Koekelberg
Localisation
Koekelberg : descriptif
- Koekelberg
Koekelberg [kukəlbɛʁg] est l'une des 19 communes bilingues de la région de Bruxelles-Capitale en Belgique. Commune de deuxième couronne, elle est située sur un axe de pénétration de première importance qui mène de Bruxelles à Gand et à la mer du Nord.
Toponymie
Lieu-dit situé entre Molenbeek-Saint-Jean, Berchem-Sainte-Agathe et Laeken qui doit son nom à l'installation en cet endroit de la famille Coeckelberghe (voir ci-dessous)
Géographie
Communes limitrophes
Histoire
La seigneurie de Coeckelberghe
Connus dès le milieu du , armé chevalier en 1144 lors de la guerre de Grimbergen, les Coeckelberghe apparaîtront durant la période qui suivra comme des fidèles sinon des proches du duc de Brabant, figurant en bonne place parmi les "bourgeois de Bruxelles". Gérard de Coeckelberghe et Wautier de Coeckelberghe sont cités respectivement en 1220 et 1225.
Vers 1250, Gérard de Coeckelberghe va acquérir un domaine d’environ quatre-vingt-cinq hectares – cinquante-six bonniers de terres arables et six bonniers de bois – "situé aux confins de Berchem-Sainte-Agathe, de Molenbeek-Saint-Jean et de Laeken".
Le territoire sur lequel la famille des Coeckelberghe va pouvoir, à partir de cet enracinement, asseoir sa juridiction va être érigée en seigneurie. Et quelques mois plus tard, en 1254, l’appellation du lieu-dit Coeckelberghe va apparaître – pour la première fois de source connue – dans un acte de cession. C’est cette seigneurie récemment constituée que le même Gérard de Coeckelberghe apportera à l’abbaye de Dieleghem à Jette, conformément aux usages féodaux. L’acte est passé en 1264 et mentionne que le tout est localisé à Koekelberg. L’abbaye apportera à son tour au fief de Gérard de Coeckelberghe ainsi placé sous sa protection un supplément de terres situées à Berchem-Sainte-Agathe.
La seigneurie de Coeckelberghe sera ainsi érigée en territoire – le patronyme devenant aussi toponyme – à partir du nom d’une famille bruxelloise en ascension dans la mouvance du duc de Brabant.
Au demeurant, le choix d’insertion des Coeckelberghe à cet emplacement ne manque pas d’arguments : le territoire est proche de Bruxelles dont on aperçoit les remparts et la porte de Flandre, il entre dans la ligne de défense externe de la ville, et il constitue une nouvelle entité administrative en bordure immédiate du périmètre molenbeekois alors indissociable de celui de Sainte-Catherine et soumis à l’autorité directe du duc de Brabant.
Avant tout peut-être, il comprend terres cultivables et boisées sur le plateau, terres humides en vallée propres au maraîchage, à l’élevage et à l’exploitation des étangs avec brasseries et viviers. L’implantation le long d’un tronçon de la voie qui relie la Flandre et Bruxelles – la chaussée de Gand – ne manque pas d’attrait économique et stratégique, de même que celle qui relie l’abbaye de Dieleghem à la ville – la chaussée de Jette – dont l’existence intéresse directement le fief de Coeckelberghe et qui deviendra plus tard l’axe principal de son extension villageoise.
En 1264, le domaine seigneurial comprend un manoir et ses dépendances, sans qu’on puisse dire avec certitude si ce château de Coeckelberghe et la chapelle Sainte-Anne située à proximité ont été érigés par eux ou si des éléments de construction préexistaient à leur arrivée. Le château seigneurial, situé à l’emplacement de l’actuelle rue des Tisserands, disparaîtra lors des opérations d’urbanisation du début du . Quant à la chapelle Sainte-Anne, située jusqu’à sa destruction en 1961 dans le bas de l’actuelle rue de l’Église Sainte-Anne, elle est signalée à différentes reprises dans des actes datés de 1321, 1370 et 1556 notamment. La chapellenie Sainte-Anne de Koekelberg comprend sept hectares de terres dont le revenu, cumulé avec le paiement des messes, des indulgences, des sacrements et des processions, assureront la subsistance du chapelain. Ces droits dont bénéficie le chapelain lui sont accordés par le seigneur de Koekelberg en sa qualité de collateur.
Anciennement dépendance de la paroisse Saint-Jean-Baptiste de Molenbeek, alors liée au chapitre de Sainte-Gudule, la chapelle Sainte-Anne va relever très tôt de l'abbaye de Grimbergen et de celle de Dieleghem – c’est à cette dernière qu’est inféodée la seigneurie de Coeckelberghe – pour le paiement des dîmes et la nomination du chapelain. Les deux abbayes s’entendront pour transférer la chapellenie à la paroisse de Berchem-Sainte-Agathe qu’elles contrôlent et qui s’en trouvera agrandie d’autant.
La chapelle Sainte-Anne sert à l’intronisation des seigneurs de Koekelberg qui se succèdent au fil des générations. La chapelle castrale sert bien entendu aussi de lieu de culte pour les habitants de Koekelberg, pour qui l’église paroissiale en titre, située au bourg de Berchem-Sainte-Agathe, s’avère bien trop éloignée.
Après la longue lignée des Coeckelberghe, la seigneurie passera par alliance chez les Locquenghien, dont Jean de Locquenghien, bourgmestre puis amman de Bruxelles sera la figure principale. On lui doit le creusement du canal de Willebroeck et une rue de Bruxelles porte son nom. La seigneurie et les droits y afférents seront rachetés peu avant 1588 par François Van Zinnicq, un ancien apothicaire anobli et dont les armoiries inspireront celles de la commune.
Koekelberg, section de commune (1795-1841)
Le village de Koekelberg s’est peu à peu étoffé, tant à proximité du château et de la chaussée de Gand que le long de la chaussée de Jette. En 1686, on y compte huit brasseries, quatorze auberges et dix-huit boutiques de commerçants ou d’artisans. Le recensement industriel de 1764 mentionne deux manufactures, une fonderie de fer et une fabrique d’étoffes de laine. Le Guide Fidèle, publié en 1761, indiquera que "plusieurs cabarets, dont les jardins et les cours sont embellis d’arbres et d’allées de charmilles très bien entretenues existent à Koekelberg", et "qu’on y voit tous les jours grand nombre de bourgeois qui s’y vont rafraîchir après leur promenade". La "ville" n’est pas loin et Koekelberg compte plusieurs “maisons de campagne” et un pensionnat de renom.
Le régime français instauré en 1795 va profondément changer le statut administratif du lieu en remodelant l’organisation en vigueur sous l’Ancien Régime. Apparaissent les départements, les cantons et les communes. L’entité administrative retenue comme territoire communal va correspondre à celui couvert alors par la paroisse de Berchem-Sainte-Agathe dont elle va reprendre les contours. Ainsi naîtra la commune de Berchem-Sainte-Agathe, englobant de ce fait Koekelberg. Mais les autorités françaises ne manqueront pas de constater le déséquilibre entre les deux entités constitutives de la nouvelle structure – Koekelberg compte trois fois plus d’habitants que le village rural de Berchem – et instaureront deux sections de commune : la section 1 désignée sous l’appellation de “Koekelberg”, et la section 2 correspondant à l’actuel territoire de Berchem-Sainte-Agathe.
Les forces vives de la commune se trouvent à Koekelberg. En 1827 le conseil communal sera invité par les responsables du district à ouvrir une école publique eu égard à l’importance (globale) de sa population. Le conseil refusera, expliquant que ses faibles moyens ne permettent pas de créer un tel établissement [au village de Berchem] qui “en tout état de cause ne serait pas fréquenté par les enfants de Koekelberg, de loin les plus nombreux, vu l’état des routes en hiver”.
Et même si l’immigration ouvrière qui va envahir peu à peu son territoire en ce début de François De Neck. Il réside à Koekelberg, chaussée de Jette. Avec lui va s’accélérer le processus de retour à l’autonomie administrative de Koekelberg. En 1833, un terrain est acquis pour l’établissement d’un cimetière à Koekelberg – payé par ses habitants – en même temps que la chapelle Sainte-Anne est érigée en église succursale à défaut d’être paroissiale. Le curé habite sur place, rue de Ganshoren.
Lors de la préparation du budget communal de 1837 et concernant la section de Koekelberg, on signale qu’un cabaretier de la chaussée de Jette offre d’y fournir gratuitement un local pour l’installation de l’administration locale.
Le processus autonomiste est engagé. Une enquête est diligentée par le conseil provincial qui, en 1838, émettra un avis favorable et demandera qu’il soit procédé à la reconnaissance des limites territoriales de la future commune de Koekelberg. D’autant que la section de Koekelberg compte alors 1 967 habitants contre 645 pour la section de Berchem. Un an après, en 1839, est posée la première pierre de l’église Sainte-Anne sur le terrain du cimetière, événement déterminant quant à l’existence de la paroisse Sainte-Anne et de son conseil de fabrique. Et sans attendre la mise en service de la nouvelle église, le conseil communal envisagera d’utiliser la chapelle Sainte-Anne désaffectée comme siège administratif de la section de Koekelberg. Ce qui ne se fera pas, une autre priorité s’imposant rapidement. L’ancienne chapelle Sainte-Anne sera transformée dès 1842 en école primaire, la première école communale dont se dotera la toute jeune commune.
Autonomie communale (1841) et extension des faubourgs
En effet, Koekelberg recouvre son autonomie en 1841. La loi portant création de la commune est promulguée le . Le bourgmestre François De Neck reste tout naturellement en fonction et la commune de Berchem-Sainte-Agathe, réduite en surface, va se trouver un nouveau bourgmestre en la personne d’Édouard Guillaume Goffin. Quant au secrétaire communal, Laurent De Neck, fils du bourgmestre, il restera lui aussi en fonction à Koekelberg. Avant 1841, la situation financière de la section de Koekelberg est meilleure que celle de l’autre section, tant par la présence de propriétaires fonciers que par le rendement des terres en culture : grandes parcelles du plateau et maraîchage en vallée. Et parmi les belles propriétés, symbole de cette aisance, on compte celle du château-pensionnat Goussaert, celle du statuaire Eugène Simonis et, plus tard, en 1858, celle du banquier Gérard Van Bergen. Mais cette aisance relative est désormais largement entamée par l’afflux croissant dans le bas de la commune d’une population ouvrière sujette au chômage et dont les épidémies successives de choléra vont marquer profondément l’existence. Cette extension du Faubourg de Flandre au nord-ouest de Bruxelles ne va pas manquer de poser rapidement de graves problèmes de logement et de santé publique. À partir de 1840, les lotissements ouvriers vont proliférer, édifiés par nombre de petits propriétaires qui vont densifier à l’excès leurs parcelles. Ces logements à la salubrité contestable sont groupés le plus souvent sous forme d’impasses ou de "bataillons carrés" autour d’une étroite cour.
La commune de Koekelberg et son Bureau de bienfaisance vont ainsi se retrouver en situation budgétaire délicate. Les recettes communales s’avèrent d’autant plus insuffisantes que la crise industrielle et le chômage frappent durement les familles et que la population de Koekelberg ne va pas tarder à être composée aux trois quarts d’ouvriers dont beaucoup sont en difficulté. Et la crise qui sévira, en Flandre notamment où la famine frappera de 1845 à 1848, aggravée par les rigueurs de l’hiver 1846-1847, accentuera encore la misère des nouveaux arrivants.
Le Quartier Royal de Koekelberg (1880)
En 1864, le conseil communal approuve le projet de prolongement du boulevard d’Anvers en direction du plateau de Koekelberg, voyant dans le percement du futur boulevard Léopold II une chance de désenclavement de la commune.
Le plan en a été dressé par Victor Besme, inspecteur voyer, chef du service chargé de l’aménagement des faubourgs de Bruxelles. En même temps, le développement du chemin de fer et les difficultés croissantes pour assurer par le centre de Bruxelles le transit des voyageurs et des marchandises entre les deux terminus que sont la gare du Nord et la gare du Midi vont décider de l’ouverture d’une ligne de contournement par l’ouest, désignée sous l’appellation de Chemin de fer de ceinture. La ligne, inaugurée en 1871, consacrera par la coupure qu’elle opère la séparation de la commune en deux zones, la partie anciennement urbanisée à l’est et le plateau de Koekelberg à l’ouest, auquel donnera accès le boulevard Léopold II. En 1862, Victor Besme a fait parvenir au futur roi son Plan d’ensemble pour l’extension et l’embellissement de l’agglomération bruxelloise. Le plan prévoit, dans le prolongement du nouveau boulevard, la création d’un quartier de deux cent cinquante hectares s’étendant sur quatre communes dont, majoritairement, celle de Koekelberg, faisant ainsi augurer une prochaine et importante urbanisation.
L’opération dite du Quartier Royal de Koekelberg – parfois dénommé Quartier Léopold II – va faire l’objet de plusieurs projets qui mettront successivement au centre du périmètre à urbaniser une “villa royale” (1864), un “palais de l’industrie” (1866) et un “panthéon national” (1879). Le plan définitif d’aménagement du plateau de Koekelberg sera adopté le . Un parc – l’actuel parc Élisabeth – sera aménagé dans sa partie centrale, prolongeant la perspective ouverte par le boulevard Léopold II. Faute de pouvoir y établir le panthéon national dont il rêvait, le roi Léopold II optera pour une basilique, l’actuelle basilique du Sacré-Cœur, directement inspirée de celle construite peu avant à Paris, sur les hauteurs de Montmartre.
Urbanisation et transports publics
Le nouveau quartier royal de Koekelberg qui entoure le parc ne comprend pas moins de trente nouvelles rues ou avenues dont vingt-deux sur le territoire de Koekelberg. La population va doubler entre 1880 et 1900. Ces différentes artères, dont les terrains vont se lotir à partir de 1880, accueilleront indifféremment classes moyennes et maisons bourgeoises, artisans et entreprises de plus grande importance. Ainsi, en 1884, prendra place, avenue de la Liberté, la Grande Brasserie de Koekelberg et, en 1896, rue De Neck, la Manufacture des biscuits et desserts Victoria mieux connue plus tard sous le terme de Biscuiterie-chocolaterie Victoria.
En même temps que les plans définitifs d’aménagement du plateau sont adoptés, l’acquisition d’un vaste périmètre dans la partie ancienne de la commune va permettre la création d’un nouveau quartier, dessiné lui aussi par Victor Besme, permettant, en 1882, d’y construire – enfin – la maison communale qui manquait jusqu’alors à la commune.
L’urbanisation va se poursuivre, y compris dans la partie ancienne de la commune. Les autorités communales vont engager une politique d’assainissement progressif de l’habitat du Vieux Koekelberg. En 1891, un nouveau règlement communal interdit « d’établir plusieurs maisons ou habitations distinctes n’ayant qu’une sortie commune vers la voie publique et désignées communément sous le nom d’impasses ou de bataillons carrés. »
Le texte annonce les opérations qui, quelques années plus tard, verront disparaître nombre d’îlots insalubres et, à partir de 1920, la mise en place d’une politique de logements sociaux avec la création de la société Le Foyer Koekelbergeois. La plupart des rues de la partie ancienne de la commune feront l’objet d’un nouvel alignement, redressant les perspectives et gommant les traces qui pouvaient subsister des anciens chemins ruraux. L’urbanisation du haut du plateau s’étirera sur près d'un siècle pour s’achever durant les années 1980 et 1990 par le lotissement de l’avenue de la Basilique et de l’avenue du Château, le bâti du territoire communal s’approchant dès lors de la saturation.
Les transports publics vont suivre l’évolution de l’urbanisation. À partir de 1871, le Chemin de fer de ceinture et sa "Halte de Koekelberg" permet de relier la Gare de Bruxelles-Midi en douze minutes jusqu’à sept fois par jour. En 1896, la Société générale de chemins de fer économiques, dite les "Économiques", inaugure deux lignes de tramways à traction hippomobile qui vont faciliter l’accès au centre de Bruxelles : Bourse-Station de Koekelberg et Bourse-Jette en passant par la chaussée de Jette. Les lignes sont électrifiées en 1904 et le terminus de la première est reporté près de la future basilique en passant par l’avenue du Panthéon. En même temps, la ligne Bourse-Étangs Noirs est prolongée, par la chaussée de Gand, jusqu’à Berchem-Sainte-Agathe. La Société générale de chemins de fer économiques sera reprise en 1928 par la SA Les tramways bruxellois.
Par ailleurs, en 1935, la Société nationale des chemins de fer vicinaux (SNCV) met en service l’intégralité de sa liaison électrifiée Bruxelles Gare du Nord-Zellik bientôt prolongée jusqu’à Alost. Le réseau est à voies métriques et exige la pose d’un troisième rail boulevard Léopold II, place Eugène-Simonis et avenue des Gloires Nationales.
Durant les décennies 1940 et 1950, dix lignes de tramways transitent par la place Eugène Simonis et trois par la chaussée de Gand, la rue Schmitz ou la rue Jean-Jacquet.
La préparation de l’Exposition universelle de 1958 et la motorisation croissante de la population vont changer la donne, et la politique du “tout voiture” va se traduire par le remplacement progressif de plusieurs lignes de tramways par des lignes de bus réputés mieux adaptés à la circulation automobile, et la création en 1957 d’un viaduc en béton de type autoroutier à hauteur du premier étage sur la portion du boulevard Léopold II située sur le territoire de Molenbeek-Saint-Jean. Il sera prolongé en 1977 sur le territoire de Koekelberg par un viaduc métallique qui, enjambant la place Eugène Simonis, rejoindra la double chaussée qui traverse le Parc Élisabeth depuis 1934.
La création en 1984 du tunnel routier sous le boulevard Léopold II permettra, en 1991, un retour à la normale de la voirie et la restitution du Parc Élisabeth dans l’intégralité de son périmètre d’origine.
En 2012, outre les lignes 2 et 6 du métro et la réouverture du trafic SNCB à la gare de Simonis, la commune de Koekelberg est desservie par la ligne de tramway 19 et les bus 13, 14, 15, 20, 87 et N16 de la STIB (Société des transports intercommunaux de Bruxelles), et par les lignes de bus 129, 212, 213, 214 et 355 de la société régionale De Lijn.
- [1]
- Paulo Charruadas, Territoire et famille. Les limites anciennes de Molenbeek et le lignage seigneurial des Koekelberg, in Atlas du sous-sol archéologique de la Région de Bruxelles. Vol. 17. (Molenbeek-Saint-Jean). Ministère de la Région Bruxelles-Capitale. Direction des Monuments et des Sites & Musées royaux d’Art et d’Histoire. Bruxelles, 2007.
- Alphonse Wauters. Histoire des environs de Bruxelles ou description historique des localités qui formaient autrefois l’ammanie de cette ville. 3 vol. Éd. Culture et Civilisation. Bruxelles, 1855 (reprint 1971).
- Paulo Charruadas. Molenbeek-Saint-Jean. Un village bruxellois au Moyen Âge. Coédition Notre Comté (Jette) et Centre interdisciplinaire de recherche sur l'histoire de Bruxelles (ULB). Bruxelles, 2004. 158 p.
- Didier Sutter. Koekelberg. Au fil du temps… Au cœur des rues… Éd. Drukker. Paris, 2012. 624 p.
- Van Den Haute (Robert). Le Château de Koekelberg. Cercle d’histoire, d’archéologie et de folklore du Comté de Jette. 1980. 42 p.
- Charles Stepman et Louis Verniers. Koekelberg dans le cadre de la région nord-ouest de Bruxelles. Éd. A. De Boeck. Bruxelles, 1966. 324 p.
- Arthur Cosyn. Le faubourg de Koekelberg. Imprimerie F. Van Buggenhoudt. Bruxelles (1921). 7 p. Tiré à part du Bulletin du Touring club de Belgique. (26 octobre 1921).
- Yves Cabuy, Stéphane Demeter. Atlas du sous-sol archéologique de la Région de Bruxelles. 11. Koekelberg. Ministère de la Région Bruxelles-Capitale. Musées royaux d’Art et d’Histoire. Gutenberg Éditions. Bruxelles, 1995. 46 p. + plans.
- Histoire & Patrimoine des Communes de Belgique. La Région de Bruxelles-Capitale. Dir. : Serge Jaumain. Éd. Racine-Dexia Banque. Bruxelles, 2008. 624 p.
- Le Guide Fidèle, contenant la description de la ville de Bruxelles tant ancienne que moderne, celle de ses faubourgs et de ses huit chefs-mayeuries. Chez J. Moris, imprimeur-libraire à Bruxelles. 1761.
- Robert Van Den Haute. Les sœurs Brontë à Koekelberg. Histoire d’une maison de campagne, in Notre Comté. Asbl Comté de Jette. 1981. 13 p.
- Archives de la commune de Koekelberg.
- Registre des délibérations du conseil communal de la commune de Berchem-Sainte-Agathe.
- Joseph De Mul. Le Vieux Koekelberg. Première partie, in Le Folklore Brabançon no 151, septembre 1961, p. 356 à 392. Deuxième partie, in Le Folklore Brabançon n°155, septembre 1962, p. 234 à 248.
- André-Claude Content. L’habitat ouvrier à Bruxelles au XIXe siècle. in Revue belge d'histoire contemporaine. Bruxelles, 1977, n°3 -4, p. 501-516.
- Jacques Dubreucq. Bruxelles, une histoire capitale. (vol. 4). Imp. Weissenbruch SA. Bruxelles, 1997.
- Didier Sutter. Victoria. Biscuits-chocolat. De la manufacture aux géants de l’agroalimentaire. Drukker. Paris, 2008. 480 p.
- Joseph Delmelle et Émile Cosaert. Histoire des transports publics à Bruxelles. Tome I La Belle Époque. Société des Transports intercommunaux de Bruxelles. Bruxelles, 1976. 318 p.
- Historique des lignes des Tramways Bruxellois. Musée Privé de Documentation Ferroviaire asbl.-Mupdofer. Bruxelles, 2002. 318 p.
Héraldique
La commune possède des armoiries qui ne semblent pas lui avoir été officiellement octroyées. Le projet a été admis en 1984 mais manquent les signatures de l'Arrêté royal et du diplôme. Il existe une différence entre le dessin et le blasonnement : le blasonnement mentionne un champ d'azur, le blason dessiné porte un champ d'argent. Elles reprennent les armoiries de François Van Zinnicq, apothicaire bruxellois anobli en 1618.
Blasonnement : D'azur à un chêne terrassé de sinople, le fût accolé d'un serpent d'azur.
L'écu surmonté d'un heaume d'argent grillé, colleté et liseré d'or, doublé et attaché de gueules, aux lambrequins d'argent et de sinople. Cimier: une tête et col de dragon d'azur lampassé de gueulesSource du blasonnement : Armorial des communes de la région de Bruxelles-Capitale.
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Dokument erstellt 03/01/2018, zuletzt geändert 30/10/2024
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