Brioude

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Brioude : descriptif

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Brioude

Brioude (/bʁi.jud/ ) est une commune française située dans le département de la Haute-Loire (dont elle est une sous-préfecture), en région Auvergne-Rhône-Alpes. Ses habitants sont appelés les Brivadois. Avec 6 518 habitants en 2021, Brioude est la quatrième ville la plus peuplée du département, derrière Le Puy-en-Velay, Monistrol-sur-Loire et Yssingeaux.

Géographie

Localisation

Représentations cartographiques de la commune
Carte de la commune dans son département.
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Brioude
Paulhac (3,1 km)
Fontannes (3,1 km)
Lamothe (3,6 km)
Vieille-Brioude (3,8 km)
Saint-Laurent-Chabreuges (4,0 km)
Beaumont (4,0 km)
Distances avec les communes limitrophes
1 : carte dynamique ; 2. carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : distance avec les communes limitrophes

La commune de Brioude se trouve dans le département de la Haute-Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Elle se situe à 58  du Puy-en-Velay, préfecture du département.

Les communes les plus proches sont : Paulhac (2,9 Fontannes (3,2 Vieille-Brioude (3,5 Saint-Laurent-Chabreuges (3,8 Lamothe (3,8 Beaumont (4,0 Cohade (4,9 Lavaudieu (6,5 km).

Géologie et relief

Capitale du Brivadois, la ville est située, à plus de 400 mètres d'altitude, dans une petite Limagne qui porte son nom. À l'est, les monts du Livradois surplombent la plaine tandis qu'au sud et à l'ouest commence la Margeride. Surnommée « Brioude la Douce » depuis Sidoine Apollinaire, au Ve siècle, la ville, attractive et commerçante, est la capitale du Brivadois.

L'altitude moyenne de la commune est de 518 .

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 .

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 amplitude thermique annuelle de 16,6 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Fontannes », sur la commune de Fontannes à 3 vol d'oiseau, est de 11,4 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

Statistiques 1991-2020 et records FONTANNES (43) - alt : 435m, lat : 45°18'01"N, lon : 3°25'10"E
Records établis sur la période du 01-01-1991 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) −0,7 −0,8 1,1 3,3 7,3 10,9 12,5 12,2 8,9 6,8 2,8 0,1 5,4
Température moyenne (°C) 3,5 4,2 7,3 9,9 14 17,9 20,1 20 15,9 12,3 7,3 4,2 11,4
Température maximale moyenne (°C) 7,7 9,2 13,4 16,5 20,7 24,8 27,8 27,8 22,9 17,8 11,8 8,4 17,4
Record de froid (°C)
date du record
−17,1
30.01.05
−16,3
13.02.1999
−17,2
01.03.05
−8,9
08.04.03
−2,5
06.05.02
0,8
03.06.06
2,8
17.07.00
1,2
29.08.1998
−1,3
08.09.1996
−8,8
31.10.1997
−11,9
22.11.1998
−14,5
30.12.05
−17,2
2005
Record de chaleur (°C)
date du record
20,7
05.01.1999
23,2
18.02.1998
27,1
17.03.04
29,5
30.04.05
35,5
22.05.22
40,9
28.06.19
40
07.07.15
40,2
23.08.23
36,6
05.09.23
32,8
02.10.23
26,3
08.11.15
20,2
31.12.21
40,9
2019
Précipitations (mm) 29,9 25,4 30 52,2 73,5 63,7 63,2 63,7 63,6 61,1 54,1 31,5 611,9
Source : «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base


Hydrographie

L'Allier est le cours d'eau majeur traversant Brioude.


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  1. Stephan Georg, «  », sur fr.distance.to (consulté le ).
  2. «  », sur villorama.com (consulté le ).
  3. Philippe Arbos, « La Margeride », Almanach de Brioude, Brioude,‎
  4. «  », sur cartesfrance.fr (consulté le ).
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. «  », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
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  9. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. «  », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  11. Paul Le Blanc, « Les inondations de l'Allier dans l'arrondissement de Brioude », Annales de la Société d'agriculture, sciences, arts et commerce du Puy,‎ (lire en ligne)

Toponymie

Attestée sous la forme Brivate au  siècle.

En dialecte auvergnat, Brioude est transcrit en graphie occitane classique Briude [ˈbriwdə/ˈbrijde] et en norme bonnaudienne Bride. Ce nom est le résultat d'une longue évolution depuis le mot celte gaulois « briuati » (qui est muni d'un pont), celui-ci étant situé à Vieille-Brioude, au sud à 3 kilomètres. Ce terme nous rappelle donc que le franchissement de l'Allier dans cette région a été un défi pendant des siècles.

  1. Comme le montre J.P. Chambon, dans Saint Julien et les origines de Brioude - Actes du colloque international organisé par la ville de Brioude du 22 au , Almanach de Brioude-CERCOR, 2007, p. 260-270.
  2. «  », sur filae.com (consulté le ).

Histoire

À proximité de l'aérodrome de Brioude-Beaumont un site de surface a livré de l'industrie pré-acheuléenne à l'âge estimé entre 80 000 et 5 000 ans.

Le nom de la ville ainsi que quelques faciès céramiques exhumés au sud du bourg confirmeraient l'origine laténienne de l'agglomération brivadoise. Toutefois, hors de l'archéologie, qui atteste une présence gallo-romaine certaine sur le site pour tout le Haut-Empire, les évocations historiques de la ville sont plus tardives.

Tout ce que l'on sait de Brioude pour les hautes époques est à rapporter à l'apparition du culte de saint Julien. Ce martyr fut décapité probablement sur place ou peut-être dans la proche localité de Vinzelles (Puy-de-Dôme, com. Bansat, cant. Sauxillanges) à l'occasion des persécutions de Dioclétien, dans les premières décennies du .

Le chroniqueur Grégoire de Tours, dans la Passion qu'il consacre à Julien et rédige vers 581-587, évoque la tradition selon laquelle le premier aménagement du tombeau du saint serait le fait d'aristocrates priscillianistes ibériques repentis ayant échappé aux condamnations du mouvement à Trèves par l'usurpateur Maxime. Au regard du reste du récit des origines du culte, le plus souvent fort évasif, ces détails sont trop précis pour ne pas avoir été collectés localement ou lus sur des écrits du temps qui ne nous sont pas parvenus.

Ensuite, l'hypothèse d'une élection de sépulture par Avitus, empereur romain d'Occident d'origine auvergnate, auprès du tombeau du martyr aurait pu contribuer de façon décisive à la renommée du sanctuaire en Gaule,,. Indépendamment de la publicité que connurent alors ces événements, il est à noter que cette inhumation ad sanctos, en relayant la mode italique, constituerait par ailleurs un précédent remarquable pour un homme d'État en Gaule.

Basilique Saint-Julien : déambulatoire et sanctuaire.

Au Moyen-Age

Au seuil du Moyen Âge, l'arrivée des chefs germaniques semble, paradoxalement, avoir renforcé de façon décisive l'importance du culte du martyr (on n'a en effet qu'une mention ponctuelle de razzia, de la part des Burgondes vers 472-474). Ainsi, le duc Victorius, Aquitain au service du roi wisigoth Euric, maître de l'Auvergne depuis 475, démonte les monuments antiques voisins pour l'aménagement de la basilique. Thierry, fils ainé de Clovis, lors de sa pacification de l'Auvergne, en conséquence d'un excès de zèle de ses éclaireurs, offrit un diplôme d'immunité au sanctuaire après 526, comme il l'avait fait peu auparavant au profit de Clermont, siège cathédral du pays. Dès lors, la protection vigilante mais discrète des intérêts de l'église de Saint-Julien par le distant pouvoir austrasien fut probablement un moyen efficace de ménager des fidélités au sein de l'aristocratie romaine locale. En retour et malgré le relatif silence des sources issues de Grégoire de Tours, le sanctuaire du martyr est une plate-forme entre le pouvoir royal et militaire franc avec le vieux monde juridique et institutionnel latin. En tout cas, l'importance surprenante des niveaux mérovingiens mis en évidence lors des récentes fouilles programmées et effectuées aux abords de la basilique (sous la direction de Bernadette Fizellier-Sauget puis de Fabrice Gauthier) confirme le dynamisme de ces lieux pour la période. Par ailleurs, le nombre, la variété et la répartition des émissions monétaires, triens et deniers d'argent frappés à Brioude, dont les trouvailles s'égrainent de l'actuelle Espagne aux îles Britanniques, sont encore un témoignage concret du rayonnement du lieu.

Chevet de la basilique Saint-Julien.

Cet équilibre mérovingien, fut peut-être remis un temps en question par l'hostilitas Francorum dont se font écho les Formulae Arvernenses dans le courant du VIIIe siècle, mais il se recompose vite au IXe siècle, l'âge carolingien.

Le Brivadois est sous les Carolingiens, l'un des cinq comtés secondaires de l'Auvergne, avec une viguerie particulière (les autres comtés sont Clermont, Turluron, Tallende, Carlat). Ce comté secondaire d'Auvergne est tenu par le Chapitre qui de ce fait est un chapitre noble, ses membres ont le titre de chanoine-comte de Brioude.

La basilique de Brioude, de Louis le Pieux à Charles le Chauve, fait l'objet de préceptes d'immunités réitérés. C'est probablement à cette époque que la communauté des desservants fut réformée en une collégiale canoniale selon les prescriptions de la regula d'Aix-la-Chapelle désormais en vigueur dans l'Empire.

Le chapitre demeure le moyen majeur du rapprochement du pouvoir franc avec l'ensemble des représentants des aristocraties locales : à la fois école, cour, chancellerie, il participe de l'« aquitanisation » décisive des lignages des consanguinei carolingiens en charge au sud de la Loire. Au premier des rangs de ceux-ci, les Guillelmides, et surtout son principal représentant Guillaume le Pieux, duc d'Aquitaine, véritable aboutissement du phénomène. Son abbatiat à la dite basilique de Brioude par « don royal » (dono regio) est alors le symbole de l'étendue de son autorité sur toutes les anciennes provinces romaines d'Aquitaine. De la Vita sancti Guillelmi au la Charroi de Nîmes, le dépôt des armes à l'autel de saint Julien à Brioude marquera désormais l'entrée symbolique en Aquitaine, le passage obligé par lequel le guerrier franc, qu'il soit un personnage historique, un fondateur héroïsé ou encore le premier modèle de sainteté guerrière, véritable « proto-chevalier », entamera sa quête.

Dans le sillage du moment ducal, la famille des Mercœur se distingue en Haut-Allier et à Brioude plus particulièrement, grâce à saint Odilon, ancien chanoine de Brioude mais surtout abbé de Cluny (994-1049), constructeur de la plus vaste église d'Occident et l'un des promoteurs de la Trêve de Dieu ainsi que de la fête des morts, célébrée au lendemain de la fête de la Toussaint. Les Mercœur fourniront jusqu'au Robert de Turlande, fondateur du puissant ordre bénédictin de la Chaise-Dieu, mais préalablement trésorier du chapitre. Enfin saint Pierre de Chavanon, plus modeste fondateur de l'abbaye de Pébrac, fit aussi ses débuts dans la communauté. À l'issue du à Brioude, en route pour Clermont où il prêchera la première croisade, la seigneurie capitulaire semble alors être à son faîte.

Mais, à rebours des tendances générales, le doyenné et sièges rompent définitivement les vieux équilibres. Malgré les débuts du chantier de la basilique, l'aura du culte de Julien pourrait en avoir été diminué. Il est aussi possible que la multiplication des ordres « concurrents » en pourtour du domaine capitulaire, en nourrissant des conflits d'intérêts, ait participé à cet amoindrissement lors du « second âge féodal ».

Sous Saint Louis plus particulièrement, l'autorité royale se réinstalle peu à peu en ville et donne systématiquement raison aux chanoines-comtes contre toutes tentatives d'organisation communale jusqu'à la fin de l'Ancien Régime. Et Brioude est bientôt promue par l'autorité royale « bonne ville » d'Auvergne.

Les premiers religieux de l'Ordre des Frères mineurs du Puy-en-Velay s'installent à Brioude en 1286, après le don d'une maison par Anne Fabret dans un faubourg des Olliers. La première pierre de l'église est posée par Pons de Polignac, en 1317. L'église est consacrée le .

Le , le sinistre capitaine des « routiers » Seguin de Badefol s'empare de la cité, qui devient « centre d'expéditions punitives » dans toute la région : « ...comme tuer gens, violer fames, pendre les personnes, arder (incendier) les villes, rober et piller tout le pays... » (Jean Froissart, Chroniques, 1370-1400). À la suite d'une convention signée le , le bandit consent à quitter les lieux.

A l'époque Moderne

En 1532, le roi y est accueilli par une centaine de gentilshommes menés par le vicomte François-Armand de Polignac.

En 1618, autorise et règle le fonctionnement d'une société de tir à Brioude. Au mois de mai de chaque année, ses membres se réunissaient pour tirer, soit à l’arc, soit à l’arbalète (et plus tard au mousquet et à l’arquebuse) sur des papegays. Nommé roi de l’oiseau, le vainqueur jouissait pendant un an du droit de porter l’épée, était exempt de guet et recevait un prix de quinze livres.

Un couvent des Minimes est fondé le 14 juin 1608,. Un couvent de Capucins est fondé en 1619,. Ce couvent des Capucins est transféré en 1685 sur la butte Saint-Laurent. Un couvent de la Visitation est fondé en 1658. Le couvent des Capucins est détruit par un incendie en 1771. Il est reconstruit avec des bâtiments plus grands. Les ordres religieux sont dispersés en 1789.

Les Templiers et les Hospitaliers

La place Saint-Jean. Emplacement d'une église disparue de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem dont les fondations furent mises au jour en 2012, objet de fouilles archéologiques puis recouvertes. Cette « maison du Temple de Sainte-Bonnette » dépendait à l'époque des Templiers de la commanderie du Chambon. Appelée également « l'Hôpital de Brioude », elle est devenue un membre de la commanderie de Montchamp au grand prieuré d'Auvergne, c'était également le principal domaine viticole de la commanderie avec des vignes à Paulhac et Puy-Fontaine.

  1. [Magoga, Raynal & Vernet] Lionel Magoga, Jean-Paul Raynal et Gérard Vernet, « Une industrie pré-acheuléenne en Brivadois (Haute-Loire) / A pre-acheulian assemblage in Brivadois (Haute-Loire) », Revue archéologique du Centre de la France, lire en ligne [sur persee], consulté en ).
  2. notamment lors des fouilles de l'institution Saint-Julien par l'abbé Cubizolles, voir P. Cubizolles, « Matériel archéologique de Brioude et de la région saugaine remis au C.N.R.S. de Clermont-Gerrand », Almanach de Brioude, t. 59,‎ , p. 253-259 et B. Rémy et M. Provost (dir.), Carte archéologique de la Gaule. La Haute-Loire, Paris, , p. 53-56, art. 040.
  3. abbé Julien Lespinasse, « Le culte de Saint Julien de Brioude », Almanach de Brioude, Brioude,‎
  4. Claude Tavernier, « La "passion" de Saint Julien de Brioude et la critique hagiographique », Almanach de Brioude, Brioude,‎
  5. Voir G. Fournier, « Les origines de Brioude », Almanach de Brioude, Almanach de Brioude, t. 41,‎ , p. 31-42.
  6. Gregorius Turonensis, Liber de passione et virtutibus sancti Juliani martyris, B. Krush, W. Arndt (éds.), dans Monumenta Germaniae Historica, Lire en ligne dans une autre édition.
  7. Louis Bréhier, « Un empereur romain à Brioude : Flavius Eparchius Avitus », Almanach de Brioude, Brioude,‎ , p. 39-55
  8. Déposé puis certainement assassiné lors de son retour de Plaisance vers des contrées plus hospitalières par son successeur Majorien et le maître de la milice Ricimer en 457
  9. comme démontrée récemment par le professeur Françoise Prévot[réf. nécessaire]
  10. Christophe Grégoire, Avitus, l'empereur oublié : des monts d'Auvergne à la pourpre impériale, Clermont-Ferrand, De Borée, ISBN )
  11. « Un empereur romain aurait-il sa sépulture en Haute-Loire ? : l’écrivain Christophe Grégoire publie un ouvrage sur la vie d’Avitus, un des derniers empereurs romains, une figure auvergnate de l’Antiquité qui serait inhumée à Brioude. », L'Éveil de la Haute-Loire,‎ (lire en ligne, consulté le )
  12. Liber de passione…, no 7.
  13. Historiae, B. Krusch et W. Arndt, Monumenta Germaniae Historica, vol. 1 : Scriptores Rerum Merovingicarum, t. 1 : Libri historiarum X, Hanovre, 1885, L. II, c.20, p. 65.
  14. Gregorius Turonensis, Liber de passione et virtutibus sancti iuliani martyris, dans B. Krusch et W. Arndt, Monumenta Germaniae Historica, Scriptores Rerum Merovingicarum, vol. 1 :Gregorii Turonensis opera, t. 2 : Miracula et opera minora, Hanovre, 1885, p. 562-584, ici no 13, p. 569-570.
  15. Jean-Luc Bourdartchouk, 1998.
  16. Arsène Bonnefoi, « L'abbaye de Pébrac », Almanach de Brioude, Brioude,‎
  17. Fodéré 1859, p. 399-401
  18. Livre "La Haute-Loire insolite", de Roger Briand, édité en , page 224.
  19. Hector du Lac de la Tour d'Aurec, Histoire du département de la Haute-Loire, (Vélai), Canton du Puy, Le Puy, Imprimerie J.B.de la Combe, , page168.
  20. Henry Mosnier, « La société du Papegay à Brioude », Tablettes historiques du Velay, Le Puy-en-Velay,‎ (lire en ligne).
  21. J. Lachenal, « Fondation du monastère de la Visitation de Brioude », Mémoires et procès-verbaux de la Société agricole et scientifique de la Haute-Loire, Le Puy, lire sur Wikisource])
  22. abbé Julien Lespinasse, « La fontaine de Saint-Julien et le couvent des Minimes de Saint-Ferréol près Brioude », Almanach de Brioude, Brioude,‎
  23. J. F. Bonnefoy, « Le couvent de Brioude de sa fondation à la révolution et pendant la révolution », dans Les couvents capucins de la Haute-Loire, Paris/Le Puy-en-Velay, Librairie Saint-François/Au Vieux Puy,
  24. Abbé Julien Lespinasse, « Les Capucins à Brioude », dans Chroniques du Brivadois : Un peu d'histoire locale, Almanach de Brioude (lire en ligne), p. 25-26
  25. J. Lachenal, « Les capucins à Brioude », Mémoires et procès-verbaux de la Société agricole et scientifique de la Haute-Loire, Le Puy, lire sur Wikisource])
  26. Géraldine Sellès, « Les fouilles archéologiques de la place Saint-Jean ont révélé les vestiges du bâtiment disparu », La Montagne,‎ (lire en ligne).
  27. Pierre Cubizolles, Le diocèse du Puy-en-Velay des origines à nos jours, Éditions CREER, , 525 ISBN , présentation en ligne), p. 177.
  28. Hippolyte Bouffet, « Les Templiers et les Hospitaliers de Saint-Jean en Haute-Auvergne », Revue de la Haute-Auvergne, Aurillac, lire en ligne sur Gallica.

Héraldique

« De gueules à la ruche d'or accompagnée de six abeilles du même, au chef cousu de France. »

Dans La France illustrée, 1882, de Malte-Brun on trouve :

  • « D'or, à deux clefs adossées de sable, accompagnées en chef d'une fleur de lis du même. », ainsi dans d'Hozier (Auvergne, p. 330).
  • « Parti, le 1er d'azur, à trois fleurs de lis d'or ; le 2e d'azur, à la lettre capitale B couronnée d'or. », ainsi dans Pierre de La Planche, La Description des provinces et des villes de France, 1669 (manuscrit à la Bibliothèque du Musée Condé de Chantilly).

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