Bayard Jeunesse (éditeur)

Bayard Presse (ou Groupe Bayard) est une entreprise de presse écrite et audiovisuelle française créé en 1870 par la congrégation religieuse catholique des Augustins de l'Assomption. Cette congrégation est aujourd'hui encore la propriétaire exclusive du groupe.

Fondé sous le nom de Maison de la Bonne Presse, le groupe, actuellement présent dans 16 pays, possède quatre pôles d'activité : la presse écrite, l'édition d'ouvrages, le numérique et l'audiovisuel dans les domaines de l'actualité (La CroixLe Pèlerin), la jeunesse (Pomme d'ApiYoupiBabarJ'aime lireAstrapiOkapiPhosphoreJe bouquineLes clés de l'Actualité), les seniors (Notre temps), le religieux (Prions en ÉgliseCroirePanorama), la nature (Terre sauvageAlpes MagazinePyrénées MagazinePays basque MagazineBretagne Magazine), entre autres.

Le Groupe Bayard est au 5e rang des groupes de presse français par la diffusion de La CroixLe PèlerinNotre Temps (en tête des publications mensuelles avec 993 000 exemplaires indiqués par l'OJD pour 2010), Pomme d'Api, etc. Il est aussi le 4e éditeur d'hebdomadaires, de revues ou de livres pour la jeunesse.

Historique

Logo de la maison d'édition

Ancien logo du groupe Bayard

La Maison de la Bonne Presse, nom initial du groupe, est fondée en juillet 1873.

Le premier titre à sortir des presses, Le Pèlerin, a vu le jour en . Il constituait alors le bulletin de liaison des pèlerinages (la Salette, Lourdes…). Les fondateurs visaient deux objectifs : contribuer au mouvement de restauration religieuse et sociale, et, affirmer une présence catholique dynamique à travers des manifestations de masse (pèlerinages, enseignements, presse…). passage nécessite une référence.">Il est le premier hebdomadaire en couleurs lancé en France. Le quotidien La Croix apparaît dix ans plus tard en 1883, suivi en 1895 par le Noël avec son supplément mensuel pour la jeunesse L'Écho de la jeunesse (1898-1910). En 1885, c'est le rachat de la revue Cosmos qui appartenait à l'abbé Moigno.

passage nécessite une référence.">La Maison de la Bonne Presse est achetée par M. Paul Feron-Vrau, un proche intime des Augustins, quinze mois avant le vote de la Loi sur les Associations qui devait dépouiller les Congrégations religieuses. Malgré cette cession à une personne privée et sans tenir compte des preuves matérielles de cette vente, la Justice donne tous droits au liquidateur des Assomptionnistes. Les immeubles et le matériel furent vendus en 1908 et rachetés par la société civile La Jeanne d'Arc. Le , M. Paul Feron-Vrau rachète au cours d'une vente, sans que se soit présenté un autre acquéreur, le fonds de commerce, les marchandises et tous les titres de la Maison de la Bonne Presse. M. Paul Feron-Vrau confiera : « …on a considéré que La Croix n'était pas un journal comme les autres, parce qu'il renfermait l'idée surnaturelle, et c'est cette idée qu'on a voulu atteindre en foulant aux pieds tous les principes de propriété. »

Le journal hebdomadaire Bernadette est lancé en janvier 1914, tandis que son pendant masculin Bayard, lui, ne sera lancé que le dimanche  dans un contexte où "l'illustré" est encore mal perçu. On lui reproche de ne pas élever le jeune lecteur autant qu'un livre.

Le Sanctuaire, hebdomadaire illustré des enfants de chœur, est fondé en 1911.

Pendant la guerre d'Espagne, la maison accueille dans ses publications les illustrations de Mercè Llimona.

Plusieurs collections ont été lancées par la Maison de la Bonne Presse :

  • Romans cinématiques ;
  • Albums pittoresques et artistiques ;
  • Ohé les gars ;
  • Bijou ;
  • Étoiles ;
  • La Frégate ;
  • Collection des Romans Populaires ;
  • L'Arc-En-Ciel ;
  • Bayard.

L'entreprise porte le nom de Maison de la Bonne Presse jusqu'en 1969. Le nom du groupe, jugé un peu désuet et pouvant laisser entendre que la concurrence dans son ensemble constituait de la « mauvaise presse », change alors en 1970 pour Bayard Presse. Ce choix permet de conserver les initiales BP (logo d'origine) et de rappeler l'implantation du groupe au 3/5 rue Bayard effective depuis les années 1880. (Bayard était d'ailleurs le nom d'un de ses hebdomadaires en couleurs pour la jeunesse et d'une collection de livres que le groupe édita dans les années 1950 et 1960).

En , le groupe a déménagé à Montrouge, en proche banlieue parisienne. Le groupe se dote d'un nouveau logo où les initiales BP disparaissent. Il est à noter que le nom officiel du groupe n'a pas changé depuis 1970, l'expression « Groupe Bayard » n'étant qu'une appellation générique.

Aujourd'hui, Bayard poursuit son développement à l'international et en régions avec 36 millions de lecteurs dans le monde, 5 millions d'abonnés, plus de 150 magazines, dont 72 en France, 8 millions de livres vendus chaque année. Le groupe réalise désormais 40 % de sa diffusion (hors paroissiaux) à l'étranger.

Bayard, depuis l'acquisition de Milan (Presse et Éditions) en 2004, représente 27 % de la part de marché de la presse jeunesse en France, ce qui le place au premier rang, devant Hachette-Disney (25 %). Son chiffre d'affaires en 2005 fut de 433 millions d'euros (Source : La Croix du ).

En 2015, Bayard est partenaire des Apprentis d'Auteuil, aux côtés d'associations et de mouvements de la jeunesse, dans la création d'un think tankVers le haut, consacré aux jeunes et à l'éducation.

En , Bayard Éditions fait l'acquisition des Éditions Tourbillon, éditeur de livres pour la jeunesse, dont ils étaient précédemment actionnaire minoritaire.

Le président du directoire est Pascal Ruffenach qui a succédé à Georges Sanerot en 2017 ; Mr Sanerot avait remplacé Bruno Frappat en mai 2009 ; ce dernier, qui avait lui-même pris la suite d'Alain Cordier en avril 2005, reste Président d'honneur. Les autres membres du directoire actuel sont André Antoni, Alain Augé, et Florence Guémy, directrice des ressources humaines et du développement projet du groupe ; ils sont tous de fait directeurs généraux.

Début , Bayard annonce un bénéfice net en très large hausse sur l'exercice décalé 2018-2019 avec un résultat net de 3,9 millions d'euros contre 0,3 million d'euros l'année précédente. Porté par la presse et l'édition jeunesse, le Groupe Bayard enregistre un chiffre d'affaires de 344,9 millions d'euros (en hausse lui aussi de 0,3 % par rapport à l'année précédente).

Début octobre 2020, Bayard déplore une perte nette de 7,3 millions d'euros sur l'exercice décalé 2019-2020, affecté par la Covid-19 et par le dépôt de bilan de Presstalis,.

Titres disparus

Liste non exhaustive, par ordre chronologique de première parution :

Le Noël

Le Noël a été lancé en 1895. L'heddomadaire s'adressait à l'origine aux enfants. Il a cessé de paraître en 1940.

  • Le no 22 du jeudi  le présente comme étant le « journal des enfants». Son contenu aborde des sujets variés : contes, voyages, sciences, beaux-arts, vies des saints, aventures, rebus et jeux. Le n° valait 0,15fr; l'abonnement annuel : dix francs.
  • Le no 771 du  le présente comme une « revue hebdomadaire pour l'enfance et la jeunesse ». Cet hebdomadaire était édité à destination des jeunes filles et des jeunes gens. Il paraissait le jeudi (le no 771 est pourtant daté du samedi 01/01/1910). Le n° valait 0,20fr; l'abonnement annuel : dix francs - Etranger : douze francs.

Son contenu était composé de diverses rubriques : présentation liturgique de la semaine, petite tribune religieuse, conte, biographie, petites histoires drôles, récit d'un Noël flamand (à suivre), roman mettant en scène une petite fille « du peuple » (à suivre), le mot de Nouvelet (pseudonyme) le Directeur du Noël, la Petite Académie Noëliste (réservée aux lectrices âgées d'au moins quinze ans), l'Association de l'Union Noëliste sous le patronage de la Bienheureuse Jeanne d'Arc (réservée aux Noëlistes âgées d'au moins quinze ans qui doivent s'engager à exercer quelque apostolat, écrire au Noël deux fois l'an et promettre de réciter tous les jours un : « Bienheureuse Jeanne d'Arc, priez pour nous » pour les autres membres de l'Association de l'U.N., l'Association de la Jeunesse Noëliste sous le patronage de saint Michel, archange (réservée aux jeunes gens d'au moins douze ans ou ayant fait leur Première communion qui doivent s'engager à écrire au Noël deux fois par an et promettre de réciter tous les jours un : « Souvenez-vous » pour les autres membres de la J.N., comptes rendus de réunions noëlistes, petite correspondance, collectionneurs, récréations (jeux d'esprit et passe-temps), page de portraits de Noëlistes.

Le choix d'un pseudonyme était obligatoire pour toute personne voulant faire partie de l'une ou l'autre Association; les jeunes filles se regroupaient au sein de Comités de l'U.N. tandis que les garçons se regroupaient au sein de Comités de la J.N.

En tout, 32 pages, parfois : 36. Le no 821 du jeudi  compte 42 pages. Son format était approximativement 18,5/26 voire 18,5/26,4 (2e semestre 1910).

  • Absence de sources pour la période allant de 1911 à 1934
  • Le no 2063 du  le présente comme une « revue hebdomadaire pour les jeunes filles ». Les inscriptions de la première page ne sont plus écrites en rouge mais en noir sur fond bleu; une photo noir et blanc, comme en 1910, l'illustre; au fronton de la page, l'inscription : « Dieu protège la France » a disparu.

Son contenu était varié et instructif : le Billet du Noël; Questions bibliques; Faits, Glanes et Echos; Chronique musicale; Chronique littéraire; Chronique voyages; petite correspondance; etc. Ajoutons une demi page de publicité ! En tout : 36 pages.

« Le Noël n'est pas seulement une revue, c'est un mouvement de jeunesse qui a son histoire, son esprit, ses traditions, sa discipline, ses méthodes, ses œuvres. » Le pseudonyme du Directeur à cette époque est : Noëllet.

Union Noëliste : Association Amicale sous le Patronage de sainte Jeanne d'Arc. Favorisée d'une Indulgence plénière à gagner le . (Bref du .) Pour être admise, la jeune fille devait réunir un certain nombre de critères : 6 (être âgée d'au moins quinze ans; être abonnée au Noël depuis plus d'un an; avoir un pseudonyme accepté; s'exercer à quelque apostolat; écrire au Noël une ou deux fois par an; réciter chaque jour un Souvenez-vous et l'invocation : sainte Jeanne d'Arc, priez pour nous, pour les autres membres de l'Association de l'U.N.) + une participation de cinq francs. Les adhérentes étaient invitées à se regrouper et à former des Comités. Au sein de l'Union, existait une Petite Académie à laquelle les lectrices pouvaient soumettre leurs travaux intellectuels, ou traiter ceux que l'Académie proposait.

Il existait (en 1935) quatre formules d'abonnements :

  • Le Noël : 35 fr. (Belgique 40 fr.; Étranger 50 ou 65 fr.)
  • Le Noël et La Maison : 50 fr. (Belgique 57 fr.; Étranger 65 ou 80 fr.)
  • Le Noël et L'Étoile noëliste : 60 fr. (Belgique 70 fr.; Étranger 90 ou 121 fr.)
  • Le NoëlLa Maison et L'Étoile noëliste : 75 fr. (Belgique 87 fr.; Étranger 105 ou 135 fr.)

Son format approximatif était : 17×24,1 cm.

La revue existait encore en  (no 2088 (41e année) du ).

  • Absence de sources pour les n° suivants

L'Écho du « Noël »

L'Écho du « Noël » a paru pour la 1re fois en 1906; il paraissait chaque dimanche; c'était un hebdomadaire composé de récits émouvants, de contes illustrés, d'articles instructifs, d'histoires amusantes, de jeux; revue idéale des enfants. Le n°, en , valait 20 centimes. L'abonnement annuel coûtait 10 fr. L'abonnement annuel pour 5 exemplaires coûtait 39 fr. Pour l'étranger, les prix étaient respectivement de 12 fr. et de 44 fr.

Format approximatif (en 1921) : 18,8/26

D'après une annonce parue dans le no 543 du , on trouvait encore à cette époque, en librairie, l'année 1914 en un volume cartonné (8 fr. 25) et l'année 1919 en un volume broché (8 francs) ou cartonné (10 fr. 50). Port d'un volume : un colis de 3 kilos.

La Maison de la Bonne Presse a mis en vente en janvier 1921 deux superbes volumes cartonnés correspondant aux deux semestres de l'année 1920. Prix : 7 fr. 50 chacun - port en sus.

La guerre de 1914-1918 interrompt sa parution; elle reprendra en 1919.

L'Écho du « Noël » a cessé de paraître fin . Les abonnés à ce journal ont reçu, jusqu'à l'expiration de leur abonnement, en remplacement, Bayard à compter du dimanche .

Le Mois littéraire et pittoresque

Lancé en janvier 1899, il s'agit d'un mensuel format in-4° consacré aux actualités littéraires et artistiques. Certaines couvertures sont d'Alfons Mucha. Parmi les collaborateurs illustrateurs, on compte Maurice Feuillet ou encore Marcel Lecoultre, fidèle de la Maison de la bonne presse. Le titre disparaît en juillet 1917, après 217 livraisons.

L'Étoile Noëliste

L'Étoile Noëliste a été lancé le . Cet hebdomadaire illustré féminin était édité à destination des enfants à partir de 6 ans. Les jeunes filles, à partir de quinze ans, étaient invitées à s'abonner au Noël. Il paraissait le jeudi. La revue disparaît sous sa forme hebdomadaire le no 1259.

Au-dessus d'une étoile surmontant le titre de la revue, la mention : « Dieu protège la France ». Celle-ci disparaît à compter du , à l'occasion d'une modification de la couverture de la revue.

Son contenu était varié pour les jeunes cadettes; dans le no 941 du  : un court éditorial intitulé : Causerie de l'Étoile, suivi de correspondances de divers Comités; la troisième partie d'un récit d'Henri Allarge : l'Automate, joueur de flûte; une pages de photographies diverses; un récit (à suivre) illustré; un court fait historique au Japon; de l'actualité anecdotique à travers le monde y compris éphémérides du  au ; une courte histoire d'André de Bréville : L'oncle Grippe-sou et sa nièce; Étoile École : pédagogie, travaux scolaires; etc. En tout : 32 pages.

La Vie Noëliste : association amicale sous le patronage de passage nécessite une précision.">sainte Agnès. Les adhérentes s'appelaient : les Cadettes. Ces dernières étaient invitées à se regrouper et à former des Comités, à participer aux prières et aux bonne œuvres recommandées par la revue.

Coût de l'abonnement annuel en  : France, 15 fr. ; Etranger, 17 fr. Son format approximatif était : 18 x 25,30 cm.

Revue mensuelle, de  à no 11.

Revue bimensuelle, du  au no 21.

Bernadette

Bernadette est le premier titre destiné à un public féminin de Bayard ; lancé en janvier 1914. Sa parution s'arrête au no 31 quelques mois plus tard avec la Grande guerre. Elle reprendra en 1923 pour se maintenir cette fois-ci jusqu'en 1963, date à laquelle Record est pressenti pouvoir intéresser les deux sexes, avec une interruption toujours pour cause de guerre, puis de pénurie, de 1940 à 1946. Impression en offset à partir du .

Marie-France

De la même manière que Bayard devient Jean et Paul, en zone libre, à partir du Bernadette change de nom durant l'Occupation, et devient Marie-France à compter de . Premier numéro : no 551 du , poursuivant la numérotation de Bernadette. L'éditeur est la Maison de la bonne presse.

Le magazine se présente d'abord sous la forme d'une revue hebdomadaire de 16 pages au format 18 x 26 cm, puis de 16 ou 8 pages, en alternance, en 1944. À partir de , la revue abandonne son rythme hebdomadaire et ne paraît plus que les 1, 11 et 21 de chaque mois. Le dernier numéro paru est le no 725 du .

La principale série, de Gervy, était : Miotte et son ami Totoche.

Prêtre et Apôtre

Lancé vers 1918, Prêtre et Apôtre était le titre d'un bulletin mensuel de vie intérieure et d'apostolat.

Le bulletin du  porte l'inscription : 30e année - no 361.

À la page

À la page a été lancé en 1930. La guerre interrompt sa parution. Reprise du titre en 1949; arrêt définitif en 1951.

À la page était un hebdomadaire pour les jeunes garçons de plus de 14 ans ; « grand frère » du journal hebdomadaire Bayard.

On y trouvait « chaque semaine les sports, le cinéma, les nouvelles, des reportages, des photos magnifiques, des contes, un courrier, etc. » Et aussi l'actualité sociale et politique non seulement de la France mais du monde entier, ce qui en faisait un journal à part entière.

Il coûtait 75 centimes le jeudi  (no 428), 1 franc à partir du jeudi . Son format approximatif était : 29,5/41

Cet hebdomadaire paraissait encore en janvier 1951 (publicité pour À la page dans Bayard no 217 du ).

Bayard

Périodique de bande dessinée publié de 1936 à 1962 date à laquelle il devient Record.

Jean et Paul

Le dernier numéro de Bayard, avant-guerre, paraît le dimanche , il porte le no 232.

En zone libre, à Limoges, la Maison de la Bonne Presse s'installe 1, rue de l'Observatoire (plus tard 4, rue de Nazareth).

Le premier numéro de Jean et Paul paraît le dimanche  sous le no 233. Cette numérotation suit, en fait, celle de la revue Bayard soulignant ainsi une continuité. Cependant, aucune allusion à la revue Bayard, ni à la guerre, dans ce premier numéro de 16 pages, au format 18x25.5, vendu 0fr60. Il se présente comme L'hebdomadaire de la jeunesse. Au verso de la couverture, l'éditorial intitulé : ma lettre, s'adresse aux lecteurs : Amis, faisons connaissance…; il est signé Jean-Marie. Chaque semaine Jean-Marie s'adressera ainsi aux lecteurs comme ami et grand frère.

Le contenu de ce premier numéro est varié : page 3 : une courte biographie de Fernand Cortez, page 4 : une histoire vraie de pigeons voyageurs dégustés (par erreur…) aux petits pois, page 5 : la planche 1 de la bande Alain au Far-West, page 6 : anecdotes sous le titre "Curiosités", page 7 : un récit "Le chien fidèle" et des petites histoires "Le saviez-vous ?", en pages 8 et 9 le récit du dernier voyage en mer de l'Audacieuse (marqué à suivre) et une petite bande dessinée : Bob par Tiky, en pages 10 et 11 le début d'une série consacrée aux Croisades, la page 12 est religieuse : le billet de l'Abbé (signé : l'Abbé), descriptif de la semaine liturgique, présentation de l'Avent, la page 13 parle de Murillo : la vocation de l'enfant de chœur (Murillo, petit enfant de chœur, au chevet d'un peintre agonisant…), la page 14 : chapitre premier du roman Le trou du diable de Jean Vézère, la page 15 est réservée aux jeux, et enfin la page 16 qui présente Jean et Paul en une planche de 8 dessins.

  • Jean et Paul
  • Alain au Far-West, par Gervy, du  au ?, no 233 à ? (planche 54 marquée : à suivre);

Record

L'hebdomadaire Bayard est en 1962 remplacé par le magazine mensuel Record.

Presse-Actualité

Bayard Presse a édité pendant quelques années un fascicule mensuel (au format voisin du A5) d'analyse critique et quantitative de la presse écrite, Presse-Actualité, qui informait aussi sur les grandes manœuvres de la presse (par exemple sur Robert Hersant dès 1964, ou sur Axel Springer) et a été à son époque - années 1960 - un peu ce que sera au début du xxie siècle pour l'audiovisuel un magazine comme Arrêt sur images de Daniel Schneidermann (ou encore Acrimed ou PLPL). Cette revue a aidé de nombreux lecteurs à perfectionner leur sens critique envers l'imprimé.

Source: Wikipedia ()

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Dokument erstellt 05/05/2020, zuletzt geändert 01/03/2023
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