Rendeux

Le village de Rendeux est situé sur la rive gauche de l'Ourthe, un affluent de la Meuse entre les villages de Marcourt (en amont) et de Hampteau (en aval). Il se compose de deux sites nommés Rendeux-Bas construit le long de la route nationale 833 Hotton-La Roche-en-Ardenne et Rendeux-Haut construit aussi le long de cette route nationale en direction de La Roche-en-Ardenne mais aussi un peu plus haut dans un vallon. On trouve à Rendeux-Haut le siège de l'administration communale, le château ainsi que l'école.

Rendeux occupe un site privilégié propice au tourisme vert. Il possède sur son territoire l'arboretum Robert Lenoir qui compte un très grand nombre d'espèces d'arbres rares.

La commune de Rendeux se compose de quatre sections

Communes limitrophes de Rendeux

Hotton	Érezée	Manhay
Marche-en-Famenne		La Roche-en-Ardenne

Au cours de l’été 1944, un camp de la Mission Marathon a été organisé secrètement sur le territoire de l’actuelle commune de Rendeux, dans le village de Beffe. La Mission Marathon, dirigée en Belgique par Albert Ancia, visait à mettre des aviateurs alliés à l’abri dans des camps, plutôt que de les évacuer par les filières d’évasion classiques. Abattus en territoires occupés, ils étaient acheminés de tout le pays vers l’Ardenne, en passant par Namur ou Liège. Six camps ont ainsi été établis en Ardenne, où les aviateurs allaient séjourner jusqu’à la Libération, en passant de camp en camp. Le camp de Beffe a accueilli plus de trente aviateurs à partir du 21 juin 1944. Plusieurs habitants de la région ont contribué à la sécurité et au ravitaillement des aviateurs.

• Source: DGS, 1831 à 1970=recensements population, 1976= habitants au 31 décembre

En tenant compte des anciennes communes entraînées dans la fusion de communes de 1977, on peut dresser l'évolution suivante:

_{Les chiffres des années 1831 à 1970 tiennent compte des chiffres des anciennes communes fusionnées.}

• Source: DGS , de 1831 à 1981=recensements population; à partir de 1990 = nombre d'habitants chaque 1 janvier

• Source: DGS, 1831 à 1970=recensements population, 1976= habitants au 31 décembre

En tenant compte des anciennes communes entraînées dans la fusion de communes de 1977, on peut dresser l'évolution suivante:

_{Les chiffres des années 1831 à 1970 tiennent compte des chiffres des anciennes communes fusionnées.}

• Source: DGS , de 1831 à 1981=recensements population; à partir de 1990 = nombre d'habitants chaque 1 janvier

• Le château
• L'église Saint-Martin de Marcourt
• Le patrimoine immobilier classé
• L'Arboretum Robert Lenoir
• L'ermitage Saint-Thibaut

Quelques images de l'Arboretum Robert Lenoir:

• L'arboretum Robert Lenoir
• L'arboretum Robert Lenoir
• L'arboretum Robert Lenoir
• L'arboretum Robert Lenoir

La commune fait partie de la zone de police Famenne-Ardenne pour les services de police, ainsi que de la zone de secours Luxembourg pour les services de pompiers. Le numéro d'appel unique pour ces services est le 112.

• Collet Joseph. Mosaïque historique. Autour d'un hameau ardennais, Liège,1935.
• Mi èt to l'z'ontes. Si Gênes m'était conté. Gênes, 1983.
• Antoine Jean-Marie. Un autre regard sur ...les croix de nos chemins, Rendeux, 2001.
• Antoine Jean-Marie. Un autre regard sur ...nos cimetières, Rendeux, 2003.
• Cercle historique de Marche-en-Famenne, Hotton et Rendeux. Coup d'œil sur Rendeux, Annales 2004.
• Antoine Jean-Marie. Un autre regard sur ...nos églises et nos chapelles, Rendeux, 2011.
• Petit Maurice. Un autre regard sur ... Gênes au fil du temps, Rendeux, 2013.

Au cours de l’été 1944, un camp de la Mission Marathon a été organisé secrètement sur le territoire de l’actuelle commune de Rendeux, dans le village de Beffe. La Mission Marathon, dirigée en Belgique par Albert Ancia, visait à mettre des aviateurs alliés à l’abri dans des camps, plutôt que de les évacuer par les filières d’évasion classiques. Abattus en territoires occupés, ils étaient acheminés de tout le pays vers l’Ardenne, en passant par Namur ou Liège. Six camps ont ainsi été établis en Ardenne, où les aviateurs allaient séjourner jusqu’à la Libération, en passant de camp en camp. Le camp de Beffe a accueilli plus de trente aviateurs à partir du 21 juin 1944. Plusieurs habitants de la région ont contribué à la sécurité et au ravitaillement des aviateurs.