Saint-Honoré-les-Bains

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Saint-Honoré-les-Bains : descriptif

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Saint-Honoré-les-Bains

Saint-Honoré-les-Bains est une commune, une station thermale et une station classée de tourisme française, située dans le département de la Nièvre en Région Bourgogne-Franche-Comté

Surnommée "la station qui guérit", elle est principalement connue pour ses eaux thermales aux vertus curatives sur les voies respiratoires et apaisantes sur les rhumatismes

Uniques en Europe, elles sont chlorurées, sodiques, sulfurées et arsenicales.

Géographie

La commune est située à la lisière sud-ouest du massif du Morvan et fait partie de son parc naturel régional. Elle est mentionnée sur la carte de Peutinger, copie du  siècle d'une ancienne carte romaine, sous le nom d'Aquæ Nisinei.

Géologie

Hydrographie

Les étangs
  • Les étangs, de la seigneurie de la Montagne, étaient autrefois au nombre de 13, 7 grands et 6 petits.
  • L'étang Honoré (jadis étang de Noré), route de Luzy, sa digue est carrossable il réunit le champ de foire et la route. Jadis le chemin montait jusqu'au château. Il est alimenté par :
    • l'étang de la Queudre alimentait deux moulins ;
    • l'étang du Carry asséché dans les années 1980 ;
    • l'étang du Seu alimenté par le ruisseau de la Queuldre, il alimentait aussi un moulin ;
    • l'étang des Bois ou Petit Étang au Défend ;
    • l'étang - Rapine, appartenait aux Picpus de Moulins-Engilbert qui le vendirent au seigneur en 1660.
Source de Tussy

La fontaine de Tussy a longtemps joui de la réputation d'un pouvoir de guérison parmi les gens du peuple. Le malade atteint de la fièvre intermittente doit s'y rendre en personne sans être vu « d'âme qui vive ». Arrivé à la fontaine il doit s'arrêter et saluer en disant : « Bonjour, fontaine, donne moi ton bonheur, comme je te donne mon malheur ». Il doit par trois fois faire le signe de la croix au-dessus de la source en tenant dans sa main le sou d'offrande qu'il doit en se retournant jeter par-dessus son épaule gauche et disparaître sans se retourner.

Villages, hameaux, lieux-dits et écarts

Les Andanges ; la Baume Vigneau ; Bellevaux ; Bois des Garennes ; Bois de Tussy ; le Carry ; Champ Benoit ; le Champ Blanc ; Champ de la Baume ; Champclos ; les Champs Georges ; les Champs Marteaux ; le Champ des Plantes ; le Champ Tapé ; le Champ de la Vigne ; la Chaume ; Cluze-Bardenne ; le Défend ; le Désert ; l'Eschenault ; Fossembé ; le Fourmonté ; les Fourneaux ; les Garennes ; les Grands Champs ; l'Hâte ; les Hâtes ; les Loges ; les Loges de Remilly ; les Lombaults ; Mont ; la Montagne ; Mont Subert ; Monthébault ; les Mouillas ; le Mousseau ; les Neaux ; le Niret ; les Patureaux ; les Petits lombaults ; Pierre-Blanche ; les Plantes ; le pré de la Caille ; la Queudre ; la Queudre d'en Haut ; la Queudre d'en Bas ; les Sarrazins ; le Seu ; Tiregage ; la Tuilerie ; Tussy ; la Vieille Montagne ; Vigne Jeannin ; la Vouavre ; les Vouavres.

Communes limitrophes

Rose des vents Préporché Rose des vents
Vandenesse N Villapourçon
O    Saint-Honoré-les-Bains    E
S
Sémelay

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Centre et contreforts nord du Massif Central, caractérisée par un air sec en été et un bon ensoleillement.

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 amplitude thermique annuelle de 16,6 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Avrée », sur la commune d'Avrée à 10 vol d'oiseau, est de 11,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 884,8 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,5 ,,.

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. Elles sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. «  », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. «  », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. «  », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  7. «  », sur meteofrance.com, (consulté le ).


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Histoire

Antiquité

Le site actuel de la commune est occupé à l'époque celte par Arbandal, ville du peuple éduen et porte le nom d' Arbandata. Ce sont les troupes menées par Jules César pour conquérir la Gaule qui découvrent des sources chaudes dans la localité. La ville change de nom et devient Aquae Nisinaeï. L'établissement que fondent les Romains comporte neuf puits, dans lesquels ils enfermèrent la source curative et construisirent un établissement public avec le marbre provenant de la carrière de Champ-Robert.

Pour permettre l'accès aux thermes les Romains ouvrent trois grandes voies et les vétérans de Caïus Antistius Reginus, qui commandait en Nivernie, purent y trouver la guérison d'une lèpre les affligeant. Les thermes furent probablement visités par Probus et Constantin-le-Grand, au cours de leur séjour à Augustodunum. La ville s'agrandit et compta jusqu'à 15 000 habitants.

Les thermes sont en activité pendant 400 à 500 ans, jusqu'à leur destruction au Ve siècle. Les invasions de peuples germaniques mettent fin à cette prospérité, et les thermes sont inutilisés.

Moyen Âge

Au début du seigneurs de Châtillon-en-Bazois possédaient toute la partie en plaine, et la Montagne était aux mains des barons de Glane et Larochemillay. Ces terres revinrent par le mariage d'Eudes de Châtillon avec Alix, dame de Glane, dans le giron de la maison des Châtillon, hommes liges du comte de Nevers.

En 1106, Hugues de Châtillon, seigneur de la Montagne, avant de se croiser, crée un prieuré appelé Saint-Honoré, plus exactement saint Honorat, fondateur de l'abbaye de Lérins, ainsi que l'église sous le vocable de saint Loup, évêque de Troyes et actuel patron de la ville. Au sud de l'église se trouve le logis abbatial toujours existant, remarquable par la forme de son toit pyramidal.

Les moines en possession des anciens thermes récupèrent des matériaux et transforment les lieux en étang, dans lequel les gens du voisinage atteints de maladie venaient se baigner. Les choses resteront en l'état pendant plusieurs siècles.

Sous l'Ancien Régime, trois arrière-fiefs et un fief existaient au finage de Saint-Honoré-les-Bains :

  • l'arrière-fief de l'Eschenault : acquis par Christophe de Sève, seigneur de la Montagne en 1658, appartenant précédemment à la famille de Mathieu (plus précisément Jean (de) Mathieu) et relevant de Châtillon-en-Bazois. Vendu en 1535 à Jean de Voise, écuyer. Parmi les nombreux héritages vendus ultérieurement figure le Champ de Chenault, un quartier de terre tenant au chemin par lequel on va de l'église de Saint-Honoré à la justice (signes patibulaires) de la terre et seigneurie de la Montagne, et au chemin par lequel on va de la justice à Tussy ;
  • l'arrière-fief de Champclos : cette maison deviendra la maison des Sœurs après avoir été en 1770 une école dirigée par le sieur Juif. Ce fief consistait en une haute maison comprenant une chambre basse, un cellier, deux chambres hautes et le grenier, deux petites tours servant de cabinets et de garde-robes. Avec la cour devant un petit fournier et l'écurie, un puits et dessus une volière, le tout ceint de murailles tenant d'une part au chemin allant de Saint-Honoré à Tiregage et sur celui de Saint-Honoré au château de la Montagne en passant par l'étang Noré ;
  • l'arrière-fief du Gué : cet arrière-fief et celui de Champclos restèrent longtemps dans la famille du Gué et relevaient tous les deux de la seigneurie de la Montagne. Le Domaine du Gué consistait en une maison couverte de tuiles et d'esseaunes (aisseaux, bardeaux), un portail sur lequel est une volière, la grange couverte de paille, le jardin joignant ladite maison, cour, aisance, le tout tenant en la paroisse de Saint-Honoré sur la route de Tiregage. Il appartenait en 1489 à Guyot du Gué, écuyer. En 1518, Jean pourpris de Champclos, avec ses aisances et appartenances. Jeanne sa sœur épousa Claude de Chargères, seigneur de Tourny ;
  • le fief de La Queudre, ou La Cœuldre, situé sur l'ancienne voie romaine du Beuvray : ce fief était possédé en 1250 en toute justice et franc-alleu par Geoffroy de La Rupelle. Sa veuve, Agnès et leur fils, Guillaume le vendirent en 1274 à Robert des Barrois. Un acte latin de 1274 dit qu'il fut vendu à Jean de Bazois, avec plusieurs héritages dans les villages de La Queudre et de Tussy ainsi que l'hôtel de La Queudre situé à Saint-Honoré près du champ de foire, avec d'imposants bâtiments agricoles dont un avec une tour (le manoir de La Queudre). Il passa dans la famille de Mathieu, puis aux de Chargères. À la fin du XVIIe siècle, Lazare, le fils de Paul de Chargères, sieur de Magny, en était propriétaire. Il épousa le , Marie Charlotte des Prés qui lui donna quatre enfants : Eustache, Jean-Marie, seigneur de La Creuzille et de la Cœuldre, Joseph, sieur de Rodon, chevalier de Saint-Louis et Madeleine.

Eustache de Chargères, seigneur de La Cœuldre, de Rodon, épousa Gabrielle de Sauvages dont leur fille Marie-Madeleine porta le fief et Eschenault à son cousin Charles, marquis de Chargères, chevalier de Saint-Louis, seigneur d'Arcenay et de Prémiens en Auxois, lieutenant de cavalerie en 1766. En 1776, il est en conflit avec le seigneur de la Montagne pour le droit d'usage dans les bois de Vauvray.

À la Révolution, Charles de Chargères qui en était le seigneur, fut gardé à vue par les patriotes malgré sa maladie, et il leur répétait souvent : « Vous n'aurez ma croix [il était chevalier de Saint-Louis] que lorsque vous m'aurez arraché la vie et je ne vous laisserai mon épée qu'après vous l'avoir passée au travers du corps. » Il eut un fils : Eustache, marquis de Chargères, chevalier de Saint-Louis, seigneur d'Arcenay, qui suivit Louis XVIII dans l'émigration, et deux filles qui furent enfermées avec leur mère dans les prisons de Moulins-Engilbert. La plus jeune Marie Gabrielle Pierrette, épousa en 1805, Louis Bouez d'Amazy et mourut en 1853. Leur fils Ernest vendit au marquis d'Espeuilles.

Le dernier seigneur de La Queudre, Eustache de Chargères, chevalier et ancien officier d'infanterie y mourut au début du XIXe siècle.

Renaissance

La seigneurie de la Montagne possédait son château au sommet de la Vieille Montagne à 542 mètres d'altitude. Ce château féodal devait faire suite à une motte castrale et à un oppidum romain. On retrouve toujours les traces de ce castrum dans la végétation qui a envahi les lieux. Un terrier de 1537 fait à la demande de Guillaume des Jours en indique l'emplacement. On y accédait par le sud sur la route de Sémelay à Villapourçon. Entouré par un rempart séparant la place d'armes et le donjon de la basse-cour, ce château fut vraisemblablement détruit en 1525 par les troupes étrangères sous le commandement de Louis de Bellejoyeuse (des mercenaires au service de dans les Guerres d'Italie, licenciés après Pavie et vivant désormais de saccages et de rapines en remontant vers le nord, où la régente Louise comptait les utiliser en Artois), qui ruinèrent Decize les 12 et , puis tout le pays.

Époque moderne

Aux alentours de 1556, le château de la Montagne passe à Guillaume de Grandrye, originaire de Moulins-Engilbert, qui obtient du roi Henri II des lettres patentes lui accordant la tenue d'une foire à la date du . Sa bâtisse est détruite lorsqu'il rentre de son ambassade à Constantinople. Il choisit pour le reconstruire un terrain au sud du bourg, surplombant, l'étang de Seu. Protestant, il s'exila en Suisse au moment de la Saint Barthélemy et n'entreprit cette construction qu'à son retour vers 1572, ce qui finit par le ruiner, l'obligeant à revendre son château. C'est le sire Jean de Chandon, conseiller du Roi en ses conseils d'État et privés qui en fit l'acquisition en 1596 et deux ans plus tard, obtient des lettres patentes de Henri IV pour tenir une seconde foire le . Elles se tenaient à cette époque près du château, ce qui leur valu de nom de Foires de la Montagne.

Les seigneurs percevaient des droits féodaux sur chaque tête de bétail qui s'y rendait. Les marchands forains établissaient des loges et payaient un gâteau par foire. Sur cette place s'y tenait un marché chaque semaine.

En 1647, Christophe de Sève fait aveu pour un fief qu'il tenait de la mouvance du prieuré. Les Picpus de Moulins-Engilbert vendent l'étang Rapine au seigneur de la Montagne en 1660.

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Le château de la Montagne, en fort mauvais état, connaît un nouveau propriétaire, François Sallonyer de Montbaron. Mort en 1754, ses biens allèrent à son fils Jean-Marie Sallonyer de Montbaron en 1770.

Un bornage réalisé par les moines du prieuré en 1721 montre que cette institution jouissait de beaux droits seigneuriaux. Sa haute justice comprenait une partie du bourg et un hameau voisin et elle confinait avec celle du marquisat de Vandenesse. Dieudonné de Chandon, prieur, cède en 1733 la justice de Montjournal au seigneur de la Montagne, en échange des dîmes du lieu.

Le , un ouragan s'abattit sur la ville, la foudre frappa la halle qui se trouvait derrière le château y mettant le feu au toit d'essaumes (bardeaux de bois) qui porté par le vent jusqu'au hameau de Clusebardenne qui fut ainsi incendié. Les ruisseaux devenus d'impétueux torrents emportèrent les chaussées des sept étangs de la seigneurie et comblèrent de terre et de pierres celui du prieuré.

En 1789, les vertus thérapeutiques de l'eau présente à Saint-Honoré-Les-Bains sont découvertes par le docteur Regnault de Lormes. Une première tentative d'exploitation commerciale de l'eau a lieu en 1812, sur initiative du médecin Bacon Tacon, mais cela aboutit à un échec.

Au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), la commune, alors nommée Saint-Honoré porta provisoirement le nom d’Honoré-la-Montagne.

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En 1820 commence le déblaiement de l'étang sous lequel se trouvaient les ruines des anciens thermes. Ces travaux permirent de mettre au jour de nombreux fragments de marbre, des débris de tuiles à rebords, de briques romaines, de vases antiques dont certains portaient le nom de leur fabricant Biturix fecit. Le projet de remettre les thermes en route n'ayant pas abouti, il fallut attendre 1838 pour que les fouilles reprennent. Elles permirent de mettre au jour d'anciennes piscines en marbre blanc et on retira du fond des puits plus de six cents monnaies d'empereurs romains.

Le marquis Antoine Théodore Viel de Lunas d'Espeuilles fait construire des thermes qui ouvrent en 1855 et les sources sont déclarées d'utilité publique en 1860.

Au XIXe siècle, plus de la moitié de la commune était couverte de bois, son territoire pour l'autre partie produisait céréales, châtaignes et un peu de vignes.

La période 1855-1930 voit une clientèle bourgeoise fréquenter l'établissement thermal. Cela amène la construction d'un casino, d'un théâtre, de courts de tennis, d'un centre équestre, du golf, de la piscine, et d'un kiosque à musique. Des hôtels et des villas sont alors construits. La ville est marquée par le thermalisme, qui permet son développement.

La Seconde Guerre mondiale met un terme à cette période faste. Les alliés Américains entrent dans Saint-Honoré le .

L'activité reprend après la fin des hostilités, mais la clientèle change et vient désormais pour de courts séjours. Ces mutations ont nécessité l'installation d'infrastructures sportives

En 1974, la commune distingue son nom en y ajoutant la terminaison les-Bains.

Héraldique

Blasonnement :
« Parti : au premier de sinople au symbole alchimique du soufre d'or, au second d'argent au symbole alchimique de l'arsenic de sable ; le tout surmonté d'un chef bandé d'azur et d'or, à la bordure de gueules. »
  1. Aymoin, moine de Fleury-sur-Loire, mort en 1008,De Antiquitalibus ecclesisticis, Cologne, 1500,
  2. Jacques-François Baudiau, Le Morvand, 1865; 3e éd. Guénégaud, Paris, 1965, 3 vol., t.I, p.588.
  3. Baudiau, op. cit., t.I, p.597, éd. Guénégaud, 1965.
  4. Henri Ducros Saint-Honoré-les-Bains, 1992.
  5. Les Sallonyer originaire de Moulins-Engilbert.
  6. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, «  », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  7. ont Germanicus, Claude, Néron, Vespasien, Titus, Domitien, Nerva, Trajan, Antonin le Pieux, Hadrien, Faustine, Sabine, Marc Aurèle, Lucius Verus, Lucille, Commode, Albinus, Alexandre Sévère, Gordien, Philippe, Claude le Gothique, Gallien, Salonin, Tetricus, , Constantin II, Constant Ier, Constant II, Magnence, Julien et Valentinien.

Héraldique

Blasonnement :
« Parti : au premier de sinople au symbole alchimique du soufre d'or, au second d'argent au symbole alchimique de l'arsenic de sable ; le tout surmonté d'un chef bandé d'azur et d'or, à la bordure de gueules. »

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Saint-Honoré-les-Bains dans la littérature

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Dokument erstellt 03/01/2018, zuletzt geändert 30/10/2024
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