Rib’Wund dans la série "Sillage"

Militaire de qualité de l’armée de Sillage, respecté par ses hommes et extrêmement agile au combat. C’est un Askelonn orangé, race à sang froid qui fournit de très bons officiers d’active. Il a sauvé la vie de Nävis en débarquant sur sa planète de résidence après avoir capté un message depuis son vaisseau enterré. Il est l’instructeur de Nävis, mais également un de ses amis les plus fidèles. À la fin du tome 4, il est inculpé pour sa participation active dans l’affaire du trafic de planètes. Il sera emprisonné dans un quartier pénitentiaire de haute-sécurité où Nävis viendra lui rendre visite pour l’interroger dans le tome 7. Il reviendra dans le tome 12 où il sera l’assistant de Nävis.

Personnalité

D’un abord froid -éducation en orphelinat militaire oblige- Rib’Wund s’est pris d’amitié pour Nävis. Il ne peut rien refuser à la belle, comme lorsqu’elle lui demande une puce illégalement pour permettre à Snivel de se défendre. Même si c’est un militaire, il n’hésite pas à enfreindre quelques règles administratives. Il demande par exemple à Nävis d’aller voir ce qu’il se passe dans le chantier enterré au nord de la ville sur TRI-JJ 768 sans avoir obtenu de la part de Sillage un mandat d’observation rapprochée.

Vie Sociale

Même si c’est un excellent général, Rib’Wund va se retrouver mêlé à des affaires de corruptions; nottament sur l’affaire de Hurumaru. Le Magister le soupçonnant, il l’oblige à prendre Nävis pour cette mission car il connaît son affection pour elle. Cependant, ceux qui le manipulent ont un atout de poids. Ils menacent toute sa famille. C’est pourquoi il engage également un traître qui a pour but de saboter cette mission et de se débarrasser au besoin des autres agents. Mais le traître est éliminé et Nävis à son retour n’hésite pas à aller demander des comptes à son ancien ami Rib’Wund. Devant la peur de représailles de ses manipulateurs, Rib’Wund décide alors de prendre Nävis en otage. Il sera alors assommé par Béampte Empôhrr et pour cet acte ira en vaisseau-bagne à l’écart du convoi, de ses épouses-jumelles (Vinann’dra et Nivann’dra) ainsi que de ses enfants.