Lathuile
Localisation
Lathuile : descriptif
- Lathuile
Lathuile, localement écrit sous la forme Lathuille, est une commune française située dans le sud du département de la Haute-Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes
Membre de la communauté de communes des Sources du Lac d'Annecy, la commune comptait 1 048 habitants en 2021
Le village se situe sur la rive ouest du lac d'Annecy, sans en être riverain, au début de la vallée de Faverges
La commune est membre du parc naturel régional du Massif des Bauges.
Géographie
Situation
Localisation
Le territoire communal de Lathuile se situe à l'extrémité sud-ouest de la combe du lac d'Annecy, sur les pentes sud-est du Taillefer. Ce massif appartient d'ailleurs au massif des Bauges. L'altitude moyenne de la commune est de 455 m.
La commune est membre du parc naturel régional du Massif des Bauges.
À vol d'oiseau, le village se situe à 8,2 Faverges, le chef-lieu de canton et à 15 Annecy, la préfecture du département. Les autres principales villes se trouvent dans le département voisin de la Savoie, au sud-est Albertville à 18,6 Chambéry, située à 32,2 .
Le chef-lieu de commune est localisé par l'Institut national de l'information géographique et forestière à la longitude 6° 12′ 13″ est et à la latitude 45° 47′ 00″ nord.
Communes limitrophes
Lathuile est entourée par peu de communes. Du nord au sud, sur son côté est, la commune de Doussard, riveraine du lac d'Annecy. À l'ouest, à une altitude supérieure, Entrevernes. Au sud, Bellecombe-en-Bauges, commune du département voisin, la Savoie, est dans le massif des Bauges.
Duingt | Doussard | |||
Entrevernes | N | Doussard | ||
O Lathuile E | ||||
S | ||||
Bellecombe-en-Bauges (Savoie) |
Relief et géologie
Le territoire de la commune s'étale tout le long de la montagne du Taillefer, constituant la montagne d'Entrevernes, débutant au sud au niveau de la montagne de Bornette et de son col et qui descend jusqu'au rebord du lac d'Annecy, sans en être riverain. En effet, le rivage de cette partie du lac se trouve à Bredannaz, hameau appartenant à la commune de Doussard. Il s'agit d'une étroite bande d'une largeur maximale de 2 . Le reste de la commune surplombe les marais du Bout-du-Lac.
Hydrographie
La commune est parcouru par le ruisseau de la Bornette, d'une longueur de 7,7 . Ce dernier s'écoule vers le nord et se jette dans le lac d'Annecy, au niveau du lieu-dit Bout-du-Lac, situé sur la commune de Doussard.
Climat
Le tableau suivant donne les normales mensuelles de température et de précipitations pour la station de Chambéry (station météorologique de référence pour Météo-France) relevées sur la période 1981-2010. La station est située à environ 32 massif des Bauges, et elle se trouve à une altitude de 235 m.
La situation de Lathuile, d'une altitude médiane de 455 continental montagnard caractérisé par une humidité marquée. Les hivers sont plus froids et neigeux que ceux observés dans l'avant-pays, comme à Chambéry, et la saison estivale douce avec parfois des épisodes orageux. Les intersaisons (avril et octobre) sont aussi en moyenne plus humides.
L'amplitude thermique est proche de celle observée pour la ville d'Annecy, 20,7 .
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | −1,4 | −0,7 | 2,1 | 5,1 | 9,7 | 12,8 | 14,7 | 14,2 | 11 | 7,4 | 2,5 | −0,2 | 6,5 |
Température maximale moyenne (°C) | 5,8 | 7,9 | 12,6 | 16,3 | 20,8 | 24,6 | 27,4 | 26,6 | 22 | 16,7 | 10,1 | 6,4 | 16,5 |
Record de froid (°C) | −19 | −14,4 | −10,3 | −4,6 | −1,4 | 2,8 | 5,4 | 5 | 1 | −4,3 | −10,8 | −13,5 | −19 |
Record de chaleur (°C) | 17,9 | 20,5 | 25,1 | 29,5 | 32,7 | 36,1 | 38,3 | 38,8 | 32 | 29 | 23,3 | 22,7 | 38,8 |
Ensoleillement (h) | 77,7 | 104,4 | 156,7 | 172,8 | 202,5 | 234 | 260,1 | 232,5 | 176,3 | 121,4 | 71,2 | 60,6 | 1 870,3 |
Précipitations (mm) | 102,6 | 91,5 | 100 | 92,2 | 104,2 | 94,8 | 86,6 | 91,7 | 111,8 | 122,6 | 105 | 118 | 1 221 |
Voies de communication et transports
Lathuile est accessible par la route. La commune se trouve en retrait de l'ex-RN 508 aujourd'hui route départementale 1508 qui se dirige au nord vers Annecy et au sud vers Albertville, via Faverges. Il faut donc prendre la direction du village en depuis Annecy par la « route du Taillefer puis route de Chaparon » depuis Bredannaz ou poursuivre sur la RD 1508 pour prendre la D 180 depuis le Bout-du-Lac, ou encore en provenance de Faverges traverser Doussard ou la « route de la plaine » depuis le pont sur l'Ire.
Depuis la D 1508, il est possible de rejoindre Albertville située à 25 autoroute A430 permettant de rejoindre la combe de Savoie menant à la vallée de Maurienne ou les métropoles de Chambéry ou de Grenoble ainsi que la RN 90 qui permet de se diriger vers les stations de sports d'hiver de la vallée de la Tarentaise. En remontant vers le nord, en traversant Annecy, il est possible de rejoindre l'autoroute A41 (sortie Annecy-Sud à 25 vallée de l'Arve à l'est ou de se diriger vers Chambéry, via Aix-les-Bains à l'ouest. On peut éventuellement rejoindre l'autoroute A40, dite « Autoroute Blanche » en empruntant l'ancienne RN508 direction Frangy.
La ville est reliée au reste du département et aux villes du département voisin par un service de cars journaliers assurant la liaison Annecy-Albertville par la société Philibert Transport, membre du réseau Lihsa (lignes interurbaines de Haute-Savoie). Il s'agit de la ligne 51 dont les autocars effectuent de façon quotidienne.
À partir d'Annecy, on peut se connecter au réseau ferré de la plate-forme multimodale de la gare d'Annecy. Pour les vols internationaux, l'aéroport français de Lyon-Saint-Exupéry se trouve à 142 Genève Cointrin, en Suisse, se situe à 67 km (soit environ 1 h).
La commune est également située à proximité de la piste cyclable ou voie verte, dite du lac d'Annecy, implantée sur l'ancien tracé de chemin de fer, longeant la RD 1508, entre Annecy et Albertville,. Le dernier tronçon reliant Giez à Val-de-Chaise (village de Marlens) a été réalisé entre 2004-2005. Elle mesure 30 ,. Elle est gérée par le Syndicat intercommunal du lac d'Annecy (SILA). Cette piste cyclable est considérée comme l'une des plus fréquentées de France. Cette ancienne ligne de chemin de fer disposait d'une gare sur la commune.
On peut aussi se rendre à Annecy par bateau depuis l'embarcadère de Doussard, grâce à l'une des trois liaisons journalières proposées par la Compagnie des bateaux du lac d'Annecy.
- Antoine Reille, Guide des parcs naturels régionaux : le patrimoine naturel, la vie traditionnelle, Delachaux et Niestlé, , 319 ISBN ), p. 199.
- Histoire des communes savoyardes 1981, p. 313.
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- « »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Météo-France (consulté en ).
- Ligne n°51 du Réseau interurbain de Haute-Savoie.
- « », sur Site du Syndicat intercommunal du lac d'Annecy (SILA) - sila.fr (consulté en ).
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Toponymie
La première mention de Lathuile apparaît dans le cartulaire de l'abbaye de Talloires de la fin du . En 1801, le toponyme utilisé est La Thuile.
Le toponyme Lathuile proviendrait selon l'origine la plus courante d'une exploitation du sol dès l'époque romaine. Sur les pentes du Taillefer, une proto-industrie minière s'est développée pour extraire des tuiles au lieu-dit Bredannaz, activité qui donna son nom à la commune. On a donc l'agglutination de l'article avec le mot « Thuile », qui désigne l'endroit où l'on extrait de l'argile,. Charles Marteaux (1861-1956) de l'Académie florimontane indiquait que le toponyme dérive du latin tegula (tuile) indiquant un bâtiment ou une villa de l'époque romaine sur la voie menant de Casuaria (Faverges) vers Boutae (Annecy). Toutefois, aucune trace d'un bâti n'a été mise au jour par l'archéologie.
En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit Latuila. Localement, le nom de la commune a pu prendre parfois la forme Lathuille, avec deux « l », notamment sur les panneaux de signalisations de la commune.
- , « Annecy et ses environs au Bibliothèque de l'École des chartes, lire en ligne).
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- D'après Henry Suter, , Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs, sur henrysuter.ch, Henry Suter, 2000-2009 (consulté en ), ainsi que Henry Suter, , Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs, sur henrysuter.ch, Henry Suter, 2000-2009 (consulté en ).
- , Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, lire en ligne)., p. 1440.
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incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nomméesHCS p.313 a
- Lexique Français : Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 ISBN , lire en ligne), Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou.
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Histoire
Antiquité
Au niveau du jardin de l'ancien château, des pièces romaines, dont un denier avec une représentation de l'empereur Trajan, ont été trouvées,. Cependant aucune fouille n'a permis de mettre au jour les traces d'une implantation romaine, de type villa.
Des tombes mérovingiennes, deux nécropoles, dont des ossements et un fragment de couvercle de sarcophage, ainsi que des tuiles romaines, ont été mises au jour en 1999, au lieu-dit Chichinal. Découvertes lors de travaux réalisés chez des particuliers, l'analyse et l'étude archéologiques sont faites par les membres des Amis de Viuz-Faverges.
Période médiévale
L'église est mentionnée pour la première fois dans une bulle du pape Eugène III en . Celle-ci indique que l'église est placée sous l'autorité de l'abbaye de Talloires. La paroisse est sous le patronage de saint Ours d'Aoste.
Au Moyen Âge, le territoire de la paroisse relevait de la seigneurie de Ruange avec la paroisse de Chevaline et une partie de celle de Doussard, relevant du fief de Châteauvieux de Duingt, possession de la famille de Duin,. On trouve deux maisons fortes. Le château de la Thuille, mentionné en 1323 et en ruines dès la fin du . Au . Les seigneurs Richard de la Thuile portaient un blason d'argent à la croix de sable cantonnée de quatre fleurs de lys de gueules (selon A. de Foras). La dernière descendante de la famille, une certaine Béatrice, se marie avec le seigneur Amblard de Sionnaz. Au famille de Chevron Villette. Leur fille épouse en 1560 François de Sales, seigneur de Sales, de Boisy et de Novel, père du futur évêque et saint François de Sales. Le château reste aux mains de la famille de Sales jusqu'en 1791.
En contrebas de ce château se situe une seconde maison forte, qui appartenait très probablement aux nobles de Bieux, originaires de Flumet, avant de passer aux Reveu, originaires de Bonneville au siècle jusqu'en 1736. La tour d'origine est intégrée de nos jours dans la mairie-école de la commune.
Le , François de Sales est ordonné prêtre dans l'église de la paroisse, par Claude de Granier, évêque de Genève et en présence du prêtre Aimé Bouvard. Lors de sa visite pastorale, en , l'église comprend quatre chapelles.
L'histoire de la commune durant la période médiévale ne montre pas d'événements significativement notables. La paroisse semble posséder dès le martinet on fabrique des outils en fer (ce qui en ferait une des plus anciennes du département), installée sur le nant d'Entrevernes, à proximité ou à l'emplacement d'anciens moulins et de battoirs mentionné en 1344. En 1717, le hameau d'Entrevernes est séparé de Lathuile et érigé en paroisse indépendante. Entre la fin du ,, notamment en raison d'une interdiction de pêcher dans le lac imposée par les seigneurs du mandement de Duingt. En 1697, cette affaire de pêche mène à quelques échanges de coups de feu entre une quarantaine d'habitants et les représentants du comte de Duingt, ainsi que la poursuite en justice du vicaire, à l'origine, semble-t-il, du mouvement. Les conséquences de ces troubles sont la baisse constatée des revenus versés à l'abbaye de Talloires,.
Période contemporaine
Les hameaux de Bourgeal, détaché de Dhéré (aujourd'hui Duingt), et celui d’Entrevernes, séparé de la commune, deviennent une paroisse indépendante le ,.
Lors de l'annexion de la Savoie en 1792, la commune de La Thuile, avec Doussard et Montmin, est placée dans le canton de Duingt-D'Héré, du district d'Annecy, qui appartient au département du Mont-Blanc. Lors de la modification de ce département avec la création de celui du Léman, la loi du 28 pluviôse an VIII (), La Thuile est maintenu dans le département du Mont-Blanc dans l'arrondissement d'Annecy, mais intégré au canton de Faverges, qui regroupe 16 communes. Le clocher de l'église est « découronné ».
Lors de la restauration du duché de Savoie de 1814, le village de La Thuile retrouve le mandement de Duingt, situé dans la province du Genevois, puis 10 en 1818. La réorganisation administrative du duché de Savoie de 1818 ne modifie pas l'attachement de la commune, mais elle est appelée à Lathuile-en-Genevois. Lors des réformes de 1835-1837, La Thuile est détachée de Duingt pour le mandement de Faverges et qui est intégré à la nouvelle province de la Haute-Savoie qui a pour chef-lieu Albertville. Le mandement garde les mêmes 10 communes.
Lors de l'Annexion de 1860, Lathuile est maintenue dans le nouveau canton de Faverges, constitué au sein du nouveau département de la Haute-Savoie.
Dans la deuxième moitié du . Le hameau de Bredannaz connaît un violent incendie en 1894.
Mine de lignite
Plus au sud, une autre ressource naturelle a été exploitée : le charbon, au-dessus du hameau de Saury, sur la commune d'Entrevernes. C'est après un éboulement qui s'est produit aux Molières en avril 1794 que des paysans découvrent une masse noire, du lignite, — une roche combustible contenant 70 % de carbone et ayant souvent l'aspect du bois fossilisé mais avec une valeur calorique trois fois moindre que celle de la houille. Après estimation, il s'avère que le gisement s'étend sur 12 km et affleure à plusieurs endroits sur une faible épaisseur.
Dans un contexte d'un duché de Savoie nouvellement intégré à la France révolutionnaire, la mine est rapidement exploitée pour les besoins militaires. Devant le manque de main-d’œuvre, des prisonniers de guerre sont utilisés pour l’exploitation de la houille.
L'industriel annécien Jean Alexis Collomb, et ses associés dont son gendre François Ruphy, obtiennent en la concession pour cinquante ans, créant ainsi la Société des Mines d’Entrevernes qui permet d'alimenter les fabriques de la ville d'Annecy,.
Lors d'une première époque, de 1796 à 1812, plusieurs entreprises (verreries, fabriques de sulfate de cuivre et de toile indienne) obtiennent des concessions. Une quarantaine d'ouvriers sont alors employés qui produisent à peu près 500 tonnes de charbon annuellement. À partir de 1819, la production annuelle double à 1 000 tonnes jusqu'en 1880. Descendu par traîneaux puis par chariots — on peut encore par endroits observer les traces laissées par les convois le long de la montagne sur le chemin pavé "de la mine" —, le charbon est ensuite transporté vers l'agglomération d'Annecy par bateaux à voile.
La mine est relancée de 1941 à 1948 pour alimenter les fours à gaz des industries (forges de Cran) et pour le chauffage des habitations. La mine est définitivement fermée en 1948.
Fusion de communes
Un projet de fusion entre le chef-lieu de canton, Faverges-Seythenex (7 800 habitants) et la commune voisine de Doussard (3 500 hab.), est envisagé en 2017. Les communes voisines comme Lathuile ainsi que Chevaline, Giez, Saint-Ferréol et Val-de-Chaise sont également invitées à participer au projet. En septembre 2018, le projet est abandonné à la suite du vote des conseils municipaux où seuls ceux de Faverges-Seythenex et de Lathuile ont voté pour.
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- Histoire des communes savoyardes 1981, p. 315, « La paroisse ».
- Histoire des communes savoyardes 1981, p. 313-315, « Féodalité ».
- Histoire des communes savoyardes 1981, p. 306, « Ruange ».
- Mémoires et documents de la Société savoisienne d'histoire et d'archéologie, Tome 11, 1867, p. 382.
- Jean Prieur et Hyacinthe Vulliez, Saints et saintes de Savoie, La Fontaine de Siloé, , 191 ISBN , lire en ligne), p. 114.
- Antoine Dufournet, La jeunesse de saint François de Sales (1567-1602), Bernard Grasset, 1942, p. 165.
- Histoire des communes savoyardes 1981, p. 315-316, « Vie économique et sociale ».
- Histoire des communes savoyardes 1981, p. 309.
- Dominique Barbero, Haute-Savoie, Éditions du C.N.R.S., , 422 ISBN ), p. 184.
- Vernier 1896, p. 96, 100.
- Vernier 1896, p. 109-110, 113.
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- Vernier 1896, p. 117-121, 125.
- Vernier 1896, p. 129, 134-135.
- Vernier 1896, p. 137-138, 141.
- Centre alpin et rhodanien d'ethnologie, Le Monde alpin et rhodanien, 1987, p. 13.
- Christian Abry, Roger Devos et Henri Raulin, Les sources régionales de la Savoie : une approche ethnologique, alimentation, habitat, élevage, Fayard, , 661 p., p. 37.
- Justinien Raymond, La Haute-Savoie sous la IIIe République : histoire économique, sociale et politique, 1875-1940, Seyssel, Atelier national de reproduction des thèses, , 1171 ISBN ), p. 282.
- Hugues Marquis, « La Convention et les prisonniers de guerre des armées étrangères », Histoire, économie & société, lire en ligne).
- Constant Bortoli (de), Histoire de Menthon-Saint-Bernard, Académie salésienne, , 573 ISBN ), p. 357.
- Académie florimontane, 1941, Revue savoisienne (Volume 82).
- « Lathuile, le berceau familial de saint François de Sales », Dauphiné libéré, (lire en ligne).
- Garlonn Gaud, « La fusion s’organise pour Faverges-Seythenex et Doussard », Le Dauphiné libéré, (lire en ligne).
- Garlonn Gaud, « Bassin annécien: Après Seythenex, Faverges s’apprête à fusionner avec Doussard », L'Essor savoyard, (lire en ligne).
- Jean-Baptiste Serron, « Le mariage entre Faverges et Doussard proche de la rupture », Le Messager, (lire en ligne).
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