Firminy

Localisation

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Firminy : descriptif

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Firminy

Firminy est une commune française située dans le département de la Loire (42), en région Auvergne-Rhône-Alpes. Ses habitants sont les Appelous et les Appelouses.

Géographie

Localisation

Limitrophe de la Haute-Loire, Firminy est située dans le Massif central entre l'Auvergne et le Forez, à la limite du Velay et du parc naturel régional du Pilat, à 73 km de Lyon, à 62 km du Puy-en-Velay et à 12 Saint-Étienne. Firminy est également située à 5 gorges de la Loire (Le Pertuiset).

C'est la quatrième ville du département. Elle est traversée par l'Ondaine et par le bassin houiller de la Loire.

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Communes limitrophes de Firminy
Unieux Roche-la-Molière Saint-Étienne
Fraisses Firminy Le Chambon-Feugerolles
Saint-Ferréol-d'Auroure
Haute-Loire
Saint-Just-Malmont
Haute-Loire

Géologie et relief

La superficie de la commune est de 10,45 .

Voies de communication et transports

Voies routières

La commune est desservie par la route nationale 88, voie rapide permettant d'accéder à Saint-Étienne, Givors (Lyon) et vers Toulouse via Le Puy-en-Velay.

Elle est aussi l'origine de la route départementale 500 vers Saint-Didier-en-Velay et Montfaucon-en-Velay.

Enfin, une route départementale 3 relie Firminy à Roche-la-Molière et à Saint-Bonnet-le-Château.

Transport ferroviaire

Firminy possède une gare sur la ligne de Saint-Georges-d'Aurac à Saint-Étienne-Châteaucreux. Elle est desservie par des TER Rhône-Alpes reliant Lyon-Perrache ou Lyon-Part-Dieu à Firminy (ces trains s'arrêtent systématiquement dans les gares stéphanoises dont Châteaucreux) ainsi que des TER Auvergne-Rhône-Alpes reliant Lyon ou Saint-Étienne au Puy-en-Velay.

Transports urbains

Firminy est desservie par la Société de transports de l'agglomération stéphanoise (STAS) dans la zone Grand Saint-Étienne ainsi que par la ligne TER (Le Puy) - Firminy - Saint-Étienne - (Lyon), accessible avec un pass Oura (Bus STAS + TER).

Cette partie du réseau (Firminy, Le Chambon-Feugerolles, La Ricamarie, Unieux, Fraisses et Saint-Paul-en-Cornillon) est organisée en étoile autour de Firminy. Le pôle multimodal de la gare de Firminy permet de relier Saint-Étienne à Firminy (par les villes de la vallée de l'Ondaine) en 10 minutes contre 30 minutes par la ligne M1 (épine dorsale du réseau) ou la ligne M2 (qui relie néanmoins directement le centre-ville stéphanois à Firminy).

La ville est desservie par les lignes :

  • M1 qui traverse la Vallée de l'Ondaine en passant par Le Chambon-Feugerolles et La Ricamarie jusqu'à Saint-Étienne ;
  • M2 qui relie la gare de Firminy au centre-ville de Saint-Étienne et la Métare en passant par Roche-la-Molière ;
  • 30 qui relie Le Pertuiset et Unieux au Chambon-Feugerolles en passant par Firminy et la Cité de la Romière ;
  • 31 qui relie Saint-Maurice-en-Gourgois et Unieux à la gare de Firminy ;
  • 32 reliant le pôle multimodal de la gare de Firminy à Unieux en passant par Fraisses ;
  • 33 qui est une ligne qui circule uniquement sur Firminy en reliant les quartiers de Verte Colline et Chazeau en passant par le centre-ville de Firminy et le quartier de Firminy-Vert ;
  • 34 reliant la gare de Firminy à Saint-Paul-en-Cornillon en passant par les bords de la Loire et à la limite avec la Haute-Loire.
Transports aériens
  • Aéroport de Saint-Étienne - Bouthéon

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 .

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 amplitude thermique annuelle de 16,7 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Étienne », sur la commune de Saint-Étienne à 9 vol d'oiseau, est de 11,4 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

Statistiques 1991-2020 et records SAINT-ÉTIENNE (42) - alt. : 640 m, lat : 45°26'07"N, lon : 4°22'05"E
Records établis sur la période du 01-06-2002 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 0,2 −0,1 2,5 5,8 9,1 13,1 14,7 14,2 11 8,3 4,2 1,1 7
Température moyenne (°C) 3 3,4 7,1 10,8 14,1 18,6 20,5 19,9 16,1 12,2 7,4 4,1 11,4
Température maximale moyenne (°C) 5,9 6,9 11,6 15,8 19,1 24 26,3 25,6 21,3 16,2 10,6 7,1 15,9
Record de froid (°C)
date du record
−12,9
13.01.03
−15,6
05.02.12
−16,5
01.03.05
−4,5
08.04.21
0,1
06.05.10
4,4
02.06.06
7,4
10.07.07
7,4
31.08.06
2,1
27.09.10
−5
26.10.03
−8,7
28.11.13
−11,1
26.12.10
−16,5
2005
Record de chaleur (°C)
date du record
18,2
10.01.15
20,9
23.02.20
24
30.03.21
27,8
22.04.18
32
13.05.15
36,8
27.06.19
39
07.07.15
38,6
24.08.23
33,5
05.09.23
29,9
02.10.23
23,1
02.11.20
18,3
05.12.06
39
2015
Précipitations (mm) 41,8 38,7 39,7 62,7 83,7 80,6 78,7 79,4 65,1 81 87,1 55,4 793,9
Source : «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base
  1. «  », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  2. Institut national de l'information géographique et forestière, Répertoire géographique des communes, [lire en ligne].
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. «  », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. «  », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. «  », sur meteofrance.fr, (consulté le ).

Toponymie

Nom des habitants

Firminy est dans le domaine linguistique de l'occitan et le nom de la commune est dans cette langue Firminial.

La dénomination des habitants, les Appelous, est relativement récente.

Au  siècle, les cloutiers portaient un tablier en peau appelé en occitan, et plus particulièrement son dialecte vivaro-alpin, « basana » ou la « pèl »(peau). Certains[Qui ?] disent que ce tablier en peau était appelé le « pelou », d'où le gentilé.

  1. Ludovic Noirie, Limite entre les dialectes occitans et arpitans au sud du Forez. Précisions sur les environs de Firminy, Firminy, (lire en ligne).
  2.  », sur locongres.org ; dictionnaire occitan en ligne du Congrès permanent de la lenga occitana, .

Histoire

Antiquité tardive - Moyen Âge

Vestiges de la porte de l'ancienne l'église Saint-Pierre.

Le du nom Firminiacum indiquerait que le lieu ait appartenu, probablement avant le Firmin.

La première mention de Firminy (Firminiaco) apparaît en 971 dans une charte de Conrad le Pacifique, roi de Bourgogne où sont énoncées les possessions reconnues à l’abbaye de l’Île Barbe. Ainsi, il est probable que le territoire connu alors sous le nom de la Celle Saint-Martin de Firminy fut donné à l'abbaye avant le .

Au milieu du église Saint-Pierre.

Sa tradition de foires, marchés forains et primeurs remonte au Moyen Âge où elle était déjà une ville active du fait de sa situation géographique avantageuse aux confins de l'Auvergne sur la grande route de Lyon au Puy-en-Velay.

La commune exploite à ciel ouvert de la houille dès le  souhaitée].

Vers 1460, pendant la guerre de Cent Ans, les Anglais séjournent au prieuré ; les routiers tard venus et autres bandes de mauvais aloi prélèvent un lourd tribut sur la population ; les seigneurs du voisinage, le comte du Forez lui-même, pillent l’abbaye[Information douteuse]. Pour se défendre, Firminy s’entoure de murailles de sept mètres de hauteur, percées de deux portes fortifiées, dont l’une subsistera jusqu’en 1967.

Époque moderne

En 1507, des lettres patentes de Louis XII donnent à la cité le titre de « ville » et y créent des marchés et des foires, témoignage de son activité commerciale.

Au cours du XVIIe siècle, la peste ravage à plusieurs reprises la région. Les hivers 1693 et 1694 connurent une disette sans précédent avec la mort du tiers de la population.

Au début du XVIIe siècle, Claude de La Tour, seigneur de Varan, apporta l’artisanat du clou, qui allait prendre rapidement un large essor. L’exploitation des « charboutières », ou carrières de houille, qui existaient depuis le XVIe siècle, continue de se développer.

Époque contemporaine

À la Révolution, une grande partie du territoire de la paroisse de Firminy en a été détachée pour former les communes de Chazeau, de Fraisses et d'Unieux

  • 1820 : Fondation de la Compagnie des mines, avec plusieurs puits d’extraction : Chappelon, La Tour, Osmond, Charles, Charpin, etc. Le dernier puits de mine a disparu de la commune en 1918.
  • Pendant la Révolution, Firminy devint chef-lieu de canton. Il le restera jusqu’en 1801, date à laquelle il est rattaché au canton du Chambon-Feugerolles jusqu’en 1900.
  • 1854 : François Félix Verdié achète le martinet Philippon et crée sa société en commandite par actions. La société François-Félix Verdié sera transformée en 1867 en Société anonyme des aciéries et forges de Firminy.
  • 1859 : Ouverture de la gare de Firminy.
  • 1867 : Chez Verdié, l’ingénieur Martin réalise le four à acier qui porte son nom.
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Pendant la Première Guerre mondiale, la population de la ville augmente brusquement, passant de 19 580 habitants à 41 000. Les effectifs des aciéries de Firminy augmentent ainsi de près de 10 000 personnes. 12 % de la main-d'œuvre vient de l'étranger ou des colonies, celle-ci est la cible de restrictions spécifiques comme l'interdiction de fréquenter les débits de boisson. Les nouveaux habitants occupent des logements insalubres.

Le Majestic (cinéma) fut ouvert en 1924 par Monsieur Hivert.

Le 21 octobre 1948, lors de la grande grève des mineurs, réprimée sur ordre du ministre socialiste Jules Moch qui envoie des blindés en Lorraine, deux mineurs de Firminy sont abattus par l'armée. C'est à ce moment-là que le slogan CRS = SS nait. Le maire est suspendu en raison de ces évènements, révoqué puis réélu.

  • En 1954, par apport de l'usine de Firminy, la société anonyme des aciéries et forges de Firminy entra pour 38 % dans le capital de la Compagnie des Ateliers et Forges de la Loire (C.A.F.L.) Plus tard la CAFL deviendra Creusot-Loire.
  • En 1959, la commune de Chazeau fusionne avec Firminy.
  • De 1954-1965, Firminy-Vert (substitut d'une ville « noire » industrielle), est conçue dans les années 1950 à l'initiative d'Eugène Claudius-Petit, maire de la ville, ancien ministre de la Reconstruction. Ce projet d'urbanisme est mené par Charles Delfante et se complètera avec la construction de bâtiments par Le Corbusier : rassemblés dans le Centre civique, la Maison de la Culture (1965), le stade, et le projet d'une église paroissiale dont la première pierre est posée en 1970 ; après la disparition de Le Corbusier en 1965, c'est à son disciple André Wogenscky que revient la construction de la piscine où les collégiens vont toujours et celle de l'Unité d'Habitation réalisée de 1965 à 1967.
  • En 1962, l'ensemble de Firminy-Vert est distingué par le prix national d'urbanisme, en raison de l'exemplarité de cette réalisation dont les responsables se sont manifestement inspirés des principes de la Charte d'Athènes, adoptée en 1933 par le congrès international d'architecture moderne à l'instigation de Le Corbusier.
  • 1970 : le CAFL est absorbée dans Creusot-Loire dont elle devient l'établissement le plus grand et le plus complexe à gérer étant donné la diversité de ses savoir-faire et de ses productions. Mais dans ce nouveau contexte de dimension multinationale, on va assister dans les douze années suivantes à une double évolution : d'une part, la modernisation de certains ateliers tels que la forge, le laminage à froid, mais en contrepartie la fermeture au fil des ans des ateliers jugés les moins performants pour leurs résultats économiques. Du fait des gains de productivité et des fermetures, l'effectif ouvrier ne va cesser de se réduire, ce qui va contribuer à stopper la croissance démographique de la ville et remettre en cause les projets d'un deuxième plan d'urbanisme conçu pour répondre à la prévision d'une forte augmentation de la population.
  • En 1983 : faillite de Creusot-Loire. L'usine métallurgique est reprise par USINOR, mais c'est le point de départ d'un démantèlement qui va la faire éclater en plusieurs établissements dont plusieurs se révèleront économiquement non viables.
  • la même année, projet municipal de fermeture de l'Unité d'habitation Le Corbusier, qui par suite des conditions économiques n'est qu'à moitié remplie. La résistance des habitants aboutit à un compromis : la fermeture de l'aile nord, et le regroupement des occupants dans l'aile sud.
  • la même année : l'ouverture d'un chantier de construction d'un gymnase municipal à quelques mètres du chantier de l'église de Le Corbusier, abandonné depuis 1977 par manque de moyens financiers, entraîne l'intervention de l'État en faveur d'une protection de l'ensemble des œuvres de Le Corbusier de Firminy au titre de Monuments historiques.
  • 1984 : construction de deux gymnases GM4 et GM5 sous la mandature de Théo Vial-Massat.
  • 1986 : création d'un syndicat d'initiative pour l'accueil et le guidage des visiteurs du patrimoine Le Corbusier (4 à 5 000 visiteurs par an). Cette création, suivie de celle d'un Office municipal de tourisme, contribue au difficile éveil d'une reconnaissance de ce patrimoine.
  • 1995 : ouverture d'une deuxième salle de cinéma au Majestic.
  • 2000 : ouverture du firmament (projet culturel émis par la municipalité de Bernard Outin) qui regroupe un stade, un terrain de tennis couvert, un dojo et une salle de spectacle.
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En 2001 ont lieu les élections municipales. Bien que n'étant pas un enjeu électoral manifeste, la mise en valeur du patrimoine Le Corbusier à des fins culturelles, économiques et touristiques apparaît vite comme un objectif majeur de la nouvelle municipalité. Sont entreprises la rénovation de l'Unité d'Habitation, initiée par la municipalité antérieure (celle de Bernard Outin de 1992 à 2001), en deux ans de chantier qui permettent en outre la remise en service de l'aile nord avec la participation d'un promoteur privé, et surtout avec l'appui de Saint-Étienne-Métropole, de la Région et de l'État, la reprise et l'achèvement de la construction de l'Église, finalement terminée et inaugurée en novembre 2006. L'électrification de la ligne de chemin de fer Saint-Étienne-Firminy a été programmée par le ministre communiste du logement et des transports Jean-Claude Gayssot. Le remodelage total du parvis de la gare qui cesse en 2006 d'être traversé par une sortie de voie rapide.

2001 voit la mise en place des comités de quartier, lien entre les habitants et la municipalité. Ceux-ci disposent d'un budget qui permet l'animation des quartiers.

En 2006, Clextral, l'une des entreprises héritières d'un savoir-faire hautement technologique élaboré au temps de Creusot-Loire, fête par un colloque international le cinquantième anniversaire de la naissance des machines à extruder bi-vis, inventées à Firminy et adoptées dans de nombreux pays pour l'extrusion des matières plastiques, de multiples produits alimentaires et la fabrication de papiers haut de gamme (exemple : billets de banque).

À côté de Clextral, sont également héritiers de Creusot-Loire les établissements Aubert et Duval (aciérie élaborant des alliages hautement spécifiés, forge et usinage de pièces métallurgiques longues), ARCELOR et depuis 2006, MITTAL-ARCELOR (laminage à froid de haute précision). Ces établissements occupent une partie importante de l'ancien site métallurgique, dont l'élément-phare est la tour de trempe, haute de 53 mètres, construite en 1935 et considérée de plus en plus comme un témoin historique majeur de l'histoire industrielle locale, et de surcroît sans équivalent en Europe et peut-être dans le monde : d'où l'engagement d'une procédure en vue d'un classement au titre des monuments historiques.

Autre dossier international en cours : l'initiative de Firminy en vue d'un classement des œuvres de Le Corbusier au patrimoine mondial de l'UNESCO, initiative à laquelle ont déjà adhéré de nombreux pays dans lesquels existent des ouvrages réalisés par l'architecte.

En 2009, d'importantes émeutes eurent lieu trois nuits durant dans le quartier de Firminy-Vert. Le décès par pendaison d'un gardé à vue en fut l'origine.

  1. Voir: Firmin, Saint-Firmin, Firminus comte d'Auvergne (vers 555-571).
  2. Masures de l'Ile-Barbe, lire en ligne), p. 65.
  3. J.-A. de La Tour Varan, Étude historique sur le Forez, Chronique des châteaux et des abbayes, lire en ligne), p. 16.
  4. a b c et d Michelle Zancarini-Fournel, Les luttes et les rêves : Une histoire populaire de la France de 1685 à nos jours, Paris, Éditions La Découverte, , 995 ISBN ), chap. 13 (« Être en guerre (1914-1920) »), p. 568.
  5. «  », sur Le Parisien, (consulté le ).
  6. Jean-Louis Vivens, , mémoire de Master 2, 2015, p. 133-134.
  7. Christophe Cornevin, «  », sur Le Figaro, .


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Héraldique

Parti de sable et de gueules. à deux pics en sautoir, une enclume, à la lampe de mineur appendue à une roue d'engrenage tous d'or et brochant chacun sur le précédent en cœur, au clou de sable brochant au centre de la roue d'engrenage, le tout accompagné au canton senestre du chef d'une <apeau> (ou basane, tablier de cuir des cloutiers) d'argent chargé en cœur d'une meule de gueules, au franc canton d'or chargé de deux clefs renversés de sable passées en sautoir.

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Firminy dans la littérature

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Dokument erstellt 03/01/2018, zuletzt geändert 12/12/2024
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