Puisaye, dans les années 1940. Le village est à la rencontre entre la Forterre et sa constitution calcaire datant du Jurassique supérieur et la Puisaye dont le sous-sol date plutôt du Crétacé inférieur.

Hydrographie

La rivière temporaire passant certaines années à Sougères-en-Puisaye ; elle s'écoule jusqu'à Druyes-les-Belles-Fontaines, submergeant au passage l'ancien terrain de football.

Aucun cours d'eau régulier n'est répertorié à Sougères-en-Puisaye. Néanmoins, le Loing, affluent de la Seine prend sa source sur le territoire de Sainte-Colombe-sur-Loing à proximité du village de Sougères-en-Puisaye.

Voies de communication et transports

Voies routières

La commune est desservie par plusieurs routes départementales : la D 73 en provenance de Thury et en direction de Druyes-les-Belles-Fontaines, la D 212 en provenance de Lainsecq et qui traverse les hameaux de Pesselières et de Fougilet et la D 125 en provenance d'Étais-la-Sauvin et qui permet de rallier le bourg en traversant les hameaux de Chauminet et des Billards.

Transport ferroviaire
Maison de garde-barrière sur l'ancienne ligne de Triguères à Surgy, aux Roches, hameau de Sougères-en-Puisaye.
Maison de garde-barrière sur l'ancienne ligne de Triguères à Surgy, à Fougilet, hameau de Sougères-en-Puisaye.

Sougères-en-Puisaye n'est pas directement desservie par les transports en commun. À 20 Coulanges-sur-Yonne, se trouve la gare la plus proche. Il s'agit d'un point d'arrêt non géré sur la ligne de Laroche-Migennes à Cosne, qui se termine aujourd'hui à Corbigny. Coulanges est desservie cinq fois par jour et par sens (moins le week-end) par des TER Bourgogne, circulant sur la relation Corbigny - Clamecy - Auxerre - Laroche-Migennes. La moitié des trains a comme origine ou destination la gare de Paris-Bercy et permet de rallier la capitale sans changement, avec un temps de voyage de deux heures et demie environ.

Jusqu'en 1938, le territoire communal était traversé par la ligne de Triguères à Surgy qui fut mise en service en 1884 ; en 1883, le conseil municipal de Sougères-en-Puisaye « Ã©met le vÅ“u que le chemin de fer soit livré avant le . Les arrêts les plus proches du village étaient la gare de Lain - Thury et la gare de Druyes-les-Belles-Fontaines.

  1. ↑ «  Â», sur le site de la commune de Sougères-en-Puisaye (consulté le ).
  2. ↑ Gustave Goujon, La Puisaye : essai de définition d'une région naturelle du bassin de Paris, Paris, Delagrave, coll. Â« Revue de géographie annuelle Â», , 148 p..
  3. ↑ a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale Â», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. ↑ «  Â», sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. ↑ «  Â», sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. ↑ «  Â», sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. ↑ «  Â», sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. ↑ «  Â», sur drias-climat.fr (consulté le ).
  9. ↑ «  Â», sur meteofrance.com, (consulté le ).
  10. ↑ Relevés Auxerre Saint-Georges 1961-2007.
  11. ↑ « Sougères-en-Puisaye Â» sur Géoportail.. Consulté le 11 juin 2011.
  12. ↑ Bourgoin 1980, p. 16.
  13. ↑ Jules Houdard, « Le Gisement séquanien du "Roi-Chat" à Sougères-en-Puisaye Â», Bulletin des Sociétés Savantes des Sciences Historiques et Naturelles de l'Yonne, Auxerre,‎ .
  14. ↑ «  Â», sur le site du Service d’administration nationale des données et référentiels sur l’eau SANDRE.
  15. ↑ «  Â», sur Conseil général de l'Yonne, (consulté le ).
  16. ↑  Â», sur TER Bourgogne, (consulté le ).
  17. ↑ Bourgoin 1980, p. 207.


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Toponymie

Extrait d'une carte de Victor Levasseur, parue en 1852, mettant en évidence l'usage du toponyme Sougères-les-Simon.

Attestations anciennes

Le nom de la localité est attesté sous les formes latinisées Sueriae en 1130 (cartulaire général de l'Yonne, I, 227),, puis Soeriae en 1163 (cart. gén. de l'Yonne, II, 152),. La forme française Soyeres apparaît en 1530 (abbaye de Reigny),. En 1615, on trouve Sohières; Sougere en 1793. De 1801 jusqu'en 1955 le village s'appelle officiellement Sougères-les-Simon. Enfin, en 1955, le village devient Sougères-en-Puisaye. Il n'y a pas d'autre commune en France du nom de Sougères, hormis l'ancienne commune dans l'Yonne Sougères-sur-Sinotte (aujourd'hui, commune associée de Monéteau).

Microtoponymie

Panneau d'entrée dans le hameau de Chauminet.

En 1163, le hameau de Fougilet est attesté sous la forme Fossa Gelet ; en 1308, Fosse Gilet, puis en 1679 Fossegilet. Pesselières est mentionné sous les formes Passelariae ; en 1276, Paxilleriae ; et en 1308, Passelerez. Il y a peu d'information sur le toponyme Chauminet, qui est donné en 1461 sous la forme Chaulminet.

  1. ↑ a b et c Maximilien Quantin, Dictionnaire topographique de l’Yonne, Paris, 1862, p. 125 (lire en ligne sur DicoTopo) [1]
  2. ↑ a b c d e f g h i j et k Bourgoin 1980, p. 215.

Histoire

Préhistoire et Antiquité

La découverte d'un sanctuaire à Sougères-en-Puisaye (sur la route de Thury) témoigne d'une occupation humaine de la région, à l'âge du fer.

Un ouvrage envisage la toponymie de la « Montagne-des-Alouettes Â» comme issue du nom d'une légion romaine hypothétiquement appelée les « Alouettes Â» et qui aurait établi son camp à ce lieu-dit. Mais aucune source ne vient corroborer cette légende locale, comme le souligne Pierre Bourgoin dans son ouvrage. Néanmoins, un certain nombre de découvertes attestent d'une présence gallo-romaine sur le territoire actuel de la commune. En particulier, une villa romaine fut découverte en 1878 à environ 2 Thury. Vathaire de Guerchy l'étudia dans les années 1920 et 1930. Il écrit à ce propos :

« L'importance de la construction est attestée par trois morceaux d'une corniche sculptée, très ornementée de 30 à 35 cm de large, décorée de grandes feuilles d'ornement et de perles en pierre. Â»

L'inventaire établi par Vathaire de Guerchy liste également des sculptures représentant des têtes de femmes et datant du  siècle ou du  siècle, des sculptures de chevaux et des monnaies romaines antérieures au  siècle. À noter que vers 1860, des statuettes de divinités romaines furent découvertes à Pesselières, alors qu'à Chauminet des vestiges d'un édifice gallo-romain furent mis au jour. Enfin, un certain nombre de pièces découvertes à Sougères-en-Puisaye au  siècle sont conservées au musée Saint-Germain d'Auxerre.

Obélisque commémoratif de la bataille de Fontenoy-en-Puisaye à Fontenoy.

Moyen Âge

La mort de Louis le Pieux en 840 entraîna le début des hostilités qui opposèrent , le fils aîné de le Pieux, à ses deux frères, Louis II de Germanie et Charles II le Chauve. Leur neveu, le roi Pépin II d'Aquitaine, fils de feu , se rangea du côté de Lothaire ; l'enjeu était évidemment le partage de l'empire. Les deux camps s'affrontèrent lors de la bataille de Fontenoy-en-Puisaye, le , sur le territoire de l'actuelle commune de Fontenoy situé à environ 10 vol d'oiseau Â» de Sougères-en-Puisaye. L'état-major de Louis le Germanique et de Charles le Chauve était cantonné sur le territoire de Sougères-en-Puisaye au lieu-dit, « Le Roichat Â» dont la toponymie serait une altération de « Roi Charles Â». La toponymie du hameau de Fougilet (en 1163, Fossa Gelet) serait d'ailleurs issue de la fonction de fosse commune qui fut attribuée au lieu, après la bataille de Fontenoy, à l'instar de certains lieux-dits de la commune comme la « vallée de la fuite Â», la « vallée de la défaite Â» ou encore « Les cris Â». Dès le seigneurie de Pesselières hormis le village de Chauminet lui-même sous la tutelle de sa propre seigneurie jusqu'à son adjonction à la seigneurie de Pesselières en 1738 ; contrairement à celle de Pesselières, la liste des seigneurs de Chauminet n'est que partiellement connue.

Renaissance et Révolution française

Lors du grand tour de France de Charles IX, celui-ci accompagné de Catherine de Médicis, fit une halte au château de Pesselières, le .

Le dernier seigneur de Pesselières, Louis-Michel Lepeletier de Saint-Fargeau, après avoir été un opposant de la peine de mort, vota la mort de Louis XVI le . Le soir même de son vote, il se rend chez Février, restaurateur au Palais-Royal. Un ancien garde du corps de Louis XVI, Philippe Nicolas Marie de Pâris, qui cache un sabre sous sa houppelande, se présente devant lui et le blessera à mort.

| ]

Carte postale de la place de l'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul, au début du XXe siècle.
Monument aux morts de Sougères-en-Puisaye situé dans le cimetière.

À la suite du coup d'État du 2 décembre 1851 par le président de la République française en place depuis trois ans, Louis-Napoléon Bonaparte, une vague d'insurrections secoue la province ; dans l'Yonne, Sougères-en-Puisaye est la première commune à s'insurger. L'insurrection sougéroise gagne les communes d'Andryes et de Druyes-les-Belles-Fontaines. Une colonne de protestation issue du village est arrêtée à Coulanges-sur-Yonne par le maire de la commune. L'insurrection en Puisaye fut écrasée rapidement : cinq morts sont à déplorer dont un Sougérois tué à Clamecy, Jean Bordet.

En 1855, les populations des hameaux et du bourg sont les suivantes : 335 habitants dans le bourg de Sougères, 409 à Fougilet, 334 à Pesselières, 229 à Chauminet, 92 aux Roches, 28 aux Billards et 14 aux Simons pour une population totale de 1 453 habitants.

Au Première Guerre mondiale coûte la vie à trente-sept hommes de la commune,,. La Seconde Guerre mondiale entraîne la mort de dix autres habitants. La liste de ces hommes est gravée sur le monument aux morts du village, situé dans le cimetière municipal. Au cours du second conflit mondial, la « Montagne-des-Alouettes Â» est un refuge pour les combattants du maquis « Maquis 3 Â» : le lieu abrite en août 1944 près de deux cent cinquante maquisards.

En 1954, une  type à rapprocher de la vague d'observations de l'automne 1954 est rapportée : des enfants de la maison d'enfance de Flacy (Sainpuits) alors en camping sur la « Montagne-des-Alouettes Â» auraient vu quelques humanoïdes ainsi qu'une soucoupe volante en lévitation à proximité. Parmi eux René S. qui confirme le récit à l'âge adulte en 1980.

  1. ↑ ISBN , lire en ligne), p. 791.
  2. ↑ E. Babize et J.B Sagette, Lain, histoire et souvenirs, Auxerre, .
  3. ↑ Bourgoin 1980, p. 22.
  4. ↑ Bourgoin 1980, p. 23.
  5. ↑ Écrits de Vathaire de Guerchy reportés par Pierre Bourgoin. Bourgoin 1980, p. 24.
  6. ↑ Bourgoin 1980, p. 25.
  7. ↑ Bourgoin 1980, p. 28.
  8. ↑ Bourgoin 1980, p. 36.
  9. ↑ a et b Bourgoin 1980, p. 38.
  10. ↑ Bourgoin 1980, p. 123-133.
  11. ↑ Bourgoin 1980, p. 134-135.
  12. ↑ Bourgoin 1980, p. 115.
  13. ↑ a b c et d , Les républicains sous le Second Empire, éditions de la MSH, , 214 ISBN , lire en ligne), p. 9.
  14. ↑ Annuaire historique du Département de l'Yonne : recueil de documents authentiques destinés à former la statistique départementale, , 228 lire en ligne).
  15. ↑ a et b Bourgoin 1980, p. 220.
  16. ↑ «  Â», sur Memorialgenweb.org (consulté le ).
  17. ↑ France, « Histoire - Qui sont les habitants de Sougères-en-Puisaye appelés sous les drapeaux entre 1914 et 1918 ? Â», L'Yonne républicaine,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  18. ↑ A. S., « Une colline refuge pour les résistants Â», L'Yonne républicaine,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  19. ↑ J.P et E. Hocquet, « Observation Rapprochée dans l'Yonne avec Présence d'Humanoïdes Â», Lumières dans la nuit, no 200,‎ , p. 29-32.


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Héraldique

La commune n'a pas de blason officiel ; néanmoins, elle a utilisé les armes des Grivel de Grossouvre, pour illustrer les panonceaux des rues et des lieux.

Les seigneurs du village (ou des hameaux actuels) avaient leurs propres armes.

Armes des Grivel de Grossouvre

Armes de Paul de Grivel de Grossouvre, seigneur de Pesselières jusqu'en 1752 ; ce blason fut repris par la municipalité pour illustrer les panonceaux des rues et lieux du village :

Paul de Grivel de Grossouvre porte :

D'or, la bande échiquetée de sable et d'argent de deux tires.
Armes des Lepeletier de Saint-Fargeau

Armes de Louis-Michel Lepeletier de Saint-Fargeau, dernier seigneur de Pesselières, jusqu'en 1793 : ces armes furent portés par son grand-père, Charles-Étienne Lepeletier de Beaupré), et figurent sur une litre funéraire dans l'église.

Lepeletier de Saint-Fargeau, dernier seigneur de Pesselières.

Louis-Michel Lepeletier de Saint-Fargeau porte :

D'azur à la croix pattée d'argent chargée en cœur d'un chevron de gueules, accosté de deux molettes d'éperon de sable, et en pointe, d'une rose de gueules,.
  1. ↑ a et b Bourgoin 1980, p. 130.
  2. ↑ a et b Bourgoin 1980, p. 134.
  3. ↑  Â», Lay Peers, sur heraldica.org, (consulté le ).

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Sougères-en-Puisaye dans la littérature

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Dokument erstellt 03/01/2018, zuletzt geändert 12/12/2024
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